Chapitre 10
« Dans tes bras, il n'y a que ça qui compte. »
À l'intérieur du salon où elle et moi nous avions été attaché, comme l'enfant par le nombril qui le lie à sa mère soucieuse. Ses yeux meurtriers porteurs d'un feu dévorant qui assimile un coup chaleur surnaturelle, d'un envie d'arrache-pied sous ce visage sublime que je dévore des yeux, serré dans mon jeans bleu, il se fait vite pousser comme une mauvaise herbe.
- tu sais Megan, il n'y a qu'une seule chose qui compte pour moi aujourd'hui. J'ai dit. Elle me sourit froidement avec un baiser souple et épaisse.
- c'est quoi au juste ? Puis-je savoir ce qui compte pour mon homme ? M'a t-elle demander en me carressant de façon solennelle.
- Dans tes bras mon amour, il n'y que ça qui compte pour moi, et même si les gens parlent de façon à s'opposer, cela m'est égal s'ils ne touchent pas à un brin de tes cheveux, car je t'aime et je tu me donne envie de vivre. J'ai répondu calmement sous sa tendresse unique et émotionnelle.
- elle ne va pas rentrer maintenant, ta tante ? J'ai demandé à Megan, assise sur mes jambes fermé et mes mains pèsent à chaque seconde ses fesses élastiques. Elle commence à enlever mon maillot gris foncé simple, fallait que je résiste à cette pression catastrophique, mais je ne pouvais pas m'en empêcher d'exploser cette chaleur qui nous embrasse sous l'aération fraîche qui perce cette partie de la maison.
- chutt ! Elle rentre tard tous les jours, n'ai pas peur mon amour, prend ton temps et fait moi mourir dans tes bras. M'a t-elle Chuchotée de sa voix Fine douce et de son caractère toujours pertinente et accommodante. Elle avait cette tendance amiable, sa qualité avait été unique à me faire vivre une expérience de grand prix.
Ses mains adorables passent doucement sur ma poitrine, tendrement, elle était arrivé au bout de mon ultime sens qui était déjà en pleine érection.
Mes potes, maman, personnes d'entre eux ne m'avaient passé à l'esprit, parce qu'à ce moment-là, mes pensées étaient bien guidées et contrôlées par cette sensation qui était si intense entre nous.
Elle faisait des mouvements ça et là, sa ceinture avait connue une motricité parfaite à faire exiter mon organe. Cette fille charmant et chaude, allait descendre pour enlever sa cullote jaune de fleurs soleil. Sa cadence me remontais de temps en temps, quand à moi, je me suis vite débarrasser de mes habits tout comme elle qui se mettait nu devant moi. Du calme mon amour ! Je vais te faire exploser. Ai-je dit sans me laisser faire entendre. Remontée sur mes jambes qui tremblaient froidement, elle insère mon instrument durement enfiler à l'intérieur de sa chatte mouillée et glissante ; j'étais presque, prêt à déverser ce liquide visqueux qui m'arrachait les petites boules de guirlandes qui étaient agitées par les secousses.
Elle gazouille sous version de Marilyn dans le cirage, je transpire et je ne garde pas mes reins immobiles. J'enfonce une de mes doigts dans sa bouche, comme une sucette caramelisé, elle fait du monté et redescend en position verticale à chaque fois que l'envie surchauffe sa partie sensible à la démolition de mes fortes secousses pour la défoncée avec mon petit guitare qui lui faisait chantée les notes indécises.
La cavalière se jouis à la toute rigueur de ce membre, excitée et gémissante, je puis tenir ses cheveux longs au rythme de sa vigueur galopante.
- oh oui Papi! Doucement mon amour ! C'est dur, c'est douce, c'est tellement profond ! Gémi t-elle. Megan hennit de joie, les yeux vers le ciel gris caché au-dessus du toit, elle dévore comme une rage acharnée. Cette sensation nous à fait trempé et ses seins étaient mon plus grand régal, à ce stade, je lui ai proposé de faire une pause qu'elle a pu refusée en chevochant sur un cheval acharné,chaudement pénétrer dans au bas de son petit bassin versant. Elle plaça ma main droite sur ses boules séparés d'une simple petite colline, encore pour la taper comme une manière de faire monter la tension, à l'autre main, une d'entre ses nichons qu'elle me force toujours à embrasser, à lécher comme un dingue qui s'amuse. En prévoyant des gestes plus ou moins tendu à la douceur de cette veine raidit trempé dans sa pastille creuse, elle la sort d'un sourire satisfait avec la délicatesse inoffensive pour une position accru sa majesté qui s'éclate.
