~ Feitan Pohtoh x Shy!Reader ~
Oηє-Sнσт ∂ємαη∂є́ ραя 2erapido2 , נ'єѕρє̀яє qυ'ιℓ тє ρℓαιяα, αιηѕι qυ'αυχ αυтяєѕ ℓєcтєυяѕ ! Jє νσυѕ ѕσυнαιтє υηє вσηηє ℓєcтυяє, вιѕσυѕ ѕυя νσѕ ƒєѕѕєѕ !
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Nouvelle
(T/P) regarda l'école de bas en haut, admirant l'imposant bâtiment se dressant devant elle. Elle sourit légèrement en s'avançant vers la grille d'entrée, elle ne voulait pas être en retard dès le premier jour. Elle était un peu stressée de découvrir un nouvel établissement, de nouveaux professeurs et de nouveaux élèves. Son imagination débordante faisait apparaître souvent des scénarios de malheur impossible qui lui fichait une peur bleue. En pénétrant en son entre, plusieurs élèves la bousculèrent sans même s'excuser en continuant leur route. Elle ragea intérieurement, mais était bien trop timide et hésitante pour dire quoi que ce soit. La (C/C) se dirigea vers le bureau du directeur qui devait lui donner son emploi du temps pour l'année. La jeune femme porta trois coups timides sur la porte qui s'ouvrit d'elle même sur un grand homme aux cheveux noirs corbeaux. Il portait deux boucles d'oreilles en forme d'orbe et possédait un tatouage en forme de croix sur le front.
- (T/N) (T/P) ?
Elle fut tirée de ses réflexions suite à ce rappel à l'ordre tandis qu'elle apporta une réponse des plus incompréhensibles en mâchant ses mots.
- Que...oui j-je moi !
Elle se mit une claque mentale de son incompétence face aux gens en soupirant pour essayer d'être un peu plus à l'aise.
- Excusez-moi. Oui, je suis bien (T/P) (T/N).
- Bien, j'ai plusieurs documents à te transmettre.
Il tourna le dos pour prendre un dossier se trouvant sur son bureau pour ensuite revenir près de la (C/C) et de le lui tendre.
- Tout ce dont tu as besoin est ici, si tu as la moindre question, viens m'en parler ou demande à un professeur.
Elle sourit gentiment en le remerciant. Ensuite, la nouvelle pu partir en direction de la salle des professeurs. Lorsqu'elle entra, la plupart ne fit même pas attention qu'elle fut arrivée. L'une, professeur d'art, avait été attirée comme un aimant vers la broche diamantée de la jeune femme, tandis qu'un autre, professeur de science, avait simplement été attiré par son incroyable beauté.
- Hisoka, arrête de draguer tout ce qu'il te tombe sous la main ! Dès qu'un nouveau morceau de chaire arrive, tu es obligé de jouer de tes tours pour qu'elle finisse dans ton lit !
- Tu n'es bien là que pour son bijou, alors tu n'as pas vraiment mieux Bisket.
- Taisez-vous.
Une professeur aux cheveux roses qui recousait un vêtement se plaignait du bruit, elle qui voulait travailler en paix. Un autre professeur aux longs cheveux noirs et aux yeux vides d'émotions intervint à son tour.
- Vous êtes toujours obligé de faire plein de raffut pour rien. Vous allez faire fuir la nouvelle comme la précédente.
(T/P) rougit en sentant peu à peu des regards se poser sur elle, mais fut soulagée lorsque la plupart d'entre eux retournèrent à leurs occupations.
- Bonjour nouvelle arrivante ! Viens, ton bureau est juste en face du mien ! Je suis professeur de français, moi aussi, je m'appelle Sharnalk. Je pense que tu as été affectée aux classes 3-A , 1-B et 1-C ?
- O-oui, peut-être, je n'ai pas encore regardé...
Elle ouvrit le dossier mais fit malencontreusement tomber toutes les feuilles par terre. La feuille ayant virevolter le plus loin avait atterri aux pieds d'un homme de petite taille et aux cheveux plus noirs encore que l'ébène. L'aspect étrange de celui-ci étant qu'il restait neutre, son visage ne reflétait aucun sentiment. La (C/C) le trouvait assez intimidant.
Elle se reconcentra sur le ramassage de feuilles en continuant de penser à cet homme, tentant d'imaginer pourquoi il paraissait si vide.
- Oh, t'as la 1-H !
(T/P) fut assez surprise d'entendre ça et releva donc la tête vers le blond. Autour d'eux, elle entendait les encouragements des autres professeurs, même ceux de nature pas très bavards.
- Qu'est-ce qu'elle a cette classe ? Et depuis quand les classes sont nommées jusqu'à la lettre H ?
- H c'est un surnom qu'on leur a donné, en réalité c'est la 1-D...H pour horrible.
- Hilarante.
- Habile.
- Horrifique.
- Humoristique.
- Hystérique.
