Chapitre 18
« La fidélité d'un homme ou d'une femme n'est pas qu'une histoire à raconter, mais l'exploit d'un cœur brave qui n'ébranle pas au moindre défi. »
Pour la moindre guerre, que je voudrais également épargné de mon chemin, j'avais réussi à repousser Déïna qui essayait de me toucher. Ce n'était pas suffisant à ce qu'il paraissait, devant ce grand complot qui se cachait derrière son visage, je devrais choisir soit d'être punit ou d'être scandalisé. Ce n'était pas encore terminé.
Debout devant mon miroir, les mines croisés, je lui ai demandé de sortir de ma chambre et de rentrer chez elle. Elle avait insistée et qu'elle ne sortirait pas tant que je l'efforce à le faire.
- tu es ridicule Éric ! Complètement ridicule ! Tu ne sais pas ce que veux dire l'amour ? Quand une fille est tombée pour un homme ? Bon d'accord ! On va jouer un p'tit jeu, je vais crier si fort que même dehors entendra ma voix et je vais dire à tout le monde que tu as essayé de me toucher sans que je l'ai voulue. Alors ?
Mon cœur se fendu en deux, j'avais l'impression que de l'eau chaude coula de mon visage glissa sur mon corps sous la serviette. J'ai pris quelques minutes à réfléchir pour ne pas faire des bêtises à pouvoir regretter après, parce que je savais qu'il y ait un grand danger qui m'attendais si je réagissais trop vite alors je reste devant mon miroir. Soudains, je songea mon portable et c'était un téléphone intelligent qui avait beaucoup d'accessibilités. Je l'ai pris sur l'armoire, elle était juste à côté.
- aller mon amour ! Viens me trouver sur le lit. Cria t-elle. Peut-être avait-elle déjà enlever ses vêtements, je ne me souviens pas l'avoir regarder avant même que je n'accède au caméra juste quelques secondes.
Elle était accrochée par devant le miroir et je suis retourné à m'assoir sur mon lit à quelques distances d'elle. Dommage pour elle, Déïna pensait être la plus intelligente au monde pourtant, mon intelligence avait surpassé la sienne. Elle avança encore une fois vers moi, grave ! Elle avait répéter les mêmes paroles, ce qui l'aurait servi après ma décision contre ses actions.
- tu vas me coucher, me donner ce que je désir et plus rien ne se passera ! Sinon... Je vais crier à l'aide et tu iras en prison pour une simple petite chose. Elle commençait à me carresser, elle avait monté sur le lit en passant par derrière mon dos. Déïna jouait à son propre piège, je savais que je pourrais peut-être passé une nuit en prison mais mieux vaut que ça, par qu'il fallait que je respect mon engagement avec Megan, surtout pour l'enfant qu'elle allait mettre au monde.
Elle avait choisis de créé sa condition de se vouer au regard, par une manque d'amour ou par folie, je n'accepterai jamais de poser des actions forcées peut importe ce qu'il pourrait me coûter.
Les films du Box office m'ont appris à ne pas baisser les bras, pour cela, il y a là un homme qui se présente comme un acteur jouant un scénario qui ne lui appartient peut-être pas? C'est impossible que cela soit un jeu qui pourrait m'enterrer sans avoir été touché par une balle violente, d'où, je suis resté ferme et sans relâche à défendre notre amour, celui de Megan et moi qui est offensé à cause de ses tatouages auprès de mes parents.
- ne me dit pas que tu as oubliée qui je viens juste de sortir d'un hôpital ? J'ai des médicaments que j'e n'ai même pas encore pris pour la maladie font je suis souffert et maintenant tu oses me menacé? Est-ce de l'amour Déïna? J'e l'ai vue me regarder comme si ses yeux allaient se fondre en larmes, mais elle avait du fer à la cervelle et du pierre sur le cœur, ce que je m'efforce à d'écrire malgré ce que je souffre ultérieurement. C'est une manque de respect. Une analyse faite pour chercher à comprendre son comportement, celui de la folle Déïna.
- je sais ! Mais... Cela ne pourra pas empêcher que tu fasse l'amour non? Elle a répondue en souriant. J'avais le cœur contrit, je me suis serré les dents et pour pallier il y avait une forme défense que je voulais employé, dommage que ça n'avait pas réussi à me faire sorti de pétrin.
- bon, écoute, je ne peux pas faire ça. Ce n'est pas parce que je veux te repousser mais Megan m'attend un enfant ce serait donc humiliant si toi aussi tu sois tomber enceinte. Je voulais garder ça pour nous. Pour Megan et moi, ainsi que nos parents.
