Chapitre 11

« La vérité, c'est tout ce qu'on a à dire.»

Je me rappelle cet après-midi, quand mon père était rentré à la maison et que j'avais à peine sortie de chez ma petite amie, quand soudain, mon père m'a dit qu'il   lui fallait des jours avant qu'il ait l'occasion de parler à maman, son travail lui prennait tout son temps mais quand même il avait pensé à nous. au cours de la soirée, couvrit d'une peur et un peu mal à l'aise, je me suis dit qu'il vallait la peine de dire à Marie que son fils avait enfin trouver une personne qui le plaît énormément. cependant, un coup de fouet pour me rabattre à l'oreille, un sentinelle qui venait d'être cassé. j'étais assis dans ma chambre sur mon lit bien couvert, Megan m'a envoyé un message qui m'a permis d'avancer une thèse que je n'ai même pas encore formulé. Toc! toc! la porte frappait d'une force et c'était bien le bras de maman.
- Écoute mon fils, quelqu'un était venu te voir excuse moi j'avais oublié de te le dire, alors elle m'a dit qu'elle voulait te parler et à passée des heures à t'attendre. j'ai sautiller en courant et ouvrit rapidement la porte, le visage de maman avait l'air d'avoir bien apprécié celui-là.
- et elle s'appelle comment ? je ne suis pas sûr que j'avais rendez-vous à quelqu'un et tu sais je ne t'ai pas encore dit que j'avais....
- c'est Déïna! et je la connais bien, ne t'en fais pas mon mon p'tit chou tu n'est plus un enfant maintenant tu as le droit d'avoir une copine. m'a t-elle interrompue et marmonne avec une ferme gaité. c'est une surprise ! je croyais que Déïna avait dit ça simplement pour me forcer à l'accepter.
- écoute maman, donne moi juste une minute parce qu'il faut qu'on parle. j'ai dit à maman d'une voix pâle.
- ton père m'attend dans la chambre, donc, je suis obligée. elle a répondue en pénétrant jusqu'à la fauteuil vide qui se trouvait à côté de mon lit. je suis rentré après, assi calmement sur ce matelas qui n'avait que quelques semaines depuis quand mon père l'avait apporter à la maison. J'avais à peine passé l'avant dernier examens du collège, c'était fabuleux de voir qu'après eu la chance de réussir, ce qui m'a beaucoup permis de poursuivre mes études. Par ailleurs, je ne sais pas comment ça va marcher. J'ai réfléchi. Avec Megan et ce que j'étais entrain d'endurer, j'avais des doutes sur ma réussite.
- maman, je ne sais pas comment te dire ça en vrai, mais... Peut importe la façon je souhaite que tu sauras me comprendre. Le stress m'envahit, la peur et mon cœur qui bat à la chamade, il fallait être à cette place un jour pour comprendre. Comme l'eau qui se détache d'un pic couvert de brouillard, je me sens glacé sous les yeux noirs de maman qui essaie peut-être de se faire des illusions.
" j'ai trouvé une petite amie " j'ai dévoilé à ma mère. Et cette petite amie là c'est la fille dont peut-être te souviens-tu quand tu nous a vu discutés au sur le trottoir ? Maman secoua la tête pour concéder qu'elle se rappelait bien de cette fille, " et alors ? " elle a demandée de son visage sombre qui marque cette surprise.
- elle s'appelle Megan et je suis tombé amoureux d'elle, ne me parle pas de ces tatouages qu'elle porte sur son bras parce que je m'en fou de tout ça. Et celle qui était venue ici, dans cette maison, je ne sais rien du tout. Ma mère me regarde d'un air choqué, elle secoua encore une fois la tête, et cette fois, c'est un regard qui voulait me porter préjudices, mais j'avais fait ce que j'avais à faire. Pour mon père, je pense qu'il aura du bon à réfléchir, parce que lui, il est franc chrétien et il était un peu stricte en ce sens.
