IV

Une île, quelque part dans le Nouveau Monde...

Une planche glissa silencieusement.

Les larmes roulèrent sur les joues, empruntant les sillons humides tracées récemment par leurs consœurs.

Le couvercle recouvrit alors cet immense corps. Il vint recouvrir cette figure paternelle qui avait voguée sur les flots durant des décennies. Il vint recouvrir l'homme qui fut considéré comme l'égal du défunt Gol D. Roger. Il vint recouvrir celui qui fut considéré durant cette ère comme l'homme le plus fort du monde. Il vint recouvrir ce corps meurtri par une guerre qui à son issue ne vit ni réel vainqueur, ni réel perdant. Il vint recouvrir la figure imposante de celui qui avait su ébranler le monde jusque dans ses plus profondes entrailles avec ses dernières paroles. Il vint recouvrir l'homme qui fut le détenteur du Gura Gura no Mi.

Il vint recouvrir tout simplement Barbe Blanche.

Mais il vint surtout recouvrir un père qui laissait derrière lui nombre de ses fils éplorés.

Chacun des commandants avait prononcé quelques mots en hommage à cet homme à qui ils devaient tant. Les capitaines alliés avaient également fait part de leurs doléances, ne pouvant que vanter la grandeur de cet homme qui n'avait jamais cherché à régner sur les mers malgré sa puissance plus qu'écrasante. Les pirates du Roux quant à eux ne purent qu'être spectateurs et soutient émotionnel de ce deuil paternel. Même Shanks s'exprima un peu sur la figure de cet homme pour qui il avait un profond respect, le connaissant depuis un âge fort jeune.

Toutefois, il n'y avait pas que Barbe Blanche qui allait rejoindre les entrailles froides et ténébreuses de la terre.

A côté de l'imposant cercueil désormais fermé s'en trouvait un autre de taille plus modeste. Encore ouvert, il laissait à la vue de tous un corps, bien que fort, fragile et auquel la guerre avait retiré la vie. Il était couché, baignant au milieu de chrysanthèmes éclos, aux pétales aux couleurs vives et variées. Voraces, ils rongeaient le contour de ces muscles saillants et la légère brise les fit tressaillir dans de discrets bruissements. Ces fleurs recouvraient l'entièreté du bas de ce corps, ne laissant à voir que le buste. Un buste orné d'une blessure béante dont la vue en dégoûtait plus d'un.

Les mains pâles, bien que l'une était gravement brûlée, et désormais rigides avaient été croisées, reposant au niveau des pectoraux, juste au-dessus de cette plaie mortelle. Les poignets étaient cerclés d'une trace grisâtre par le port plus que prolongé des menottes à laquelle s'ajoutait quelques coupures, démontrant que le défunt avait essayé de se débattre. D'autres plaies plutôt superficielles étaient distinguables, zébrant cette peau diaphane qui avait été nettoyée du sang qui la maculait quelques heures plus tôt. Ces traits rosés étaient multiples, signe de torture, le sang ne coulant plus et les ecchymoses avaient commencé à s'estomper.

Le corps détendu, le visage était presque impassible, marqué de ce doux sourire qui avait étiré ses lèvres alors que la dernière étincelle de vie s'éteignait. Les paupières recouvraient les yeux rieurs auxquels ses frères d'armes étaient habitués et les longs cils noirs les ourlant caressaient délicatement le haut de ses pommettes parsemaient de tâches de rousseur. Des mèches ébènes effleuraient ce faciès froid et l'auréolaient. On aurait pu croire qu'il dormait au milieu de ce sublime patchwork coloré. On aurait pu croire qu'il dormait paisiblement. On aurait presque pu l'apparenter à un ange. On aurait presque pu l'apparenter à un ange déchu, déchu par ce monde qui lui avait fait porter sur ses frêles épaules les péchés de son père biologique.

Un ange déchu par cette ascendance non choisie.

Au centre de cette mosaïque bigarrée, l'être aux yeux clos, au corps dont les imperfections faisaient la beauté, trônait fièrement dans la mort, complétant avec magnificence ce tableau funéraire.

Pourquoi es-tu parti ?

