Chapitre 22
« Mais qui est là bon sang? Laisse tomber le fond. »
Après une tête à tête avec mes parents, j'avais enfin trouver le passage pour avoir du repos dans mon cœur. Comme j'avais manqué les médicaments ces derniers jours, il fallait donc que je me rendais à l'hôpital pour voir le docteur.
Ma mère qui éprouvait autant d'inquiétudes, avait contacter le médecin pour qu'on puisse trouver un rendez-vous.
Pour la nuit, moi et Megan nous devrions avoir une nuit très sucrée, mais, mon père n'avait pas accepté qu'elle dormait sans que personne ne le savait auparavant. Mon père m'avait accompagné pour l'emmener chez elle et tout était complètement gâcher. Le moment fût un moment raté.
Bref, l'essentiel c'est d'avoir trouver un compromis entre mes parents et moi à ce sujet. Et voilà! Tout était en ordre.
Je pouvais invité Megan à dînner avec nous et même passé du temps ensemble à la maison.
Au moment où je croyais que tout allait retourné à la normale, parfois, comme je l'ai pu imaginé, les choses surviennent dans les moments où nous n'avons plus de conscience que quelque chose de mal allait se passer.
À la maison, je me préparais pour me rendre à l'hôpital comme c'est planifier d'avance. Le froid ne cessait de rendre nos oreilles glacés et de la brume sortirent à chaque phrases qu'on émet.
J'avais ressenti pour une fois, avoir eu une grande fierté. Sans pouvoir pensé à tout ce qui nous ont ralenti sur le chemin.
Cette Déïna, où a-t-elle pu se passer ? Par chance, a-t-elle pu trouver un endroit pour se réfugier dans la région ? Il fallait donc y avoir une conclusion avec tout ça pour se faire désemparé nettement de cette fille si rusée qu'elle le croit être. J'en passe.
Une dernière remarque que j'ai fait de maman, c'est qu'elle était toujours curieuse. Ce n'était pas ce qu'elle voulait pour son fils mais c'est mon choix. Disons plutôt, c'est donc celui de mon cœur.
Après avoir avalé quelques de mes comprimés, j'ai pris la clé qui se trouvait dans un de mes tiroirs, puis j'ai sorti en hâte afin de pouvoir être à l'heure pour le rendez-vous. Désormais, je pouvais pensé autrement pour Megan et notre petit enfant qui allait être mis au monde quelques mois plus tard. Je gardais donc un sourire de réconfort qui n'était pour moi qu'un simple désir de vivre heureux et me sentir à l'aise.
Malheureusement, il était déjà huit heures et il n'y avait que moi qui devait sortir à cet heure.
Quand je faufile pour traverser le salon, j'ai vu la porte à demi ouverte. Est-ce ma mère ou mon père qui a fait ce délire ? Les idées s'embrassaient, tel une embouchure qui laisse croire que le fleuve est le demi de l'océan.
Un coup d'œil vers la télé qui était fermée, elle jouait à voix basse. Quelqu'un l'a sûrement allumé et baisser le niveau du volume. Étonnant ! Très étonnant.
Mes parents n'avaient pas l'habitude de regarder de films pornographiques, à ce moment-là, il n'y avait que ça qui jouait à la télévision.
Mais qui est là bon sang? C'était bizzare.
J'ai consenties cette présence, mon sang se mettait à fendiller et la colère s'est passé à une peur froide mais surtout douteux.
J'ai entendu la porte de notre douche qui poussa un cri, et ce petit bruit qu'il faisait chaque fois qu'on l'ouvre pour s'en servir. D'abord, je suis allé vers la porte et la refermé, ensuite, j'ai déposé les clés sur la table calmement et me rend vers la douche où le suspect avait peut-être filé au cachette.
Je marchais à pas silencieux jusqu'à la porte, frissonnant, j'ai rapproché le regard au toillette mais il n'y avait rien. Cependant, la douche était séparer au toillette grâce à une grande rideau blanc qui n'était pas perméable.
J'avais l'impression qu'il y avait du mouvement derrière cette toile blanche, ce mouvement qui m'avait comblé de peur et de pression.
J'ai tendu la main pour l'écarter afin de voir ce quoi était cacher par derrière, de sang froid. Mon Dieu! Mais qu'est-ce que....?
- Chuuut ! Ne dis plus rien. Surtout ne fait pas de bêtise, d'accord ? Me dit-elle à voix basse.
- comment tu as pu...? C'était stupéfiant et frémissant. Elle se portait à nue comme un bébé qui venait de naitre. Ce visage complice plein de malheur et par qui je me suis refait piégé encore une fois.
- reste calme. Elle suggérée, Déïna. Fait moi confiance, je ne te veux aucun mal et il n'y aura pas de cri, crois moi. Elle chuchoté en s'approchant à pas de chat.
Mes yeux s'ouvrit, éblouis de son corps séduisante par quoi se jouait son tour.
