Tarr

Dans un petit village du Nilo. 

Zaïa n'avait pas fermé l'œil de la nuit puisque le lendemain ou plutôt aujourd'hui était un grand jour car elle venait d'avoir onze ans. Il n'y avait plus eu de cérémonie du Nectar de puis à peux près trois ans se qui plaisait bien à mon oncle qui ne supportait pas les capes vertes et qui était plus du côté des Conquérants. Il trouvait que le Nectar était une source d'injustice et de guerre contrairement à la Biles qui était pour lui le futur créateur de lien entre les animaux et les hommes. Et de plus pour lui, les animaux étaient des esclaves qui ne servaient qu'à obéir à l'humanité et se privilège est réservé au garçon. Sa tante, Verra lavait dans le minuscule ruisseau qui coulaient dans le campement, Tao, se grand dadais à la peau noire et aux cheveux d'ébène était le cousin de Zaïa. Il ne savait pas bien chasser contrairement à elle qui était extrêmement douée en la matière. Après cette levée de son hamac et puis elle était sortie de la case par derrière pour aller chasser en attendant que se soit l'heure de sa cérémonie du Nectar. Verra ne dirait rien à son mari car elle aime bien Zaïa, c'est sa fille rêver qu'elle n'a jamais eu et c'est elle qui s'occupe d'elle tout les jours. Zaïa court dans la savane brûlant sous les premiers du soleil de cette journée exceptionnelle et déjà une antilope en vue à peu près à six kilomètres. Elle bande son arc et elle se prépare à tirer mais Tao avait eu la même idée et pour la même raison que sa cousine, offrit un beau cadeau pour leur cérémonie du Nectar. Les deux cousins observent l'antilope filet apeurer dans la savane et quelques minutes plus tard, Tao fonce au trousse de la bête effrayée se qui fit rire Zaïa. Elle savait depuis toujours que quand la proie nous a repéré, il faut se dire que cet animal est perdu pour cette fois et il faut attendre un autre en silence. Au loin, elle l'entendait crier sur l'antilope et elle tourne la tête pour entrapercevoir une antilope. Cette fois encore, elle bande son arc et tire, la flèche se plante avec prestance dans le cœur de l'animal. Zaïa va chercher son trophée et la met sur son dos puis commence à retourner au village mais Tao l'interpelle : "Zaïa que fais-tu dehors Père te cherche partout et cette antilope m'appartiens.

- Ton nom n'est pas écrit dessus ! Dit-elle, en sortant son couteau."

Zaïa grava son nom sur l'antilope sans se faire remarquer. Puis, avec un air hautain, elle ajouta : "de toute façon, mon nom se trouve écrit sur l'antilope. Elle est à moi.

- C'est moi qui l'est tué Zaïa.

- toi qui a peur des fauves et du sang, non, toi tu n'en ai pas capable trop bruit et trop grand.

- je vais le dire à Père.

- je préfère régler tous suite se différent en semble sans mettre Père, elle éclate de rire, mon oncle dans cette...notre affaire. Vois-tu si tu racontes ça à Père...à mon oncle, il te coupera en morceau qui donnera au Roi des lions. Et pour savoir à qui appartient cette antilope on va faire...

- une course l'un contre l'autre.

- d'accord où est le dépars et où mettre l'arriver.

- du baobab là bas jusqu'au lac des éléphants.

- d'accord et un, deux, trois, partais."

Tao couru mais Zaïa ne bougea pas d'un pouce et elle vu amuser son cousin s'arrêter dans un bosquet épuiser et haletant. Zaïa se mit en fin à bouger mais non à courir, elle marche d'un pas rapide quand elle passe devant Tao et le dépasse avec la fierté qui la suit toujours. Le jeune homme se lève et essaye de la dépasser en courant mais il tombe finalement aux pieds de Zaïa en lui demandant forfait. Elle aspecte en souriant et en l'aidant à se relever. Tao lève les yeux au ciel et dit avec un ton emprunt de tristesse : "Père va me disputer et en plus, on est en retard.

- ne t'inquiète pas et prends ma proie, je vais devoir offrir cette vilaine jarre que j'ai faite en poterie hier dernier.

- merci beaucoup Zaïa et pourrais-tu m'apprendre un jour à chasser comme toi.

