Victoire
Bonjour à tous !
J'espère que vous allez bien et que vous passez une bonne journée. Voici un des derniers chapitres de ce tome ! (Et oui déjà). Je suis désolée de mon retard, mais je n'ai plus vraiment de temps libre avec les cours et les activités.
J'espère qu'il vous plaira et n'hésitez pas à me donner votre avis !
Bonne lecture !
La lumière blanche et éblouissante, baisse soudainement en clarté. Je ferme les yeux de toutes mes forces, préférant ne pas regarder ce qu'il se passe. je sen des courants d'airs et des flashs lumineux de toutes part, avant de sentir le sol sous mes pieds, et la lumière redevenir normale. J'ose ouvrir les yeux, et je suis subjuguée par ce qui s'offre à moi.
Un autre monde.
Je me trouve là, au beau milieu d'une plaine verdoyante et couverte de fleurs de toutes couleurs apparentes. Des roches se dressent à ma droite, laissant couler une petite cascade, qui se termine dans une grande marre, à l'eau cristalline. Je relève les yeux, avançant doucement. Une étendue d'arbres verts sapins s'étend à perte de vue, entourée de montagnes enneigées à leur sommet. Le ciel est bleu, aucun nuage e vient cacher sa belle couleur. Le soleil tape au dessus de ma tête, mais pourtant il ne brûle pas. Ses rayons viennent gentiment caresser ma peau, me procurant un petit frisson de bien être.
Un immense sourire prend place sur mon visage, face à ce spectacle incroyable. J'ai l'impression de flotter entre le temps, et que rien ne peut m'atteindre. J'observe mes mains, puis mon corps, pour découvrir que je porte des habits différent des miens. Cela ressemble à une sorte d'ensemble royal, propre et lisse. Il est semblable à une tenue de guerre sans en montrer le pouvoir. (un peu comme la tenue de Glorfindel)
Je me retourne, apercevant ce même paysage qui s'tendant derrière moi également. Aucune trace de la porte. La porte ? La clé ! Je passe rapidement ma main autour de mon cou, et souffle de soulagement en sentent le métal de l'objet contre ma paume. Je souris, sentant aussi le collier du prince. Mon visage se referme aussitôt, mes yeux humides commençant à se flouter.
?? - Mon enfant, ne pleurs pas...
Je relève brutalement la tête, découvrant une elfe, assise sur le rebord d'un muret, passant ses mains dans l'eau pure de la marre. Je ne détache pas mes yeux d'elle, croyant rêver, alors qu'elle me regarde.
Moi - Mère ?...
Elle me sourit tendrement, tendant une main vers moi.
Celebrian - Mon enfant...
Je m'élance en courant, enjambant quelques obstacles, avant de me jeter dans ses bras, les larmes coulant à flots.
Moi - Maman...
Elle se décale, me laissant m'assoir, caressant mes cheveux avec une main, me serrant contre elle de l'autre.
Celebrian - Amarie, ma fille, comme tu as grandis...
Sa voix mélodieuse et irréelle me fait sourire, m'apaisant. J'essuie mes larmes, alors qu'elle prend doucement mon visage entre ses mains. Ma mère est là, Celebrian est là ! Je n'arrive pas à y croire. C'est tout bonnement impossible.
Moi - Comment est-ce possible ?
Celebrian - Rien n'est impossible.
Je baisse les yeux vers la clé de grand mère, comprenant que c'est seulement l'esprit de ma mère qui est présent. Mais cela me fait chaud au cœur, mais pas très longtemps.
Moi - Mère, Legolas... il, il est mourant...
Les larmes recommencent à couler, mais elle s'empresse de les essuyer.
Moi - Tu.. tu ne vas le laisser mourir hein ?...
Elle me sourit, et je vois dans ses yeux qu'elle à l'impression de retrouver la jeune fille que j'étais à l'époque.
Celebrian - C'est à toi de décider de le sauver, ou non.
Moi - Je ne veux pas qu'il meurt !
Elle sourit et rit face à ma réaction trop rapide à mon gout.
Celebrian - Varda avait raison alors.
Moi - Comment cela ?
Celebrian - Es tu proche du prince ?
Je ne réponds rien, ne comprenant pas.
Celebrian - L'aimes tu ?
Mes joues prennent une couleur rosée, tandis que je bafouille de gêne.
Moi - Eh...je...je, peut être ?
Elle sourit grandement, tandis que ses yeux s'illuminent.
Celebrian - Tu n'as pas à être gênée, tu peux tout me dire, tu le sais.
Moi - Et bien... je souffle un coup, avant de finalement déclarer, Je crois ben que je l'aime...
Celebrian - Alors choisis ton destin.