Certaines fois, on est obligé de poussé nos secrets aux aïeux afin de pouvoir nous défendre. | surgit devant la fenêtre qui fait rebondir la couleur de l'océan qui se trouve à quelques kilomètres chez nous, elle avait courut après moi comme un oiseau de chasse qui essaie de ne pas manquer sa proie. Nerveux au dedans, sombre au dehors.
Quand je sens mon cerveau complètement rempli nerfs agités, je la demande une dernière fois de me laisser seul parce qu'il vaut qu'elle s'en aille. Elle avait refusée, sa décision était prise.
Elle m'avait saisi par la serviette, celle qui me couvre le corps sacré d'une seule maîtresse, ce que je voulais et pas plus. Nerveusement, elle tire ma couverture la jette au sol carreler. Une fois que je la retienne par le bras pour la repousser, elle avait trouvé l'occasion de me piéger, de me faire passer pour un violeur maquillé.
- lâche moi! À l'aide! S'il vous plaît aider moi! Elle avait époumonée. Tout ma peur avait fuit parce-que je savais qu'elle n'aura pas plus qu'une seule raison pour me laisser condamné derrière les barreaux, ce que je n'avais jamais espéré d'experimenter dans ma vie, ce qui m'a permis de rester prudent même quand je suis parmis mes potes et quand nous étions attaqué par d'autres petit qroupement qui nous proposait de la bagarre, je préférais que nous tournons le dos si cela pouvait nous conduire à ce genre de situation.
J'ai entendu des pas courut brusquement derrière la porte de ma chambre, et là, ma mère en sursaut.
- que se passe-t-il à l'intérieur ? Elle a criée, ma mère.
La garce était prête à crier que je lui avait tenu par le bras en essayant de la toucher, dans le bon sens du terme, violer une personne qui était simplement passer voir comment j'allais et pourtant, c'était une grave erreur qu'elle avait commise par là.
Elle se jetta sur la serrure et ouvrit rapidement la porte, puis commençait à se plaindre parce qu'elle avait simplement voulue que je couche avec elle rien que pour son bon plaisir.
Je voudrais bien voir la réaction de maman, savoir certainement s'il s'agissait d'un amour maternelle. Elle avait pleurée, pleure comme la pluie qui se détacha au fil des nuages sombres aisés et porteur de douleur.
C'était pour moi une priorité absolue pour que je m'en débarasse nettement de cette folle qui se trouve à mon passage. Megan, je savais que cette histoire allait sombré ses tympans, je savais aussi qu'elle serait enfin heureuse à mes côtés quand mes parents découvriront que ses accusations étaient fausses et qu'il fallait faire confiance à Megan qu'à cette vilaine emmerdeuse.
La bouche bée. Ma mère se paniquait, jusqu'à ce que mon père survenait comme une tempête de neige et m'interrogeant à propos de ce sujet. Muet comme l'eau dormant. Je voudrais bien choisir de passer la nuit dans une cellule pour que mes parents apprennent que chacun son destin. Déïna, se sentit peut-être dans sa peau parce qu'elle avait trouvé l'occasion de se venger de notre amour. Celui sont moi et Megan avions fondés quand elle m'avait séduit au collège.
En catimini j'ai avancé vers l'armoire saisissant mon portable et la ferma à jun.personne ne savait si moi aussi j'avais choisi de jouer à pouvoir succomber au sauvetage de la dignité de ma copine qui un jour, allait sûrement devenir ma femme, la femme que je désirait construire toute une vie.
Je ne voulais pas rester comme un inconscient, alors pour le défendre j'allais faire poussé de la flamme.
- c'est un mensonge ! Je n'ai pas touché un seul brin de ses cheveux. Comment pourrais-je faire une chose pareille alors que je viens juste de l'hôpital ! Alors tu crois ça maman ? J'ai demandé en avouant ma curiosité.
- mais pourquoi as-tu pris tout ce temps pour répondre ? Tu nous a tous mis dans le doute! Je ne pense pas que mon fils aurait le courage de faire une chose pareille ! Je suis déçue. Elle a vociférée, maman.
- es-ce vrai ce que tu dis ma fille ? Interrogea mon père, qui était très inquiété et frappé par cette circonstance. Mon père avait de la crainte, il s'avait qu'une personne comme moi n'aurais pas assez de couilles pour faire ce genre de choses.
- je vais appeler la police ! Hurlait Déïna qui se mettait à jouée de la ruse.
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