Chapitre 28

      Valser au courant de la musique sous les luminaires.

En dehors de tout le présage qui pousse les gens à nous regarder au bas de nos talons, j'ai fini par me désemparé de tout les arguments qui pourraient nous cassés et même nous séparés de notre petit monde.
Quand je n'avais pas encore l'âge de l'adolescence, il y a des leçons, pourquoi pas des exemples qui ont gravés dans ma mémoire. Tel, une exemple qui m'a servi de modèle et c'est l'unique de ces exemples qui m'ont appris que la fidélité est une couloir qui nous permet d'avoir une vie beaucoup plus longue et beaucoup plus resonnable dans ce monde.
Il y avait ces deux personnes qui s'aimaient et qui se tenaient ferme devant tout les obstacles qui devaient entravé leur relation, heureusement, que cet amour était, pour moi, le plus sincère et le bien-fondé parmis tous ceux qui essayait de résister et qui finissent un jour par brisé comme un arc. 
Ils n'avaient que l'amour comme leur unique richesse et ils s'aimaient plus que jamais. L'homme, ne pouvait plus se contenter de marcher, de marcher à la recherche de quelque chose qui lui pourrait servir d'une source de revenus pour prendre soin de son amour, son unique.
La femme, elle avait une famille pas très pauvre mais elle avait été rejetée par sa famille à cause de la pauvreté de cet homme. Pourtant, certains venaient et lui offrait des choses qui avaient beaucoup de valeur  et elle avait résistée pour se résigner à vivre avec le peu que cet homme pouvait lui donner.
Un jour, le soleil avait fini par se lever, et enfin, il était arrivé que l'homme avait trouvé un jardin pour travailler et il s'était résigné parce-qu'il n'avait besoin que le peu pour prendre soin de sa femme.
Des semaines après, il avait découvert qu'un trésor était coincé sous la terre, surpris, il était chanceux se disait-il. De son grave honnêteté, il était aller partager le trésor avec son patron mais, il lui avait dit qu'il était trop vieux pour amassé les trésors de la terre et que tout ce que lui il voulait, c'est de voir quelque chaque jour dans son assiette jusqu'à ce qu'il soit partit dans l'autre monde.
Certainement, ce que vous pensez c'est ce que moi j'ai appris dès que je les ai vus un jour dans un restaurant et partageaient ensemble la table avec leur seul enfant qu'ils avaient.
Bien sûr ! J'ai appris des histoires qui aujourd'hui m'ont donné une confiance parfaite en moi et Megan Pourset.
Après notre dîner à la fin du dimanche soir, j'avais besoin qu'on puisse en respirer un peu d'air. Qu'on y aille quelque part pendant que nos préparatifs étaient en cours, cela fût une très bonne idée et je n'avais pas parlé de ma surprise avec elle.
Espérant que rien n'allait changé au cours du temps à travers son comportement, sans vouloir me laisser brouillé par des motions de doute parce qu'en partie, je la connaissé et elle aussi.
Maman voulait que je reviens à la maison pour nos préparatifs de notre grande cérémonie, quel dommage! Nous, avaient plus qu'à attendre le grand jour et simplement faire quelques achats.
Une heure et demie, j'avais terminé tout mes trajets ; juste un petit congé de mon travail ce jour-là et je devrais bien sûr profiter pour pouvoir en discuter avec ma future conjointe pour me vider et comme ça on pourra également passé une partie de la soirée sous les luminaires de la ville tout près de la place du centenaire.
Megan sortait de mesurée quelques chaussures pour notre mariage, elle était... Tellement magnifique ! Que j'avais l'impression d'être retomber amoureux de cette fille au corps gravé de tatouages.
C'était un amour qui n'avait plus qu'à poursuivre son chemin, il s'agissait aussi de deux qui s'aimaient réellement et ne pouvaient être mesuré. Comment pourrais-je me mettre à la place de Megan? Ce n'était pas ce qui pourrait me mettre dans la peau ou de me mettre à croire qu'elle avait la même perception que moi l'homme de sa vie.
Simplement la confiance, sa tendance et ses qualités m'ont fait croire cela. Par elle que je m'inspire certaines fois, pour dire que la vie avait toujours de beaux cadeaux en réserve malgré tout.
Cet ainsi que je me suis dit qu'il faudrait bien être un homme pour comprendre le comportement d'une femme ; être toujours prêt à faire des analyses concrètes pour ne pas agir comme un fou qui n'a rien à foutre de tout.
Quand tomba la nuit, elle était assise sur un canapé. Comme je venais de sortir de notre chambre, elle m'avait saisi d'un regard, une de ses bonnes qualités qui me permet d'accepter et de comprendre sans qu'elle n'est besoin de siffler un mot.
Une culotte blanche et simplement son soutien-gorge toujours de la même couleur, j'avais en effet su qu'elle était prête pour une petite séance à ce moment-là. Mais non, j'avais besoin de ce ballade et pour cela, il ne valait pas la peine de me faire emprisonné par son regard séduisante.
