Chapitre 24

               « Une nuit au bonbons»

Enfin nous voici à bord d'une seule table, dégustant du châtaignes cet arbre véritable.
D'un regard légitimité approuva cet espoir, une étoile qui brille dans le vide d'un cœur noir.
D'une fierté manifeste je me laisse emporter, elle sourit à chaque fois qu'un ange l'éveil. Maintenant que voilà la vie nous à liés, tel est ce rêve ressentir sa chaleur au réveil.
Quel tendre amour au froid qui nous laisse! jouant tour à tour à ce qui nous blesse; oh brave innocent qui se laisse gagner au forfait, finalement cette tendresse pour l'âme imparfait.
Nos cuillères balladèrent dans nos assiettes pleins de graisses, je le savais ! Mais plutôt un silence absolu; ma mère d'un sourire qui ne cesse, ses yeux qui m'attire mon cœur est ému.
Quand j'allais ouvrir la bouche pour dire quelque chose, ma mère me fait signe de régalé en attendant notre pause.
- bien ! Lança mon père qui abandonne. Il avait l'air d'être bien camouflé, il devrait partir pour une rencontre. C'est presque tout le temps et je ne sais pas pourquoi. J'avais besoin de lui parler du travail, de préférence, j'aurais à parler à maman parce qu'elle m'utilisais quelques fois pour régler des affaires qui ont rapport avec son boulot.
De temps en temps je fit un regard vers Megan, d'un air suspicieux, ma mère garde un silence suspect en m'observant.
" je vais me préparer, je vous laisse ! " Poursuivi t-il en quittant la table. Ma mère qui ne semblait pas trop contente allait elle aussi nous quitter d'un coup je puis l'arrêter en lui annonçant que j'avais besoin de lui parler, que j'avais quelque chose de très importante à partager avec elle. Ma mère s'était arrêtée, les plis qui s'éffacent vite de son visage.
- il est important de te demander ça maman. Tu es la seule qui pourrait m'aider et je serai très content si tu accepte de le faire pour ton fils. J'ai dit en posant ma main contre la sienne pour essayer de la calmer.
- c'est bon. Raconte. À dit ma mère qui laisse passer son inquiétude. Elle avait sûrement envie d'être amie de ma copine mais c'était à elle de décider.
- je voudrais te parler à propos de boulot. J'ai dit calmement.
- à propos de boulot ! Mais qu'est ce que tu veux dire exactement ? M'a t-elle demandé maman.
- ce que je veux dire c'est que je veux un boulot ! Il est temps que je me débrouille pour l'avenir de notre enfant, pour cela il est clair que je dois trouver un emploi. Tu es l'unique personne qui peut m'aider en ce sens, sinon mon père.
- je comprends mon fils! Pour cela je verrai ce que je peux faire mais pour l'instant il me faut concentrer sur un projet très important. Dès que j'aurai une réponse je te le dirais, excuse moi. Marie nous avait laissés après avoir répondue ainsi, Megan me fait une tête sans que j'ai la moindre idée de ce qu'elle voulait dire par là.
- hé! Chuchota Megan. Je craignais qu'elle soit retournée au pont. Je veux dire, pour qu'elle ne soit pas de mauvaise humeur.
" écoute, ce soir nous allons fêter ma venue chez toi, alors je dirais qu'il me faut quelques bonbons simplement pour passer un envi. Elle a prolongée, Megan. " il était sûr que j'avais compris, j'ai pu comprendre qu'elle n'avait l'âge aucune pour avoir une raison de me demander ça, cependant, le bébé qu'elle porte bien sûr, l'a peut-être donner cette envie alors qu'elle vient juste de prendre le dîner.
Quand je l'ai demander de ne pas trop se faire pour ces choses, elle m'a rappelé qu'elle avait bien ses raisons et la première c'est qu'elle m'avais fait une promesse. Je n'avais pas trop envie de faire ça parce qu'il fallait qu'elle se repose. Après avoir fait une longue chemin et ses valises qu'elle avait fait et tout ça, m'avais rendu la conscience clair pour ne pas épuisé son courage.