- Disons que c'est la pire classe pour un professeur et la meilleure pour un élève perturbateur.
La jeune nouvelle vit presque défilé sa vie devant ses yeux en entendant tout ça. Elle allait devoir faire cours à une bande d'indisciplinés jusqu'à la fin de l'année ? Elle d'origine timide, ce n'était vraiment pas le prof de la situation. Une institutrice comme elle dans une classe telle que décrite n'avait jamais été respectée dans l'histoire scolaire. Elle allait en baver, c'était certain. Elle déglutit et continua de ramasser. Enfin, elle arrivait à la dernière feuille grâce à l'aide de Sharnalk.
- En réalité, les plus perturbateurs sont Gon et Killua. Séparés, Gon est un ange mais dès que Killua est là on ne le reconnait plus ! Il n'y a que Feitan qui a déjà réussi à les calmer parce qu'il a le dont de mettre la chocotte à tous les élèves qui ont le malheur de croiser son chemin !
Il rigola un peu en se relevant.
- Et qui est-il ?
Il pointa l'homme derrière la (C/C) du doigt alors qu'elle allait se relever pour le voir. Sa maladresse n'ayant pas encore fini ses ravages, elle se cogna la tête contre le bureau du noiraud. Elle s'écarta et tituba légèrement après s'être relevée mais se stabilisa. Elle regarda par dessus son épaule le dit " Feitan " en l'observant davantage que la première fois, sans oublier de lui présenter ses excuses.
- Excusez-moi...
Il retourna à ses occupations sans répondre.
- Tu pourrais lui répondre Feifei !
Il se retourna vivement vers le blond avec des yeux de tueur.
- Arrête avec ce surnom débile.
- T'es vraiment pas drôle ! Rabat-joie, va.
(T/P) retourna vers son bureau pour ranger ses feuilles. Elle avait un peu peur après ce que les autres professeurs avaient dit sur cette fameuse classe H. C'était au deuxième étage, salle 208. En voyant l'heure, elle décida qu'il était temps pour elle d'y aller. Il restait cinq minutes avant le début des cours, et elle préférait partir un peu plus tôt pour être certaine de trouver cette fameuse salle 208. Oui, elle commençait avec la classe 1-D. Elle réussit malgré tout à arriver quelques minutes après la sonnerie, et les retrouvèrent tous assis, tétanisés. Elle regarda partout, mais ne vit aucune raison apparente à leur peur. Elle se dirigea vers le tableau en souriant et y inscrivit son nom.
- Bonjour à tous, je suis mademoiselle (T/N), votre nouvelle professeur de français. Vous pouvez également m'appeler par mon prénom, madame (T/P). Évidemment, je ne m'appelle pas madame, c'était simplement pour préciser que le fait d'insérer un mot montrant que je suis votre institutrice est important.
Elle s'arrêta un moment de parler, et les vit à nouveau les yeux brouillés de peur.
- Pouvez-vous, s'il vous plaît, mettre un papier avec votre prénom de façon bien lisible sur le coin de votre banc ? Je suis désolée, j'essaierai de les apprendre rapidement pour ne pas vous embêter avec ça à chaque cours.
Elle ne disait pas ça spécialement parce que c'était apparemment une classe perturbatrice, mais simplement car cela ne plaisait à aucuns élèves de faire ça et elle le savait. Pourtant, aucune plainte ne se fit entendre, elle voyait simplement la peur dans leur regard. Elle était réellement inquiète pour eux. Où était la fameuse classe hystérique dont la réputation leur précédait ?
- Excusez-moi, mais pourquoi êtes-vous autant effrayés ? Je m'inquiète un peu, il s'est passé quelque chose ?
- C'est...c'est le professeur Pohtoh...
Répondit une jeune fille nommée Kanaria. Un jeune garçon prit la parole à son tour.
- Il nous a menacé...il a dit que...
- Si on était trop perturbateur ou énervant avec vous, il allait nous priver de repas à la cantine le jeudi alors que c'est le seul jour où il y a quelque chose de comestible à manger!
Hurla le fameux Killua. Elle se demandait qui pouvait bien d'être ce professeur Pohtoh, même si elle avait déjà émis une hypothèse sur l'identité de la personne. Cependant, elle comptais demander à Sharnalk si c'était bien l'instituteur auquel elle pensait pour avoir une vérification.
- C'est un vrai tortionnaire ce prof, ajouta Gon.
- Ce n'est pas grave, voyons ! Et puis, si je ne lui dis rien, comment pourrait-il le savoir ?
Elle leur sourit avant de reprendre.
- De toute façon, j'avais prévu une activité pour notre première heure de cours, et je pourrai ainsi en profiter pour commencer à retenir vos prénoms.
- Ouais, une activité coloriage ?
Les élèves se mirent à rire suite à cette remarque déplacée à l'encontre de leur nouvelle professeur de français. Elle se vexa et lui répondit alors.
