◾ 10 ◾

¤¤¤¤¤

Ça fait plus d'une heure qu'on roule, et ce n'est pas le chemin de la maison. Je fais que de demander où ont va, mais ils me repondent pas.

Au bout d'un certain moment, je vois qu'on arrive devant un gros grillage sécurisé. Medhi dit à travers un interphone, qu'il vient voir une certaine Madame DUPONT, et on nous ouvre le portail.

Mady roule encore quelques minutes et je vois défilé différents grand bâtiments.

Mady ce gare en face de l'un d'eux. Le plus grand. Sur ce bâtiment, je parvient à lire "centre de psychothérapie".

Euh c'est une blague? On fou quoi ici?

¤¤¤¤¤

Je regarde Mady, puis Medhi avec incompréhension.

Moi : On fait quoi ici?

Aucun d'eux deux, ne me répond. Je vois Medhi lancer un regard à Mady, puis il se décide à prendre la parole.

Medhi : C'est pour ton bien wAllah.

Je le regarde pour qu'il développe, mais ne dit rien de plus. Je fait pareil avec Mady, mais au lieux de me dire quoi que ce soit, il se contente de baisser la tête.

"Pour mon bien?" Qu'est ce qui peut être pour bien? Wallah je comprend rien.

On est devant un hôpital psychiatrique, ça j'ai comprit, mais pourquoi?

Moi : Vous m'expliquez, pourquoi on est là ?

Mady : Vient et pose pas de question s'il te plait Amina.

Il sort de la voiture suivit de son Ami. Je soupire et fait de même. Comme il me l'a demandé, je ne pose aucunes questions. Pourtant, ce n'est pas l'envie qui me manque.

Nous rentrons tout les trois dans le bâtiment et avançons jusqu'à l'accueil. Une femme, vêtu d'une blouse jaune, vient à notre rencontre lorsqu'elle nous vois.

Dès que son regard croise celui de Medhi, elle le regarde avec des gros yeux puis lui sourit chaleureusement. C'est une belle fille blanche, doté d'une belle chevelure brune et de yeux verts.

Femme : Medhi? C'est bien toi?

Medhi se gratte nerveusement la barbe puis lui sourit.

Medhi : Euh ouais...tu va bien Sarah?

Sarah : Oui très bien et toi tu m'a l'air d'aller beaucoup mieux. Alors qu'est ce qui t'emmène ici?

Medhi : J'ai rendez vous avec la directrice.

Sarah : Oh...

Elle semble être déçus et avoir de la peine pour lui.

Medhi : Non! Je te rassure c'est pas pour moi. J'en ai finit avec ce lieu, c'est pour *me montrant d'un signe de main* Amina qu'on est ici.

La fameuse Sarah semble rassuré et pose son regard sur moi puis sur Mady.

Sarah : Oh je suis vraiment impolie. Je ne me suis même pas présenté. Je suis Sarah, l'ancienne infirmière de Medhi.

Après ces courtes présentations, elle nous conduit dans le bureau de la directrice.

Je ne comprend vraiment pas ce qu'on fait la. Et pourquoi c'était l'infirmière de Medhi elle? En plus il a dit que c'est pour moi, si on est ici, mais pourquoi?

Une fois dans le bureau, une femme plutôt âgé nous accueille. C'est une femme blanche, très petite et avec quelques rondeurs. Elle me paraît strict avec ses lunettes et son chignon impeccable.

Elle nous invite à nous assoir pour ensuite prendre place face à nous.

Directrice : Medhi, c'est un plaisir de vous revoir. Tout vas pour le meilleur depuis votre sortit?

Medhi : Ouais, merci.

Mais d'où il l'a connaît et de quelle sortie parle t-elle?

Alors que je me pose toujoirs des question, je sens le regard de la directrice se poser sur moi.

Directrice : Bonjour Amina. Je suis Mme Dupuis, la directrice de cet établissement.

Ça, je l'avais déjà compris.

Moi : Euh bonjour.

Comment elle connais mon prénom déjà?

