Bonjours mesdames et messieurs ! Je suis officiellement tombée amoureuse de Kuroko no Basket ! Putain c'est beaucoup trop bien... Alors, je ne peux me résoudre à ne pas en faire au moins 154 sur ce thème là. Bon, vue que je n'impose pas ce que j'aime à tout le monde, je ne ferais pas que ça et j'essaierais d'alterné entre différent contenu. Mais, il y aura quand même du Kuroko no basket !

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Tu étais au lycée Rakuzan connu comme étant le Bad Boy. Le nombre de fois où tu séchais les cours et où tu te battais. Tu connaissais le bureau du directeur par coeur ainsi que celui du Grand Akashi Seijirou. Le nombre de fois où tu y est allé... Que de bon souvenir. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, beaucoup de personne t'adore dans le lycée. En réalité tu ne te battais que avec des connards de service qui harcelaient les lycéenne. Les filles t'en étaient reconnaissante tendit que les garçon te trouvait vraiment courageux. Qui ferait ce genre de chose à part toi ? Surement personne. Ce que tu ne savais pas, c'était qu'à force de faire des allés retours dans le bureau d'Akashi, tu avais finis par attirer son attention. Quelle était donc ta motivation pour vouloir sauver les filles ? Certes, être un gentleman, bien que cela soit assez rare. Mais, tu semblais si furieux quand un garçon forçait une fille. Quelle en était la cause ? La tête contre ton bureau, tu soupiras, désespéré. Ton ami rigola tout en rangeant ses cahiers dans son sac.

«Aller, (T/p), c'est pas la mort ! Dit-il toujours en rigolant, te faisant grogner.

- Mais j'en ai marre ! Ce p'tit bâtard arrête pas de me faire chier ! T'énervas-tu en te levant, prenant ton sac sans délicatesse pour le mettre sur ton épaule.

- Bien que veux-tu, tu fais de l'effet ! Assura t-il en se tenant les côtes tellement il rigolait de la situation.

- Ouais c'est ça mare toi... Pestas-tu en passant derrière lui. Quand tu te feras embrassé sans ton consentement par ton ex, tu m'appelleras que je me foutrais de ta gueule !»

Inconsciemment, tu venais de dévoiler quelque chose à Akashi. Il était venu te parler, mais, quand il avait entendu ton ami se plier de rire, il s'était collé au mur pour écouter la discussion. Il voulait en savoir plus sur toi, tu l'intéressais et à présent il voulait savoir plus de chose sur toi. Tu étais donc pas totalement hétérosexuel, mais totalement gay. Tu étais donc bisexuelle. Tu avais un ex. Tu étais sortis de la classe, lâchant des petites injures à un certain Rémy, probablement ton ex vue la manière dont tu employais les mots. Ta séance d'insulte fut interrompu par le son d'une vois autoritaire qui t'appelait. Cette vois, elle appartenait à l'unique Akashi Seijirou.

«Roh, mais qu'est-ce que j'ai fait au bon dieu aujourd'hui ?! Te lamentas-tu en te retournant. Je jure que si il se passe quoi que se soit, c'est pas ma faute ! Prévins-tu.

- Je ne suis pas là pour ça. 

- Ah. Autant pour moi. J'ai oublié de rendre un dossier ? Mes notes ont trop baissé ? Demandas-tu cherchant une raison, plausible, pour que le président du conseil des élèves vienne te parler.

- Non. Je te raccompagne chez toi, et n'essaie pas de refuser. C'est un ordre.

- Ah bah d'accord. Et en quel honneur ? 

- Je n'ai pas à te répondre.»

Voilà comment le grand Akashi Seijirou vient te raccompagner chez toi, bizarrement pas un mot ne fut prononcé durant le trajet. Tu n'étais pas mal-à-l'aise mais pas bien, en même temps tu étais au côté d'un psychopathe avec des ciseaux qui pourrait te tuer à tout moment. Comment être paisible dans ces moment là ? Quand tu passas devant le super-marché, tu attiras l'attention d'Akashi.

«Désolé Akashi, mais c'est ici qu'on se quitte. Annonças-tu en te tournant vers lui.

- Ah bon, pourtant tu vis à deux pâtés de maison d'ici. Dit-il en te regardant droit dans les yeux.