- Nous ne sommes pas dans une classe de troisième maternelle, même si je comprends que ça puisse être difficile à croire parce que d'après ce que j'ai pu entendre sur votre classe, on s'y croirait franchement ! J'avais même prévu une récompense pour le gagnant car je sais que peu d'étudiants aiment les cours de français mais si tu ne veux pas tenter, libre à toi de ne pas participer du moment que tu te tais. Et puis, moi je ne dois pas aller manger à la cantine...
La (C/C) devait avouer qu'elle avait profité du coup de pression que le professeur Pohtoh leur avait mis un peu plus tôt pout dire ça. Elle est très susceptible mais elle ne s'était jamais permise de répondre à un élève d'une telle façon, et elle se rendait bien compte qu'elle n'aurait pas dû. (T/P) décida alors de lui présenter ses excuses.
- Désolée. Je me rends compte que ce n'était pas très gentil de te parler de cette manière et je t'en demande pardon. Non, ce n'est pas une activité de coloriage, déjà parce que nous sommes en français et non en cours d'art. Ensuite, si vous êtes majoritairement contre l'activité que je propose, je trouverai autre chose. Cela vous convient-il ?
La classe était très étonnée du respect et de la gentillesse immense dont faisait preuve leur institutrice. Il vous dire qu'ils étaient en habitude assez distraits par leur bêtises et qu'ils ne prenaient donc pas le temps de trouver se quelconque qualité aux professeurs qui les engueulait tout le temps pour ceci ou pour cela. Ils hochèrent tous positivement la tête, laissant (T/P) continuer.
- Je propose un jeu d'orthographe. Je vous dicterai des mots faciles, moyens ou difficiles, vous allez devoir les écrire et celui qui a le plus de point à la fin des vingt mots aura un choco-robot ! J'ai pu regardé que ces bonbons étaient assez populaires auprès des élèves.
Des plaintes se firent entendre de part et d'autre de la classe. La (C/C) s'y attendait forcément mais elle ne pensait pas qu'elles seraient sur ce sujet.
- Non madame, pas de choco-robot !
- Killua va tous nous défoncer avec son envie irrésistible d'en avoir !
- C'est pas juste, on a déjà perdu d'avance !
- À moi le choco-robot !
La nouvelle paniqua alors et essaya de trouver tant bien que mal une solution.
- Il me semble avoir la première d'heure de cours de l'après-midi avec vous ! Si vous voulez, je donnerai un choco-robot à chaque élève car je ne les ai pas tous avec moi donc il faut encore que j'aille les chercher.
- Merci madame !
- Vous êtes trop gentille !
- Génial !
Elle était heureuse de pouvoir faire plaisir à ses nouveaux élèves et prévu déjà d'aller les chercher lors de son heure de fourche juste après celle qu'elle avait avec les 1-D. Enfin, ils purent commencer l'activité. Arrivés à la fin de l'heure, (T/P) resta en leur compagnie pour ne pas les laisser seuls jusqu'à ce que la porte s'ouvre et que tous se mirent debout avec la même peur que tout à l'heure pour accueillir le professeur Feitan qui venait d'arriver ce qui ne fit que confirmer l'hypothèse de la (C/C) sur l'identité du bourreau des jeunes.
- 馬鹿座る. (Asseyez-vous idiots.)
Ils s'exécutèrent en regardant avec un regard suppliant leur institutrice de les sortir de là. Elle constata que sa petite taille et son air neutre ne l'empêchait pas d'être très intimidant. Mais avant d'avoir eu le temps de faire quoi que ce soit, elle se fit mettre à la porte par le noiraud. Elle resta béate quelques instants devant celle-ci en priant pour que ses élèves en ressortent vivants avant de sortir du bâtiment pour aller chercher les fameux choco-robots qu'elle leur avait promis. Mais pas seulement ! Elle devait également en prendre pour tous les élèves des classes qu'elle avait plus tard dans la journée et le lendemain, en somme, toute les classes qu'elle aurait jusqu'à la fin de l'année. Elle souffla. Celle-ci était bonne à manger des fruits à chaque repas jusque la fin du mois.
L'heure suivante, vers la fin de la récré, (T/P) revint dans l'enceinte de l'école avec plusieurs sacs remplis de choco-robots dans les mains. C'était tellement pesant qu'elle pensait voir ses bras se détacher de son corps d'un moment à un autre. Bien sûr, maintenant son portefeuille pesait énormément moins lourd. Elle jura silencieusement contre le caissier l'ayant retenu au moment de payer son dû car il ne la croyait pas sur la quantité de la marchandise. Une main venant de se poser dans le haut de son dos la fit sursauter en la ramenant sur terre. Il s'agissait de l'instituteur de japonais l'ayant viré de sa classe une heure plus tôt.
- Alors comme ça, on se permet de sortir durant ses heures de fourche ?
- On ne peut pas ? Je n'en savais rien ! Je pensais qu'on avait le droit. La prochaine fois au lieu de penser, je devrais demander. Je vais me faire renvoyer.
