Chapitre 19
« Monsieur l'accusé ! Veuillez garder le silence. »
Aujourd'hui, tout le monde, seraient- ils prêt à comprendre nos sacrifices à leurs égards ? C'est presque possible. Il n'y pas de plus grandes choses que d'accepter d'être punit rien que pour la raison. Celle parfois qui nous tue en silence et à petit feu jusqu'à ce que celle-ci nous emmène à l'extinction.
Pour que mon amour pour Megan fontionne en bon point, je croyais que me sacrifier devrait être une solution. Celle qui a le pouvoir de défendre la personnalité de ma chère bien-aimée.
Hélas! Ma mère et mon père n'ont pas pu arrêter ça. Les menottes allaient devenir leur plus grande désespoir et même leur force allait se réduire en peine capitale.
Ma mère, inconsolable ! Je le sais. Peut-être qu'elle se disait sûrement qu'elle ne devrait laisser cette fille entré dans ma chambre. C'est tenace ! Ils auraient pu me demander d'abord.
En prison, loin de chez nous, loin de moi. Charge sur la tête, le cou cassé par la honte, je savais que mon tour allait un jour me permettre d'avoir la certitude d'une vie meilleure avec ma future conjointe. Disons, ma copine.
Seul derrière cette cage ensorcelé, pourquoi moi? Mais c'est fait, c'était déjà fait et il n'y avait qu'à attendre l'arrivée de mon jugement pour pouvoir sortir de ce trou. C'est ainsi que j'avais réfléchi.
Il y avait deux policiers qui passaient et me regardaient. Il avaient des casquettes d'où on avait gravé leur fonction, ils avaient des fils qui passaient de leurs oreilles provenant de leur radio de communication. Tout simplement, leurs appareils de communication.
Les leurs longues jambes couvert par un long patalon qui s'achèvera au bout de leurs souliers noir en peau de cuir éclairés par les lumières plafonnier.
Un d'entre eux que j'ai entendu dire : il est dingue ce gars là ! Et l'autre qui avait répondu à son tour : il est peut-être malade, c'est sûr ! Et ils se sont mis à rigoler.
J'avais peur, peur que quelqu'un puisse trouver mon téléphone et annule tout mon projet. Une chose était sûr, à cause de ma mère, mon père serait bien obligé de mettre le pantalon de sa taille pour trouver un jugement rapide afin de pouvoir me libérer si c'était possible.
Le teste. Comme tout les autres cas, il y a toujours un teste a faire afin de prouver s'il s'agissait vraiment d'un viol ou non. Mais là, je regardais à quelques pas, mon voisin qui ronfle comme un porc qu'on oublie au milieu d'un champs de blés. Mal à l'aise, mais toujours en confiance parce que j'espérais revoir siffler le beau temps en seulement 24 heures, ce n'était pas moins rassurant.
Est-ce que mes parents ou mes amis allaient venir me voir ? Je ne croyais pas que c'était le moment pour pensé à ça, parce qu'en effet, il était déjà un peu tard dans la nuit et il me fallait seulement le temps pour respirer l'odeur fade et sombre avant de pouvoir me longer sur la céramique grise et Me laisser emporter par le sommeil. Pfff! Quoi d'autres ? Il n'y avait rien que ça pour le moment.
Dur, pareille au verdict que je devrais subir pour cause d'agression sexuelle, mon sommeil avait été lourd comme un poids qui me dépasse. Le soleil s'était enfin levé dans les côtés Sud du pays, le soulagement allait venir me porter dans ses bras mais j'estime...
Sous les lumières qui ne s'éteint jamais dans cette espace affreuse, mes paupières son écarquillés, mon corps se dresse et je me soulève pour m'asseoir.
Mon voisin me regardait comme si nous avions déjà été rencontrés dans les rues, il était assis, les mains sous la mâchoire et coudes pliés sur les genoux.
À peine qu'il allait se lever, peut-être me dirait-il qu'il a été fait prendre à cause d'une fausse accusation ? Je ne sais rien. Tout simplement, son visage n'était pas celui d'entre les autres qui braque en plein midi. Son visage était marqué d'une panique extrême, mais il devait se sentir mal à l'aise comme moi je le suis au fond.
- tiens, tiens ! Vous avez de la visite monsieur. Disait l'un des policiers qui se moquait de moi l'autre soir.