- alors qu'est-ce que tu veux Déïna ? Tu m'as déjà fait emprisonné à cause d'un moin que rien et maintenant qu'as-tu regrettée pour venir me traquer chez mes parents ? Elle m'avait donné une attirance physique souple et inimaginable. Ce que je voulais refusé, ce que je devrais mille fois refusé.
- je sais que je suis pour la police! J'ai fait cela simplement pour que tu comprenne quand j'ai essayé de te parler au collège c'est parce-que je t'aimais comme si je n'avais jamais aimé d'autres que toi. Je suis venu te dire que je suis désolée pour tout ce que je t'ai fait subir et... Aujourd'hui je veux que tu accepte au moins de me pardonner et de me donner une petite attention même si c'est pour une première et dernière fois. Après cela, je me livrerai sans que personne n'est besoin de crié contre moi.
J'avais ressentis sa sincérité quand elle s'exprimait avec tant de sagesse, j'ai cru que j'avais tort aussi, que tout les deux nous avions tort au début.
- je comprends ce que tu veux dire, mais...tu ne peux pas forcé un homme à t'aimer! Déjà, quelle raison aurais-je si une autre que Megan tombait enceinte ? Je ne pourrais pas m'excuser auprès d'elle ni aller au-delà de mes maux.
- oublions tout ce qui s'est passé Éric ! Laisse tomber le fond si c'est ça le problème. Minable je serai si je force un cœur qui ne se tient pas moi, cependant, je me sentirai indifférente si je me laisse mourir par cette envie. Même si tu ne veux pas de moi, épluche moi comme pouvais le faire pour celle que tu aimes. Fait moi seulement vivre ta tendresse et te laisserai tranquille. Plus jamais on se reverra si tu ne le souhaite pas après être libérée de cette prison. D'un seul coup, me voici entre le feu et de la glace. Que dois-je faire enfin ? Me suis-je dit en réfléchissant. Ces paroles m'ont percé c'est vrai, par contre, je devrais faire un choix, une dernière fois.
- Déïna, j'ai l'impression de tomber amoureux de toi, mais je ne peux pas trahir cet amour ni pour te jouir ni pour te plaire. Je suis désolé mais, je dois éviter ça. Elle tomba à mes pieds, pleure comme un enfant. Ses larmes ont pu lavés mes chaussures et mon cœur s'est cassé, pareil une pomme qu'on tranche en deux morceaux.
J'ai ressenti son amour pour moi, mais coupable je serai si j'accepterai de trahir Megan. La faiblesse à voulue m'emparer, par conséquent, tout ce que j'avais à faire c'était de ne pas me porter à l'obligeance de le faire, même si au final j'ai fini par comprendre qu'elle ne mentait pas et que ses sentiments étaient bien réels.
- s'il te plaît Éric ! Ne me laisse pas mourir de ce soif d'amour, fait le simplement parce que nous nous verrons jamais après cette discussion. Elle s'est relever et me fit un câlin, la façon dont elle m'a serrer contre son corps m'a mis au chaleur intrépides, Peut-être même inévitable. De toute façon, le feu devrait s'éteindre et ne jamais se rallumer pour devenir infidèle.
- lâche moi! Rhabille toi et sort d'ici ! Rapidement, j'ai couru en saisissant mes clés. Mon portable que j'avais oublié de porté avec moi, j'ai vite aller le chercher dans ma chambre et quand je me suis retrouver. Quand j'ai eu connaissance de mon rendez-vous, j'ai vite envoyé un message au médecin pour lui dire que j'étais en route.
Quand je suis sorti de ma chambre, je l'ai vu habillée de son patalon noir et une corsage bleue ainsi que ses sandales qui lui fixait. Déïna marchait vers la sortie, les pleurs inceste et désolée. Dommage pour elle ! Je ne pouvais rien faire même si je devrais utiliser du condoms pour éviter qu'elle soit tomber enceinte. J'avais réfléchi à tout ça, pourtant, je ne pouvais pas me trahir moi-même ni celle qui m'a aimé depuis le début du collège et m'a confié sa virginité.
Pourquoi me laisserai passer pour un infidèle alors que je m'apprête à me marier avec elle dans les jours à venir ?
Quand elle était sortie je la regardais marcher tristement, je ne pouvais plus rester pour aller lui parler. Alors, j'ai vite monté à bord de la voiture.
Après avoir passé les clés, j'ai envoyé les yeux vers le rétroviseur ; elle avait les mains en l'air tel une détenue qui s'était échappée. Une voiture de police était appuyé sur le trottoir, un flic lui avait imposé de lever les mains et ensuite, il lui avait passé les menottes pour cause de fausses accusations.
J'ai senti de la douleur à ce moment-là, un peu de pitié pour Déïna. J'ai pleuré.
Quand j'ai démarré la voiture, quelque chose m'est venu à l'idée. Tout ce que je pouvais faire pour elle, c'est d'aller au poste et faire une demande pour réduire sa peine ; même si d'ailleurs, comme elle l'avait déjà déclarée, plus jamais on se reverra.
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