C'était maintenant au tour de ce jeune homme à qui les pirates devaient faire leurs adieux. Des adieux des plus déchirants pour certains. Ils étaient venus de partout dans le monde pour lui. Ils étaient venus pour le sauver. Ils étaient venus en bravant tous les dangers. Ils étaient venus et avaient combattu les plus grandes forces de la Marine. Ils étaient venus et avaient réussi à le sauver. Alors, pourquoi ? Pourquoi malgré le sacrifice de leur Père il avait fait sa tête brûlée ? Pourquoi ? Pourquoi n'avait-il pas ignoré comme tout le monde les insultes de cet Amiral ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?

Pourquoi ?

Un à un, durant quelques courtes ou de longues minutes, les pirates se succédèrent auprès de ce jeune homme qui était parti trop tôt. Les doléances, quelques blagues grivoises pour dérider l'assemblée, les anecdotes et autres souvenirs s'enchaînèrent. Personne ne se sentait réellement prêt à dire adieu à cet homme pour lequel ils avaient risqué leur vie.

- Marco..., souffla doucement un pirate étrangement maquillé et portant un kimono que certains auraient pu voir comme féminin à son voisin. C'est à ton tour.

Le dénommé Marco sursauta presque lorsque la main se voulant rassurante de son frère se posa sur son épaule. Il tourna son regard éteint vers lui et le regard encourageant qu'il lui retourna ne le motiva pas pour autant. Mais il n'avait pas le choix. Il devait s'exprimer et clôturer cette cérémonie funéraire des deux êtres qui avaient comptés le plus pour lui. C'était lui qui allait désormais prendre la tête des pirates de Barbe Blanche. C'était lui qui allait devoir les diriger dans ce monde laissé tourmenté par la Guerre au Sommet. Il devait se montrer fort. Il devait se montrer à la hauteur.

Inspirant profondément pour se donner du courage, il s'avança, sentant les regards de l'assemblée lui brûler le dos. Sa démarche n'était pas assurée, des blessures encore partielles et temporaires sous quelques bandages le faisaient frémir au moindre pas. Ces derniers le guidèrent vers cette boîte, cette chose plus communément appelé cercueil. Il coula un regard en biais à un certain pirate qui avait essayé à plusieurs reprises de le recruter, sans succès bien sûr, qui était un peu en retrait et lui adressa un signe de tête favorable.

Il était vrai que ce n'était pas dans l'habitude du célèbre Marco le Phénix d'être autant secoué par quelque chose mais ces morts n'étaient pas des plus anodines à ses yeux.

Son regard glissa sur le cercueil fermé, le bois précieux le composant brillait avec élégance sous les timides rayons tièdes du soleil. Rien qu'à cette vue son estomac se retourna et il essaya avec grand peine de centrer son attention sur celui encore ouvert, qui exhibait un corps mêlé à des fleurs et dont il connaissait les moindres recoins. Sa gorge se noua à la vue de ce visage impassible marqué d'un doux sourire, et il posa un genou à terre.

- Ace..., murmura-t-il difficilement, sa voix lui semblant étrangement lointaine sur le moment.

Dos à cette assemblée qui n'attendait que qu'il ne parle, il s'éclaircit alors la voix et commença sur un ton qu'il voulait solennel :

- Ace était un homme bien. Un homme génial pour ne pas dire extraordinaire. Il a rejoint l'équipage de... de Père il n'y a que près de deux ans et pourtant il nous a tous marqué. Ses débuts ont été laborieux et compliqués pour tout le monde...

Certains membres des différentes divisions approuvèrent d'un signe de tête, se rappelant avec un sourire nostalgique des incessantes tentatives d'assassinats du brun ayant pour but de faire tomber Barbe Blanche.

Il y en avait eu cent au total. Toutes répertoriées dans un petit carnet...

- Pourtant, son arrivée amena énormément de vie dans le Moby Dick. Notre vie à tous se retrouva plus agitée, notamment avec son côté enfantin et plaisantin.

Quelques sourires discrets et amusés fleurirent en souvenir des nombreuses blagues pour la plupart dépréciées bien qu'amusantes du défunt. Et ces dernières avaient été cent fois plus pires lorsque son copain de jeu s'y mêlait, Tatch.

Puis, le blond agenouillé s'adressa alors directement au brun endormi.

