Point de vue Akaashi :

Flashback à midi : 

Nous somme allongé dans l'herbe, quand d'un coup Bokuto approche son visage du mien. Il s'arrête à quelques millimètres, puis il plante son sublime regard Brun clair dans le miens. Je le regarde mais ne dit rien et ne bouge pas. D'un coup Bokuto gonfle ses joues et il dit d'une petite voix.

" Tu m'aimes ? "

Je le regarde plutôt surpris par sa question, mais pour rassurer mon petit ami, je lui prend le visage et l'embrasse puis je lui chuchote.

" Bien sûr que oui quel question. "

Mais Bokuto fait non de la tête, alors je le regard sens comprendre où il veut en venir. Bokuto s'assoit, et d'un regard triste il répète la question.

" Tu m'aimes ? Pour toujours ? "

Je le regarde, puis le tourne vers moi, je prend son menton entre mes doigts et je pose mon front contre le sien avant de lui dire une nouvelle fois.

" Bien-sûr que je t'aime ! Pour toujours et à jamais. "

Je lui tends mon petit doigts, il sourit et le prend avec son petit doigts et je lui dis.

" Je te promet de toujours t'aimer. "

Il sourit et m'embrasse, il vient dans mes bras et nous restons comme ça quelques minutes. Après tout ça nous avons décider de rentré chez moi pour qu'on regarde la suite de notre série. Je m'assois sur mon canapé et j'ouvre mes bras pour que Bokuto vienne si loger mais il ne vient pas, je lui lance un regard inquiet mais il me fait son sublime sourire pour me montré que tu allais bien mais quelques chose me disait qu'il y avait autre chose, mais je chasse assez rapidement cette triste idée. Durant tout la série je sens le regard de Bokuto sur moi, alors je mets sur pause, et je m'approche de lui. Il sourit, puis je le prend dans mes bras avant de lui murmuré.

" Je t'aime mon petit hiboux. "

Retour au présent :

Je suis assis dans une chambre avec des murs blancs et sens aucuns bruit, je pleures sens pouvoir me stopper. J'essaye de parlé mais aucun mot ne sort de mon œsophage, mon regard et perdu dans le vide, et j'ai l'impression que le temps s'écoule au ralenti.

Flashback à 2H du matin :

Il était 2H du matin quand je reçois un message de Bokuto plutôt inquiétant.

Mon hiboux d'amour : Je suis sincèrement désolé ! J'espère que tu tiendra la promesse qu'on sait fait se midi. Moi je sais que je t'aimerais pour toujours, et j'espère avoir pu te rendre un minimum heureux durant ces deux ans d'amour.

Je relis plusieurs fois le message et j'essaye d'appeler plus de cent fois Bokuto mais je tombe à chaque fois sur sa boite vocal, la peur agrippe mon corps. Après être tombé une énième fois sur sa boit vocal, je prend mes clés et sors de chez moi pour aller chez lui. Tout le long du chemin je lui envoie des messages je l'appel mais toujours rien. Je commence alors à me mettre à courir, je ne m'arrête même pas pour reprendre mon souffle quand je commence à manqué d'air, j'arrive à bout de souffle et je m'effondre quand je vois les ambulances devant chez mon petit ami. Je pousse tout le monde, quand j'arrive enfin devant j'échappe un cri de douleur et je tombe à genoux. Au même moment une ambulancière vient vers moi. Elle me prend dans ses bras et elle me demande si je le connais.

" Oui, c'est mon petit ami depuis 2 ans, qu'est ce qu'il lui arrive ? Est ce que je peux... Je peux venir avec lui dans l'ambulance ? Il n'a plus de famille, je suis sa dernière famille. "

Elle me fait monté avec elle, durant tout le trajet je tiens la main de mon copain. Quand vous arrivez ils me demandent de resté ici et d'attendre des nouvelles des médecins...  

Retour au présent :

Je ne veux pas y croire, ce n'est pas possible. Je vais me réveil et il sera là avec moi entrain de me faire un câlin et de me dire à quel point il m'aime. Pourquoi il ne me l'as pas  dis ? Pourquoi m'a-t-il caché le fait qu'il avait besoin d'une greffe du coeur ? Pourquoi il n'a pas était franc avec moi ? Je l'aurais toujours soutenu et j'aurais tout fais pour l'aider quitte à lui donner mon propre coeur. Comment le monde va faire sens t'avoir dans nos vies ? Comment je vais faire sens toi près de moi ? J'aurais voulus te dire en revoir mais tu ne me l'as pas permis, pourquoi m'avoir fais ça ? 

