« Monologue de parrain »
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Ils se regardaient dans le blanc des yeux. Sans véritable raison, Penelope observait chaque petit détail du visage du brun. Une peau lisse, de petit plie au extrémité des yeux, une minuscule faussette sur la joue gauche, de fin et long plies qui apparaît sur son large front quand un sourire s'affichait sur son visage; tout ça, Penelope l'avait remarqué en quelques secondes. Erik pensait la faire craindre de lui-même avec son spectacle du parfait méchant ou en fin de compte, celui de bon fond. Cependant, il ne savait pas que la seule chose que Penelope craignait c'était elle-même.
- Alors tu ne vas rien dire? dit-il à voix basse. Peut-être qu'au docteur, tu pouvais lui faire ce petit manège, mais, à moi, tu ne peux pas.
Elle se décollait du mur et reposa mèche rebelle derrière son oreille.
- Qu'est-ce que vous me voulez? demanda Penelope.
Erik baissa son regard vers le sol. Il jeta un œil sur le petit meuble de tout à l'heure et s'en approcha. Il glissa tranquillement sa main le long du carrelage de bois, et referma son poing. Il ressentait cette fine couche de poussière se frottée entre ses long doigts. Puis, il remit dans l'autre sens son poing, et laissa tombé ces minuscules grains vers le bas.
- J'aimerai te connaitre, Penelope, dit-il comme réponse.
Elle leva un sourcil. Elle ne comprenait pas trop ce qu'il voulait au fond. Après lui avoir jeter plusieurs trucs au visage, ce qui aurait très bien pu la tuer si elle n'en avait rien fait. Il était encore plus étranges et dur à discerner qu'au premier avis qu'elle a eu de lui.
- Je ne me connais pas moi-même, répliqua t-elle.
Il sourit en closant ses paupières. Il avait encore ses trous dans ses joues qu'il le rendait beau de l'extérieur.
- Tu sais, ceux que tu considère comme tes amies, dit Erik. Tu penses réellement qu'ils peuvent t'aider, comme ils le disent si bien?
Il lança un bref regard vers la jeune blonde qui le regardait avec ce regard neutre, sans d'expression.
- Tu sauras qu'il ne pourront pas comprendre ce que tu es et où encore te donner les réponses à tes questions. Tandis, que moi je peux. Tu n'es pas comme eux, Penelope. Tu es plus qu'une simple mutante. Et je crois que tu fais des cauchemars, pas vrai? Et bien ce ne son pas des cauchemars. C'est la réalité, ton passé. Tout ça, je le sais et j'aimerais te le montrer.
Elle ne disait rien, pour l'instant. Elle avait le goût de lui rire en plein visage. Elle aurait voulu lui jeter tout ce qu'elle s'est elle mêmes mentis. Il savait peut-être des choses sur elle, mais elle ne le connaissait pas lui.
- Si tu en sais autant, tu ne voulais pas me connaître. Même moi je n'ai pas envie de me connaître, affirma t-elle se retenant de laisser une larme couler. J'ai arrêté de chercher les choses que je ne pouvais trouver. Je...
- Tu as soixante-dix-sept ans et tu viens de Brooklyn. Tu n'as pas de frère ou de sœur, s'immisça le brun.
- Si tu crois que me dire cela va me faire changer d'avis. Tu peux crever avec ton monologue du parrain.
Il ria de bon coeur et fit un pas vers elle. Tandis que Penelope ne fit qu'afficher un petit sourire qu'elle essayait de cacher à ce Erik. Malgré cela, un silence s'installa entre les deux. On dirait que la créativité n'existais plus, où qu'Erik avait oublié son but. Est-ce parce qu'il ressentait en fin autre chose que la haine et le sarcasme dans son être? Rire faux n'était pas ce qu'il avait fait. De ressentir une émotion telle que celle-ci, lui était lointaine. Est-ce si difficile d'acquérir un tel sentiment? C'était un excellente question.
- Je reviendrais te voir, dit-il pour casser ce silence. Je dois bien essayer de te convaincre.
Penelope souleva un sourcil. Elle appréciait déjà cette conversation qu'elle aurait fait durer jusqu'au petite heure du matin. Nous venons d'apprendre que sans connaître, les conversations sont plus longues.
- Au revoir, Erik , le salut-elle.
Il ne dit point un mot et reparti de son côté. Longeant un coin et disparu dans l'obscurité.
Penelope l'avait observé repartir d'où il venait. Malgré cela, quelque chose ne collait pas dans son cerveau. Comment Erik a-t-il pu entré dans la demeure des Xavier sans se perdre et encore sans être remarquer?
- Oh mon dieu! s'écria Charles.
Le télépathe venait d'entrer dans l'impasse des trois couloirs, et semblait exténuer et à bout de souffle. À ce moment précis, les lèvres de Penelope tremblaient. Elle aurait voulu lui demander la question qui frottait son esprit, mais il ne devait pas, pour l'instant, savoir qu'Erik était venu la voir.
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Voilà la fin de ce chapitre! X)
Pas tant excitant mais voilà quoi! Je ne voulais pas mettre d'avantages car les prochains chapitre serons plus fructueux et dur.
Bref, j'espère que vous avez quand même aimé et à bientôt !
L E X Y
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