Les pieds par terre, genoux pliés sur le sol, son visage tourner vers le bas, attrapé pas ses lèvres ce foutu bras de chair durement exalté ; ses joues gonflées de mon instrument sensible à la puissance des ondes sexuelles qui nous enveloppes comme un dogme sensuel d'un monde appart sous un ciel exitant. Un enfant qui tient sa sucette, cette fille pour qui j'avais tombé amoureux s'amuse à savouré ce machin porteur de seuils créateur d'un cratère dirigeable. " oh putain ! Tu m'exite Megan! J'ai hurlé, les mains qui lui tient par ses cheveux qui enfonce sa tête qu'elle avait mis en mouvement de bas vers le haut à chaque secondes en suçant ce membre qui devient de plus en plus sensible, néanmoins, que quelques fois elle fût prise d'étranglement à sa gorge réceptrice, ce concept naturel qui nous fait découvrir cette passion intensifier.
Quelques secondes de pause, enfin, pour se mettre en position latérale, les mains accrochées au sofa, je suis levé tout mouillé de sueurs, attrapant ses boules de chaires amicalement dressé au bas de son rectum et hop! Il était tellement glissé qu'il ne fallait pas une seconde avant qu'il soit pénétrer dans ce tunnel d'amour qui me fait vivre et bave ce liquide si douce et si romantique.
- c'est bien mon bébé ! Donne moi tout mon amour, défonce ma balise et fait moi sucrée avec ta membrane ! Oh bordel ! C'est profond ! Elle a crié, Megan. Je me sens réjouit et bien enfouie dans son jardin secret et sensible, mes pieds commence à trembler et j'avais ressentis ce liquide écrémé qui allait être expulsé de ce tunnel en me poussant à la taper si fort qu'elle hurla et gémit ouvertement.
Du coup, je me rappelle que j'avais pris sa virginité, c'est peut-être la raison qui m'a permis de duré longtemps avant que je puis ressentir ce désir satisfait. Me suis-je dit ultérieurement.
En faisant d'aller et retour, ce mouvement qui fait gicler mon amour, voilà mon gland qui s'échappe, sort rapidement de ce paradis de charme où coule ce désir érotique ; au bon ardeur du fantasme, tout son corps tremble et son envie avait dépassé, sa satisfaction était plus intense qu'auparavant.
Pour elle, il ne s'agit que d'une courte fatigue, un geste de recul pour se remettre à faire fondre ses désirs, domptée sous la vivacité terrible de ce bois pour se faire bien enculer. Entre ses deux matelots serrés, je remets ce membre dur et revenir sur notre ambiance; les yeux tourné comme un humain qui se métamorphose en un démon assaillant, elle tripote en secouant ses deux rondelles mollesse efféminé, malgré les secousses vorace qui génère ses reins en l'air.
" ohhh merde! Ça vient ! Ohhh. J'ai hurlé en pénétrant d'une profondeur rigoureuse.
'' hummmm ! Ouhhh! Hummm ! Elle a vociférée, Megan qui était à bout de souffle.
Je n'ai croyais pas que j'avais enfin atteint la satisfaction, Megan, avait aussi été poussée à l'orgasme rigide et vigoureuse. Elle s'est félicitée d'un regard tendre moin familier, se mettant debout avant de plonger dans mes bras pour me remercier.
L'une serré contre l'autre, je respire son parfum de charme pertinente et de rose funestes à travers sa mince corpulence. Quelques minutes avant de pouvoir reprendre la force et se remettre, Il y avait un sentiment d'appartenance qui nous retenaient et submergé autour de nous.
Megan me prend par la main en me conduisant vers la salle à manger, elle m'avait demandé de m'assoir et de patienter juste un instant pendant qu'elle allait me chercher quelque chose à boire au réfrigérateur. Faible comme un insecte pris au filet d'arachnides. Il y a une carrelage qui m'a beaucoup plû dans cette maison, elle était décorée avec de bouquets de fleurs très romantique, mes regards se vacille, après une courte instant comme prévu, elle est venue me rejoindre avec un boisson très énergétique qu'on avait pas l'habitude de boire à la maison. Surtout, mon père n'était pas à la maison, et même si ma mère allait souvent travailler elle n'avait pas trop besoin parce qu'elle consommait bien plus de jus naturel qu'elle faisait elle-même.