Je comprends tout à coup le sens de notre conversation.
Celebrian - Tu dois faire ton choix à présent. Quel vie choisis tu ?
Je me pince les lèvres hésitant.
Moi - Si je fais le mauvais choix, Legolas mourra t-il ?
Elle ouvre grand les yeux.
Celebrian - Bien sur que non ! Tu le sauveras dans n'importe quel cas si c'est ce que tu souhaites. Mais en faisant ton choix, tu dois comprendre ce qui en dépendra.
Je ferme les yeux, pesant le pour et le contre, mais au fond de moi, j'ai déjà choisis depuis longtemps.
Celebrian - Il n'y a pas de bon ou de mauvais choix. Il n'y a pas de bon ou de mauvais chemin. Il y a juste le tiens. Suis le, et tu seras heureuse.
Je tourne lentement ma tête vers elle, prenant ses mains dans les miennes.
Moi - Je choisis l'immortalité.
Celebrian - Tu ne pourras revenir sur ton choix.
Moi - Je le sais, mais je ne veux pas abandonner les personnes auxquelles je tiens le plus au monde.
Elle me sourit grandement, alors qu'un bruit sourd retenti. Une porte apparaît devant nous comme par magie, tandis qu'une silhouette se dessine à côté de celle ci. Varda.
Varda - Il est temps de partir mon enfant. Tu as encore bons nombres de choses à accomplir.
Je tourne un regard vers ma mère. Ni paniquée, ni triste, ni en colère. Un simple regard d'adieu. Je me lève doucement, alors que j'aperçois la tristesse de me voir partir.
Celebrian - A ton retour, tu sauras comment guérir le prince.
J'hoche la tête, avançant vers cette porte.
Celebrian - Amarie.
Moi - Mère ?
Celebrian - N'hésite pas à lui parler surtout, il ressent la même chose.
Je souris, essayant de ne pas rougir.
Celebrian - Vas, nous veillons sur toi.
Je passe la porte sous les regards des deux femmes. La lumière et le sensation de voler se fait de nouveau ressentir, mais je ne crains plus rien à présent.
.................
Le bruit sourd des soldats se fait à nouveau entendre. j'observe rapidement autour de moi, revenant au moment précis où je suis partie. Les soldats barricadant les portes avec l'aide du nain, des deux elfes et du rôdeur. Haldir tient toujours la tête du prince, voulant soulager sa douleur. Je le regarde, alors qu'il me sourit.
Haldir - L'immortalité ?
Moi - Bien sûr.
Il sourit, avant que je prenne place, les mains au dessus du prince souffrant. Soudainement, je perçois une voix fine dans ma tête, qui me donne des indications que je suis sans réfléchir. Une lumière blanche commence à sortir de mes mains, attirant le regard de quelques curieux non loin de nous. Le brume vient délicatement se poser sur le corps du blond, trouvant son chemin vers la blessure. Elle s'accumule autour, avant de prendre plus d'ampleur et de se rétractée. Et le miracle se produit. Doucement, elle tombe dans le trou causé par la blessure, et se regroupe lentement vers le centre, apportant avec elle une peau complétement neuve. La blessure se referme, le lumière finissant par disparaître. A présent, il n'y a plus aucune trace de blessure visible. On pourrait croire qu'il n'est jamais rien arrivé.
Haldirt me regarde, surpris, alors que l'elfe émerge doucement. Il passe sa main sur son ventre, et relève la tête, surpris lui aussi de ne rien voir. Il me regarde, baissant sa chemise.
Legolas - Comment est-ce possible ?
Moi - Varda.
Il ne dit rien, mais sourit simplement, comme s'il était déjà au courant. Je le fixe aussi, n'arrivant pas a détacher mon regard. Je repense aux paroles de la Valar et de ma mère, et viens à me demander si le prince m'aime vraiment lui aussi. Je me remémore tous nos moments passés ensemble, toutes les réactions du prince, et la question s'impose encore plus en moi. Alors je décide d'agir inconsciemment. Je me jette dans les bras du prince, le serrant de toutes mes forces contre moi. Il ne manque pas de faire de même. Finrod, Varhiendil et Gimli qui viennent d'arriver vers nous, observent le prince avec de grands yeux, voyant qu'il n'a plus rien, avant de me regarder. J'entends le nain rire du fais que nous soyons serrés l'un contre l'autre.
Un tremblement me fais revenir à moi, me sortant par la même occasion de mon nuage. Je méloigne du prince, toute rouge de cette situation assez gênante. Les Uruk ne cessent de frapper contre les grandes portes, toujours avec plus de force. je m'élance en courant vers Aragorn, laissant les autres à leur stupéfaction. Le rôdeur m'accueille avec une tape amical sur l'épaule, je m'étonne qu'il ne dise rien.
