Chapitre treize

NDA ( les 3 prochains chapitres auront un dialogue "théatre" tout simplement car je n'ai pas le temps de les réécrire comme les autres, mais les autres chapitres seront de nouveaux normales car l'écriture avait évolué. J'espère que vous m'avez comprise aha. Je vous poste plusieurs chapitre d'un coups, et essayez de supporter ce type de dialogue s'il vous plait!)

Peter : Au moins je serais pas seul ce soir.

Moi : Ah tu parles de ce poisson à qui tu viens de parler?
Peter hoche la tête : Oui.
Moi : Alors un lutin et une sirène on peut pas faire pire.
Sans attendre qu'il ne dise quoi que ce soit, je poursuis : Un Lurène...Un Sirtin... Très moche.
Au même moment, Clochette débarque, un sourire jusqu'aux oreilles : Hey hey hey !
Moi : Tu sais pas la nouvelle, Peter c'est trouvé une sirène.
Clochette se retourne vers Peter : Et moi, je reste seule?
Peter sourit, puis Clochette se retourne vers moi : Enfin bref, j'ai une surprise pour toi ! Devine !
Moi : Euh...Je sais pas.
Clochette commence à réfléchir et dit lentement, hésitante : Euh...Non...
Moi : Une robe?
Clochette fixe le sol et fronce les sourcils, puis Peter me dit : Elle t'oblige à deviner parce qu'elle a oublier comment ça s'appelle.
Clochette écarquille les yeux, outrés : N'importe quoi ! Bon allez tu sais pas...C'est...
Elle se tut quelques secondes et lève son doigt au ciel, puis s'exclame : Un salon de beauté !
Moi : Pour moi?!
Clochette hoche la tête : On va te faire belle pour ce soir !
Peter souris : Parc'que là t'es trop moche.
Moi : Oh, c'est trop gentil, t'as penser à Peter aussi ?
Clochette : Euh...Non.
Je me lève et suit Clochette, et dit à Peter, derrière nous : Tant pis, tu resteras moche, ça te vas bien.
Clochette dit à Peter : On te laisse, on se retrouve au bal !
Toutes les deux, nous marchons, enfin, Clochette vole. Nous marchons et volons, jusqu'à arriver devant un grand salon de beauté. A l'intérieur, je pus voir différent coin, les coiffures, les ongles, le maquillage, et plein d'autre atelier.

Clochette m'emmène vers une espèce de chaise en forme de coquillage et me dit : Attend là.

Elle s'éloigne de moi et va vers un groupe de sirène, sur-maquillée je dirais, non pas qu'elles étaient laide, elles étaient vraiment jolie. D'ailleurs, depuis que je suis dans ce royaume, je n'ai encore jamais vu de sirène laide.

Au même moment, elles se dirigent toutes vers moi, l'une d'elles m'attrape le bras, m'indique de la suivre et m'allonge sur un espèce de long fauteuil rose.
Elles se penchèrent toutes vers moi, et les commentaires fusèrent à une allure ahurissante.

- Oui, c'est elle, la nouvelle !
- Personne sait de quel monde elle vient?
- Moi je ne sais pas, mais en tout cas, j'aime bien la couleur de ses cheveux.
- Oui, il faudrait les allonger, Carmen, va me chercher le produit d'Ameal.
- En tout cas, elle est belle pour une humaine.
- Oui, mais je l'a verrais mieux sirène.
- C'est sur.

Je me sentis alors, obliger de parler : Dans mon monde, bah nos maquillages sont fait avec du poisson.
Les sirènes se turent, tour à tour, puis une me dit : Dans le notre, on les fait à base d'humaine.
Elles explosent toutes ensembles d'un rire sadique, et je me relève, mais l'une d'entre elle m'allonge du nouveau.
Moi : Clochette ! On va me transformer en maquillage !
Clochette arrive et éclate de rire à son tour : Elles rigolent, les sirènes sont très gentilles.
Moi : Hm...
Clochette : Je suis juste à côté moi.