Les pires scénarios possibles prenaient déjà place dans l'esprit de la jeune femme. Elle entendit la voix de son collègue lui dire le contraire hautainement.
- Non, on peut. Mais, dis-moi, tu ne devrais pas te dépêcher de te rendre dans ta prochaine classe pour éviter d'arriver trop en retard ?
Cela la vexa, mais sa timidité la poussa à rester sous silence. Elle tourna alors les talons pour s'éloigner et rejoindre la classe des 3-A. Cependant, avant qu'elle n'eut passer le seuil du bâtiment, la voix de Feitan ayant une super-vitesse évidente pour avoir traversé la cours aussi rapidement la retint.
- Ils n'ont pas été trop perturbateurs ?
Sa phrase pouvait paraître une sorte d'inquiétude mais le ton qu'il avait employé était arrogant, tout comme le fin sourire sur ses lèvres. Elle avait l'impression d'entendre ses moqueries dans sa tête.
- Non, ils ont été très calme et studieux, de vrais anges !
Elle lui fit un énorme sourire et entra pour de bon dans le bâtiment, laissant seul le "tortionnaire", comme l'appelait les étudiants, pour se diriger vers la salle 112 où se trouvait la classe des 3-A.
Quand la pause de midi fut arrivée, les professeurs retournèrent dans leur salle et Sharnalk se chargea d'aller près de (T/P) afin qu'elle ne mange pas seule. Elle se croyait retournée en primaire, quand elle était toujours approchée par le garçon hyper sociable de sa classe que tout le monde adorait parce qu'elle avait trop peur d'aller elle-même vers les gens. D'une certaine manière, elle trouvait ça drôle comme elle n'avait pas changer et en même temps assez triste que sa peur soit restée malgré les années passées.
- Dis, tu sais quel est le nom de famille de Feitan, par hasard ?
Il rigola ce qui surprit sa camarade.
- Pourquoi ? Tu veux savoir quel nom tu porteras après le mariage ?
Son visage ne mis pas longtemps à virer au rouge vif ce qui ne fit qu'accentuer le rire de son voisin de bureau. Elle était morte de honte et ne souhaiter qu'une chose : s'enterrer bien profondément pour ne pas subir les rires du professeur de français et les regards de tous les autres.
- Mais non ! Mes élèves m'ont parlé d'un professeur avec son nom de famille, et je crois que c'est lui mais je n'en suis pas certaine ! Seigneur que cette situation est gênante...
Le pauvre blond n'arrivait plus à se calmer. Il était plié en deux, les bras entourant son ventre tout en se plaignant d'avoir mal à cause d'elle. Les larmes étaient presque sur le point de couler tellement il se marrait.
- Respire, je ne sais pas moi !
Malheureusement, respirer le faisait rire davantage, sans qu'il ne puisse y mettre fin. La (C/C) entendit non loin d'eux une chaise grincer et tourna la tête vers le bruit. Feitan venait justement de se lever et se dirigeait dangereusement vers lui. Il releva le blond en le tirant par les cheveux, dégagea ses bras et balança son poing dans son ventre.
- Un midi calme est toujours impossible.
Sharnalk se remit droit en soufflant un bon coup. Il s'était enfin arrêté de rigoler.
- Merci Feifei !
- Arrête avec ce surnom avant que je ne t'en remette une.
- On ne peut vraiment pas s'amuser avec toi monsieur Pohtoh.
Alors (T/P) avait bel et bien raison. Le professeur Pohtoh était Feitan. Son avis à son sujet était assez mitigé. Devait-elle le remercier d'avoir foutu la trouille aux élèves pour ne pas qu'ils ne soient trop ennuyants avec elle ou juste lui en vouloir de leur avoir fait peur ?
- Voilà qui répond à ta question ! Hé, Feitan ? Tu penses quoi du nom (T/P) Pohtoh ?
Il se retourna en souriant malicieusement tandis que la dite (T/P) se cachait le visage de ses mains. On pouvait voir le bout de ses oreilles devenir rouges tellement elle était gênée. Elle murmura alors au blond une demande.
- Tu pourrais arrêter avec ça, s'il te plait ?
Alors que Sharnalk allait lui répondre positivement, le noiraud s'occupa de la question de celui-ci.
- Très joli !
Le blond se retourna vivement vers lui.
- Je trouve aussi. T'en pense quoi, toi, (T/P) ?
Elle avait envie de s'énerver, lui dire tout ce qu'elle pensait mais ça restait bloqué au fond de sa gorge.
- Je ne sais pas.