- TU SAIS OÙ J'HABITE ?! Outré. Tu étais outré, et effrayer de savoir qu'il savait où tu vivais.

- Bien évidemment, je suis absolu. Affirma t-il. 

- D'accord... Tu ne me fais pas du tout flipper là... Mais si tu veux tout savoir je dois juste faire quelque course. Expliquas-tu, légèrement méfiant.

- Je t'accompagne. Dit-il.

- Non mais ça va ! Tu veux pas me regarder acheter des serviettes hygiénique ! T'énervas-tu alors que les yeux de l'empereur s'élargisse un peu. Merci»

Tu lui fis un bref signe de main avant de t'engouffrer dans le magasin. Décidément tu étais spécial. Non, il n'avait pas été surpris du fait que tu achètes des serviettes hygiénique mais que tu oses contredire un ordre. Un sourire vint se placer sur son visage alors qu'il fit demi-tour pour à son tour rentré chez lui. 

Le lendemain, Akashi t'espionna toute la journée. Il apprit plusieurs choses, notamment que tu vivais seul avec ta mère. Et que tu haïssais (N/g). Le soir alors que tu passais la grille de l'école Rakuzan, une personne sauta sur ton dos en mettant ses bras autour de ton cou. Bien évidemment sous le regard d'Akashi.

« Coucou ! 

- Kagura ! Non de dieu tu m'as fait peur ! Déclaras-tu en Mettan une de tes main sur ton coeur.

- Hihi, désolé. Tu vas bien ?? Demanda l'auteur de cet os.

- Oui... Mais la prochaine fois tu préviens. 

- Mh... Non ! 

- Bref, que veux-tu ?

- Je viens ici pour t'annoncer que ce soir, il y a un match de street basket entre nous et les Fleurs jaunes ! On se rejoint tu sais où ~ Dit-elle en descendent de ton dos alors que ses cheveux blanc/rosé flottaient autour d'elle.

- Ok. A 'soir. »

Elle repartit comme si de rien était en trottinant joyeusement. Elle disparut dans le coin d'une ruelle fleurit. Tu rigolas, mais tu te tus rapidement en voyant Akashi se rapprocher.

« Un problème ? Demandas-tu.

- Aucun, je te raccompagne juste chez toi.

- Ah. »

~ ~ ~

Le soir arriva rapidement quand tu saluas ta mère pour te rendre à l'endroit prévu. Il s'agissait en faite d'une cabane en plein milieu de la forêt avec un terrain de basket emménagé. Elle était en hauteur (la cabane) et une échelle permettait d'y accéder. Des fleurs de toutes les couleurs étaient disposé partout, rendant l'endroit encore plus joli et mignon. Tu montas l'échelle et poussa la petite porte en bois. Cette cabane avais été construite par Kagura, comment ? Personne ne le savait. Quand tu entras dans la première pièce, toute ton équipe de basket étais déjà là. Même la manageuse totalement folle était là.

« Hello (T/s) ~  

- Salut. 'Des du r'tard, tu peux commencer les explications de la stratégie ! Dis-tu en t'installant entre deux de tes coéquipiers. Sébastien et George.»

La folle commença à expliquer les différentes stratégies et observations. Après vingt bonne minutes, ils se changent et quittent la cabane pour se rendre sur le terrain de basket où se déroulera le match. Et bien évidemment, Akashi y assistera. Il savait où allait se dérouler le match en faisant quelque recherche sur internet. Il fut surpris de tes capacités au basket, il se demandait pourquoi tu n'avais pas intégré le club de basket. 

Depuis ce jour, il ne te quittait plus. Chaque repas, chaque pause, chaque COULOIRS il était là. Tu ne rentrais plus seul et chaque fois il te posait la question. Pourquoi tiens-tu tant à protéger les filles ? Tu n'y répondais jamais. Aussi drôle, tu commençais à tomber amoureux de cette empereur insupportable. Mais tu ne l'avoueras jamais. Un jour, vous vous étiez durement disputés, et c'était de ta faute. Tu t'en voulais, et avais un peu honte. La raison de votre dispute était ce qui l'avait poussé à se rapprocher de toi. Il était partit tu ne sais où, et ta fierté t'empêchais sérieusement de t'excusé. Mais, fort heureusement ton amie Kagura avait eut une idée pour que vous vous pardonniez. Vous vous connaissiez depuis assez longtemps pour que tu lui dise, ce qu'il avait toujours voulut savoir. Il était installé sur un banc, livre à la mains l'air dur. Un stress immense était en toi, mais tu t'étais assis à coté de lui. Tu avais soufflé un coup avant de te lancer.