- On a passé d'excellents moments tous ensemble, célébrant chacun de tes exploits parmi nous, même lorsque tu étais contre. On ne compte même plus le nombre de fois où on t'a rattrapé alors que tu piquais du nez dans ton assiette.

Ou plutôt, « le nombre de fois où je t'ai rattrapé », se corrigea-t-il mentalement avec un sourire tendre.

- Tu étais tellement heureux d'avoir reçu ce titre de Commandant de Seconde Division et pourtant... ce n'était que très récent que tu le pris vite à cœur... trop vite...

Sa voix se brisa.

- La trahison de Teach nous a tous secoué et toi le premier. On connaissait tous la profonde amitié qui te liait à Tatch et tu as décidé d'assumer cette trahison, d'où ton départ. Alors...

Pourquoi es-tu parti en me faisant cette promesse... ?

- ... alors je pense que comme beaucoup on peut se blâmer de ne pas t'avoir arrêté maintenant que l'on a la finalité de la chose sous les yeux. Mais personne n'aurait pu t'arrêter.

Pas même moi...

Il y eut de tristes hochements de tête approbateurs qui secouèrent l'assemblée.

- On a cru te perdre pour de bon à l'annonce de ton exécution et c'est pour ça qu'on est venu te sauver. Ace... jusqu'au bout tu as vécu selon tes convictions, tu as fait ce que tu voulais de ta vie, faisant fi de bon nombre de conseils et nous espérons que dans cette mort, que tu as choisi, tu n'aies pas le moindre regret.

Les yeux du Phénix s'embuèrent.

- Ace. Tu étais un ami, un compagnon, un frère mais aussi...

A quoi bon cela lui servirait-il de dissimuler ces sentiments qu'il eut entretenus et chéris maintenant qu'il était mort ? À rien du tout.

- ... celui que j'aimais.

De toute façon, presque l'équipage entier était déjà au courant. Sauf le principal concerné. Qui ne serait jamais au courant.

- Je vais maintenant non plus m'adresser à toi en tant que Commandant de la Première Division des Pirates de Barbe Blanche, mais en tant que Marco, tout simplement, l'homme qui était amoureux de toi.

Son second genou toucha le sol.

- Je ne vais pas te jeter la pierre comme aurait pu le faire un autre, n'ayant jamais eu le courage de t'avouer mes sentiments, et au contraire, je suis fier de la vie que tu as décidé de mener. Je voulais juste que tu saches à quel point je t'aimais et t'aime encore. Tu n'imagines pas comment cette guerre fut rude pour moi... la joie qui m'a traversée lorsque je t'ai vu enfin libre, puis... ce vide abyssal qui est apparu en moi lorsque tu es tombé...

Sa voix trembla.

- Être un phénix, cet oiseau immortel légendaire, sans toi dans cette vie n'est plus digne d'intérêt mais je continuerai à vivre pour ton souvenir, pour que l'on ne t'oublie jamais.

De délicates et timides flammèches azurées vinrent ronger ses bras dans de discrets crépitements.

- Je suppose que là où tu vas aller il doit faire sombre. Sans ton fruit du démon tu risques d'attraper de te perdre dans ces ténèbres. Laisse-moi alors te faire un dernier présent. Laisse-moi t'offrir un peu de lumière. C'est mon cadeau d'adieu...

Et les flammes vinrent entièrement recouvrir l'homme qui avait mangé le Tori Tori no Mi, modèle Phénix. Un fruit de type zoan mythologique, encore plus rare qu'un logia.

Ce feu azur n'ayant pas les propriétés habituelles du feu ardent qu'avait pu produire le défunt n'enflammèrent pas le cercueil ni les chrysanthèmes ni le corps à l'intérieur. Elles semblaient au contraire effleurer ce dernier avec une extrême douceur, l'azur et l'or se mélangeant avec subtilité. Puis, avec une grâce inégalable, l'oiseau de feu déploya ses impressionnantes ailes igniscentes pour venir recouvrir le coffret funéraire comme dans une dernière embrassade. Le cou gracile se cambra, la tête venant se nicher dans les plumes au caractère inconstant contre le torse meurtri et glacial du défunt.