Une sirène se penche vers moi, et me dit souriante : Comment tu t'appelles?
Moi : Sarah.
Elle proteste : Ment pas, je sais que tu t'appelles Anastasya.
Moi : Alors pourquoi tu demandes?
Elle : Pour être gentille. Bref, à ton réveil tu seras magnifique, comptes sur moi.
Moi : A mon réveil?
Je n'eue pas le temps d'entendre sa réponse, qu'elle m'aspergea d'un gaz sentant l'océan, je m'endors aussitôt.

A mon réveil, je cligne légèrement des paupières. La sirène qui m'a endormis m'aide à m'asseoir sur le fauteuil, puis je me libère vivement de son étreinte : Tu m'as empoisonné ! Sorcière !
La sirène : Je t'ai endormis, on c'est occupé de toi !
Elle me fait un clin d'oeil puis Clochette s'approche de moi et me prend la main : Allez viens, on va te coiffer maintenant !
Clochette baisse la tête vers ma main et dit : Elles sont douces tes mains.
Je baisse ma tête à mon tour, et voit du vernis pailleté, je sers légèrement les poings pour caresser ma paume, effectivement, j'avais la peau magnifiquement douce.

Moi : Elles m'ont fait quoi?
Clochette ne me répond pas, je repose ma question, puis cette dernière me dépose à une sirène et me dit : On a pas le temps !
La sirène m'assoit dans un fauteuil, moelleux, un fauteuil en éponge de mer rouge !

La sirène se met alors à m'asperger les cheveux de je ne sais quoi, je me retourne vers elle et dit : C'est quoi?
Elle me montre une petite fiole violette : De la potion de sirène.
Moi : Je vais me transformé en sirène?
Elle sourit de toute ses dents : Non, tu verras.
Elle m'oblige à me retourner puis m'asperge les cheveux de nouveau, avec cette potion inconnue.

Quelques minutes après seulement, la sirène s'éloigne de moi et me dit : Et voilà.
Je me relève de la chaise, remercie la sirène et prend une mèche de mes cheveux. Cette dernière était brillante, et plus longue que d'habitude. Pas le temps de me regarder dans un miroir, que Clochette m'attrape et me dit : Au maquillage !

Elle me fait ensuite m'asseoir dans la chaise en coquillage du début, et deux sirènes vinrent vers moi, se mettant à me maquiller.

Après tout ça, j'en pouvais plus, elles étaient toutes sur moi, Clochette m'attrape et me dit : On a fini ! Dépêche toi, on va être en retard !
Clochette tend une bourse de pierre d'or à l'une des sirènes, ces dernières me regardaient, satisfaite, puis nous nous en allons, le pas vif.
Arrivé devant les tubes, je n'hésitais plus à pose mon pied à l'intérieur, me retrouve à l'instant même sur la plage, Clochette de même.
Je lève les yeux au ciel, et repère alors que le soleil n'est plus, mais que la lune l'a remplacer, le ciel est presque sombre.
Moi : Comment ça se fait? Le jour c'était à peine lever !
Clochette : Les journées sont très courtes ici.
Elle m'indique de la suivre, puis, toute deux, nous nous dirigeons vers la petite maison ou nous avions dormis la nuit. Je me rends alors comptes qu'énormément de sirein me fixèrent dans les yeux, de façon étrange. J'attrape Clochette et lui demande pourquoi.

Clochette : Un sirein trouve sa sirène lorsqu'ils se regardent dans les yeux. S'ils parviennent à voir de l'amour, ils s'unissent.

Tout le long du trajet, je fixais alors le sol. Arrivé dans la petite maison, Clochette m'empêche d'aller me voir dans le miroir et se met à agiter son index en ma direction, pour me vêtir de la robe, ce qui pris quelques minutes de plus que d'habitude.
Moi : C'est long.
Clochette : C'est la première fois que je fais cette robe.

Quelques minutes après, donc, je me retrouve vêtu, non pas de la robe noir que j'avais choisis, mais d'une somptueuse et longue robe argentée, pailletée, à bustier, une magnifique robe sirène qui m'allait à la perfection. Soulignant les courbes de mon corps, et faisant un dégradé de paillette vers le bas.

Je me rapproche d'un long miroir, et tourne sur moi même. Mes yeux verts étaient surlignée par un mascara léger, mais voyant, un simple rouge à lèvre beige sur mes lèvres. La robe m'allait à la perfection, Clochette avait vraiment fait du beau travail, je ne regrette absolument pas l'autre robe de ce matin. Mes cheveux était d'un magnifique blond brillant, tombant en cascade bouclé sur mes épaules, ils étaient plus long que d'habitude, mais vraiment plus long ! Elle servait donc à ça cette fameuse fiole !