« Je suis quand même surpris que tu n'ai pas trouvé plus tôt. Dis-tu en regardant le ciel, le regard d'Akashi se dirigea vers toi.

- De quoi parles-tu ? Lança t-il froidement.

- Tu le dis toi même ; tu es absolu. Comment n'es-tu pas au courant. Expliquas-tu en ayant un petit rictus qui irrita le rouge. Enfin bref, je vais te le dire vue que tu y tiens tant. Annonças-tu en mettant tes mains dans tes poches.

- Tu t'es enfin décidé à me le dire ? Demanda le rouge surpris.

- Notre amitié compte plus que mon secret, avouas-tu un ravalant un peu t'a fierté.

- Heureux de l'entendre. Dit-il en fermant son livre qu'il posa à coté de lui.

- Je ne suis pas un enfant voulu. Avouas-tu en baissant la tête, laissant apparaitre une triste mine.

- Que veux-tu dires ? Bizarrement, malgré toute la confiance que tu lui dévouais tu n'arrivais pas à le dire. Un silence marqua la fin de sa phrase, le rendant perplexe par ton manque de confiance soudain.

- Ma mère s'est faite violé. Dis-tu rapidement avant de te découragé et laisser une larme coulée sur ta joue. Il ne s'y attendait vraiment pas. Elle ne m'a jamais vraiment raconté les détails, que je ne demanderais jamais, mais, je sais que je n'aurai jamais dû existé. Quand j'étais petit, ma mère avait beaucoup de mal avec le contact. A chaque fois que je la touchais elle sursautait et reculait. Quand elle me l'a dit, j'étais tellement choqué. Je ne l'ai plus jamais touché par peur de faire revenir son traumatisme datant de seulement quelques années. Normalement, elle aurait du s'en remettre plus tôt. Mais quand on vit avec l'enfant de votre violeur, sa prend plus de temps. Quand j'ai totalement arrêté le contacte, et les paroles, elle s'est rendue compte que je n'était pas comme lui. Un jour alors que je rentrais de l'école, car ma mère n'était pas arrivé à cause du travail, un homme et venue vers moi. Il s'était approché de moi en me disant qu'il était un ami à ma mère. Je ne l'ai pas cru. Ma mère n'avait aucun ami masculin. Il m'a attraper de force et m'a tiré tellement fort vers une ruelle que j'ai commencé à pleurer en me débattant. J'étais un gosse, je ne pouvais strictement rien faire. Ma mère et arrivée, je ne sais pas comment elle m'a retrouvée mais elle m'a sauvée. L'homme s'est fait arrêté et ma mère pleurait. Et elle m'a prise dans ses bras, pour la première fois c'était elle qui avait fait le premier pas. Elle m'a dit qu'elle s'était rendue compte que je n'était pas comme lui et elle s'est excusé.»

A présent tu pleurais. Akashi te regardais avec des grands yeux, comprenant d'un coup pourquoi. Tu te sentais mal à l'aise de pleurer devant l'homme que tu aimais mais tu n'y pouvais rien. Sans que tu ne comprennes, Akashi t'avait prit dans ses bras.

«A-Akashi..? Commenças tu fébrilement.

- Seijiro. Appelle moi Seijiro.»

Après ça il t'avait embrassé. Pour ton plus grand plaisir.

~ E-N-D ~ 

Avant tout, je tiens à dire que le je ne soutiens pas le viol ! C'est un acte horrible qui peut traumatisé un personne à vie ! Le viol est illégal, si vous en avez été victime, appelé la police. Dans ce chapitre, il est prix à la légère mais c'est un acte grave et puni par la loi.

La petite aparté fini, je peux vous parler. Quelque chose d'important, moi, pour savoir si je mets "er" ou "é" j'utilise la technique qui consiste à remplacer le verbe par un verbe du troisième groupe, notamment prendre. Je vous laisse imaginer que, avec mon esprit mal-placé, dans quelque phrase je tape des bars. Je vous laisse relire le chapitre en remplaçant les verbe par "prendre". XD

Bye~ my star