Les loups de l'Isengard
Bonjour, bonsoir à tous !
Je suis comme toujours heureuse de vous revoir. J'espère que vous allez bien et que ce chapitre vous plaira. N'hésitez pas à commenter et à voter !
J'aimerai beaucoup avoir vos avis concernant mon histoire, pour savoir si j'ai des choses à améliorer !
Rappel : langage courant, langage elfique
Bonne lecture à tous et à toutes <3
La route s'annonçant longue, surtout avec tout un peuple, d'enfants de femmes et d'âgés, il va nous falloir une bonne journée pour arriver à destination. Aragorn et Legolas étant occupés avec le roi, je laisse la surveillance du cortège à Finrod et Varhiendil. Je me déplace de long en large du cortège, vérifiant que tout le monde suit. Je porte quelques fois des enfants sur le dos de mon cheval, laissant un peu de répits aux parents. Mais je dois avouer, que la plus part du temps, c'est Yeva qui tient à rester avec moi. cette petite, débordant de bonheur malgré l'absence de ses parents, me fascine au plus haut point. Je comprends à présent ce que ressent Varhiendil face à ce peuple. Celui ci est d'ailleurs aux anges, bien que vigilant.
Tandis que je remonte vers l'avant du cortège, je me cale aux côtés du nain sur son cheval blanc, accompagné d'Eowyn qui elle, marche à pieds.
Gimli - En effet, on ne voit que peu de femmes nains. En réalité, elles sont si proches au niveau de la voix et de l'apparence, qu'on les confond souvent avec les hommes nains !
Eowyn se tourne vers Aragorn qui lui mime une longue barbe de nain, chuchotant pour ne pas que Gimli entende..
Aragorn - C'est la barbe !
Cela nous fait bien rire. C'est fantastique de trouver des moments de joie dans des moments de la sorte. La petite Yeva, qui semble comprendre seulement quelques instants plus tard, rit aux éclats, me perçant les tympans. Aragorn qui a vu la scène rit aussi, attirant désormais le regard de tous sur nous.
Gimli - Et de ce fait, il c'est même créé une rumeur qui dit qu'il n'y a pas de femmes nains, et que les nains, jaillissent des trous qu'il y a dans le sol ! Ce qui est naturellement ridicule !
Le nain et la rohirrim explosent de rire, ce qui effraie le cheval de Gimli, qui part d'un seul coup au galop. Gimli perd l'équilibre et tombe au sol, ce qui fait redoubler notre rire.
Moi - Rien de cassé maître nain ?
Eowyn se précipite vers lui, tandis qu'il se relève durement, marmonnant.
Gimli - Ça va bien, ça va très bien ! Pas de panique ! C'était délibéré, je l'ai fait exprès !
Moi - Ne vous en faite pas, nous vous croyons !
Je ris devant l'air vexé du nain, rejointe par mes camarades et quelques habitants d'Edoras. Je fais descendre la petite Yeva aux côtés d'Eowyn et de son frère, avant de m'élancer vers l'avant du cortège où se trouvent les trois elfes, le dunedain et le roi. Je parle avec eux de notre itinéraire, quand le roi ordonne de faire une halte. Tout le monde s'installe là où il le peut, se serrant. J'enlève l'harnachement de Maeg, le laissant à l'air libre quelques instants. Je passe ensuite entre les rangs formés par les rohirrims, les aidant de temps à autre. Je finis par revenir à mon point de départ, une demi heure plus tard, où sont désormais installés mes compagnons, autour d'un feu. Je m'assois à côté de Legolas qui me tend une assiette, profitant de ce repas. Mes deux fidèles amis rient d'âneries en compagnie du nain, me faisant sourire. Mais je me rend compte qu'il manque quelqu'un.
Moi - Où est Aragorn ?
Le prince me fait un signe de tête vers un petit rocher, où est assis le rôdeur, perdu dans ses pensées. Tout à coup, le jeune Eowyn se dirige vers lui, lui proposant du ragout. Je relève la tête, observant et tendant l'oreille.
Eowyn - J'ai fait un ragoût. Il y en a peu mais c'est chaud...
Le rôdeur accepte, lui faisant plaisir. Je souris face à l'air tout gêné de la jeune femme. Il en prit une gorgée, et lui sourit, cachant une grimace de dégout. Je ris un peu, faisant tourner le regarde de Legolas vers la scène. Aragorn parle à la jeune femme, avant que celle ci ne se retourne. Il s'empresse de verser le contenu du bol sur le sol, et dès qu'Eowyn reporte son attention sur lui, il lui sourit, faisant comme si de rien n'était.
Eowyn - Mon m'a dit une chose vraiment étrange. Il a dit que vous étiez à la guerre aux côtés de Thengel, mon grand père ! Il a du se tromper !
Je souris, Theoden ne s'étant pas trompé. Le blond me regarde, partageant la même pensée que moi, amusé. Le rôdeur semble soupirer puis répond.