Aragorn - Il n'y a rien à dire. Nous savons aussi bien que l'un comme l'autre ce qu'il c'est passé.
Il sourit légèrement, tandis que je le sers rapidement contre moi, le remerciant de comprendre et de me soutenir.
Moi - Il faut renforcer la porte !
Je vais aider des soldats à casser des poutres non porteuses, les plaquant ensuite contre les portes. Nos amis, ayant repris le court des choses, viennent nous aider.
Theoden - Le forteresse est prise. Tout est fini.
je me retourne brusquement vers lui, un grand coup de la porte m'obligeant à pousser avec mes pieds de toutes mes forces. Alors que je vais répliquer, le dunedain me devance.
Aragorn - Vous avez dit que cette forteresse ne tomberait pas tant que vos hommes la défendraient !!! Ils la défendent encore !!! Ils sont morts en la défendant !!!
Je ne me souviens pas avoir déjà vu le rôdeur aussi énervé. Et j'ai une bonne mémoire. Il semble se calmer un peu, s'écartant de la porte pour aller vers le roi, qui lui semble déboussolé.
Aragorn - N'y a t-il pas un autre moyen pour les femmes et les enfants de sortir des cavernes ? Y a t-il une autre issue ?
Theoden ne répond rien, mais Gamelin, le second du roi s'avance.
Gamelin - Il existe un passage. Il conduit dans les montagnes. Mais ils n'iront pas loin, les Uruk-haï sont trop nombreux !
Varhiendil - Faîtes dire aux femmes aux femmes et aux enfants de passer par les montagnes !
Finrod - Et barricadez l'entrée !
Aragorn hoche la tête, faisant signe aux soldats.
Legolas - Vas avec eux Amarie !
Je me tourne vers le blond qui se trouve avec les autres soldats auprès de la porte.
Moi - Quoi ? Non !
Legolas - Je ne veux pas te voir parmi tous ces morts !
Moi - Parce que j'ai envie de t'y voir moi peut être ?!
Il ne répond rien, mais le roi coupe notre désaccord.
Theoden - Autant de morts... mais que peuvent les Hommes face à tant de haine ?
Un petit silence se fait. Les cheveux qui ont été amenés ici se dirigent vers nous. Je fixe le roi, tandis que Maeg pose sa tête sur mon épaule.
Aragorn - Venez avec moi. Venez à leur rencontre.
Theoden - Pour la mort et la gloire.
Aragorn - Pour le Rohan. Pour votre peuple.
Le nain coupe le roi qui allait répondre.
Gimli - Le soleil se lève.
Je tourne la tête vers la petite meurtrière, laissant entrevoir les rayons fins du soleil levant.
Moi - Attendez ma venue aux premières lueurs du cinquième jour. A l'aube, regardez à l'Est.
Je tourne la tête vers les autres et surtout vers le roi, qui se remémorent aussi les paroles de Gandalf avant son départ. Une lueur nouvelle apparaît dans notre regard à tous.
Theoden - Le cor de Helm, mes amis, va retentir dans le Gouffre une dernière fois !
Il pose sa main sur l'épaule du rôdeur, tandis que Varhiendil et Finrod se postent à mes côtés.
Theoden - Voici l'heure venue, de tirer l'épée ensemble.
Aragorn sort la sienne de son fourreau, suivit par le roi, tandis que je dégaine rapidement mon épée, la faisant tourner un coup dans ma main. Finrod et Varhiendil prennent leur épées aussi.
Gimli - Cruauté réveille toi, qu'importe le courroux ! Qu'importe la ruine ! Et que l'aube soit rouge !
Moi - A l'attaque mes amis !
Finrod sourit, imité par le fils d'Haldir. Ce dernier c'est approché de nous, saisissant son épée à son tour.
Haldir - C'est avec joie que les elfes et moi nous battons à nouveau à vos côtés.
Theoden - Pour Eorlingas !
Le nain court jusqu'en haut d'une tour, le cor du Gouffre de Helm y trônant de toute se splendeur. Je me dépêche de monter sur le dos de Maeg, tandis que Aragorn monte sur Arod, Legolas sur Hasufel, Varhiendil sur Midas et Finrod sur Aduial. je me positionne en tête, à la gauche du roi.