- attends ! Est-ce que tu viens de me dire que... Cette misérable est bien ta copine ? Me demande maman d'un ton un peu agressif. Mon cœur se fond dans un océan rempli de chocs dépressifs, je savais qu'elle allait contestée et qu'elle dirait des choses bizarre à propos de Megan, mais j'estime et je pense qu'elle a tort ou raison.
- bien sûr maman. J'ai vite rectifier.
Marie lança un soupir, elle tourne les regards vers notre photo de famille, elle sourit quand ses yeux tombaient sur ce petit garçon de 4 ans qu'elle avait dans ses bras, c'était une photo de mon anniversaire et c'est elle qui m'avait habillé sans les moyens de du bord de mo père, parce que ce jour-là, elle voulait prendre la charge et elle voulait que son fils s'habille comme elle avait désirée. C'est une très belle histoire et maman me l'avais raconté quand papa était parti, tout en versant des larmes; chaque fois je regardais cette image, j'avais l'impression que le temps nous a manqué, que tout à trop vite changer dans la vie, seul l'amour de ma mère et de mon père qu'ils n'ont jamais su se désemparés, parce que je suis unique.
- tu sais quoi? A-t-elle reprise, maman. Tu vas faire en sorte que tu te repose mon fils, parce que demain nous irons à l'église de bonnes heures. Repose toi mon fils. Ma mère s'est levé rapidement après avoir terminé ces discours et quitte la chambre calmement. Je lève et commence à faire des tours à l'intérieur, je réfléchissait grandement, et j'ai réalisé que maman avait tort, tort de traiter ma copine de cette manière, elle avait aussi raison, parce qu'il fallait pensé à tout ça.
J'arrête devant le miroir de ma commode, un jumeaux à part qui ne connais peut-être pas ce que endure son trait véritable. Soudainement, j'entends sonner mon téléphone qui j'avais laisser sur le lit. Je le savais ! J'ai dit silencieusement. Et oui c'était la personne à qui j'avais pensé, celle que je rêve et désire à chaque instant dans ma vie. Je voudrais également me sentir reconnaissant, jusque là, il n'y avait qu'elle et moi qui savait que j'étais le premier garçon à qui elle avait couché. J'ai buté le saut en courant afin de ne pas pouvoir le manquer, une si tendre voix, fine et radieuse.
- tu dors déjà ? Je voudrais te dire quelque chose et... Je m'excuse de t'avoir déranger mon amour. Murmure t-elle de sa voix douce qui m'a complètement pris par instinc et les mauvaises intentions ont également zappé.
-

non Megan, je suis dans m'a chambre et je vais me coucher. J'ai répondu. Le rythme avait changé, c'est forcément parce qu'elle a une très bonne influence sur moi. Loin de là, je ne voulais plus m'inquiéter, ni dire que maman avait raison parce que Megan signifie tout pour un cœur brisé d'après mon unique silence.
- demain j'aimerais qu'on sort toi et moi. Je ne sais pas où tu vas choisir mais je dirais un endroit bien plus romantique. J'aimerais qu'on passe beaucoup plus de temps emsemble, je me sens bien que je suis avec et tu m'a comblé de ton charme, on pourrait aussi discuter au sujet de nos parents si tu veux bien. Elle a proposée, Megan.
Certaines fois dans la nuit, je me connecte d'un monde solitaire, j'entendais plus couramment de la musique classique afin de pouvoir me sentir bien dans ma peau. Megan était la première personne qui venait juste de changer ce monde, j'avais seulement besoin d'entendre sa petite voix pour me sentir satisfait.
Après qu'elle eut fait cette proposition, je me demande si la compétition n'allait pas être un dérangement pour nous, mais à grande surprise, elle m'a dit qu'un de mes amis était passé chez elle afin  de pouvoir m'annoncer que la compétition avait été reporté pour jeudi prochain, trop cool! Franchement j'avais pas très envie ! Mais pour les potes et la promesse de Megan, je pourrais m'efforcer à le faire quand même. J'avais compris que moi et Megan, nous avons besoin plus de moment à conquérir cette puissance qui nous avait liés d'un seul coup.