Aragorn - Le roi Theoden a bonne mémoire. Ce n'était qu'un petit garçons à cette époque.
Le jeune femme ouvre grand les yeux, ahurit de cette nouvelle.
Eowyn - Alors vous avez au moins soixante ans ?! Soixante dix ?! Vous n'avez pas quatre vingt ans ?!
Je souris, sachant qu'Aragorn n'aime pas parler de son âge, qui dévoile sa nature de dunedain et non de simple homme.
Aragorn - Quatre vingt sept.
Je ris de cette scène iconique, tout comme le prince qui sourit. Eowyn n'en revient pas, et peine à trouver ses mots. Le rôdeur me fait signe de ne rien dire, ce que je fais avec le plus regret. J'aimerai pourvoir le taquiner.
Eowyn - Vous êtes l'un des dunedains, un descendant de Numenor, béni d'une longue vie ! On m'a dit que votre peuple était entré dans la légende.
Aragorn - Il ne reste très peu d'entre nous. Le royaume du Nord a été détruit il y a longtemps.
Eowyn - Je suis désolée...
Elle baisse les yeux vers le bol vide d'Aragorn, le resservant sous le regard désespéré du rôdeur.
Eowyn - Mangez !
Il se force à prendre une cuillère, tandis que la jeune femme observe l'horizon. Je souris décidant de les laisser, mais c'est sans compter sur Eowyn qui vient s'assoir à côtés de nous. Elles nous regardent, un peu impressionnée de voir quatre elfes et un nain. Elle nous propose du ragoût mais nous déclinons gentiment l'offre, lui; montrant nos assiettes vides.
Eowyn - Êtes vous de la même famille ?
Je relève la tête, comprenant qu'elle parle des elfes.
Moi - Et bien non, nous sommes tous de différente famille, bien que Finrod et moi venons du même royaume.
Eowyn - Vous vous ressemblez. Vous êtes tous deux bruns.
Je souris face à la remarque de la femme, sachant en tant qu'elfes que la couleur des cheveux ne veut absolument rien dire.
Finrod - Amarie et moi même venons d'Imladris, alors que Varhiendil vient de Lothlorien et le prince Legolas de la Forêt Noire.
Eowyn boit ses paroles, fascinée, retenant chaque détail.
Finrod - La couleur de cheveux n'est pas propice à notre lieu de naissance. Ni quoi que ce soit d'ailleurs.
Varhiendil - En général, nous arrivons a nous différencier selon nos caractères et comportements.
Eowyn - Vraiment ? Comment ?
Moi - Les elfes d'Imladris et de Lorien sont en général plus dans une idée de s'instruire et de préserver son environnement, contrairement à ceux de la Forêt Noire qui sont plus combatifs. Ils mangent aussi de la viande contrairement à nous.
Le jeune femme turne la tête vers Legolas qu hoche la tête, confirmant mes dires.
Legolas - Et les elfes d'Imladris sont plus portés sur les traditions musicales et littéraires que les autres.
Eowyn hoche la tête, avant de me regarder.
Eowyn - Vous venez d'Imladris dîtes vous ? Cela est amusant, je vous voyais plutôt comme une elfe de la Forêt Noire d'après ce que vous me dîtes.
Sa remarque fait rire mes deux meilleurs amis et le nain, tandis que je souris, un peu gênée
Moi - Nous sommes tous différents malgré l'image de notre peuple.
Elle ne répond rien, méditant sur nos paroles. Le nain se, lève en compagnie de Finrod et Varhiendil pour aller vérifier les environs pour la nuit, tandis que je reste avec la jeune femme, l'aidant à ramasser la vaisselle autour ne notre feu. Legolas c'est légèrement éloigné, allant s'occuper d'Hasufel qui se trouve quelques mètres plus loin seulement. Eowyn me regarde, en me disant.
Eowyn - Tu peux laisser, je m'en occupe.
Moi - Je tiens à t'aider.
Le jeune femme me montre d'un geste de la main le prince sylvestre, ce qui me fait froncer les sourcils.
Eowyn - Tu ne veux pas rejoindre ton compagnon ?
Moi - Quoi ?
Eowyn - Legolas.
Je tousse, avalant ma salive de travers. Le prince a aussi tourné la tête vers nous, entendant très bien notre discussion.
Moi - Pardon ?
Eowyn - Oh excuse moi ! J'ai vraiment cru que vous étiez ensemble, je suis désolée !
Je toussote, reprenant mes esprits.
Moi - Pourquoi penses tu cela ?
Eowyn - Vous semblez assez proches et vous vous comprenez toujours sans dire un mot, comme si vous étiez fusionnels. Et tu n'arrêtes pas de sourire quand tu le vois.
Je rougis fortement, prenant grand soin de ne pas tourner la tête vers le prince.
Eowyn - Et lui aussi d'ailleurs...
Je peux cette fois apercevoir du coin de l'œil le blond rougir, mais il ne dit rien, faisant semblant de ne pas avoir entendu.
