De son point de vue c'était juste une immense douleur et plus rien. Une souffrance insupportable, elle n'en avait jamais connue d'aussi forte. Toute cette douleur en elle, sur elle. Elle était écrasé et... tellement pire... sa seul chance dans cette horreur fut de perdre vite connaissance. Cela n'arrêta pas son agresseur qui continua encore plus fort et plus violemment pendant plus de trois heures.

Mais revenons un peu en arrière, avant le réveille de Phybie la veille, Zeya reçu un appel urgent de Rukkia. Lui aussi avait des soucis avec ses démons mineurs, étant son allier et ami, Zeya alla l'aider. Elle partit pensant que Phybie était en sécurité, grave erreur. C'était une bataille très difficile à gagné, ils n'étaient que deux démons supérieur tendit que les démons inférieurs avaient eux des alliés du démon qui avait tenté d'agresser Zeya et Phybie quelque mois au paravant. Mais un démon supérieur, même le plus faible, est bien plus puissant que tout les démons mineurs de l'enfer et la, ils étaient deux des plus puissants. Rukkia finit d'achever le dernier révolutionnaire.

« -Merci... je n'aime pas faire ça... ils m'étaient si fidèle même quand je n'avais plus mes pouvoirs.

-Toi aussi tu as des difficultés ? C'est rassurent, je me sens mieux.

-Zeya je suis sûr que quelque chose de puissants les contrôle ! Mes troupes n'ont jamais pensé à me trahir, j'en suis sûr !

-C'est vrai que trahir un télépathe comme toi c'est plus compliqué... enfin, pas besoin d'être toi pour savoir qui est derrière tout ça ! » dit-elle en soulevant par le col un cadavre d'un soldat ennemie.

« -D'après moi, il n'y a qu'un démon qui marque ses troupes au fer rouge !

-Tu lui a arraché un bras sans vrai raison donc c'est normal qu'il veuille ta peau... » dit-il sarcastiquement.

« -Il a essayer de me violer.

-Tu pense qu'il est assez intelligent pour comprendre que tu n'as fait que te défendre ? Pour lui tu n'as fait que résister et tu as eu le culot de le blesser !

-Je sais qu'il n'est qu'un gros porc.

-Il est vraiment stupide, je lui ai déjà parler avant qu'on est retrouvé nos pouvoirs. Je n'ai jamais discuter avec quelqu'un d'aussi abrutie. Même un ange... ton ange...

-Evite de traiter Phybie d'idiote s'il-te-plais.

-Non, je veux dire, il n'est pas la et Phybie est toute seule chez vous... » c'était un plan très intelligent vue le personnage mais Zeya sentit que c'était possible. Elle ne laissa pas terminer Rukkia.

« -Va voir chez lui si ce salopard y est, moi je vais voir si Phybie va bien ! » et elle disparue.

Rukkia alla dans le château immonde du démon, la demeure est à l'image de son propriétaire. Mais il en sortit tout de suite, ce château était vide et, surtout remplit de cadavres de démones et de ce qui devaient êtres leurs enfants, même pour un démon cette vision était écoeurante.

Zeya arriva juste devant l'immeuble, pas normal, un « sort » l'empêchait d'atterrir dans son appartement. Elle sentit une présence inquiétante et Phybie... elle se précipita... et arriva... trop tard... trois heures trop tard...

« -Phybie !

-Hilarant... je ne pensais pas que cette ange pouvait vraiment être quelque chose pour toi ! Tu as choisis ce poulet imbaisable à la place de moi, tu as vraiment un gout infecte !

-Toi... pourquoi elle ? C'était entre toi et moi ! Pourquoi tu l'as mêlé à cette histoire ? Pourquoi !

-Parce que je voulais voir ce que tu lui trouvais. Tu as quand même sacrifier tout ça pour... ce truc. »

Zeya était folle de rage, elle cherchait ce qu'elle allait faire à celui qui avait violer son ange mais... elle était trop inquiète pour Phybie pour commencer à faire souffrir cette sous-sous merde. Toute la colère qu'elle ressentait ce manifesta simplement et efficacement : elle fit éclater le crâne de la sale ordure d'une main.

« -Je sais que tant qu'il restera une particule de ton corps, tu reviendras mais je peux te garantir deux choses : la première, tu te réveilleras dans la cellule la plus miteuse de mon cachot ! Et la seconde que je te torturais, te tuerais et te détruire de la pire des façons ! Même ton esprit tordu ne pourrait imaginer ! » le corps sans tête disparue.