Demain, il y avait un accalmie de le température. Le soleil avait grandement ouvert les yeux et les rayons frappaient sur nos baies vitrées, tandis que l'heure marchait à pas de géants.
Je sais que ma mère va se plaindre si se l'annonce ma faiblesse, j'avais plus envie de partir pour aller chez ma copine que dee rendre à l'église.
Ma mère, mon père et moi, nous avions toujours l'habitude de sortir emsemble, surtout quand nous sommes habillés de la même couleur et du même style.
Ce matin, je pense habiller différemment. Je pense choisir un couleur qui me va et que je porterai même après le culte pour me rendre chez ma copine, sans doute, je serai très galant si je porte le blanc et du bleu marine ! C'était pour maman, un couleur qui me va très bien, mais elle se tient à se demander pourquoi suis-je différent d'eux aujourd'hui ? Alors j'ai répondu qu'il me fait simplement voir un petit écart entre nos habits juste pour savoir comment les gens allaient me regarder suite à mon élégance. Pourtant, ce n'était pas la vrai raison, j'ai seulement besoin de me faire-valoir un peu étant qu'adolescents aujourd'hui. Je n'ai pas besoin de me sentir coincé par les habitudes de la famille, je dois avoir l'impression d'être moi-même sans porter la couleur des autres.
Avant de quitter la maison, nous avons pris notre petit déjeuner emsemble comme à l'accoutumée, puisque mon père nous avaient manqué, le repas semble porter son grand parfum.
- aujourd'hui je prends les clés ! Cria mon père d'un cœur heureux. Je fais une petite pause devant la porte à la sortie, papa tenait les clés de la voiture de ma mère qui trottait sur les talons neuf qu'elle avait acheté pour cette grande occasion. Elle voulait être différente quand nous allons à l'église avec la présence de son mari, maman portait une robe longue rouge pale et plaquée, elle avait le sens d'une très bonne femme responsable et ses rouge à lèvres avait donné à papa de la nouveauté pour tout les jours qu'il était absent.
De loin, c'est comme le reflet de moi et Megan par devant le miroir de ma chambre, je suis resté distrait à vivre le sourire et les rires fou de maman à mon père qui était heureux de revoir sa femme.
- Éric ! Viens, nous sommes en retard. Lança mon père qui se tenait déjà sur le volant, il m'a vu rester debout et maman est passé à côté pour monter dans la voiture. Je faufile rapidement à l'intérieur, focus et l'esprit très éloigné ; je réfléchi à cette meuf, au fait, elle est plus sensible que je ne l'avais pas imaginé, sa qualité était caché sur son apparence, ce que les ont dit n'ont pas le pouvoir de percé, on ne connaît jamais une personne si l'ont ne sait pas ce qu'il y a dans le cœur. J'ai réfléchi.
Après un long chemin parcourus, nous sommes enfin arrivé à l'assemblée.
Tout ce qui me connaissait déjà, me regardait comme un étranger qui venait d'un pays lointain. Les jeunes filles, les dames, elles ont les yeux en feu comme un bombe qui s'explose, et du coup, je me sens fier de moi. Quand à quelques instants écoulés, j'ai eu de profonds souvenirs, les yeux fermés, je suis resté tranquille jusqu'à la fin du culte qui commence à se dérouler vers les 9 heure et demie.
- Qu'est-ce que je suis venu faire ici? D'ailleurs, j'ai même pas la force de prier en pensant à Megan. Me suis-je dit profondément dans mon silence interne.
Quand le culte avait relâcher, je suis tellement content que je suis sorti d'un cœur grandement ouvert. Quand à mes parents, ils étaient restés à marmotter à ceux qui n'avaient pas vu mon père depuis des semaines, et moi, tout furieux, je suis resté appuyer sur la voiture à attendre pour aller poursuivre mon chemin.

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