Directrice : Tu doit sûrement te demander ce que tu fait ici?

Moi : Oui.

Directrice : Tu es ici car ton frère et Medhi, ont demander ton internement ici.

Moi : Hein? Comment ça?

Directrice : Après examination de ton dossier, nous avons repéré des anomalies mentales chez toi. Tu es en dépression sévère et atteinte de tocs. Tu es ici pour une durée indéterminée.

Elle est partit très loin, "des anomalies". C'est plutôt elle qui a des anomalies mentales ouais.

Je me met à rire nerveusement.

Moi : Ptdrrr des animalies? Lol, je suis normal moi.

Directrice : Oui voilà, c'est pour cela que tu va rester ici, pour nous le prouver. Puis tu pourra retourner chez toi, auprès de tes proches.

Mais lol, c'est mort, je reste pas ici.

Moi : Mady, dit lui que je suis normal.

Il baisse la tete une nouvelle fois et ne me répond pas.

Moi : Mais parle! Genre t'as perdu la parole? Quand c'était pour me rabaisser...

La directrice ne me laisse pas finir ma phrase et me dit :

Directrice : Si ils t'ont inscrites ici, c'est parce qu'ils pensent que tu ne va pas bien et ils veulent t'aider.

Je me tourne vers les deux hommes, en qui je pensais pouvoir avoir confiance et leur lance un regard de dégoût.

Moi : Mais vous êtes sérieux? Vous voulez que je reste ici ?

Mady : C'est pour ton bien...

Moi : Pour mon bien? Mais lol, je vais très bien!

Medhi : Non, tu va pas bien, tu te fait souffrir bêtement. Tu vie plus. C'est la seule solution Amina. J'ai était moi aussi hospitalisé ici et on m'a guérie.

Moi : De toute manière vous pouvez pas me mettre ici de force.

Directrice : J'ai bien peur que si. Tout les papiers sont en ordre et tu es déjà une patiente de cette hôpital.

Moi : Mais moi je reste pas ici!

La directrice allait me répondre, mais son téléphone vibre. Elle lu le message qu'elle a reçu puis se lève de sa chaise.

Directrice : J'ai une urgence à régler, je doit vous laisser. *a mady* Mon assistance va venir vous faire signer des papier.

Elle sort de son bureau après nous avoir dit aurevoir et m'avoir souhaiter la bien venu...

Moi : Dites moi que c'est une blague votre délire lla.

Mady : Arrête Amina, c'est pour toi qu'on fait ça.

Au même moment, une petite femme rentre dans le bureaux pour faire signer des papiers à Mady. J'essaye de lui en empêcher, mais ça ne marche pas.

Dame : *À Mady * Vous pouvez maintenant y aller. Elle est désormais sous notre responsabilité.

Je vois que Medhi et Mady commencent à se lever.

Moi : Mais ptdrrr vous me laissez pas ici !

Mady : Amina complique pas les choses. Ça va bien ce passer. C'est dur, mais tu va t'y faire et vite sortir d'ici.

Moi : Et je dois rester la combien de temps?

Medhi : Ça dépend de toi.

Dame : Bon il est temps que vous partiez.

Mais tu veut quoi toi? salope!

Mady me prend dans ses bras.

Mady : Wallah c'est pour ton bien. Reste fidèle à toi même et tu va vite partir d'ici. On passerai te voir autant de fois que possible.

Il me dit ensuite doucement qu'il m'aime et qu'il est désolé pour tout. C'est la première fois qu'il me le dit et ça m'a fait pleurer comme une conne.

Après une dernier calin de sa part et un tchek de Medhi, ils quittent tout les deux le bureaux et me laisse seule avec la dame.

Je me lève de ma chaise pour sortir d'ici et me tirer, mais la dame m'attrape par le bras.

Dame : Où compte tu aller comme ça jeune fille?

Moi : Chez moi, je reste pas ici, allé bye.

Dame : Tu peut oublier ta maison ma jolie, un long séjour t'attend ici.