Moi : Wow...

Au même moment, quelqu'un toque à la porte, Clochette ouvre et s'écrie : Magalie ! Comment ça va?
La dite Magalie sourit et serre Clochette dans ses bras : Bien et toi Clochette?!
Clochette se retourne vers moi : Anastasya, je te présente Magalie, une bonne amie, c'est une fée sirène.
Moi : Enchantée !
Magalie : C'est elle, la nouvelle ?
Clochette hoche la tête : Oui !
Magalie me sourie et dit à son tour : Enchantée.
Quelques minutes après, elle dit à Clochette : J'habite à quelques pattés de maison de là, je vous ai vu de loin, mais vous ne m'aviez pas entendu quand je vous ai appeler. J'aurais besoin de ton aide, comme tu sais, je confectionne des queue de sirène pour les fêtes, mais la sirène dont je m'occupe...Disons qu'il y'a eu un léger soucis, elle n'arrêtait pas de bouger, et j'ai essayer de lui jeter de la poudre de fée pour qu'elle se calme, mais à la place, sa queue c'est transformé en jambe, là voilà humaine...
Magalie agite sa main vers moi : J'aime bien les humains, ne t'inquiète pas !
Je lui souris, puis elle reprend : Tu pourrais m'aider à lui rendre sa queue de sirène?
Clochette hoche vivement la tête : Pas de soucis, Anastasya, attend moi ici, je reviens dans quelques minutes.

J'hoche la tête puis Clochette referme la porte derrière elle. Tandis que je m'inspecte dans le miroir, je surprends quelqu'un toqué à la vitre de la maison. Je m'approche et l'ouvre légèrement. Quelle fut ma surprise lorsque je vis le Chat Potté ! Oui, cette mignonne petite boule de poil rousse !
Il entre dans la maison, et je me retourne vers lui, il m'observe de la tête au pied.
Le Chat Potté : Mamma Mia !
Moi : Qu'est-ce que tu veux ?
Le Chat, de son léger accent mexicain : Je veux mon chapeau !
Moi : Je ne l'ai pas.
Le Chat : Qué?!
Moi : C'est Clochette qui l'a ranger.
Le Chat : Rend le moi ! Voleuse !
Au même moment, la porte s'ouvre en grand, Clochette est de retour. Je baisse les yeux vers l'endroit ou était censé être le Chat Potté, mais il n'est plus là ! Je m'approche de la fenêtre, et le voit, collé au mur, je chuchote : Viens, elle va te le rendre !
Il passe alors sa petite tête à travers la fenêtre, puis finis par rentrer.
Clochette n'en croit pas ses yeux : Le...Chat Potté !
J'hoche la tête et dit à Clochette : Il est mignon nan?
Clochette : Trop !
Le Chat : Arrêter de parler comme ça sur moi !
Je souris puis dit à Clochette : Rend lui son chapeau.
Clochette fait alors apparaître son chapeau et lui tends : Tiens.
Le chat le récupère, et le rabat sur ses oreilles.
Il se tourne alors, comme pour partir par la fenêtre, mais à la dernière secondes, trébuche sur sa queue et s'étale au sol : Miaaaow !
Je l'aide à se ramasser, puis il se relève, comme si de rien été : Gracias. A présent, le Chat Potté s'en va.
Il essaye alors de grimper à la fenêtre, mais en vain, à force de sauter pour essayer de grimper, il se fatigue. Clochette agite son index et le Chat arrive au dessus de la fenêtre.
Le Chat : Votre fenêtre glisse.
Moi : Oui, bien sur.
Le Chat : Adios.
En quelques secondes à peine, il disparut, je me retourne vers Clochette, cette dernière était toute excitée : J'ai vu le Chat Potté !
Je rie : Pourquoi t'es excitée?
Clochette : Parc'que personne ne l'a déjà vu !
Elle rajoute alors, en se mettant à danser dans tout les sens : Sauf moi ! Et toi bien sur !

