«La maladie d'être profane»
Ce n'était que le matin que la pluie était la plus attrayantes de nos journées. Durant les autres heures, elle semblait s'éterniser. Ses mouvements étaient rapide, mais pour les yeux elle était lente, ennuyeuse, d'aucune valeur. Elle était séduisante quand elle éclatait nos perron, les jours de pluies. C'était beau, magnifique. C'est fou! Comme de simples choses sont dix fois plus impressionnantes quand nous les regardons d'aussi près. Et Pénélope se comparait à ces choses là. Elle considérait qu'avant ce temps-là, elle était une goutte parmi la pluie. Une minuscule parcelle d'eau dans une catastrophe météorologique. Ce n'était pas pour se plaindre, elle savait qu'elle n'était pas le nombril du monde, mais s'implanter dans une autre vie que la sienne était impossible, en fin presque.
- Tu lui as parlé? demande nul l'autre que lui.
Pénélope se retourne vers son interlocuteur avec un regard qui n'était pas à la fois un sourire et encore moins une preuve de gaité. Elle ne l'a que regardé avant de continuer son chemin en fonçant dans de le creux de son l'épaule.
- Si c'est pour me demander des questions sur les autres, ne viens pas me voir, Erik, répond sèchement Pénélope.
Un sourire amusé apparu sur les lèvres du beau brun. Il l'a regardé s'éloigné quelques secondes, et partis aussitôt la rejoindre derrière elle sans quittée un regard sur sa silhouette.
- Tu n'es pas contente de me voir? J'aurais parié que tu aurais apprécié ma venu, dit-il.
Elle roule des yeux avant d'emprunter un autre couloir.
- Après m'avoir fait comprendre que j'étais un énorme point d'interrogation? Certainement pas! s'exclame la blonde.
- Ce n'est pas pour rien qu'il...je t'ai envoyé ce déchet de Victoria, répond rapidement le mutant.
La télépathe s'est retournée vers lui d'un air glacial.
- Comment peux-tu dire quelque chose d'aussi écœurant?! Ce n'est qu'une enfant qu'il ne méritait pas ce qu'il lui arrivent! crie-t-elle presque. Et maintenant, tu me dis que c'est toi qu'il lui as fait cette expérience scientifique?! Eux qui mon dit que tu ne voulais que la protections des mutants contre les humains. Au fond, tu n'es qu'un insensible qui ne veux que tout les humain soit transformés en ce que tu es pour comprendre ta douleur!
Pénélope était furieuse et à la fois attristé par ce que menait Magneto et non Erik. Tout son manège n'était qu'atteindre ce but. Il se servait de brave humain comme Docteur Sharpes pour dirigé d'autre hommes pour des fins personnels. Rien de plus pitoyables mesures dirait Karl Max.
- Et ce n'est pas parce qu'un homme maniaque a tué tous ceux que tu chérissait, que tu es obligé de torturé ceux qui ne t'on rien fait, finit-elle par avoué tout haut. Et elle ne m'a rien dit, car elle aurait tout oublié.
Elle a tourné ses talons et à continué son chemin vers son dortoir. Erik ou Magneto, les deux semblaient perturbé par des souvenirs révélés. Il n'était pas offusqué, il était impressionné qu'elle sue lui jeté sa propre vie au visage. Pourtant, il manquait encore des pièces pour qu'elle sache réellement se qui se transformait hors des jeunes expérimentions d'étudiante comme Victoria. Ils essayaient seulement d'atteindre une perfection qu'il leurs avait échapper il y a plutôt.
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D É M A R R E R L A C H A N S O N
E N M U L T I M É D I A | les sensibles sont avertis |
Les nerfs et le morales au fond dû gouffres, la folie devenait une option. Cloîtrer entre des murs en compagnie de gens qui ne comprenait rien ou seulement qu'il ne voulait pas comprendre. Incomprise et paranoïaque, quoi de plus beaux à ressentir quand on y comprenait rien de soit même. Elle avait besoin d'être comprise, écouter, de pouvoir discuter à quelqu'un qui n'avait pas encore oublié qu'elle était celle quelle pensait être. Elle croirait qu'avec cela, elle pourrait se faire croire que de partir n'était pas la chose à faire pour trouver un sens.
- Pet' ? chuchote la blonde.
La chambre du jeune homme n'était pas dans le noir, puisque la jeune femme savait que celui-ci ne dormait jamais sans une lumière à ses côté. Les lèvres dans l'embrasure de la porte, elle essayait de lui marmonner quelques mots pour susciter l'attention de Peter Maximoff.
- Mmh...grogne le garçon pour avertir qu'il ne dormait pas encore complètement.
Elle ouvert un peu plus la porte afin de l'apercevoir étendu sous ses draps. La télépathe décide de rentrer calmement dans la pièce tout en refermant délicatement le propylé. Elle s'approche du lit de son bien veillant ami qui s'était redressé contre son oreiller.
- Que puis-je pour mademoiselle? Et ne me dit pas que c'est pour aller te chercher des macarons au super marché, s'il te plaît...demande d'une voix lourde le garçon à la chevelure argentée.