Flashback quelques minutes en arrière : 

Un homme en blouse blanche s'approche de moi, il me prend dans ses bras et il s'excuse puis il me dit. 

" Je suis sincèrement navrait mais je n'ai rien pu faire la maladie de votre petit ami était beaucoup trop avancé. Il avait besoin d'un greffe, mais aucun donneur n'a était trouvé attend. " 

Je le regarde choqué le médecin, je ne comprend pas un seul mot de ce qu'il me raconte comment ça il avait besoin d'une greffe. Je me lève d'un bond et tape violement dans la chaise, je me tourne vers le médecin et je lui hurles dessus. 

" Vous mentez ! Je ne vous crois pas, il me l'aurait dit. Je... Je ne veux pas y croire. Enfin, je l'aurais su, je l'aurais vu si il n'allait pas bien. Enfin c'était mon petit ami, je passé beaucoup de temps avec. Il devait bien avoir des rendez-vous à l'hôpital. Alors comment j'aurais fais pour ne pas le voir. Enfin, je... Je prenais soin de lui, je... Je veiller bien sur lui. Pourquoi... Pourquoi je ne l'ai pas remarquer... " 

Je m'écroule par terre, et je verse plusieurs milliers de larmes. Mon coeur se brise, ma respiration s'accélère. Je commence a voir flou, le médecin m'emmener dans la chambre où le corps sens vie de mon amant repose. Je rentres dans la pièce et je ferme la porte pour être seul avec lui, je lui prend la main et je l'embrasse. 

Retour au présent :   

Je pleure sur la main de Bokuto, je lui caresse les cheveux et embrasse son front, puis je commence à lui parlé.

" Mon hiboux préférer ne me laisse pas, j'ai besoin de toi. Tu es toute ma vie, tu es mon petit rayons de soleil, enfin tu étais mon petit rayons de soleil. Je t'ai fais une promesse se midi et je te promet de la respecter. Je t'aimerais toute ma vie, j'ai passé deux ans de ma vie avec toi plus que merveilleux. Tu... Tu me manques plus que tout. J'ai besoin de toi, comment je vais faire sens toi ? Pourquoi tu ne m'as pas dit que tu étais gravement malade ? Pourquoi tu as voulus traversé cette épreuves seul ? Tu sais que j'aurais toujours était la pour toi, je t'aurais toujours protéger, et j'aurais tout fais pour pouvoir t'aider, je t'aurais même donner mon coeur si c'est ce qu'il aurait fallut. Bordel, je m'en veux tellement j'aurais du voir que tu n'allais pas bien mais tu n'as rien montré. Même quand on jouer au volley pour le plaisir, tu ne montré rien ou du moins rien de bien visible ou alors j'ai fais l'aveugle... Pourquoi tu es partis ? Pourquoi tu m'as abandonné ? Pourquoi tu n'es plus l'as ? Pourquoi ? J'ai trop de question en tête, et je ne sais pas quoi faire pour oublier cette affreuse douleur dans ma poitrine. Je veux que tu reviennes et que tu me serres dans tes bras et que tu me dises que tout vas bien se passé et qu'on va vivre heureux encore de long années. Merci de m'avoir laisser t'aimer deux ans, merci de m'avoir rendu heureux et merci de m'avoir fais découvrir ce qui était l'amour. " 

Fin du point de vue d'Akaashi 

Point de vue Bokuto : 

Flashback quelques mois en arrière : 

Je suis assis seul dans un grand bureau et j'attend patiemment que le médecin revienne avec les résultat de mes examens et j'espère une bonne nouvelle. Je m lève de ma chaise et je fais les cent pas dans le bureau. Puis quelques minutes après celui-ci revient. Il me demande de bien vouloir m'assoir, puis il pose mon dossier sur son bureau et il me regarde droit dans les yeux. 

" Cher Bokuto, je suis désolé de vous annoncez ça mais vous avez besoin au plus vite d'une greffe du coeur. Voulez-vous qu'on contact quelqu'un ? De la famille ? Une petite amie ? Ou un petit ami ? " 

Je reste là entrain de regarder mes mains qui tremble. Je pleures, mais est ce que je devrais prévenir quelqu'un ? Akaashi ? Non, il sera anéantie et il est hors de question que je sois la cause de sa tristesse, je refuse que se soit à cause de moi qu'il pleure, et je refuse d'être l'homme qu'il le fera pleuré. Je pleures, je suis perdu et j'ai bien trop peur mais il est hors de question que je le préviennes. Je garderais ma maladie secrette jusque dans ma tombe. Pardonne-moi Akaashi ! Je t'aime plus que tout.