Après ça, Clochette pose sa petite main sur mon épaule nu, et me dit : On y va?
J'hoche la tête, et quelques secondes après, à peine, nous nous retrouvons, téléportée, devant l'immensité qu'est le château d'Ariel. De long escaliers de verre, bordé par des rampes de coquillages de toutes les couleurs possibles. La porte du château était grande ouverte, plusieurs couples passé, et un homme à l'entrée crier leurs noms, à toutes l'assemblées. Clochette me montre du doigt Eliot, avec une veste de tailleur, et une cravate noir, il s'approche de moi, Clochette nous laisse seul, me fait un clin d'oeil.

Eliot m'embrasse la main et me dit : Tu es resplendissante.
Il me tend son bras, j'y accroche ma main, puis nous montons, souriant, les escaliers. Tout ce remue ménage me rappelais les bals de fin d'années aux côtés de Keven, c'est exactement la même chose. Sauf que cette fois-ci, le bal n'aura pas lieu dans la cantine, ou le gymnase, mais dans le château d'Ariel, et je ne suis pas avec Keven, je suis avec un sirein !

A peine entré, l'homme hurle : Mademoiselle Anastasya et Monsieur Eliot d'Obourgon.

Tout le monde se retournèrent vers nous et nous sourirent, sans plus prêter attention, je surpris quelques sirènes me regardait d'un regard mauvais.

Eliot m'entraîne dans un coin, puis me sourit et je lâche son bras.
Eliot : J'ai toujours rêvé de rencontré ma sirène.
Moi : Ah...
Eliot se met alors à me raconter sa vie : Depuis que je suis petit, ma mère me dit que la seule femme qui me mérite sera une truite parce que je suis vraiment maladroit. Mais dés que je t'ai vu, j'ai su que c'était toi...Et j'ai su aussi que tu n'étais pas une truite.
Je me force à rire, il poursuit, je soupire intérieurement ; En vérité, c'est que jamais de ma vie...
Je ne l'écoutai plus, son baratin me soûlait, finalement, il est mieux quand il ne parle pas. Soudain, l'homme de l'entrée cria :
-Mademoiselle Sheriden, et Monsieur Peter Pan.
Je relève le menton, et croise le regard de Peter, il me sourit et je me mise à lever les poings en l'air en montrant Eliot, j'affiche sur mes lèvres : J'ai gagné !
Peter soupire de loin.
Eliot : Quoi?
Moi : Rien.
Eliot : En plus, hier j'ai...
Sa phrase est interrompus par de brusque coups de trompettes, royal, comme dans les films, des tambours suivirent les trompettes, et une fine porte s'ouvrit, sur une espèce d'estrade. Une magnifique sirène rousse fait son apparition, l'homme de l'entrée hurle :
- La princesse Ariel !
Ébahit d'avoir la petite sirène sous mes yeux, je fis un pas en arrière, elle était si belle, si rayonnante. Ses longs cheveux roux ondulés, sur eux, une couronne d'émeraudes, une queue de sirène de la même couleur, de grands yeux pétillants, elle arborait un sourire rayonnant.
Moi : C'est..La petite sirène...?
Eliot hoche la tête : Oui.
Toute l'assemblé s'incline. Un air festival dans la salle, les trompettes cessèrent, les tambours de même, les sirènes se relevèrent.
Des violoncelles se font entendre, puis de nouveaux les trompettes, les tambours, et toutes les sortes d'instruments, et d'un coup, Ariel leva les bras en l'air, et se mit à chanter, d'une voix....Une certaine voix, une sacré voix, tout le monde étaient heureux, moi, je n'avais qu'une envie, fuir. Alors ils pensaient réellement qu'elle chantait bien? On est au royaume des faux-culs ici ou bien?

Ariel : Au royaume des sirènes, voici notre ami le soleil ! Le sable, bleu comme ciel, la mer, blanche comme nuage ! Ici, tout l'monde sourit ! Tout l'monde inspiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiire....
Je me retiens de me boucher les oreilles, c'était horrible.
Ariel : La joix de viiiiivre !

Des applaudissement résonnèrent, tout le monde se mit à danser, Eliot me tend la main, je ne peux refuser, et ce dernière m'entraîne dans une folle danse, ou il me faisait tourner, zig zaguer...
Ariel : Du château au centre commercial, on fait tout en chantant ! Interdit de manger du poisson ici, tout le monde est gentil !
Mon pouls s'accélère, je suis essoufflé, comment réussit-il à garder ce rythme sur une chanson aussi merdique?