Un niais sourire apparaît sur le visage de la blonde. Aussitôt, elle mis un regard vers ses paumes, en pensant à la manière qu'elle allait lui expliquée tout ce qui se passait. Comprendrait-il se qu'il se passait dans sa vie? Savait-il déjà que le monde connaissait la vrai histoire de Pénélope tout court? Ou aurait-elle plus qu'un simple prénom? Un nom, peut-être? Ou avait-elle déjà eu une histoire, une vie antérieure, et même une famille? Sa vie était devenu son peur. La curiosité et l'irrépressible qu'il grandissait en elle, était à présent une maladie, la peste.
- Je...je ne vais pas bien, déclare t-elle. Je suis malade Peter.
Peter se redressait d'un bon sur ses dargeot avec une expression de moquerie mélanger à un soupçon d'inquiétude.
- C'était une blague quand j'ai te traiter de malade, Pé, répond t-il en la regardant dans les yeux. Je...
Il allait poursuivre, mais elle ne lui laissait pas la chance. Il poursuit, donc en glissant ces mains contre les siennes doucement. Ils avaient les iris traversant l'un et l'autre.
- Ce n'est pas ça, dit la blonde. C'est seulement que je ne sais rien de moi. Les gens, comme Erik et aussi Charles savent des choses sur moi. J'aurais soixante dix-sept ans et je viendrais de Brooklyn. Tu le savais toi! On m'a repêché depuis un fleuve et je viendrais de là-bas ? Ils me cachent tout, même si ils disent peut-être tenir à moi. Je me pose même des questions existentielles et superficielles depuis. Et ce n'est pas moi cette personne. Je garde tout en moi après tout ce temps. Et voilà que je t'en parle pour la première fois, et je t'avoue que ce n'est pas facile. Il y a quelques jours, je pouvais te dire un âge que je croyais avoir. Malgré mes crises, je pensais être normale. T'avoir toi, ta mère était avant suffisant, mais je croyait qu'il me manquait de la famille. Maintenant qu'il y a toutes ces personnes, je vois que j'étais bien avant. Je constate que la folie est bien ce qui me perturbe et je...
De petites gouttes d'eau remplissait les joue rose de Pénélope ce soir là. Peter ne l'avait jamais vu ainsi. Sa meilleure amie, aussi dure et solide qu'une pierre avait le cœur qui coulait. Le sien ce sentis pareil quand il l'admirait sous cette maigre clarté. Il décide donc de la prendre contre lui et de l'allonger dans ses bras. Recouvert, depuis quelques minutes, de ses couvertures, il la serrait contre son torse qui soutenait son visage en larme. Sans pensé à lui-même, il ferme sa veilleuse. Bercer dans l'obscurité, il lui donne un baiser sur son lisse front, et fut que quelques secondes avant d'être enfuis dans un sommeil profond.
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Le déjeuner se fit sous un silence affreux. Pénélope comprenait qu'elle était la raison de ce mutisme inébranlable. Premièrement, Son comportement avec Charles avait dû le brusqué et le convaincre de ne pas déjeuner avec eux. Ensuite, Hank avait surpris celle-ci lui faire une démonstration exclusive, menant presque à la mort, d'une de ses grandes hontes. Et puis, depuis le dernier souper, Moira et Raven n'ont certainement pas pris son comportement ordinaire. Il n'y avait que Peter qui savait ce qui se passait. Et puis, elle ne voyait pas pourquoi elle devait faire confiance aux autres. Ils étaient encore des étranger pour elle, et surtout l'agent Mctaggert. Déranger par l'absence de Xavier, elle allait demandé jusqu'à ce que Moira lui enlève les mots de la bouche.
- Où est le professeur, Hank? demande celle-ci.
Hank finit sa boucher avant de la regarder.
-Il voulait prendre son déjeuner dans son bureau ce matin, répond y-il. Il y est passé la nuit.
Moira et Pénélope fronçait des sourcils. Toutes deux pensait que la faut était ailleurs, mais le contraire se fit entendre.
- Et bien, j'irai le voir plus tard, déclare la brune en replaçant une mèche de cheveux derrière son oreille.
Raven n'a que lancé une regarde vers Hank avant de reposer ses yeux vers son repas. Pénélope se lève de son siège et examine les autres à la table.
- J'ai fini, je vous souhaite une bonne journée, dit-elle.
Puis quand elle quitte la salle à manger, elle entendait au loin cette phrase par trois de ces personnes: Peter, Hank et aussi Raven. Moira ne l'a qu'observer des yeux et repris une bouché de son déjeuner raffiné.
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La blonde voulait voir le professeur ce matin à la table. Elle ne savait pas si c'était pour lui parler ou tout simplement pour s'excuser de comment elle avait agis avec lui. C'était trop vague dans son esprit pour se décider à ce qu'elle voulait transmettre à Charles. Pénélope ne voulait que voir son beau visage.
Et directement après qu'elle ai quitté les autres, elle s'était dirigé vers le bureau de Xavier. Les mains moites, elle cogne à la porte.