Par conséquent, j'ai essayé de frôler un chemin pour ne pas me montrer beaucoup trop insensible. Elle avait insistée et dans ce cas là je n'avais pas à riposter trop longtemps si non, elle pourra bien croire que j'ai quelque chose à cacher et cependant il n'y avait aucune.
- bon puisque tu as insistée alors dois-je  me rendre dans une boutique pour les acheter maintenant ? J'ai demandé sagement. Elle me regardait tendrement, certainement son cœur avait envi de dire quelque chose dont elle a préférée de la garder silencieuse.
- mais non! Pas besoin d'aller nulle part. Je les ai déjà achetés depuis ce matin, je voulais simplement savoir si tu te fais vraiment du soucis. Elle a murmurée en souriant.
- et? Il n'y a que mon père qui va sortir, ma mère y sera rester, je me demande : et l'on regardait un bon film? Je voulais toujours passer à travers parce qu'il paraissait un peu trop tôt pour qu'on puisse avoir des relations. Ce n'est pas parce que je n'avais pas vraiment envi, mais, juste pour ne pas se montrer beaucoup trop intéressé tout aussi bien.
Parfois, il faut être un capricieux pour ne pas laisser découvrir votre faiblesse, de ce fait, je devrais faire semblant mais pourtant, j'ai senti mon bras s'étirer pareil à un serpent qui cours d'un droit chemin. Sûrement ! J'avais cette émotion, la reconquérir pour que les moments puisses ressembler à nos premiers instants.
- allons ! Me dit-elle en quittant la table. Il y avait nos assiettes remplis de graisse, alors je lui ai demandé de me donner quelques secondes afin de les déposer dans le lave vaisselle et ensuite retourner pour accomplir ses désir comme des rayons d'étoiles qui s'éfforcent à perforé les murs de nuages gelés.
Sous ses yeux charmants et ses belle dents qui me fait croire que le vrai amour existait encore sur cette planète.
J'ai entendu pas mal d'histoire, mais celle là était bien plus différente parce-que j'ai connu une fille qui veut toujours faire de la différence. Comment j'ai pu vaincre la discrimination ? Pourquoi les gens pensent-ils toujours quand quelqu'un porte un tatouage c'est une mauvaise personne ? Je sais ! Je ne suis pas pour ni contre. J'ai aucune raison de défendre qui que ce soit, seulement ce que je sais il faut que l'on ressemble à notre partenaire et éviter l'indifférence.
Au lieu de continuer à faire ce genre de choses sur ma peau, alors que je sais que c'est un dommage pour le corps, heureusement, je n'ai voulu que me satisfaire de ce désir et collé son nom comme un animal marqué par son maître. La plus importante dans tout ça, ce que le vrai tatouage c'est un amour qui nous exige bien plus d'effort pour la garder en vie. Bref! Je pense que c'est quelque chose qu'on doit laisser derrière.
Megan, peut-être qu'elle n'a jamais pensée à ça, mais notre amour avait déjà été scellé.
Nous avions rentrés à l'intérieur, mains dans la main comme on se ressemble.
Après avoir fermée à jun, elle commençait à me toucher et m'embrasser d'un soif terrible. Je sens mon corps tremblé de sa douceur, sa paume lisse qui me faisait si bien pareil à un instrument qui enfin trouver son accord.
- cela fait des mois qu'on ne s'est pas touché, laisse moi te dévorer mon amour. Elle a déclarée, Megan.
- comme ont s'est manqué tous les deux ! Je t'aime tellement mon amour au que je te désir tout au fond de mon âme. J'ai dit en lui carressant le doux visage.
De ses regards tardive et allucinant, mon cœur se noyait dans une illusion imparfaite ; Déïna, cette fille qui essayait de me prendre par la manche, la dernière fois qu'on s'est vus c'était bien dans le tribunal là où j'ai puis en demander grâce pour réduire de sa peine. Je n'ai pas fait ça parce qu'elle avait raison de s'opposer contre mon amour avec Megan, mais plutôt, parce-que j'ai fini par comprendre que l'amour peut tout nous forcés lorsqu'on est tombé amoureux de quelque'un, car, nos sentiments devient grave et nos désirs chaleureux.