Ariel : Et maintenant merciiii merciiii ! De danser ainsiiii !

Les instruments cessèrent, les gens arrêtèrent de danser, et tout le monde applaudis, l'a félicitant de sa "majestueuse" voix.
Eliot applaudis : Elle chante bien, n'est-ce pas?
Je ne réussis pas à voir si c'était une remarque ironique ou véridique, et me contente de dire : Euh...J'adore.
Eliot me souris. Je tourne la tête, les yeux écarquillés, et croise le regard de Clochette.
Cette dernière me menace du regard, comme une mère grondant son enfant, je me force alors à applaudir.
Eliot me caresse le bras : Je vais te chercher un rafraîchissement, attend moi là.
J'hoche la tête puis il me laisse seule. Et tout à coup, mes pires craintes refont surfaces, je me sentis mal, prise par la chaleur, je m'éclipse dehors, dans ces longs escaliers de verre. La lune, entouré de sombre, pour seule compagnie. Quand soudain, des bruits de pas, devant moi, je relève la tête et fis quelques pas en arrière.

Moi : James...
James relève la tête et s'approche de moi. A l'intérieur, la fête battait son plein temps.
James : Ma sirène, tu me trompes à ce que je vois.
Moi : Laisse moi tranquille.
Il n'a suffit que d'une seconde. Une seconde pour que mon regard se perd dans le siens. Une seconde est tout a basculer.
James : Je passais juste.
Moi : Comment es-tu entré?
James : J'ai tué les gardes.
Je plaque ma main contre ma bouche : Pourquoi t'as fais ça? Sale monstre !
James me pointe du doigt : Pour te voir.
Je lève alors la main et me mise à faire demi tour : Très bien, mais moi je ne veux pas te voir.
Je monte lentement les escaliers, puis soudain, une impression de déjà vu, je baisse les yeux vers mes chaussures pailleté et dit à l'attention de James : Je ressemble pas à Cendrillon comme ça? Les escaliers, les talons, j'suis blonde et tout.
La voix de James se porte à mes oreilles :Vite fait.
Je me retourne : Vite fait? J'suis la copie conforme oui !
Lorsque je me retourne, mon talon se prit dans ma robe, et je m'étale sur les escaliers, et au lieu de rouspéter, je crie : Oh my god ! Je suis Cendrillon !
James : Ma sirène, je voulais juste te conseiller de ne pas rester ici.
Sans comprendre, je me retourne, mais il n'est plus là. Me sentant ridicule au sol, je me relève et entre vite dans la salle. Ce qui est bien, c'est que je me suis habitué à son sois disant "charme du maléfice", ce n'est pas comme la première fois que nous nous sommes rencontrer.
A l'intérieur, Eliot se presse vers moi : T'étais ou?
Moi : Prendre l'air, j'avais chaud.
Il me sourit et me tend un verre d'eau que je refuse : Non merci, c'est pas mon truc l'eau de mer.
Eliot hausse les épaules et boit le contenu du verre, puis nous nous asseyons sur un banc en bois, prés de l'estrade.
Ariel se remit à chanter de sa somptueuse voix terriblement fatale, tout le monde dansaient, je n'avais pas revu ni Clochette ni Peter.

Ariel termine sa chanson : Car nous sommmmes....Faiiiiit.....L'un......Pouuuuuur....L'auuuuuuutre....
Tout le monde s'apprête à applaudir, les sourires aux anges, lorsque la grande porte du château s'ouvrit en grand.
Je n'avais jamais vu un silence si pesant. Ariel avait les yeux grands et la bouche grands ouverts. Toute l'assemblé baissait la tête au sol, surement par peur. Nous n'entendions plus mouche voler, plus instrument jouer.

La personne qui a fait son entré, était un homme. Il avait des yeux si bleu, si perçant, jamais, au grand jamais je n'avait vu ça. Un sourire mauvais aux lèvres, un regard perçant. Crochet n'était rien à côté. J'eue la chair de poule.

Ariel chuchote un nom à peine audible : Ri...Riven...

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top