Chapitre n°1

La forêt est dans son silence des plus mystérieux et oppressante. Un silence qui soudain, se brise par le bruit sourd des corbeaux s'envolant loin dans la nuit, en lançant le cris rauque et perçant, dans l'obscurité de cette nuit.

A l'endroit où les oiseaux noir s'éloigne vers de lointaine contrées, des animaux sans vie, parsème le sol froid de la forêt. Leur corps ont été vider de leur sang, on aperçoit quelques goutte vermeille à côté de leur cadavre et deux troue se trouvant sur leur nuque.

A quelques pas, une étrange silhouette grande, vêtu d'une longue cape noir marche de façon calme, sans le moindre but précis.

Elle avance, et à chaque pas, un silence des plus terrifiant tombe sur les lieux en remplaçant les cris de douleur d'animaux au porte de la mort.

P.V.D Encre :

Je marche, marche et marche vite dans cette sombre et trop effrayante de forêt ! Je pourrais courir mais cela m'épuiserais plus vite et je risquerais de tomber avec le sol gelé.

Depuis combien de temps suis-je ici ? Depuis combien de minutes ou heures je fuis Underville ? Je l'ignore...Je suppose deux-trois heures vu l'obscurité ambiant. Sur ce que je peux me fié, c'est que je dois être très éloigné de la ville maintenant. Je sens que la faim et la fatigue me gagne petit à petit.

Je prends la décision de m'arrêter pour me reposer un peu et me rassasié mon ventre qui ne fait que hurler "famine" depuis au moins une bonne heure.

Je m'assoie lentement contre un arbre, sors de mon sac en cuir vieux un pain dure et le mange. Lorsque je finis de manger, je nettoie les miettes que je me suis mise dessus.

Je pourrais faire un petit somme après...Non ! Il ne faut pas que je m'endors ! Il faut que je sois certains d'être en sécurité dans une autre cité.

Je prends donc l'initiative de regarder les alentours.Je scrute les lieux. Je remarque que je me situe dans une clairière éclairée d'une douce lueur, entourée de fleurs jaunes et bleues dont la Lune les embellissent à merveille !

Je prends alors de ma bécasse en cuir mon matériel de dessins. Pinceaux, palette de peinture, crayons gras, feuilles blanches,...

Je prends une feuille blanche en mains, me positionne en face de ce sublime décors et commence à peindre ce paysage de conte.

Je continue de finaliser ma nouvelle œuvre avec tout mon ardeur d'artiste lorsque soudain, j'entends des cris d'oiseaux, comme une plainte lointaine, venant d'environ une centaine de mètre de moi.

Je ressent mon âme se serrer et commence à paniquer un peu. J'angoisse à l'idée qu'une créature démoniaque est dans les alentour !

Je me souviens d'un coup que la forêt ou je suis actuellement est réputé pour être "hanté". Qu'elle serait l'endroit où abriterais de terrible bête et créature mythologique, même si je n'y crois à moitié .Malheureusement, je pense que je commence à douter sur le fait que les habitants avait peut être pas tord...

Je commence à ranger mes affaires dans mon sac de cuir. Mes pinceaux et le reste de mes outils pour l'art ont vite retrouver leur place dans la bécasse. Je ne veux pas m'attarder plus longtemps ici.

Je ne sais pas exactement la raison de ma précipitation mais j'ai l'instinct que je dois partit ou même fuir au plus vite !

D'un coup, j'aperçois un renard tout jeune courir dans la clairière en couinant de peur. A ce moment là...Je ressent une présence à quelques mètres de moi...

P.V.D omniscient :

Le corps squelettique d'Encre se fige d'un coup, dure comme un roc. Son sang se glace à une vitesse phénoménale.

La grande silhouette marche à pas lent vers le jeune peintre, d'un pas déterminer, telle un prédateur. Il est assoiffé de sang et recherche juste une proie pouvant comblé cette soif grandissante. Ses crocs sortant de sa mâchoire pour être à la vue de sa prochaine victime, il approche à pas de loup, gardant léger sourire malsain sur ces lèvres.