- oui, peut-être."

Elle l'observe en soupirant: "tu vas te faire tuer par ton Père. 

- et toi ? 

- ne t'inquiète pas de mon cas. 

- d'accord. "

Les deux cousins rentrent en blaguant mais quand ils arrivent à la case devant la porte il y a l'oncle de Zaïa donc le père de Tao qui le hurle dessus : "en retard, aujourd'hui, et toi que faisais- tu là-bas Zaïa ? 

- j'étais allée chercher de l'eau au puits, mon oncle. 

- et pourquoi rentrez-vous comme les meilleures amies du monde ? 

- elle...elle...

- je lui ai rentrais dedans, mon oncle.

- elle...elle ment Père.

- Zaïa tu es allée chasser n'est-ce pas mais tu sais très bien que sait interdit par les lois du village.

- oui, mon oncle, votre fils ne fera jamais un bon époux.

- et pourquoi donc, Zaïa, mon fils ne sera pas un bon époux ?

-  car il ne sait pas chasser et pire que ça, il a oublié que quand la proie s'enfuit, elle est perdue mais il la poursuive se qui ma permit de l'attraper et j'ai signé mon cadeau. Tao devra offrir une de ses jarres en terre cuite, il a du talent sur se sujet.

- bien et vas voir, ta tante, Verra pour qu'elle te coiffe.

- j'y vais mon oncle."

Elle se faufile de l'autre côté de la case de son oncle pour rejoindre ça tante, Verra, qui l'accueillie en souriant une brosse à la main et Zaïa lui demande : "pourquoi mon oncle déteste autant les capes vertes?

- c'est à cause de tes parents, Zaïa.

- raconte-moi leur histoire, s'il te plait ?

- d'accord, tu sais que ton père étais mon frère et ta mère est ou était la sœur de ton oncle.

- pourquoi était ?

- car il l'a tué Réf mais personne ne sait se qu'est devenu Derny, ta mère.

- tu connaissais ma mère, elle est ou était comment ?

- elle est ou était comme toi, mais elle a ou avait plus de talent que toi à la chasse.

- qu'elles étaient leur animal totem ?

- ton père possédait une gnon, Frya et ta mère a ou avait un lion albinos, Sultan. Et te voilà fin prête.

- venez les femmes, cria le mari de Verra."

Tous quatre sortirent de la case, Tao portait une tunique brune et Zaïa était habillée d'une robe rouge où elle avait mit une peau de lion pour avoir l'aire plus sauvage. Il y avait trois capes vertes, Saphir et deux inconnus dont une femme rousse aux verts et un jeune homme le visage crisper avec les cheveux châtains et des yeux bleus pâles. Zaïa ne leur trouva pas à son genre même s'il n'était pas mal, la peau blanche parsemaient de coup de soleil et pouvait donc bien se trouver son animal totem. Saphir pris la parole :"mes chers amis, aujourd'hui trois enfants vont passer leur cérémonie du Nectar. Sun, fils de chasseur, Tao, fils de chasseur et Zaïa, fille de cape verte."

A ces mots, les animaux en cages se turent et elle reprit doucement : "je vais vous présente deux collègues dont un nouveau cape verte se nommant Derrick et ça tutrice, Diana. Vient Sun, boire le Nectar de Ninani."

Quant le jeune garçon bu le Nectar rien ne se passa.

Puis se fut celui de Tao et elle dit : " boit le Nectar de Ninani."

Rien ne se passa se qui mit en colère son Père.

Et enfin celui de Zaïa : " boit le Nectar de Ninani."

Le Nectar avait le goût de la rosé du matin et du vent se leva, soufflant étrangement et se dissipa comme il était venu mystérieusement. Il y avait maintenant en face de Zaïa un lion albinos aux puissant regard. Diana pris la parole : " tu es la deuxième des quatre gardiens de l'arbre éternel. Comment veux-tu appeler ton animal totem ?

- Zaïa et je le nome Tarr. Qui est le brun à côté de Diana ? 

- c'est le premier des gardiens de l'arbre éternel. 

- Derrick et mon animal totem s'appelle Sierra."


👏🏻 J'ai fait 1435 mots. Applaudissements 👏🏻


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