Elle se leva en se dirigeant vers la classe H qu'elle devait retrouver pour la première heure de l'après-midi. C'était sa dernière heure de cours du lundi, donc après cela, elle pouvait rentrer chez elle. Il restait dix minutes aux élèves pour arriver. La classe vide et calme, sans aucun bruit fort, seulement les bavardages de la cours de récréation sans vraiment un énorme volume. Elle pouvait se retrouver seule et faire le point sur toutes les émotions de cette journée. Les profs avaient leur caractère bien à eux, c'était certain ! La plupart semblait sympa, d'autres montraient une face antipathique mais la (C/C) était persuadée qu'ils avaient du bon. Concernant ses classes, elles avaient été accueillantes et chaleureuses avec la nouvelle institutrice, ça lui avait fait plaisir. Elle qui s'angoissait à imaginer que des chats de huit mètres mangeurs de chèvres arrivent et écrasent toutes les personnes de l'établissement. Elle souffla de contentement. Il faudrait qu'elle arrête de s'inquiéter sans cesse pour un rien. Pour finir, Feitan Pohtoh. Ce professeur était très perturbant. Elle ne savait pas de quelle manière le juger. Bien ? Mal ? Elle n'arrivait pas à le cerner. Il n'était pas désagréable à regarder, mais il y avait aussi cet air supérieur dans sa voix. Pourtant, peu importe les circonstances, il gardait majoritairement son expression neutre. Il n'avait l'air de parler à personne à l'exception de Sharnalk, l'autre instituteur de français ayant pris (T/P) "sous son aile". C'était assez rare qu'elle ne puisse rien dire de concret sur une personne, elle qui, d'habitude, arrive assez bien voir le caractère des gens. La sonnerie annonçant la reprise sonna et sortit la prof de ses songes. La porte s'ouvrit, mais ce ne fut pas un élève qui en passa le seuil, mais Feitan. Elle était assez surprise de le voir là. Il s'installa dans le fond de la classe à une place qu'il savait inoccupée. Il déposa ses pieds sur le banc et un livre devant ses yeux.
- J'suis en heure de fourche, Sharnalk aussi. J'ai absolument pas envie de le supporte, du coup je viens faire un p'tit somme ici.
Elle allait répliquer quand les élèves entrèrent en masse. Ils remarquèrent leur professeur de japonais et prirent peur.
- Asseyez-vous directement, ne vous en faites pas pour monsieur Pohtoh, il n'est sûrement pas là pour vous surveiller, encore moins pour vous punir. Il a juste la frousse de passer une heure entière en compagnie de monsieur Ryûsei (Sharnalk). Du coup, il vient nous tenir compagnie. J'espère que ça ne vous dérange pas, parce que sinon je peux toujours le mettre à la porte.
Il fallait avouer qu'elle n'était pas prête d'avaler le fait que lui, il lui avait fait plus tôt dans la journée. Mais bon, elle n'était pas méchante à ce point là, elle allait évidemment donner aux jeunes des arguments en sa faveur.
- Après cela ne change pas le programme de cette heure de cours. Vous seriez réellement prêts à laisser votre professeur aux griffes du fauve qui ne souhaite que l'embêter ?
- Il nous a menacé !
- Vous ne vous rendez pas compte à quel point la nourriture du jeudi est précieuse pour nous !
- C'est le Saint Graal de la semaine !
- L'once de lumière dans l'obscurité !
- L'espoir quand tout semble perdu à jamais !
- L'amour dans un monde de haine !
- Le...
- J'ai compris ! Calmez-vous un peu...Vous croyiez vraiment qu'il allait le faire ?
- Il en serait capable !
- Je n'en doute pas, mais pour priver toute une classe de diner, c'est compliqué. Quand on y réfléchit, il aurait perdu son temps pour quelque chose comme ça ? Non, voyons. J'y ai repensé mais je suis certaine qu'il voulait simplement vous mettre la pression car il a vu que je n'aurais pas su gérer une classe comme décrite. Vous comprenez ? Ce n'était pas très gentil, mais au final, on s'est bien amusés ensemble, non ? S'il ne l'avait pas fait, comment auriez-vous réagi face à moi ?
Ces mots firent réfléchir les élèves de la 1-H jusqu'à ce que le sujet principal de la conversation prenne la parole.
- Je l'aurais fait, ils ont totalement raison.
(T/P) fit un face plam face à cette dénonciation.
- Je viens actuellement de trouver sur l'instant des arguments pour te défendre malgré ton ton hautain et tes paroles vexantes dans certaines situations pour que tu...pour que tu sortes ça comme ça !?
Elle ferma la porte à clé et se rasseya.
- Plus personne ne sort d'ici.
Feitan sourit derrière le livre. C'était exactement ce qu'il voulait et ce qu'il avait prévu. C'était d'une facilité sans nom pour lui de manipuler les gens à sa guise. Malgré tout, quelque chose le chiffonnait. Elle donnait ses arguments avec tellement d'en train et de sincérité que cela en devenait déconcertant. Ça, il ne l'avait pas prévu.