Sentir ce corps inerte qu'il avait tant aimé contre lui fut finalement la goutte de trop et une larme coula. Indépendante, petit diamant brillant à l'éclat céruléen, elle sembla glisser sur les flammes et termina sa course sur la peau diaphane d'Ace. Cette perle salée fut comme un signal de départ et ses consœurs ne tardèrent à suivre. Même si Marco avait beau être fort, il demeurait un être humain avant tout et il ne pouvait que pleurer la perte de son frère et aimé.

Jamais il ne pourrait lui offrir la chaleur qu'il aimerait. Il n'était pas le feu comme lui l'avait été. Il n'était qu'un oiseau au corps composé de flammes immortelles. Il ne pouvait qu'espérer éclairer son chemin vers l'au-delà et le guider. Il espérait pouvoir le réconforter, lui partager ses sentiments qu'il allait continuer de chérir, lui montrer qu'il était encore là pour lui et le serait toujours.

Lorsque le rapace dit immortel se redressa avec élégance avec de longues minutes de silence, repliant lentement ses ailes aux flammes dansantes et hypnotisantes, un étrange spectacle s'était opéré. Il n'avait rien brûlé, mais les pétales des fleurs avaient pris cette jolie teinte azure, tirant sur du bleu céruléen jusqu'au bleu cobalt à certains endroits. C'était magnifique. Le jeune défunt semblait dans ce cercueil au bois sombre flottait dans une eau éclatante. Lui, enfant de la mer qu'il était.

Les flammes disparurent alors peu à peu, laissant apparaître la silhouette agenouillé d'un homme encore à moitié igniscent. Ses yeux encore inondés de larmes prêtes à couler passa lentement une dernière fois sur la dépouille. Il désirait graver chaque détail du visage de cet homme brun dans sa mémoire avant sa mise en terre. La courbe fine de sa mâchoire. Ses lèvres fines. Ses pommettes parsemaient d'adorables tâches de rousseur. Ses longs cils noirs. Ses mèches de jais dans lesquelles il avait aimé passer un nombre de fois incalculables ses mains. Un fin sourire mélancolique étira ses lèvres et...


- ... Marco...


Pourquoi ?


- Marco...


Pourquoi es-tu parti ?


- Marco !


Pourquoi m'as-tu laissé ?


- MARCO !

Le dénommé Marco ouvrit brusquement les yeux, secoué comme un prunier sans la moindre once de délicatesse. Sa main soutenant sa tête glissa en même temps que son coude appuyé sur son bureau et il se rattrapa de justesse avec habilité avant de repousser avec sa nonchalance habituelle son agresseur. Il se redressa en position assise et réprima un bâillement en toisant froidement un homme brun à l'étrange allure, maquillé et portant un kimono rose pâle aux motifs abstraits ouvert sur le torse. Celui-ci avait une mine sérieuse bien que le blond vit rapidement poindre une lueur inquiète dans ses yeux et dit aussitôt.

- Ce n'est rien. Je me suis juste endormi sur le bureau, Izou.

- Une fois de plus, répondit le brun avec un soupir discret.

L'homme dissimula un nouveau bâillement avec le dos de sa main avant de se frotter brièvement les yeux.

- Tu as encore pleuré...

- Izou. C'est bon. Ça suffit s'il te plait.

- Tu devrais essayer de tourner la page. Cela fait déjà cinq mois. Je dis ça pour ton bien.

- Je sais... mais ce n'est pas un deuil facile à faire. Tu es le mieux placé pour le savoir.

Celui que l'on surnommait le Phénix fit frotter désagréablement les pieds de sa chaise sur le sol et se leva, torse nu, vêtu d'un simple pantalon un peu raccourci noir et alla se chercher une chemise dans une armoire.

- Qu'est-ce que tu voulais me dire ? fit-il en enfilant une manche et jetant un œil à son frère dont le visage s'était assombri sur le moment.

- Essayer de te dissuader de commencer cette traque. Tout le monde ne parle que de ça.

Le regard sombre du samouraï se fit plus sérieux et il alla se tirer la chaise du bureau qui était recouvert d'un pêle-mêle de cartes de navigation avant de prendre place.

- On a bien vu comment ça a fini la première fois et l'on connaît désormais une partie de ses capacités. On ne peut le contrer pour le moment. Surtout avec les types qui composent son équipage.