Sans dire un mot, il ouvrit la cage, me passait les menottes, puis il avait fermé cette cage d'où je n'espérais en jamais revenir.
- par là ! Me dit-il dans les moustaches. Il avait des moustaches qui se lient à sa barbe et il était un peu grimaçant.
- Ah! Te voilà mon fils ! Elle avait criée,à mère. Elle courut pour m'embrasser, mais Je gardais toujours mon silence tout en asseyant doucement sur une chaise par devant notre table.
- écoute mon fils, là, nous attendons le résultat du teste pour prouver que s'il s'agissait vraiment d'une agression sexuelle. Pas seulement ça, le commissaire va venir t'interroger et il viens juste d'arriver. Avant de pouvoir prendre un avocat, il a décidé d'abord de te poser quelques questions pendant que le test est en cours. Elle a dit, maman, toute triste.
- où est papa ? J'ai demandé d'un ton sec.
- il accompagne la fille afin que le prélèvement soit fait sous ses yeux pour éviter que ça passe mal. Répondu ma mère de sa voix pleine de sa tristesse.
- écoute maman, il n'y rien de sérieux dans tout ça, cette folle m'a simplement accusé parce que.... Comme le commissaire venait juste d'arriver, je suis obligé de couper les phrases en regardant ma mère qui le salua ce que j'ai fait à mon tour avant qu'il puisse s'assoir à côté de nous.
- bon! Le dossier que j'ai devant moi est très critique. Je dois vous dire que selon les résultats votre fils sera condamné de vingt ans de prison. A-t-il dit en faisant sortir quelques papiers de son enveloppe.
- Monsieur... J'ai dit.
- Monsieur l'accusé, veuillez garder le silence. Il a répondu brusquement, le commissaire. Il portait une veste grise et son visage ovale n'était pas trop sympa comme celui du prisonnier. Sa tête nue comme la mienne et les mines croisées comme mon père quand il est nerveux.
" je vais vous poser quelques questions à quoi vous devez répondre sans marmotter, est-ce que c'est clair ? Il m'a demandé brièvement." J'ai regardé ma mère qui penchait ses épaules en relâchant un bref sourire et j'avais accepté de l'entendre que de me défendre à cet instant.
Du coup, j'ai eu la tête qui tourne, et là, je me suis rendu compte que ma maladie ne m'avait surtout pas oublié. Même si comme je crois que peut-être qu'ils avaient passé ça sous les couleurs inéxistante, mais je n'était pas encore prêt à abandonné mes médicaments de si tôt.
- attend... Attendez-moi! Je ne me sens bien, maman ! Tu as apporter mes médicaments ? J'ai demandé tout troublé et perdu dans ma mémoire.
- Ah! Bien sûr ! Je savais que tu aurais besoin parce-que j'ai pensé qu'il était trop tôt pour abandonné tes pillules. Veuillez nous excusés monsieur le commissaire. Elle avait apporter de l'eau avec elle, j'ai pris deux comme le docteur me l'avait prescrit, ensuite, il m'avait donné quelques minutes pour me reprendre. J'ai vu son visage grisé, celui du commissaire qui paraissait inquiet à propos de ce qu'il avait entendu. Que je venais juste de sortir de l'hôpital. Pour lui, la scène était bizzare, très bizzare.
- tenez vous prêt monsieur Éric. Avait lançé le commissaire en tournant les pages de ses documents. Il avait attendre qu'un instant puisse être écoulé afin que je puisse me reprendre pour ne dire n'importe quoi. Tout ce que je devrais subir à cause de mauvaises réponses ne feront que me laisser pourrir dans cette cage effrayante. Un coup d'œil vers maman, le froid l'avait accablée et sa peur était profonde à cause de moi, je le savais. Est-ce moi qui avait salit notre petite famille ? Quel audace aurais-je pour agir de la sorte? Bientôt, il sauront qui l'avait fait simplement pour m'ôter mon amour.
- première question. Il a dit, le commissaire. Quel est le lien entre vous et madame Déïna? Est-ce que vous avez eu une histoire ou c'est simplement par erreur que vous avez fait cela ? M'a-t-il interrogé, les mains croisés sur la table.
À ce moment-là, elle m'avait manqué, j'avais ressentis une vide, celle qui m'a laissé croire qu'après avoir sortir de cette piège que j'aurais ma peine à cause de ce qu'elle avait entendue, ce que je ne savais pas encore; mais je doutais de ce qu'elle l'apprenne ainsi.