- Oui vous pouvez entré...répond la voix du télépathe derrière les planches de bois.
Celle-ci ne se fit pas attendre et est rentré rapidement dans le bureau. Charles Xavier, encore le nez fouillé dans ses papier, pris à peine quelques secondes pour la remarquer.
- Pénélope, dit-il calmement.
La blonde reste figé à entendre son nom. N'importe qui pouvait le dire, mais Charles avait une manière de le prononcer qui était spéciale à ses oreilles. Serait-ce à cause de son accent anglais? Ou parce qu'il le disait tout le temps d'une manière qui la rendait importante?
- Je suis venu vous posez une ou deux questions, avoue t-elle.
Il a poussé ses papiers sur le coin de son plateau de travail, et lui indique d'un geste un siège de cuire devant celui-ci. Elle s'assit dans le fauteuil qui lui avait attitré et jetait discrètement un œil sur les papiers qu'ils avaient déplacé.
- Vous chercher des informations sur Sharpes? demande t-elle sans réfléchir.
Le télépathe sursaute à sa question et cache immédiatement les papiers avec un soulier qui était au sol.
- Qu'elles sont tes questions Pénélope? demande t-il pour changer de sujet.
- Comment cela se fait que vous et Erik soyez aussi intime? demande t-elle.
- Nous sommes de vieux ami, répond y-il.
- Ça explique tout! s'exclame t-elle. A-t-il déjà été un professeur au paravant? Car avec ces allés retour ici pour me voir surtout, je...
Charles lui arrache les mots de la bouche.
- Attend! s'exclame t-il durement. Erik est rentré plusieurs fois ici? Pour te voir? Et tu n'as rien dit?
Penelope avait trop parlé. Elle aurait pu regretter ses mots, mais elle était lassé des mensonges et des excuses idiotes.
-Oui, il est venu me voir pour me dire des choses sur ma vie, répond t-elle sur le même ton. Au moins il m'a dit ce qu'il a trouvé sur mon compte plutôt que de le caché à mon insu!
Le brun savait qu'elle visait directement ses recherches, mais il ne pouvait que s'en prendre à lui- mêmes.
- Je ne veux pas que tu en fasse partis! hurle y-il à présent.
La blonde sursaute à ses paroles. Elle n'aurait pas pense qu'un jour elle aurait à entendre sa douce voix se transformé en un ouragan.
- Et bien, tu aurais dû me le dire avant de me le faire connaître, Erik, et tout les autres, répond t-elle tout bas.
- Erik ne te dit pas tout sur tes pouvoirs et la vrai réalité de ta vie, marmonne y-il presque à celle-ci.
La mutante à la couleur platine se décolle lentement de son dossier afin de s'approcher un peu plus du professeur dans son fauteuil.
- Et bien je veux des réponses! Dites-moi! Dit-moi Charles ce que tu sais sur moi ou même Sharpes! Je suis tanné d'être dans l'ombre de vos conversations sur mon cas! Que cela viennes de toi, de Erik voir tout le monde! s'écrie Pénélope à frappant sur le rebord du meuble. Je m'en fou! Je veux seulement me connaître pour une fois dans ma vie. Je ne connais qu'une naissance, car le reste m'a été enlevé!
Xavier était à bout de réplique, donc il a rattrapé les mains de la blonde au vol et les à maintenu contre son bureau. Il l'a regardé dans les pupilles de ses yeux gris. Il a penché sa tête vers la sienne et déposer ses lèvres sur celle de la blonde. Un baiser a calmé l'agitation de cette dernière, et fait évacuer une tentation affreuse des deux partenaires. Ils se voulaient depuis le premier soirs, et la danse de leurs langues, de leur bouche l'une contre l'autre n'emmenait qu'à serrer l'un dans l'autre plus forts. Malgré la présence du meuble entre les deux, rien ne pouvait les arrêter. Jusqu'à ce que Penelope s'est légèrement distancé du visage de Charles pour lui demander :
- Pour lui demander, pourquoi as-tu fait cela?
Et il lui répond :
- Pour la même raison que je ne t'ai rien dit. Parce que je tiens énormément, mais énormément à toi Pénélope.
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Voilà mon chapitre que je vous ai publiez tard...
Mais faut que je vous avoue que mon retard est dû à mon travail. Depuis déjà deux mois, je travail dans une entreprise de cosmétique canadienne!
___ F A C E S C O S M E T I C S
Et j'aime beaucoup mon travail car j'aime le maquillage, puis aussi je fais des perçages d'oreille. Ce qui est franchement cool. Sérieux, au début j'étais stresser, mais maintenant je me sens super puissantes ( BADASS) après chaque perçage héhé :p
Bref, j'aimerais avoir votre avis sur la relation . . .
PÉNÉLOPE - ERIK ?
PÉNÉLOPE - PETER ?
PÉNÉLOPE - CHARLES ?
- Laquelle vous trouvez que Pénélope va le mieux? Ou est-ce une bromance?
VOILÀ MES POULETS !
- X O X
L E X Y
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