꒱࿐♡ ˚.*ೃ
Les mois sont passés et les vacances de Noël n'allaient pas tarder à arriver. Plus les jours et les semaines passaient, plus (T/P) et Feitan étaient curieux l'un de l'autre. Les deux voyaient l'autre comme différent des autres. Sans savoir pourquoi, il s'était en quelque sorte "rapprochés". En exemple, c'était presque devenu une habitude pour (T/P) et les élèves 1-D de voir le professeur de japonais en train de dormir dans le fond de la classe. Il y a même une fois où Feitan n'était pas venu, et tout le monde s'était demandé ce qu'il s'était passé. Au final, il avait juste passé la première heure de l'après-midi dehors. Quand Feitan faisait ses photocopies pour les étudiants le jeudi, il commençait à attendre de lui même de (T/P) arrive en catastrophe parce qu'elle avait oublié les siennes à côté de l'imprimante. C'était de petites choses, et c'est comme si une petite routine s'était installée entre eux. Aujourd'hui était un vendredi comme les autres, le dernier vendredi avant les vacances. La (C/C) était assise avec Sharnalk à la salle des profs, toujours à discuter de choses sans réel sens.
- Sinon, tu fais quoi pour les fêtes, toi ? Tu m'avais dit que tu avais fait ton sapin la semaine passée, tu invites ta famille ?
- Non, mon frère passe les vacances avec sa femme à l'autre bout du globe et mes parents voulaient absolument que je passe mes fêtes avec "mon futur mari". Du coup, ils m'ont déjà prévenu qu'ils ne viendraient pas. Je me retrouve donc toute seule. J'ai plus qu'à regarder des films d'amour clichés sur Noël pendant toute la soirée avec chocolat chaud, guimauve et pain d'épice.
- C'est vraiment pas de chance ! J'espère que tu rencontreras l'homme de ta vie d'ici-là pour ne pas devoir supporter ça.
- Ouais...Et toi, tu fais quoi pour Noël ?
- Je ne fête pas Noël donc j'ai l'habitude d'aller au resto et puis aller au cinéma.
- C'est mieux que mon programme.
Ils rigolèrent avant de se tourner vers d'autres sujets de discussion. Le soir même, quand (T/P) rentra chez elle, elle décida d'aller faire les courses pour son fameux Noël complètement seule. Alors qu'elle prenait ses biscuits à grignoter durant le réveillon, elle vit un homme assez petit entrer dans l'allée. Un homme assez petit qu'elle connaissait assez bien.
- Salut !
Il tourna la tête vers elle et s'avança.
- Salut. T'achètes des trucs pour ton diner en famille, je suppose.
- Non, c'est pour Noël toute seule. Et toi, tu fais un diner en famille ?
- Ça va être difficile sans famille.
- Oh je...désolée...
- T'inquiètes pas. Du coup, comme toi, c'est pour mon Noël tout seul.
Une idée traversa l'esprit de la jeune fille. Cela semblait être une bonne idée mais elle doutait. Elle n'osait pas avec la timidité. S'il le prenait autrement ? S'il refusait ? S'il lui avouait que c'est en fait un habitant d'une autre planète inconnue à la race humaine, que c'est pour ça qu'il n'a aucune famille car elle est restée sur sa planète natale et qu'il a été envoyé en reconnaissance pour qu'ils puissent un jour exterminer la race humaine ?
- (T/P).
Elle sortit de ses pensées horrifiques grâce à son collègue.
- Oui ?
- T'as ta tête de quand tu veux dire un truc mais que t'oses pas et où tu te fais des films bizarres.
Elle rigola nerveusement. Feitan devait être le seul à dire tout ce qu'il pensait à voix haute avec autant de détachement. Et surtout le seul à presque lire dans son esprit comme dans un livre ouvert.
- C'est juste que je me disais que...
Elle hésita un instant et allait repartir dans ses scénarios sans queue ni tête quand Feitan l'en empêcha.
- Termine.
- Vu qu'on est seuls tous les deux, ça te dit qu'on fasse les fêtes ensemble ?
Elle l'avait dit. Elle attendait sa réponse impatiemment avec peur qu'il ne refuse ou la prenne pour une folle. Après tout, ill ne sont que collègues, il est possible qu'il la déteste, qu'il préfère encore être seul plutôt qu'avec elle ou bien qu'il soit...
- D'accord.
(T/P) fit surprise mais ravie de l'entendre.
- Ah oui ?
- Préviens-moi si je me trompe mais ce n'est pas vraiment mon genre de blaguer ?
- C'est vrai, désolée, c'était bête, c'est juste que je suis surprise...
- Pourquoi ? Parce que je suis un insociable qu'on déteste à cause de mon caractère de merde ?
Elle se senti offusquée qu'il puisse penser de telles choses. Surtout venant d'elle, alors qu'elle a toujours essayer de le protéger même s'il ne demandait absolument rien. Quand on racontait des trucs odieux dans son dos, c'était la première à s'interposer malgré sa grande timidité. Elle ne supportait pas qu'on dise cela sur lui alors que personne ne le connaissait réellement.
- Bien sûr que non, idiot !
C'était les premiers mots qui lui étaient venus dans la tête. Elle avait parlé sans réfléchir mais il le fallait à cet instant, car sans ça, elle ne le dirait jamais.
