Après qu'ils se soient installés, ils descendirent à la restauration. L'homme au yeux blanc était toujours assis à la même place. Ana partie à sa rencontre. Noy la surveillait du coin de l'oeil. Tout pouvait dégénérer d'une seconde à une autre. L'homme leva la tête les yeux rivé sur Ana. Une larme lui coula sur la joue.

- Monsieur... Merci pour tout à l'heure...

- Assis-toi ma fille... dit-il d'une voix émue.

- Je... oui. Vous êtes?...

- Fils de Dieu. Votre père. Ils m'ont renier mais je ne les ai jamais renier. Jamais je me suis écarté de la voix de Dieu.

- Je ne comprends pas très bien... Vous venez de la D.7?

- Ma fille, vous êtes revenue. Apprenez à connaître votre royaume. Vous êtes attendue. Cela fait maintenant plus de deux millénaires...

- Qui suis-je?

- Ana, fille de Sïod et de Sheit et de Oxa. Fille de la Vie et de la Mort. Une déesse.

- LA FERME VIEUX FOU! hurla Noy.

- Mais... répliqua Ana choquée par les yeux étrangement jaunes de Noy.

- Ana bouge ton cul de là on est servi.

- Monsieur, votre nom, pour quoi êtes-vous là? Comment me connaissez?vous?

- ANA!

- TA GUEULE TOI !

- Ma fille, je suis Caïn. Ils m'ont banni. Tout le monde vous connaît. Vous êtes attendu depuis tellement longtemps...

- ANA..!

- OUI!! répond-elle à Noy. Merci Caïn. Au plaisir de vous connaître.

Il ne répondu pas.

Ils mangèrent dans le silence. Noy la regardait avec inquiétude. Ana quand à elle, elle avait mal. Ça faisait depuis qu'il était arrivé à Neil, mais la douleur s'intensifiait. Ça la brûlait de l'intérieur. Comme quand ils étaient encore dans le D.1, juste avant d'y partir. Noy comprit, se leva d'un coup. Tout les yeux des la salle les regardèrent. On dècelait la peur sur le visage de Caïn. Et de Noy. Il tira Ana en dehors du bâtiment.

- Lâche toi. lui dit-il droit dans les yeux.

-Quoi..?

Ana comprit, il avait lu dans ses pensées, elle comprit qu'il avait comprit qu'elle se sentait mal mais qu'il savait pourquoi, contrairement à elle.
Elle se concentra pour se détendre. Il n'y avait aucun bruit. D'un coup ses yeux devinrent noir comme l'encre. Elle se tordu le cou et ouvrit la bouche et les mains vers le ciel. Des flammes noir sortirent. Elle hurla autant qu'elle put. Les gens aux alentours regardaient la scène à leur fenêtre. Tous comprirent.