Elle commençait à enlever ses bretelles, celles de son corsage croisées au dos tel un schéma qui trace une barrière.
- attends ! Cria t-elle. Elle allait posée quelques bonbons sur le lit, notre lit. Une sucette qu'elle se tenait à la bouche, enlevé tout ce qu'elle portait son son corps sauf sa culotte qui était tout tracé. Il y avait une petite fente et par là, elle n'avait nullement besoin de l'enlever pour jouir du moment.
Il y avait un de sucre dans sa voix, alors que le moment paraissait dangereux pour elle.
- tu sais que tu portes déjà un bébé, je veux pas que rien ne porte préjudice simplement parce qu'on est assoiffé l'un de l'autre. J'ai dit en essayant de lui faire un bref rappel. Son ventre montait déjà et je ne voulais sans doute pas risqué de la faire du mal, surtout à notre enfant que j'essaye de protéger.
- ne te fais pas de soucis pour ça Papi, je le donnerai par une position qui ne nous dérangera pas. Elle a répondue à voix basse.
Nous avions pris du temps pour faire trempé nos corps sous un silence de tendresse, son parfum corporelle était de nouveau amorcé sous mes narines.
Ses yeux d'un bridé forcé se tendit vers le ciel, ses petits boules de Marjolaine bien raidit et chacun d'eux leur occupation. Celle de la droite sous mes lèvres par quoi son excitation courait vers un régal intense et l'autre entre les droits, le petit point qui roule sous mes droit tel une pâte qu'on génère.
Nos habits emportés par la rigueur de nos envies, tombés par ci et par là peut-être même qu'on ne se souvient pas de ce qu'on avait porté pour la journée. Sur une chaise appuyer contre le mur de ma chambre, face à face, elle était assise dessus de mes jambes sans la moindre connection, bahh pas encore ! De l'amour qui s'enflamme sans pouvoir nous brûler, la rigueur de mes carresses l'avait portée à l'orgasme comme si nous avions fait un tour à bord du petit jardin secret et plein de sucre mêlés.
Silence totale ou complète, mais démonter par des petites gémissements souple et radieuse. Puisque ce monde était fait pour nous, j'ai voulu qu'on arrive à créé un nouveau système beaucoup plus sensuel et exitant, dommage ! Qu'il n'y en avait que le septième ciel à percé en ce moment-là.
Un arrêt de quelques secondes pour l'embrasser en dégustant la saveur de ses lèvres épicées, mes mains carressant son ventre tendrement et d'une prudence paternel. J'avais plutôt envie de savoir ce qui était caché dedans mais sans les suivis d'une radiographie je n'avais qu'à imaginer moi-même par simple réfléxion peut-être néfaste.
Calme! Calmement le monde se mettait à tourner comme si nous n'étions que les deux pauvres créatures qui vivait ensemble entre le feu et le froid.
Ah! Sa petite culotte à faillit passer à l'oublie, à cet instant, pourquoi avoir besoin de garder ce souvenir ? Puisque que ce qui devrait être à sa place l'est maintenant.
Après de douce moment en turbulences, ce que moi j'appelle : turbulences soignés. Parce que cela ne fesait pas de mal mais plutôt, il y avait des secousse de douceur en profondeur avec mon petit bois dur pareil à un bâton de cuivre entrelacé traversant son labyrinthe épaix et mouillé sous la vigueur de ce machin.
Terrible comme une orage, prudente comme un laurier exposé sous la chaleur persistante des faibles rayons solaires. Sa voix, ses cris et ses douce carresses m'ont dépouillés de moi-même comme si je vivait mais n'existe que pour elle.
Elle avait pris les bonbons, les avaient léché en faisant ce parcours. Elle dansait et mes yeux émerveillés devant sa cadence corporelle et séductrice.
À la fin, nous avons tous les deux passé d'un orgasme intensifié et elle, m'avais mordu à côté de mon cou pour me marqué avec ses douces lèvres bien humide.
C'est une nuit ainsi que je l'ai nommé par cette décoration qu'elle avait faite dans notre lit d'amour, j'avais enfin trouvé mon accord, celui qui était perdu et maintenant celui-ci était devenu une de notre plus grand moment d'amour depuis qu'on avait débuté.

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