Colère
Sergio Ramos
J'arrive chez moi et enlève mes coûteuses chaussures et dessert ma cravate. Je vais me cherche un verre de whisky sans glaçons.
Je me rend directement dans mon bureau pour aller consulter ma boîte mail.
L'entreprise où je travails comme avocat m'as dit que j'allais devoir voir un psychologue à cause de ma colère dévastatrice.
Je soupire en voyant qu'en effet j'ai bien reçu un mail du docteur Vidal.
"Bonjour monsieur Ramos. Votre entreprise m'as expliquer la situation et j'ai accepter de vous aider pour régler votre léger soucit de colère. Vous devrez prendre 1 semaine de congé et vous rendre à mon cabinet. Je vais m'occuper de vous pour que vous puissiez calmer vos trop gros accés de colère.
Cordialement monsieur Vidal"
Je soupire et envoie un mail à l'entreprise pour les prévenirs que je serais absent durant une semaine.
Je sais que de toute manière si je ne vais pas à ce rendez-vous je serais viré donc bon. Je soupire et marche dans mon loft au plein coeur de Madrid.
Les rayons du soleil couchant embrase tout les murs de mon appartement avec leurs multitudes de reflets et je souris.
J'aime ma ville et j'aime la vie que j'ai eu à force de me battre.
Je ne me mettrais jamais en position de perdre tout ça, alors si pour mon bien il faut que je fasse une thérapie, je le ferais.
Je souris et prend une gorgée de whisky. Celle-ci me brûle agréablement la gorge et je retourne dans le loft.
Après avoir légèrement tourner en rond, je me rend dans ma salle de bain et enlève tout mes vêtements.
Une fois nu, je me rend sous le jet d'eau chaude. Un soupir de bien-être sors de mes lèvres.
Les gouttes roulent délicieusement sur ma peau mat et je prend un malin plaisir à les regarde tomber une à une sur le sol de ma grande douche à l'italienne.
Je ne sais clairement pas dans quoi je me suis embarqué, mais je vais devoir y aller tête baissée, si je ne veux pas que la totalité vol en éclat.
Je sors de là dedans et prend le temps de regarder mes poings. Encore aujourd'hui j'ai craquer, un homme à commencer à être virulent avec moi dans la rue.
J'ai craqué..........une nouvelle fois j'ai étais faible et je me suis laisser aller à mes pulsions.
Mais lorsque mon poing c'est abattu sur sa mâchoire et que 'ai entendu le doux craquements de ses os, je n'ai pas su résister.
Alors j'ai frapper, encore et encore jusqu'à ce qu'il gisent, dans une marre de sang......
Je ne l'ai pas tué, lorsque je suis partie il avait encore un pouls.
Je ne suis pas un assassin, juste un homme qui aime régler les petits soucits qu'il peux croiser sur son chemin.
De toute manière qui le fera si ce n'est pas moi ?
Personne !
Alors je fais ce qui selon moi et juste puis, pour être totalement honnête avec moi-même, j'adore cogner.
Voir la douleur dans le regard des autres me procure une sensation de plénitude que je ne saurais décrire tellement c'est intense.
Tout mon corps est envahis par ça et je sais que quand je commence, il est très difficile de m'arrêter avant que je ne vois enfin du sang gicler.
Je suis comme ça. J'adore la violence.
Je ne sais pas si je suis comme ça depuis tout petit, mai en tout cas c'est comme ça que je grandis.
Je soupire pour la énième fois de la soirée et passe encore une fois mes mains sous l'eau.
La douche n'as pas réussi à faire partir tout le sang et je dois frotter pour être sûr et certain de ne pas être tâcher.
Si ça se sais au travail, je suis cuit.
Je suis crain autant que je suis adorer. C'est un peu le grand paradoxe de ma vie. Mai s je préfère inspirer la crainte plutôt que de la ressentir.
Je suis tout en haut de la chaîne alimentaire et je m'en porte très bien. Je ne souhaite en aucun cas redescendre car je n'accepterais plus de me faire bouffer.
Je suis spectateur de la fosse aux lions qu'est la vie et je souris en voyant les morts s'accumuler sur la bas-côtés.
Non je n'ai aucun état d'âme et la colère dicte mes pas.
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