Le lendemain, Sony était toujours perturbé par l'évènement d'hier. Elle n'avait presque pas dormit de la nuit mais avait au moins trouvé la force d'aller jusqu'à sa chambre. Elle décida de prendre une douche pour enlever cette sensation de saleté sur elle. Douche finie, elle alla s'allonger dans son lit et pleura encore. 1 jour, 2 jours, 3 jours,... Elle ne bougeait pas de son lit, ne mangeait plus et n'ouvrait pas ses volets. Plongée dans un noir total, elle n'avait pas vu le jours depuis au moins 5 jours. Elle décida de sortir pour essayer d'oublier cette histoire ou en tout cas essayer de penser à autre chose pendant juste quelques minutes au moins... Elle resta dans les mêmes habits et ne se coiffa pas n'ayant pas envie de faire l'effort d'être présentable pour les personnes de dehors. Elle sortit de son appartement, alla en bas de l'immeuble et respira le vent frai qu'il y a avait dehors en fermant les yeux car la luminosité lui faisait mal. Une fois habituée elle les ouvrit en les gardant plissés puis les ouvrit totalement. Elle se rendit dans un parc pour s'assoir dans l'herbe complètement gelée par la neige. Les gens autours d'elle la regardait bizarrement mais elle ne s'en rendait pas compte jusqu'à ce qu'elle les regardent... Ce qu'elle n'aurait pas dût faire. Les femmes, elle pouvait les regarder sans avoir de problème mais les hommes, dès qu'elle en voyait un elle devenait complètement traumatisé et avait d'un coup du mal à respirer. Elle se leva, prit la direction de chez elle et rentra. Il fallait qu'elle se calme. Elle s'appuya contre sa porte et se laissa glisser  en pleurant encore une fois... A cause de son patron, elle était maintenant traumatisé par les hommes. Comment allait-elle s'en sortir ? Elle n'en savait rien pour l'instant, mais elle était sûre d'une chose, elle ne pourrait plus approcher un homme pendant un bon bout de temps avant de, peut-être, s'en remettre. Elle ne voulait pas en parler à sa meilleure amie pour qu'elle n'est pas de problèmes en plus.

-----Fin du Flash Back-----

PDV (T/P)

Une fois que tu avais fini de regarder les PUB que tu avais reçue, tu regardas l'heure. 12h42. Tu te dis que tu devrais te faire à manger pour ce midi. Salade d'avocats, escalope de soja et pommes de terre sautées. Tu préparas tout ça puis mangeas. Tu te posas sur ton canapé et réfléchis à ce que tu pouvais faire cet après-midi. Tu ne trouvas rien donc tu pris ton portab- Ah si ! Tout compte fait tu eus une idée ! Tu pris ton manteau, ton sac et tes clés puis partis à la pizzeria. Il y avait encore quelques personnes qui finissaient leur pizza. Tu entras et le bruit de la  petite clochette retentit pour prévenir l'arrivée de nouveaux clients. Tu vis Bambam arriver à la caisse en train de s'essuyer les mains avec un torchon, il le posa et regarda l'entrée. Il stoppa tout mouvements en te voyant. Vous vous regardiez sans dire un mot jusqu'à ce que tu avances à la caisse, en face de lui, et dis.

Toi : Est-ce que je peux te parler ?

Bambam : Je finis dans 21 minutes.

Toi : Je t'attends à une table.

Bambam : D'accord.

Vous ne souriez même pas, cela donnait l'impression que vous étiez dépressif ou que vous aviez n compte à vous rendre parce que vous étiez des chefs de gang qui avaient un problème. C'était assez bizarre de voir Bambam sans sourire. 

Tu t'installas à une table et attendis patiemment les 21 minutes. En fait pas si patiemment que ça; tu regardais tout le temps l'heure sur ton portable et stressais de plus en plus.

Les 21 minutes passées, tu attendis encore un peu le temps qu'il se change pendant que ton stresse grandissait en toi. Tu le vis arriver et s'installer en face de toi.

Bambam : Tu voulais me parler ?

Toi : Euh... Oui. Je voulais te reparler de la lettre que tu avais écrite avant de partir de chez moi.

Bambam : Tu veux savoir pourquoi je suis partis de chez toi et pourquoi je ne suis pas venu au rendez-vous ?

Toi : Oui c'est ça...

Bambam : Comment t'expliquer... Il y a 1 mois ma soeur s'est fait renverser par une voiture. Elle a eu quelques blessures et une jambe cassée mais rien de très grave. Par contre, depuis 1 semaine elle a comme des sortes de flash voir des crises en rapport avec l'accident. Ça peut arriver chez certaine personne. Je n'ai pas prévenu ma mère pour ne pas l'inquiéter et pour quelle ne fasse pas le trajet Taïwan/Corée du Sud.

Toi : Je suis vraiment désolé... Et moi qui m'énervais à chaque fois que tu me laissais en plan parce que je croyais qu'en fait tu t'en foutais de moi... Je me sens bête...

Bambam : C'est pas grave, tu ne pouvais pas savoir. Et puis je ne m'en fous pas de toi sinon je ne t'aurais pas laissé de lettre ni expliqué la situation.

Tu souris à sa remarque.

Toi : Et ton père le sait ?

Bambam : Il est mort quand j'avais 3 ans...

Toi : Pourquoi il faut que je sois trop curieuse ! Je suis vraiment désolé ! Je vais m'en aller avant que je dise encore quelque chose de déplacé !

Tu te dépêchas de sortir de la pizzeria mais fus rattraper par quelqu'un.

Bambam : Non ne pars pas ! La seule chose que tu pourrais faire de déplacé, c'est de partir et de me laisser seul.

Une fois ses mots dit il t'embrassa. C'était le plus jour de ta vie. Bon peut-être pas non plus mais en tout cas tu n'allais pas l'oublier ! Un baisé avec l'homme qui te plaît et sous la neige en plus ! C'est vrai que ça faisait cliché mais sur le moment tu ne réfléchissais pas à ça et continuas de l'embrasser pendant qu'il t'enlaçait pour être sur que tu ne partes pas. 

PDV Minzy

Je suivais (T/P) qui se rendait d'un pas décidé dans un endroit que je ne connaissais pas encore. Je la vis aller dans une pizzeria. Je connaissais cet endroit mais ne savait pas qu'elle s'y rendait. Je la vis parler à un homme, se mettre à une table puis attendre. 21 minutes après je vis quelqu'un se mettre en face d'elle, l'homme avec lequel elle parlait tout à l'heure. Ils discutèrent pendant un moment jusqu'à ce que je la vis partir comme si elle était chamboulée. L'homme la rattrapa , lui dit quelque chose puis l'embrassa. Je me décomposa et mes larmes virent automatiquement. Sony m'avait dit qu'elle avait rencontrer quelqu'un mais j'avais un espoir qu'ils ne se rapprochent pas. La fille que j'aime ne l'éloigna pas et continua le baiser alors que lui enlaça sa taille. Je décida de partir avant de faire une crise de colère et de tristesse en pleine rue et que les gens me remarquent. Je rentra chez moi, claqua la porte puis pris un cadre photo et le brisa au sol. Une fois ma crise finie, je pris une décision.

Moi : Qui que tu sois tu ne toucheras plus jamais (T/P). Elle est à moi ! ELLE EST A MOI !!!!

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Voilà, chapitre 4 finit ! Il était très court mais je ne pense pas que je ferai toujours les mêmes longueurs de chapitre.

Je ne sais pas si je posterai la suite jeudi vu que je pars en vacances vendredi et donc je ne serai pas là dimanche prochain (27/08/2017). Je verrai.