Chapitre 23
« mon tatouage secret et l'unique que je puisse faire pour graver ce nom. »
Après ma rencontre avec le docteur, j'avais un très grand effort à faire malgré tout ce qui s'étaient arrivés.
Le Docteur m'a dit qu'il fallait que j'aille voir un thérapeute juste pour une simple consultation, mais je n'avais plus besoin de m'inquiéter parce que la maladie n'allait pas rester trop longtemps et cela, si j'évite d'être stressé tout le temps.
Pour me sentir dans ma peau, j'avais donc décidé d'aller faire un tour dans les coins et trouver un tatoueur qui savait ce qu'il fait. Entre autres, j'ai pensé gravé une lettre de son nom quelque part sur mon corps.
Celui de Megan. Je me suis porté à l'envie comme l'a voir sous mes yeux entrain de mordiller ses lèvres pour me charmer.
Mais si! Je le ferai simplement pour me rappeler de ce qu'on a vécu elle et moi.
D'abord je devrais passer mon thérapeute. De quel genre pourrait- il être ? D'habitude, ceux qui parlait de ce genre de connaissance parlent souvent des hommes brillants et bien formés. Pas tout à fait d'accord ! Parce qu'il y aussi des femmes qui ont eu part dans cette partie médical.
J'en doute fort, mais tout ce que je voudrais c'est d'avoir une allégation soulageante. Savoir que cette maladie n'est que de passage, parce que je voudrais vivre une vie paisible sans aucun ennuie.
Alors, je suis passé d'abord voir le docteur. C'était bien ce que j'avais imaginé. Elle s'appellait : Léïssa. Elle avait un sourire qui faisait plaisir à ses patients, mais également, elle avait un gros corps grasse comme celui de mon ami Bob qui ne cesse jamais de réduire sur ses aliments.
- Bonjour Madame ! J'ai lancé quand j'étais arrivé dans son bureau. Il avait un senteur de plantes aromatiques. Des livres qui s'installe dans une petite bibliothèque à côté, il y avait aussi une petite table qui contenait du tulipes et des roses.
Pareil au fraîcheur sur le sable au palmes de fleurs embaumées, comme une aventure à conclure et tellement de choses!
Quelque part derrière ces bourgeons une bouteille souveraine.
Mais... Qu'est-ce que ? À quoi cela pourrait servir d'être serein ? Arc de triomphe, cette balise tachée sur les verres parisiennes.
Un bref regard à faire croire qu'il était du bon vin,
Entouré d'une foulard, au-dessus de son cou qui porte cet honneur, sur le siège devant elle, dégageant ce bonheur.
Pour se réchauffer le sang, pourquoi pas un verre ?
Ciel! Une frisson autour de l'âme sous un air mesquin; pourquoi pas du champagne? Celle-ci qui aurait dû être à tomber par terre, un tendre regard, rouge à lèvres et visage de dauphin.
Je m'apprêtais à m'exprimer d'une autre manière mais du respect cher monsieur? Avait crié mon cœur acharné. Les femmes son des pièges, plutôt devenues des pièges quand on appartient déjà à une dame. Parfois, ça arrive d'être tomber pour plusieurs mais un seul cœur pour une seule personne, le reste n'est que provoquant et de l'irrespect comme je l'a concevait directement.
- je suis ravie que vous ayez venir de si tôt, j'ai reçue une lettre de la part du médecin qui s'occupait de vous. Où est votre reçu ? M'a demandé la dame soigneusement. Elle se décrivait par ses connaissances, je ne savais pas trop à propos d'elle mais elle avait le comportement pareil à celui de Megan.
Une chemise blanche tel de la neige concentrée sur les toits où vêtement de bonhomme de neige qu'on produisait touts les fins des années.
Vite! J'ai l'ai fait sortir de la poche de ma chemise grise, un sourire pour dire que tout allait bien dans cette pièce.
- excuse moi madame ! Est-ce que ce vin vous l'avez acheter d'une forte prix ? Je n'ai pas l'habitude de boire ça et je trouve super bien! En plus, il agit contre le froid on dirait. J'ai dit en rigolant et imposant un petit trait de remarque.
- euhm... Désolé, c'est un cadeau. Je n'ai pas l'habitude moi aussi de prendre du rouge, mais oui, ça fait du bien.
En revanche, le jeu ne pourrait être tourner à l'envers. Même si j'avais envie de la draguer ou de l'inviter à boire, tout ça serait ridicule.