- Dis tout de suite que je t'invite par pitié tant que t'y es ! Tu parles que je dis des choses stupides, mais là tu me dépasses largement pour le coup ! Je suis surprise parce que je croyais que nous n'étions que de simples collègues à tes yeux pour ça ou quelque chose du genre !
Les yeux du noiraud s'écarquillèrent de stupeur. Il n'en croyait pas ses oreilles, même sous l'impulsivité, il n'aurait jamais cru (T/P) capable de dire ça. Et pourtant, elle venait bien de le faire ouvertement en public juste pour lui dire qu'il avait tord. Ou bien était-ce pour lui faire voir qu'elle ne le détestait pas, loin de là ? Il lui offrit un léger sourire.
- Et bien, l'escargot sort de sa coquille ?
Même s'il gardait toujours ce ton arrogant avec elle, il y avait quelque chose en plus cette fois-ci. De la gratitude. La (C/C) ne savait pas bien pourquoi mais elle sourit à son tour, mais avec plus de gêne.
- Alors, toujours partant ?
- Chez toi ou chez moi ?
- Chez moi à vingt heure ?
- Ça marche. Ton adresse ?
Elle sortit un bout de papier dans sa poche qu'elle devait jeter à la poubelle car elle l'avait arraché sans faire exprès de sa feuille et un stylo bille de son sac. Elle y inscrivit son adresse et la donna à Feitan.
- À dans une semaine alors.
Il partit sans rien ajouter. Le cœur de la pauvre institutrice battait la chamade. Soudain, son expression changea et elle regarda partout autour d'elle. Si ses parents venaient à apprendre ce qu'il venait de se passer, ce serait comme signé directement l'accord pour se marier. Et Feitan se ferait kidnappé ! Il auraient un enfant futur criminel car il n'y aurait pas eu d'amour réciproque ! Il serait sociopathe dès son plus jeune âge et tuerait ses parents sans le moindre remord !
Le magasin doit bientôt fermer ses portes. Faites rapidement vos derniers achats et dirigez-vous vers la sortie.
Pour finir, (T/P) n'avait absolument rien acheté et était partie juste après l'annonce. En se couchant dans son lit une fois en pyjama, elle repensa à leur conversation dans le magasin et à la réaction qu'avait eu son cœur. Elle se demandait.
- Est-ce que c'est possible que je sois tombée amoureuse de lui ? Est-ce la véritable raison qui m'a poussé à l'inviter ? Est-ce pour cela que je lui ai crié dessus quand il a dit que tout le monde le détestait ? Est-ce pour ça que je suis sans cesse occupée à prendre sa défense auprès des autres ?
Elle n'arrêtait de se poser une tonne de questions auxquelles elle ne pouvait y apporter aucune réponse. Ça l'ennuyait. Maintenant qu'elle avait deviné être amoureuse de lui son comportement allait-il changer ? Elle passa la majorité de sa nuit à se poser des question telles que celles-ci. L'insomnie l'avait rongée car elle n'avait cessé de se tourmenter et que le sommeil ne voulait pas venir.
꒱࿐♡ ˚.*ೃ
La sonnette retentit. (T/P) s'était habillée de sa plus belle robe pour l'occasion, même si elle savait que ce n'était rien de plus qu'un diner entre amis - collègues (?) - et qu'elle était certainement la seule des deux à s'être mise sur son 31 mais avait envie de se sentir belle pour lui. Elle se leva et lui ouvrit la porte en se décalant pour le laisser entrer. Il avait un belle chemise blanche déboutonnée vers le haut de son buste ainsi qu'un simple pantalon noir. C'étaient des habits assez simple mais sur Feitan mais elle avait l'impression que ça lui allait mieux qu'à n'importe qui d'autre. Il avait déposé sa veste au porte-manteau et s'était directement installé. La (C/C) rougit légèrement mais tenta au mieux de le cacher et s'installa en face de lui.
- Cette robe te va bien.
(T/P) fut agréablement surprise de voir qu'il n'avait pas utilisé son ton hautain mais qu'il y mettait de la sincérité. Elle le remercia grandement en le complimentant en retour.
- (T/P) ?
- Oui ? Il y a un problème ? Tu es allergique à quelque chose ? Tu veux que j'appelle l'hôpital d'urgence ? Tu ne te sens pas bien ? Tu as de la fièvre ? Qu'est-ce qu'il se passe?
- Ne sois pas si inquiète, ce n'est rien. Je ne pense juste pas pouvoir rester très longtemps.
Le cœur de la pauvre femme se brisa silencieusement en entendant cet aveux.
- A-ah bon ? Comment ça se fait ? Ai-je fait un truc de travers ?
Il secoua la tête et plongea son regard sombre dans ses yeux (C/Y), qui lui procura un frisson.
- Je pense juste que si tu continues à me regarder comme tu le fais, je ne vais pas pouvoir me retenir de te sauter dessus.