Moi : Lol, je sais pas qui vous êtes, mais c'est pas vous qui allez me forcer à rester ici.

Dame : Eux oui *en me montrant deux hommes à travers une vitre, baraqués à la booba*. C'est la sécurité de l'hôpital et je peut te dire qu'ils sont très efficaces. En fait, je suis la secrétaire de la directrice et je veillerai personnellement à ce que ton séjour soit long et... disons riche en émotions.

Elle s'est prise pour qui celle la? C'est juste la SECRÉTAIRE de la directrice. Même moi je suis plus importante qu'elle. Sérieusement, si elle pense que ce qu'elle m'a dit, me fait peur, bah Putain. Ça me fait plus rire qu'autre chose.

Dame : Rigole bien, dans quelques jours, tu te videras de tes larmes.

Moi : Cool.

Je me dirige vers la porte, mais elle me bloque le passage. Elle s'est décidé à me casser les couilles ou quoi?

Moi : Tu veut quoi Putain?

Elle ne me répond pas, mais sort une sorte de télécommande avec un seul bouton. Elle souris et appuis sur ce bouton. Au passage, ses dents sont affreuses, beurk!

Quelques secondes plus tard, je vois les hommes de sécurité qu'elle m'a montrer un peu plus tôt, rentrer dans le bureau.

Dame : Enmenez la dans l'aile A, en passant chez Anna, pour ses vêtements.

Les deux hommes me prennent chacun par un bras et me font sortir du bureaux avec force.

Moi : Et doucement, c'est pas vos mères qu'on acheté mon pull! Tchiip mérenté ! (= Saleté).

Ils ne me calculent pas et me font traverser un long couloir. Ils me font ensuite descendre des escaliers et nous arrivons dans une sortes de buanderie où une femme me demande assez vulgairement :

Femme : Ton nom?

Moi : "S'il te plait" ça se dit! On vous a jamais appris la politesse?

Femme : J'ai pas ton temps. Ton nom!

Moi : Moi aussi je l'ai pas tchiip.

Femme : Ton nom steuplait.

Moi : Tchiiip c'est mieux, Amina TOURÉ.

Elle se retire à l'arrière de la pièce et revient peu de temps plus tard avec une caisse en mon nom.
Elle me la passe et m'indique une porte du doigt.

Femme : Vas te changer, puis tu me passe tes vêtements.

Je prend la caisse qui est assez lourde et empreinte la porte qu'elle m'a montré.

Je dépose la caisse par terre et l'ouvre. J'y découvre des vêtements et sous vêtements, du savon...

Leurs vêtements, c'est vraiment de la merde. Dans la caisse, il y a trois long pull chelou à manches longues bleu, trois pantalons eux aussi bleu, deux longues robes mauves et une paire de sabot noir.

Je soupire puis une des deux robes avec les sabots. La robe elle est vraiment trop large, et très moche. Ils me respectent vraiment pas en me disant de porter ça.

En plus, ils abusent atrocement avec leur sabots.

Une fois habillée, je sort de la pièce et remet à la fille les vêtements que je porté et mes effets personnels à contre coeur.

Je quitte ensuite la buanderie avec les deux hommes, ma caisse à la main.

Nous sortons du bâtiment dans lequel nous étions et rentrons dans un nouveau bâtiment.

Nous traversons un long couloir, oú je vois plusieurs pièces ouvertes et c'est plutôt bruyant.

Nous passons une grande porte coulissante et nous arrivons dans un couloir contenant une dizaine de chambre.

Un des deux hommes, me jette telle une merde dans l'une des chambre.

Moi : EG MAIS D'OÙ TU ME POUSSE? TU T'ES PRIT POUR QUI TOI? IMBÉCILE!

Putain! J'aurais du fermer ma geuelle. Il s'avance vers moi et me fou une grosse claque. Je les sentit celle la.

Mais c'est des oufs ici? D'où il me frappe? C'est abusé!

Je n'ai pas le temps de dire quoi que ce soit avant qu'ils ne quittent la chambre, après l'avoir verrouillé.