D'un regard tendre et doux, j'ai pris la cannette et commençait à boire, elle passait par derrière pour me masser les épaules comme une douce carresse qui allait débuté comme ça.
- tu sais Megan, il faut que je rentre chez moi maintenant. Mon père est sûrement rentré et je ne sais même pas où j'ai posé mon téléphone. J'ai dit.
- mais... On a même pas encore terminé ! S'exclame t-elle en contestant son avidité.
- j'ai laissé mes amis pas très loin d'ici, et tu sais, pour le match il nous faut du temps pour la préparation et nous sommes à la recherche d'autres joueurs pour se mettre avec nous, même si que pour moi cela risque de devenir impossible. Megan surgit, abonne ce plaisir en s'appuyant sur la table toute nue.
- le match ! Franchement j'avais drôlement oublier ça. A-t-elle répondue d'un étonnement pacifique.
- allons nous rhabiller, j'avais tellement envie de toi mon amour, mais il faut qu'on se sépare, c'est bon pour aujourd'hui. J'ai marmonné en quittant la table avec la cannette à la main. Megan me suivait marchant silencieuse, elle aurait dû me faire savoir si elle voulait que je continue ou pas, puisque je l'avais interrompue, son visage était devenu pâle mais résigné.
- Éric, je suis un peu nerveuse. Même je ne savais pas si tu allais venir mais ta présence à beaucoup eu d'effets sur moi. Je ne pense pas que tu allais partir aussi tôt ! Me dit-elle. Megan, était attristée à cause de mon départ, mais combien de temps devrais-je resté pour l'épuiser?j'ai pris le temps de la faire comprendre que moi aussi j'avais des triste larmes qui coulent à l'intérieur de moi, mon cœur ne pouvait pas résister à ce que je ressens et toute cette fraîcheur qu'elle m'a donné ne m'avais pas donné le courage de m'en aller, mais j'avais des parents et même si j'avais abandonné les parcours de ce samedi avec mes amis, à cause de mon père qui allait rentré je ne pouvais pas rester trop longtemps. Mon cœur se déchire comme un morceau de papier blanc épuisé, mes sentiments pour elle devenaient de plus en plus fort et son regard m'avait profondément affecté.
Après avoir terminé de me rhabiller, Megan, était debout devant ma face, mes yeux lisaient tout les partis de son corps et particulièrement les dessins qu'elle avait sur sa peau. Par dessus de toute ça, la seule chose qui ne pouvait me faire résister, c'était cette partie où le miel et le sucre se mélange pour faire ce partage sentimentale que sensationnel. J'avais bien envie de lui sauter dessus, mais je devrais chasser cette habitude sinon, je finirai par oublié la voie de ma maison.
- bon! Si tu veux t'en aller, d'accord ! Mais tu dois savoir que notre séance n'est pas encore terminé. Relâche t-elle en souriant. Elle avait pris son string, la mette sur ma tête en rigolant.
" j'en doute que tu vas porter ça jusqu'à chez toi! A-t-elle ajoutée en riant, montant ses sourcils et danse avec son corps sexy et tatoué. " je l'a regardais fixement, faisant semblant que je n'avais rien compris et qu'elle était sérieuse ou non. J'étais donc assis sur le sofa du salon, parce que c'est là qu'on avait tout laissé, je me suis mis debout, la cannette vide posé sur le sol bien décoré au carrelages crème et rose.
Son string sur la tête, je me demande si je ne ressemblait pas à un jongleur contrairement que je suis simple on m'appelle souvent le moine. Ouh! C'est un dégoûtant ! Je ne savais pas qu'elle aimait plaisanté, ma poupée d'amour.
- tu vas prendre ça, et l'emmener chez toi, est-ce que c'est clair ?! M'a t-elle chuchoté de sa voix douce et consolée.
Je ne croyais pas qu'elle se plaisante encore avec sa petite culotte, devrais-je vraiment porter ça sur ma tête pour aller chez moi ? Oh non, du tout pas! Pour qu'elle ne puisse pas pensée autrement, je devrais accepté de rentrer chez moi avec, mais... Bien serré dans ma poche bien sûr !
Par delà, je me rappelle que j'avais quelque chose à lui raconter, mais le temps me fait la guerre et je devais partir pour aller rencontrer mon père.
Je me rencontre après tout, que je pourrais devenir coupable si j'accepterai d'abandonner cet amour, pour Déïna, je ne sais pas ce qui va se passer mais la seule, c'est que j'aime Megan et c'est la seule qui compte aujourd'hui.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top