- écoute mon amour, il faut qu'on parte ce soir. J'ai besoin qu'on y aille quelque part là où on pourrait passer prendre un verre et nous détendre un peu. J'ai dit en me méfiant de ses mots silencieux.
- Ah mon cœur, pourquoi maintenant ? Clama t-elle par gestuelle revendiquées. Les mains haussé et les sourcils surélevés.
On a qu'à passer un petit moment ensemble à la maison, non? Elle avait ajoutée, Megan.
- je te comprends ma chérie, mais ne t'inquiètes pas ! Si tu veux quelque chose d'autre on pourra le faire quelque part ! Si tu le souhaites. J'ai répondu en retournant tout de suite dans ma chambre pour me préparer.
- d'accord ! Comme tu veux. Megan n'avait pas l'air très contente de la surprise, mais elle était obligée de l'accepter, parce qu'en réalité il y a toujours des endroits sacrés et secret pour passer de petit moment et de jouir si l'on avait besoin.
Quand nous étions partis, je devais m'assurer que ma reine se sente bien à mes côtés et qu'elle n'ait pas regrettée cette soirée. Alors j'ai choisi un endroit un peu calme, un pont qui se bat un peu sur l'océan et des luminaires qui s'alignent un peu partout dans la rue.
Il y avait tout près de ce pont, un bar qui se partageait aussi un restaurant.
Après avoir prendre un morceau, j'ai commandé deux bières et ensuite je l'ai emmèner dehors sur le pont où rarement des gens passaient.
Je l'avais embrassée comme si un nuage allait nous enveloppés, et que le froid avait besoin d'un arrêt pour ne plus nous atteindre.
Il faisait un froid de canard et le ciel était bien voilé d'étoiles. Chaque rayonnement étaient pareils au battements de mon cœur qui varoulait se réchauffer auprès de mon amour, tout semblait beaux, bien, comme si le mal n'existait pas dans notre entourage.
- écoute beau gosse, je ne sais pas pourquoi tu m'as ammener ici mais je crois que nous devrions passer beaucoup plus de moments comme ça ensembles. Elle a dit en me fixant droit dans les yeux. La vue ici, c'est magnifique ! A-t-elle déclarée. Sous minijupe grise mouillée par sa chaleur malgré le froid.
- c'est tout à fait ce que je voudrais moi aussi, mais avec notre enfant qui sera bientôt née, on ne sait pas si le temps nous aurons permis de faire cela. J'ai répondu en hâte.
- bien que non! Notre enfant ne pourra rien empêcher du tout mon amour ! Notre liberté ne peut être brisé par quoique ce soit. À répondue Megan.
Je ne voulais pas justement lui avouer qu'elle avait bien raison, alors j'ai gardé un peu de silence pour un instant seulement.
Dans le silence sombre, une musique d'amour de tendre troubadours jouait depuis le bar qui se situait tout près de la rue, on s'étaient mis à valser, à valser au courant et au rythme des vagues pâles qui animait ce silence.
- mon amour, il est temps que tu saches que, avant notre mariage, je t'ai considérée comme une partie de moi-même ; comme la première plante qui a pu poussé dans mon jardin. Je t'ai acceptée pour que l'on puisse bâtir une hamornie sans défaut et ma confiance en toi à toujours été une source de couverture. Tant que je suis près de toi, c'est autant que je me sens approché de mon éternel bonheur. Je trouve que te dire je t'aime ne serait suffisant pour te faire resentir mes profonds sentiments pour toi, autant que les étoiles brillent, autant que mon amour pour toi grandit et peu je trouve la qualité de cette phrase que tout les matins, tout les heures j'ai envie de te dire. Si je dois mourir avant toi, je devrais être sûr que plus rien sur cette terre n'est le pouvoir de te faire souffrir, car, ce que tu m'as appris je les ai gardés dans mon tiroir magique et secret.
- tout ces mots m'ont vivement touchée mon chéri, comment pourrais-je te regarder partir avant moi? Non mon cœur, si tu vas quelque part, je prierai donc Dieu pour que jamais on ne se séparent et que la voie nous soit ouverte à tous les deux. Elle a répondue de ses yeux remplis de larmes, et sa voix devenait roque tout à coup.
- calme toi, ma chérie. Je ne peux pas te regarder pleurer. À cet instant, quand nous avions cessé de danser, je l'ai serrée tellement fort dans mes bras, que j'ai eu l'envie de la faire mourir de caresse. Alors, on a pu nous écarter de ce pont qui dormait au-dessus de l'océan, sous les luminaires qui se tendent sur le chemin, nous avions marchés côte à côte comme si nous étions un seul et que rien ne permettait qu'on puisse trouver entre nous une différence.
Pour la nuit, nous avions demandé une chambre d'hôtel seulement à quelques minutes de marche et cet ainsi que la nuit faisait place au matin, mais entre temps, nous avions eu une nuit qui a pu se graver dans ma mémoire, sans aucun point de différence à celle que nous avions eu la première fois.

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