Je grogne de colère et essaie d'ouvrir la porte, mais c'est peine perdu.

Je pousse un soupire de défaite et inspecte la chambre du regard.

C'est une petite chambre, avec des murs vert pommes. Sans commentaires.

La porte est transparente, et elle donne sur les chambres d'autres patients. C'est quoi ce délire à mettre des portes transparentes? Il y aucunes intimité si c'est comme ça.

La chambre est quasiment vide. Il y a un lit une place. Donc moi je vais dormir dans un lit une place? Je vais me retrouver par terre, moi quand je dort je bouge dans tout les sens et ce lit il est tout petit. À part ce lit, il y a un petit bureau ainsi qu'une armoire.

Bref, je m'assois sur ce lit et pose ma tête sur mes paumes de mains.

Honnêtement, je fou quoi dans cet endroit? C'est un endroit pour les fous, non? Donc je suis pas à ma place ici!

J'ai envie de pleurer.

En plus, on me demande pas mon avis tchiip.

Je pensais tellement, que je n'ai entendu personne entrer dans la chambre.

X : Bonjour.

Je lève la tete et vois une jeune femme d'une trentaine d'année. C'est une belle black. Elle est vêtu elle aussi d'une blouse, comme Sarah...

Moi : Bonjour.

Femme : Je suis une des infirmières de l'hôpital et je suis chargé d'établir ton bilan santé.

Elle est stressé, et elle tremble légèrement. Je sais pas pourquoi elle est dans cet état.

Moi : Ah d'accord. Mais pourquoi t'es stressé? On dirait que t'a peur. Je vais pas te faire de mal, hein.

C'est peut être déplacé de ma part de la tutoyer, mais je me sent à l'aise avec et elle ne me fait aucunes remarque à ce sujet.

Femme : Non, c'est juste qu'à chaque fois que j'examine les nouveaux patients, ils m'agressent. Mais toi, tu n'as pas l'air comme eux.

Moi : C'est normal, car comme tu la dit, je suis pas comme eux. Je sais même pas ce que je fou la.

Elle me lance un regard compatissant puis me pose quelques question à mon sujet. Par la même occasion, j'apprend qu'elle a 27 ans et qu'elle travail ici depuis trois ans.

Tout comme avec le médecin psychiatre que Medhi m'a envoyé voir, je me confie à elle. Elle ne m'a pas jugé et je lui en suis reconnaissante.

Elle me laisse seule, après avoir rédigé un bilan.

Peu de temps après son départ, la porte de ma chambre s'ouvre à nouveau et je vois la directrice.

Directrice : Alors tu es bien installé?

Voyant que je ne veut pas lui répondre, elle s'avance vers la caisse où il y a tout mes vêtements et les range dans l'armoire.

Directrice : Je sais que ce n'est pas facile pour toi, mais ça va aller.

Moi : Hum.

Directrice : Je vais t'expliquer le déroulement de tes futures journées. Chaque matin, le réveil est à huit précises, ensuite tu devras aller prendre ta douche puis prendre ton petit déjeuner. Le repas du midi est à midi pile et celii du soir est à 19h30. L'extension des feux est à 21h. Tout les repas sont obligatoire, tu doit donc être au réfectoire quoi qu'il arrive. Il y a bien sur quelques heures de detentes. Tu découvrira toutes les règles de l'établissement , en temps et en heure. Tu seras encadré par un infirmier pendant tes deux premiers jours, puis tu auras plus de liberté si ton état te le permet.

Moi : Ouais ouais, mais mon téléphone et mes objets personnels, je peut les récupérer?

Directrice : Non!

Il était catégorique son "non".

Directrice : Tu récupérera tes effets personnels lors de ta sortit. Pour l'instant tu es en période d'intégration pendant deux jours, donc tu n'aura pas un seul contact avec le monde extérieur.

Je peut pas rester ici sans mon téléphone. Je suis pas h24 dessus, mais je suporte pas de pas l'avoir près de moi.

Directrice : C'est l'heure du repas, suit moi, je t'emmène au réfectoire.

