14.

CETTE NUIT, il y eut un piano. Un piano désaccordé, qui jouait très mal et qui résonnait dans mon coeur comme une horrible cacophonie. Mes oreilles saignaient, je m'écorchais les genoux à force de chuter

Et puis Constance est arrivée, et la cacophonie m'est apparue comme si douce. Le chaos était son domaine, elle savait le dompter, elle savait le rendre beau.

Puis elle m'a tendu sa main, mais le piano continuait de jouer, d'une douce mélancolie.

Et dans la salle de danse où il n'y avait que nous, elle tenait sa main dans le creux dans mes reins et serrait l'autre dans la sienne, pour me mener dans une valse tendre.

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