"-Tu n'as pas la moindre issu petit mortel~." murmure d'une voix sec et dominante l'inconnue

L'artiste panique dans tout son être. Cette voix le fait frissonner dans tout son âme ! Encre se retourne brusquement et commence à marcher en arrière, par peur et en voulant fuir, vite !

"-Qui...Qui êtes vous ?"demande Encre avec le peu de courage qui lui reste

"- Pourquoi je vous le dirait-je ? Un mortel en plus ?" réponds la silhouette avec un ton railleur

L'individu venant s'approcher encore après avoir finis sa phrases, en ouvrant lentement la mâchoire. Ce qui dévoile ses canines au peintre.

"- Ce que je voulais se trouve juste devant moi. Une proie si pur... A l'odeur si alléchante, excitante." dit-il d'une voix de félin prêt sauter sur Encre à tout moment

Il s'avance doucement mais dangereusement, ses pas n'émettant aucun son. Sa cape danse et vole par la force du vent de novembre qui souffle. La clairière devient de plus en plus sombre et l'ambiance devient des plus oppressant.

Encre essaye de reculer, lentement. Mais il sais que fuir ne lui servira à rien, l'inconnue le rattrapera en quelques secondes. Puis, le peintre aperçoit de longues canine blanche qui luisent sous la lueur de l'astre lunaire.

"Ce n'est pas un mortel, pense Encre à l'instant même, C'est...Un vampire ! "

Le peintre qui ne crois pas vraiment à ces légendes, se retrouve confronté à un vampire, juste devant lui, prêt à le tuer !

"-...Vous êtes...Un vampire...Laisser moi tranquille !!" balbutie Encre par la peur

"-Oui, j'en suis bien un. Non, je vais juste mordre, et... T'amener dans ma demeure !" réponds le vampire d'une voix très prédatrice et dominante

Le vampire plaque violemment Encre contre un arbre et le regard de ses yeux jaunes en rapprochant dangereusement ses canine pointues aux cervicales du peintre. Un souffle chaude souffle doucement sur Encre au niveau de son cou et le vampire, gardant toujours un petit sourire, effleure les cervicales de l'artiste, jouant avec la peur et l'appréhension d'Encre.

"-J-je vous en supplie, ne me faite pas de mal...Je-je...Je...Je vous donnerais toute mes économies ! Mais je vous en pris, lai-laisser moi être libre !" dis le peintre ayant les larmes qui commence à apparaitre aux coin de ses yeux

"- Je veux pas te faire du mal... Mais juste une petit chose... Chez moi tu obtiendra tout se que tu désira..."

Lorsqu'il termine de prononcé sa phrase, le vampire plante ses canine dans le cou d'Encre, pour absorbé sont sang.

Une vive douleur submerge Encre à l'instant où le vampire le mords. Le peintre, totalement paniqué par le faite que le vampire absorbe son sang, il essaye de se débattre.

"-Arr-arrêtez, je...S'il vous plait !" supplie Encre

Malheureusement, le vampire n'étant pas de cette avis, continu de boire le sang de sa victime, avec plus d'excitation. La "proie" du vampire, essaye de s'échapper encore mais plus il se débat, plus la douleur devient grande et même violente.

Au bout d'un moment, Encre se rends compte que quoi qu'il advienne, il ne pourra s'en sortir de cette situation. Il commence à se sentir de plus en plus faible et arrive à peine à voir tellement sa vue se brouille. Petit à petit, l'artiste ne sent plus ses membres, sachant qu'il va ne plus avoir de force, dit sous un dernier effort de supplication :

"-Laissez.....Moi...Partir..."

Puis Encre apercevant seulement que du noir, perds conscience.

Le vampire se cesse de boire le sang du peintre et le le regarde attentivement. Il prends Encre dans ses bras, le porte avec la plus grande délicatesse.

"-Hmm... Sont sang était plutôt appétissant ou même...Délicieux. Je n'avais goûter de sang aussi pur et personne de l'aura !"Dit-il en murmurant, gardant le peintre précieusement dans ses bras

Le vampire avance, prends les affaires du peintre et pars vers son manoir...La nouvelle demeure d'Encre.


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