[...]

Je suis assise, seule, au réfectoire, à regarder tout ces gens.

Il y a plus de filles que de garcons. Ce sont tous des adolescents entre 13 ans et 18 ans, enfin je pense. Ils sont tous blasé de la vie miskine.

Certains sont entouré d'infirmiers, d'autres sont tout seuls comme moi.

Ça fait même pas une journée que je suis ici et je me sent déjà mal à l'aise. J'ai l'impression que tout le monde me regarde. C'est plus qu'une impression même.

Déjà, je suis la seule black au milieu de tout ces blanc. Je suis loin d'être raciste, mais comprenez moi, être la seule noir parmit une trentaine de blanc, c'est très gênant.

Je les trouvais normaux au début, mais plus maintenant. Ils me regardent comme ci j'étais une oeuvre d'arts. Bon, d'accord, j'en suis peut être une, mais arrêtez de me regarder Putain! Nan, sérieux, on dirait qu'ils on jamais vu une personne noir.

J'étais tellement ailleurs, que je n'ai pas remarqué qu'une personne s'est assise en face de moi.

X : Hey

Je lève la tete et vois qu'il s'agit de l'infirmière qui m'a examiné à mon arrivé.

Moi : Ah salut.

X : Tu va bien...euh c'est quoi prénom déjà ?

Moi : Amina.

X : Moi c'est Rokia. Tu va bien Amina?

Moi : Bof...

Rokia : Tu mange pas?

Moi : J'ai une tête à manger du riz blanc avec des épinards ?

Rokia : Il faut que tu mange ma belle, tu ne va pas tenir sinon.

Moi : Hum.

Rokia : T'inquiète pas, tu va vite quitter cette hôpital. Tu doit juste prouver que tu n'est pas folle.

Moi : Je le suis pas!

Rokia : Je sais, ça ce voit, mais c'est pas ce que ton dossier laisse croire.

Moi : De toute façon elle est perché elle.

Rokia : *Rigolant* Dit pas ça.

Moi : Mais ya un truc que je comprend pas. Si ils sont tous ici, (les patients), c'est qu'ils ont des problèmes? Quand je les regarde, ils me semblent normaux. Bon, ils me font un peu flipper quand il me dévisagent, mais ils ont pas l'air si fous que ça.

Rokia : Oh que si, ils sont pour la plupart fou. Dans leur nourriture il y a des produits les rendant gérables, l'espace de quelques heures.

Moi : Ah bon? Heureusement que j'ai pas touché à mon plat.

Rokia : Dans le tient, il y a rien ne t'inquiète pas. C'est seulement pour les plus atteints.

Moi : Ah ok merci.

Rokia : Fait attention à toi Amina.

Moi : Oui, pas besoin de me le dire.

Rokia : Je dit ça pour toi, parce que les patients sont vraiment fou, c'est des tarés, j'ai peur d'eux carrément. Ils peuvent te faire du mal donc vaut mieux que tu reste seule. Et parlons pas du personnel. Ce sont des sorciers. Méfie toi d'eux, ils disent vouloir t'aider, mais ils vont juste te rendre la vie imposible.

Moi : Merci, mais pourquoi tu me dit tout ça?

Rokia : J'ai travaillé trois ans ici et j'ai vu tout ce que les patients vivaient. Je n' en peu plus de travailler ici, ce n'est pas pour moi. Aujourd'hui c'est mon dernier jour et je préfère te dire ce qui se passe ici.

Moi : Ah merci alors.

Je suis un peu dégouté qu'elle parte, je m'etais dit qu'on serait deux noires, mais je vais rester la seule dans ce cas...

Rokia : Bon je vais te laisser, ma belle.

Moi : D'accord, bonne continuation alors.

Rokia : Merci et toi tu prend soin de toi, tu te laisse pas aller hein.

Moi : oui t'inquiète pas.

À suivre...

Votez, commentez et dites moi ce que vous pensez de la chronique svp. J'ai besoin de vos avis

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top