Réajustant son haut, l'ancien Commandant de la Première Division soupira discrètement puis répondit calmement :

- Je ne suis pas le seul à vouloir lancer cette traque. Il se pourrait que ce soit une opération suicide maintenant qu'il s'est emparé des pouvoirs de Père, j'en ai bien conscience. Or que veux-tu que je réponde à tous nos frères en colère qui ne demandent que vengeance ?

- Tu...

- Deuce a même failli couper « accidentellement » la main d'un de nos alliés qui avait osé critiquer sa réaction. L'ancien équipage des Spades est à cran. Ils nous en veulent pour les avoir écartés de cette guerre. Puis, toi aussi, tu veux venger Tatch, ne le nies pas. S'il n'y était pas parti, tu y serais parti.

L'ancien Commandant de la Seizième Division détourna le regard sur le coup, faisant mine de s'intéresser brièvement aux cartes accrochées sur les murs de la cabine tandis que le blond reprit sur un ton morne :

- Ils me respectent certes, j'ai pris la tête des pirates de Barbe Blanche, c'est un fait, mais je n'ai nullement l'autorité requise pour ce rôle. C'est le nom de Barbe Blanche qui imposait le respect, et non celui de Marco le Phénix.

- Marco..., souffla le brun peiné pour son frère.

- On va faire ce qu'on a à faire, Izou. On est des pirates. Nul ne sait comment notre affrontement contre eux se terminera s'il y a affrontement. On vengera Père et Ace.

Izou hocha lentement la tête, sachant pertinemment que le zoan mythologique avait raison. Il était réticent à un nouvel affrontement, ne voulant pas perdre encore plus de frères mais il en allait de leur honneur. Ils ne pouvaient pas se laisser insultés plus longtemps.

Il délaissa du regard le blond qui attachait un foulard bleu à sa taille en guise de ceinture pour regarder les cartes éparses du bureau. Certaines étaient froissées ou maculées de tâches d'encre et il savait que ce n'était pas le genre du phénix de maltraiter ces feuilles si précieuses. Des traits plus ou moins droits reliaient des croix diverses marquant une île ou un lieu perdu en pleine mer et quelques annotations illisibles explicitaient ces symboles.

Il pouvait voir à quel point Marco s'acharnait activement à sa recherche. Le sommeil qu'il sacrifiait depuis ces longs mois en était la preuve, alors qu'il assurait avec brio les lourdes responsabilités pesant sur ses épaules désormais. A ce rythme, ils allaient très vite lui mettre la main dessus, il avait confiance en les capacités de son frère et cela le réjouissait dans un sens. Il allait pouvoir venger Tatch comme disait le blond. Enfin.

Cependant, il avait un mauvais pressentiment sur l'issue d'une éventuelle rencontre avec Barbe Noire.

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Hey, je vous propose ce petit chapitre test (avec du retard, il devait sortir il y a deux jours mais bon, vive les études) où l'on a la "mise en terre" de Ace du point de vue de Marco, soit un flash-back, et d'avance, je signale que l'on n'a pas cette scène dans le manga. J'ai inventé la chose et excusez-moi si le discours n'a pas été très crédible, je n'ai malheureusement ou pas jamais assisté à un enterrement. Par ailleurs, ce qui se passe par la suite est également le fruit de mon imagination, je ne peux que spéculer sur les actions des pirates de Barbe Blanche suite à la guerre avant une certaine autre bataille.

J'avoue autrement avoir un peu peiné concernant la rédaction de ce chapitre et j'espère franchement qu'il vous a plu. Et s'il vous a déplu bah tant pis, je ne ferais plus de chapitre de ce genre et resterai du point de vue de Ace. Votre avis reste le bienvenu, ne l'oubliez pas. 

De plus, je suis quelqu'un qui peine à se satisfaire de son travail donc je tiens à préciser qu'il peut m'arriver de modifier fréquemment les chapitres, rajoutant seulement quelques descriptions ou retravaillant des tournures de phrases. Si cela se voit avoir un quelconque impact sur la suite, je le signalerai en début de chapitre. J'aimerai faire quelque chose d'assez propre avec cette fiction qui me tient à cœur, ayant mis du temps avant de me lancer dans sa rédaction donc voili voilou. 

En espérant que la suite vous plaise.

Des bisous~


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