Flash-back

Nous sortîmes du restaurant et il m'apporta dans un parking parce qu'il voulait rester avec moi.

Je me regardai autour et je ne vis personne. Je me demandai parce qu'il m'eût apporté dans une place si isolé.

J'avais le coeur qui pompait à mille pour la curiosité, mille pensées ils me passèrent pour l'esprit, pensées étranges...

"Tu donnes amour nous restons déjà recemment ensemble, je t'ai traité comme une princesse et toi tu ne m'as pas encore fait aucun cadeau."

Voilà qu'il commençait avec les prétentions faire cadeaux pour recevoir en échange quelque chose. Il se rapprocha de moi et il me prit pour un bras en me tirant à soi.

Il me faisait mal, il était en train de serrer trop fort.

"Amour j'étais en train de nous penser et je voulais te faire une surprise, mais je n'ai pas encore trouvé le cadeau juste pour toi."

J'inventai une excuse pour comprendre ce qu'il voulût de moi. Dans un certain sens je l'avais compris, je ne pensais pas fosses vraies, je tâchai ainsi avec délicatesse d'éloigner le bras de sa main, je ne voulais pas qu'il s'énervât, je ne l'ai pas ainsi vu jamais...

"Ah, mais tranquille je nous l'ai je le cadeau juste a envie de faire l'amour avec toi."

Je ne croyais pas à mes oreilles, ce jour dont j'avais peur, la mienne première fois, je ne voulais pas qu'il arrivât de déjà, puis dans cette place, il ne pouvait pas me faire celui-ci, il savait comment la je pensais.

Je réessayai avec toute je même à éloigner ces pensées de lui.

"Amour mais je ne suis pas encore prête, tu sais que c'est la mien première fois et j'ai peur."

Je savais voilà que tôt ou tard il me l'aurait demandé, mais je ne m'attendais pas de cette manière.

J'avais réussi à me libérer de sa prise mais moi riafferò le bras, en serrant plus fort qu'avant. Il m'avait laissé des signes sur le poignet.

Je remarquai qu'il s'était encore faché de plus. Il avait les yeux injectés de sang pas le rivonoscevo plusieurs...j'avais peur.

"Pas encore, mais que chou tu dis ils sont mois maintenant que nous restons ensemble et tu ancres tu ne te fies pas de moi, mais que race tu es personnellement, qu'autre je dois te faire pour, est-ce que tu me l'expliques? À ce point tu décides ou nous faisons l'amour ou pour moi notre histoire finit ici..."

Mais que diable il était en train de dire, il était en train de me mettre vraiment devant à un choix? Oh mon Dieu ne pouvait pas nous croire, il était si enragé que je pensais il pût me faire du mal.

Ce que je pouvais faire, je ne pouvais pas le perdre. C'était l'amour de ma vie. Au moins je le croyais...mais il ne pouvait pas être il, si l'avait été il m'aurait défendu, aussi de lui même. En même temps mille flashs me partirent devant les yeux. Qu'est-ce qu'il aurait pu me faire? Est-ce qu'il m'aurait fait du mal? Si décidés.

"Ok Danielle courage fait force ne peut pas avoir peur de l'homme qui hameçons..." Je me le répétais dans l'esprit, je tâchai de me laisser aller, même si j'avais le coeur qui menaçait de sortir de la poitrine, j'avais peur à ce moment-là.
Mais si je ne consentais pas je pensai qu'il pût finir très mal.

"Amour j'ai décidé, je veux le faire avec toi, tu as raison il excuse si j'ai douté pour un instant seul de toi."

Que chou j'étais en train de faire, est-ce qu'il était ce qui voulais vraiment? Je ne savais pas si ère le choix juste...

"Mon amour tu ne sais pas comment je suis content, tu as pris la décision juste, je t'aime tu verras il sera très beau!

"Danielle chose tu es en train de faire..."
C'était mon vocina intérieur qui tâchait de faire me réfléchir.

"Tu restes silencieuse je sais ce qui fais, ou ainsi ou..."

Je parlais avec moi tout seul même.
"Ça suffit je ne veux pas t'écouter, j'ai décidé!"

Je fis la faute la plus grande de ma vie.
Il ne savait pas le sens du mot amour, il ne pouvait pas le connaître parce qu'il était seul bon à rouler les pauvres filles que comme moi, ils regardaient l'amour avec le romantisme qui pouvait seulement voir.

Il fù très peu délicat ne fit pas attention au rien, seul à satisfaire ses besoins. Il me prit avec la violence qui pût seulement faire.

J'ai été mal, très, celle-ci n'était pas la première fois que j'avais rêvé. Cette première fois douce, délicate, qu'il t'aurait apporté à un plaire jamais existé, celui-là qui aurait su décrire. Fù douloureux, parce qu'on sait mal la première fois il y a, mais tu t'uses ainsi l'âme.

Fù elle avant et aussi la dernière, parce qu'après que nous l'avons fait si ni allé, porté avec soi ma pureté, en me trahissant avec ma meilleure amie, depuis ce jour j'ai appris à ne me pas confier plusieurs de personne.

Flash-back fin

Massimiliano n'est pas Michael, il est spécial je l'entends, je ne sais pas pourquoi je suis convaincue de celui-ci, mais mon coeur certain en est.

Est-ce qu'il saura me porter de nouveau à croire dans l'amour vraiment? Mais surtout de nouveau en moi même? Mille questions mais sans réponses.

Je commencer seulement à confier en m'espérant que je trouvasse quelloche je suis en train de chercher vraiment. Je ne nous la fais plus à vivre dans le totale sombre, dans ces paranoïas qu'ils me séparent de l'être heureux et ils ne me laissent pas refuge.

Je dois nous réussir, je dois me porter bien