Elle rougit alors en s'imaginant avec lui, corps contre corps, nus comme des vers en se donnant l'un à l'autre. Malheureusement pour elle, l'idée d'acheter des capotes avait été refusée par sa raison et ses doutes, et il était hors de question que cela se fasse sans.
- Mais je ne veux pas que tu partes...
Il sourit en prenant une bouchée de son pain. Il avait envie de rigoler pleinement. Elle ne se rendait pas compte qu'elle était en train de jouer avec ses sentiments.
- Moi non plus, je dis ça pour toi. Je ne te toucherai pas sans ton consentement. Mais tu es beaucoup trop belle, trop attentionnée.
- Ne t'inquiètes pas comme ça, voyons. C'est vraiment trop adorable ce que tu dis, mais tu ne te rends actuellement pas compte que tes paroles ne font que jouer avec mes sentiments.
Il se leva soudainement, ce qui fit sursauter la (C/C).
- C'est toi qui ne te rends pas compte que tu joues avec mes sentiments ! Je voulais t'inviter à passer les fêtes avec moi, mais tu m'as pris de court ! C'est pour ça que j'étais au magasin, je suis passé devant et quand j'ai vu ta voiture, je me suis dit que c'était une belle occasion de te le demander ! Mais...Mais ensuite, tu me l'as demandé et...et moi j'ai accepté mais je n'ai pas eu le cran de te le dire et me voilà en face de toi, à diner joyeusement comme si on était à une fête entre amis. Mais je ne veux pas être un ami, je t'aime ! Je...
(T/P) fut assez surprise de la soudaine déclaration de l'homme dont elle est amoureuse et ne sut pas quoi répondre sur l'instant. Feitan soupira. Après tout, il s'y attendais ; elle ne l'aimait pas. Il se dirigea vers la porte mais fut retenu par une main qui lui tenait fermement le poignet.
- Reste...reste avec moi...
Il se tourna vers elle, et en voyant ses douces lèvres n'appelant que lui, il les colla aux siennes. La jeune femme appréciait beaucoup ce moment. Rien qu'eux deux. Feitan et elle, rien de plus, rien de moins...
Le lendemain, elle s'était réveillée dans son lit, les souvenirs remontant peu à peu dans sa mémoire. Le noiraud avait passé la nuit avec elle, à la combler de bonheur en lui faisant un bien qu'aucun homme auparavant de lui avait fait. Mais à côté d'elle, la place était vide et les draps froissés. En pensant qu'il était éventuellement parti, son cœur se serra et elle décida de se lever pour rejoindre la cuisine. Il n'y avait plus personne dans son appartement et pas même un mot pour la rassurer. (T/P) ne voulait pas croire qu'il avait simplement profiter d'elle et puis qu'il soit parti avec tout ce qu'il lui avait avoué la veille. N'était-ce que du flan ? Elle soupira, n'ayant pas la force de verser les larmes qui n'attendaient qu'à s'échapper et prit un bol pour le remplir de céréales. Ça la désolait de penser que Feitan s'était juste en aller après ce qu'ils avaient partager la nuit dernière. Une goutte de chagrin tenta de passer la barrière de ses paupières mais elle la retint bien vite. Cinq minute plus tard, elle entendit la porte de sa chambre s'ouvrir et elle le vit dans ses beaux habits, un essuie sur les cheveux.
- Bien dormi ? Pardon, je me suis permis d'utiliser ta douche, ça ne te dérange pas ?
Elle fit un énorme sourire et le plus petit ressentait toute la joie et l'amour qu'elle lui offrait à travers celui-ci.
- Non, ça ne me dérange pas du tout.
Suite à cela, ils s'étaient vus de nombreuses fois durant la fin des vacances. D'un accord commun, ils avaient décidé de se mettre en couple sans rien dire à leurs amis -alors que Sharnalk était le seul visé. Tous deux étaient heureux de pouvoir être avec la personne qu'ils aimaient et voir celle-ci les aimer en retour.
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Voici pour le Feitan x Reader, en espérant qu'il vous ait plu !
J'aimerais en profiter pour remercier plusieurs personnes comme Ptitemmerdeuse1608 , Hazuki-chan02 et SisterOfHisoka qui ont été mes lectrices bêtas en me donnant généreusement leur avis (encore merci énormément à vous 💞)
Veuillez pardonner les fautes d'orthographe ;w;
Comme tu peux le voir, il n'y a pas de lemon car, étant assez occupée, je me suis dit qu'il était temps que tu aies ton OS, lemon ou pas lemon. Ce que j'ai à proposer, c'est éventuellement faire une deuxième partie où j'y insérerai le lemon ^^
Après je peux comprendre que tu trouves ça ennuyant, déjà la longueur du OS TvT
Alors ? Qu'en pensez-vous les readers, part 2 ou non ? ;3
Bref, on se revoit une prochaine fois, bye !
Love you p'tites larves~♡
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