- vous croyez que je vais vivre toute ma vie sous cette crise, madame? Une question simple pour avoir quelque chose qui pourrait me soulager de certains doutes. J'avais enfin trouver un peu de paix quand elle m'a promis que cela n'allait certainement pas devenir critique et que j'avais moi-même à pouvoir prendre beaucoup plus de précautions. Ce qui n'est pas embêtant quand même ! J'ai souligné cette rencontre avec ma thérapeute, ce qui m'a permis de savoir que la maladie n'était que de passage, ce qui n'est pas souvent arrivé à ceux qui sont attaqué gravement. Il paraissait qu'enfin, je vais pouvoir vivre ma vie, une vie pas comme les autres.
Un peu de vin, c'était bien plus rassurant pour ne jamais tourner la page; En passant, je devrait trouver ce tatoueur ou... Je ne sais pas ! Mais j'avais besoin pour s'acquitter de cette folie et repartir à l'aventure de ma vie.
Megan, elle sera sûrement contente quand elle le verra, je ne peux pas en dire pour mes parents.
Si jamais il m'arrive de tomber amoureux d'une autre, je pourrais fuir, fuir pour ne pas dire que c'est ma faute.
Sans divulgué, j'ai poursuivi le chemin, le choix qui m'avait donné la force de devenir pareil à ma petite amie; heureusement, personne d'autre que Megan n'aurait su si que je portais un tatouage. Cependant, je me suis rendu compte que j'avais déjà une, c'est pour cela que j'avais à me battre gardé une sérénité parfaite pour ne jamais l'abimer: Megan, et qui d'autre encore ? Il n'y avait que cet amour qui m'avait pris en accord, telle, une guitare au rythme ondulée.
Mais, je préférais aussi de porté une deuxième seulement pour vaincre notre indifférence. Bientôt, elle sera avec moi à la maison, nous avons beaucoup de choses à raconter entre nous! J'avais pu trouver cette bonne certitude sans me pencher sur les ont dits.
Plus tard, quand je suis rentrée à la maison, j'ai discuté avec ma mère et mon père pour que Megan puisse être mis à mes côtés. Sans rien dire de mon tatouage, j'avais trouvé une levée de main même si ma mère n'était pas vraiment dans sa peau, mais je le souhaiterais un jour quand Megan y sera dans la maison.
Devant mon miroir, j'essaye de regarder ce nom gravé sur mon épaule droit. Dommage ! Je ne pouvais que voir que le commencement et non toute la lignée de mots. Tout était pareil à un début d'une vie que l'on pourrait choisir d'une conscience propre à nous mêmes.
Je suis retourné sur ma couche, prendre mon téléphone et appelé Megan. Au premier son, elle avait décrocher si vite que sa voix m'avait suffoqué, cette voix, fine et remplie de passion m'avait donné la force dee battre jusqu'au bout pour protéger notre relation contre les vagues de la vie.
- Comment ça va mon amour ? Est-ce que tu as passé une bonne journée ?! De sa voix touffée dans les écouteurs elle m'avait demandé.
- bien sûr mon ange. Il ne manque que toi maintenant que je suis à la maison.
Notre discussion avait grand répercussion sur nos idées, en effet, j'ai voulu la faire savoir que désormais je portais une deuxième tatouage, j'ai anticipé.
- je suis vraiment triste, mais il est déjà trop tard pour qu'on de voit aujourd'hui et il fait un froid de canard. Elle a répondue, Megan.
- oui, je sais. Mais j'ai une bonne nouvelle pour toi, demain je viendrai te chercher pour que tu puisse vivre avec nous. Ce serait mieux avant de trouver un appartement pour faire mûrir notre foyer. J'ai dit, assi sur ma couche, mes pantoufles à côté de moi.
- c'est vrai ! Wouah ! C'est une bonne nouvelle ! Comme ça nous serons bien plus près l'un de l'autre. Si tu savais combien j'ai envie de vivre à tes côtés mon chouchou. Avait-elle reprise en criant de joie. Je ne pouvais pas la voir certainement, mais je pouvais imaginer son visage, ses sourires qui fait vivre une romance très particulière.
Tout ce que j'avais besoin pour être satisfait, ce n'était pas encore parlé ni à maman ni à papa, de préférence, je devrais garder ça pour moi jusqu'à ce que notre jour arrive, ce jour où je pourrais ôté cette voile de tuile pour être enfin devenir officiel devant tous.
Il n'y avait pas d'autres noms, ni aucune autre qui pouvait me forcer à porté cette marque secrète sur mon dos, disons plutôt, sur mon épaule. Cela signifiait autant que je puis décrire ainsi cette place bien choisie. Porté le nom de quelque sur l'épaule c'est d'accepter de porté tout les fardeaux qui surviennent simplement pour la protéger et assurer son bonheur. Est une espèce de divergence contre sa propre vie ? Du tout pas! C'était juste mon choix, le choix de devenir un porte bonheur.
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