- moi et Déïna avont aucun lien monsieur. J'ai dit. Elle est simplement une de mes condisciples au collège.
- alors, elle juste venir te voir et comme ça tu l'as choppé! C'est ça ? Il a avancé avec les sourcils hautains.
- écoute monsieur, il n'y rien de vrai dans cet affaire et j'ai des preuves.
- vous avez des preuves ! Et des preuves de quoi? Ma mère était un peu surprise, elle éleva les sourcils, la bouche ouverte sans rien prononcer.
- des preuves que je n'ai pas touché à cette minable ! J'avais enfin trouvé la force de me défaire, je pouvais faire sortir toute mes griffes pour ne pas retourner en cage.
- alors ? Le teste? C'est tout ce qui pourrait t'épargner peut-être. Un coup de tonnerre fait trembler le département, ce n'était pas une poche de pluie qui allait déverser, par ailleurs, il s'agissait d'un signe, celui qui allait faire poussé une grande énergie de froideur. Des flocons de neige.
- mon portable. J'ai tout enregistré.
Étonnamment, ils se regardaient l'un l'autre, ma mère confuse, le commissaire trempé dans son vin, il s'est mis debout avec les yeux troublés.
- vous l'avez ? Le téléphone madame ? A-t-il demandé à ma mère qui secoua la tête, cette tête qui définissait qu'elle ne savait même pas où je l'ai pu mettre.
- dans mon tiroir. J'ai répondu vaguement.
- bien monsieur! Alors madame, je vais envoyer un de nos policiers pour vous accompagnez afin de m'apporter ce téléphone. Espérons que vous ne faisiez pas qu'empirer les choses !
Marie s'est levée avec son visage qui exprimait sa curiosité. Le policier l'avait conduit jusqu'à la maison, le commissaire m'avait laissé pour quelques minutes, attendant l'arrivée du teste et du portable aussi.
Quelques minutes après le départ de ma mère, comme il y avait beaucoup de monde qui pénétrait la salle, ceux qui étaient venus pour de la visite ou pour rectifier des dossiers, je puis voir la tête de mon père qui avait franchit la porte qui se referme automatiquement.
- bonjour filston, comment as-tu passé la nuit ? M'a demandé mon père. Il tira une chaise et assis calmement. Aucun signe de détresse n'apparaissait sur son visage, il était plutôt paisible au dehors et il y avait la raison d'être, parce qu'il n'y avait rien qui pourrait me laisser coincé dans cette affaire. Fausse accusation, ça se paie et se peine.
- ça à été comme un ours polaire qui traîne sur la neige, mais tout va bien ! J'ai répondu d'une fierté.
- où est ta mère ? Ou est le commissaire ? Il a questionné, mon père.
Comme un fantôme qui fait son bref apparition, le commissaire était apparut en demandant comment s'est passé l'examen et où était la fille. Mais mon père devenait sombre tout à coup.
- pour le teste, le docteur à dit qu'il n'y avait rien de spécial et que tout était normal, pour la fille, elle... Je ne sais pas où elle est passé. Elle nous avaient demandé d'aller aux toilettes et ensuite plus de trace. Il avait avoué, papa.
Le commissaire se figea, il avait le visage blémit, il ne voulait pas que cela puisse être arrivé. Dommage !
Je fait un sourire, le commissaire se tournait le dos et reviens de face.
- je vous l'avait dit ! C'est une accusation faussé et je suis pour rien. Rien que pour ma relation entre moi et ma copine. Elle est contre et elle a voulue me forcer à coucher avec elle, puis, voilà le résultat ! Tout ça, parce que j'ai refusé.
Tout le monde était troublé, tout comme mon père qui trouvait ça injuste et se leva en demandant de le libéré.
- attendez moi! Hurla le commissaire. Ma mère franchissait la porte à toute allure, courut avec le téléphone à la main en criant tristement : " j'ai vu! Je l'ai vue la garce! Elle voulait piègé mon fils. Il faut la trouver cette salope ! C'est.... " le commissaire l'arrêta en essayant de la calmer, puis, elle lui tendit mon porte preuve. Comme d'habitude, je n'utilisait pas de code sécurité, ce qui à donné accés à maman de tout voir avant que d'avoir ma permission, c'est ma mère non! Que puourrais-je les cacher, mes parents ?
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