Alors que le nain souffle fortement dans le cor, faisant résonner sa mélodie à travers les plaines, Maeg hennit et se cabre, fonçant vers les portes désormais ouvertes. Les Uruk, surpris de nous voir passer au triple galop dans le For, n'essaient même pas de nous arrêter. Je lâche un cri de guerre, répercuté par mes deux meilleurs amis. Aragorn sourit à mes côtés, alors qu'il fait tourner son épée, tuant autant d'Uruk que possible.
la bataille reprend à nouveau, mais cette fois ci nous avons l'avantage de l'effet de surprise. Les Uruk peinent à nous arrêter. Un cri se fait entendre. Trois soldats tombés à terre se font encerclés par des ennemis, s'apprêtant à se faire achever. Une lumière illumine mes mains, ma clé et mon ornement. Je donne un violent coup d'épée. La lumière blanche jaillit fortement de mon arme, et propulse tous les ennemis sur une ronde proche de moi, à plusieurs mètres. Je regarde mes mains.
Moi - Hannon le naneth... (merci mère...)
Je me cramponne plus fermement sur mon étalon noir, jouant des poignées, et faisant tourner mon épée de tous les côtés. Un sourire aux lèvres je nous voit progresser au sein des ennemis. Mais ils sont trop nombreux. Nous nous battons avec hargne, quand une vive lueur blanche et éblouissante se fait apercevoir en haut de la colline.
Moi - Gandalf...
Gris Poil se cabre, alors qu'un homme arrive à ses côtés. Je reconnais le cavalier que nous avons rencontré dans notre poursuite, et qui nous a confier Arod et Hasufel. Il lève son épée vers le ciel, le soleil la reflétant.
?? - Rohirrims !!!
Une horde de cavaliers apparait alors derrière lui, sous les yeux ébahis. L'armée du Rohan.
?? - Pour le roi !!!
Le magicien et l'Homme s'élancent au galop, dévalant la colline à toute vitesse, rapidement suivis par l'armée.
Les Uruk changent de position, et nous laisse du répits fonçant à présent sur les cavaliers du Rohan. Je laisse mes amis derrière moi, et j'élance Maeg au galop, seule. J'entends mes compagnons me crier de revenir, mais je ne les écoute pas et passe les portes du For. Le bord de la plaine étant désert à par les cadavres quo jonchent le sol, je fonce, la lumière blanche recommençant à apparaitre. De leur côté, le soleil se met à briller plus fort sur l'armée de galandage tandis qu'ils entrent en collision avec les troupes de Saroumane. Alors que tel une fourmilière, ils se combattent par milliers, je commence à dessiner un cercle autour des ennemis.
Quand ces derniers s'en rendent compte, au bout d'une bonne quinzaine de minutes, il se dirigent vers moi en courant. Mais ils sont bien bêtes, n'ayant pas compris ce que j'ai fais. Ils sont piégés, enfermés entre le Gouffre de Helm, l'armée de Gandalf, et moi. Mon étalon noir se cabre de toutes sa hauteur, tandis que je lève mon épée le plus haut possible. Une lumière blanche en émergé, apportant une vague silhouette avec elle. Ma mère venu m'aider à travers ce combat, elle repose tous les Uruk, les tuant sous le choque, alors que ceux ci ne la vois pas.
Cela ne prend que quelques minutes, et alors qu'ils ne reste plus que quelques centaines d'Uruk, Maeg part au galop. Ils se mettent à partir en courant, vers une des seules issues possible qui a été volontairement laissée libre par le magicien. je les pourchasse avec l'aide des quelques cavaliers, les faisant reculer. Je m'arrête en haut de la bute, aux côtés du mage, notre armée derrière nous.
Gandalf - ne vous approchez pas des arbres !
Tous nos alliés cessent leur poursuite, ouvrant grand les yeux. Les arbres avancent. La forêt de Fangorn a répondu présente. Les Ents se sont réveillés. Je tourne la tête vers le mage qui sourit, avant,t de me reconcentrer sur ces pitoyables Uruk-haï qui courent bêtement à leur perte. Les arbres qui se sont arrêtés, semblent tranquillement attendre que leur ennemies viennent à eux. Un fois tous les ennemis disparu à travers les arbres, ceux qui se mettent soudainement à remuer dans tous les sens, des racines volant de toutes parts. On entend seulement les cris d'agonie des Uruk, transpercés de toutes parts par les êtres des forêts. Les arbres grondèrent, avant de se retirer vers leur habitat naturel, les plaines redevenant désertes, et laissant apercevoir les cadavres des Uruk. Les troupes de Saroumane sont décimées.
Moi - Vous êtes allez chercher les Ents ?
Gandalf - Ils se sont rendus a quel point ils étaient forts.
Je souris, entendant les mêmes mots que la fois où nous l'avions retrouvé.
Voilà pour ce chapitre ! J'espère qu'il vous a plu ! Plus qu'un chapitre encore et ce 2e tome sera terminé XD
N'hésitez pas à me donner votre avis et à voter !
Et veuillez m'excuser de ne pas pouvoir poster souvent.
Bonne journée ;)
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