Moi - Et bien non, nous ne sommes pas ensemble. Tu te trompes.
Eowyn - D'accord, désolée.
Je pars ensuite me coucher, troublée.
Le lendemain, nous reprenons notre route vers le Gouffre, lentement. Tandis que l'on s'approche, je ressens comme un mauvais pressentiment. Je m'avance vers les trois elfes, leur faisant part de mon ressentit, apparemment partagé. Je décide donc d'aller vers le roi.
Moi - Nous allons arriver au passage à travers les montagnes, mon seigneur. Saroumane a probablement du anticiper notre passage ici. Nous avons des chances d'être attaqués. Il faut protéger le peuple.
Le roi me regarde durement, non content que je lui donne des indications.
Theoden - Et que proposez vous ?
Moi - Des éclaireurs.
Le rohirrim hoche la tête, envoyant un de ses soldat et Hàma pour m'accompagner, moi et le prince. J'élance Maeg au galop, suivis par les les deux rohirrims et Legolas, qui lui a préférer laisser son cheval à Gimli, ce dernier laissant le sien pour aider à transporter des affaires de certains habitants. Nous traversons quelques collines, n'allant pas trop loin, quand tout à coup, des grognements et hurlements se font entendre. Je regarde autour de moi, n'apercevant plus les deux soldats. Je regarde ensuite le prince qui hoche la tête. Je descends en vitesse de Maeg, et lui ordonne de retourner au près du peuple, pour donner l'alerte. L'étalon part au galop, alors que je pars en courant à la suite du blond, saisissant mon arc.
Je bouillonne de rage quand je vois le corps d'Hàma au sol, inerte, et l'autre soldat se battant comme il le peut contre un orque. Je décoche une flèche dans la créature, le rohirrim tombant au sol.
Moi - Legolas !
Le blond tourne la tête vers la colline, apercevant plusieurs orques montant des wargs arriver à toute vitesse. Un hennissement me fait me retourner, pour apercevoir Maeg revenir avec Aragorn.
Moi - Un éclaireur ! Les autres arrivent !
L'homme ouvre grand les yeux, avant d'informer les autres de la menace. Je cours sur un rocher en hauteur, rejoignant le prince, commençant à tirer sur les bêtes au loin qui s'effondrent. Malheureusement ils sont nombreux. J'attrape le prince par le bras et le tire en arrière. Nous nous repositionnons un peu plus en arrière, continuant à tirer sur tous nos ennemis. J'entends Theoden ordonner à Eowyn de mener le peuple au Gouffre en faisant le tour, mais celle ci refuse, voulant se battre. Le roi s'énerve, Eowyn cédant, avant qu'il ne se joint à nous.
Theoden - Tous les cavaliers en tête de colonne !
Les cavaliers d'Edoras et nos camardes nous rejoignent au galop, se mettant en ligne. Quelques cavaliers passent devant nous.
Je continues à tirer des flèches, quand j'entends Maeg et Hasufel (et Gimli) arriver derrière nous. Le regard du prince croise le mien et d'un même geste; nous agrippons le licol de notre cheval, nous élançons en arrière grâce à la force de nos jambes et du cheval, et atterrissons sur notre cheval, sur la selle pour moi et sur la croupe pour Legolas, dans un mouvement parfait. (voir média)
Gimli - Ces elfes alors...
Je ris face à sa réaction. Nos chevaux en lignes, nous fonçons à toute allure vers les wargs, brandissant nos armes. Au moment de la collision, Maeg ralentit de lui même, évitant un choque. Ayant pris mes dagues, je les fait tourner de tous les côtés, tuant les orques perchés sur les bêtes. Ces dernières se prenne t des coups de sabot de la part de mon cheval, les faisant s'évanouir ou les tuant. J'aperçois Gimli tomber d'Hasufel suite à l'agitation, mais il se relève rapidement, criant en brandissant sa hache. S'il cri c'est que tout va bien. Un warg se met à charger vers le nain, mais Legolas l'abat d'une flèche avant que Gimli n'ait pu faire quoi que ce soit, le faisant râler.
Gimli - Celui ci compte pour moi !
Je soupire, leur petit jeu ayant recommencé. Celui qui tue le plus d'ennemis gagne. Et ils ne sont pas près de laisser gagner l'autre. Maeg rejoint Midas et Aduial, portant mes deux amis. J'assure leur arrières, eux assurant les miens, mais sur un cheval, ce n'est pas chose aisée. Nous finissons par descendre de nos montures, qui elles s'éloignent à l'abri, piétant quelques orques au passage. Je vois le nain tuer un warg qui courait vers lui, mais son cadavre lui tombe dessus, le bloquant au sol. Une seconde bête apparaît, mais je ramasse une lance cassée au sol et la lance dans le ventre de la bête, la faisant tomber, raide morte par dessus Gimli. Le pauvre récupère toutes les dépouilles décidément. Tout à coup, trois wargs arrivent en courant vers moi, mais le premier est percuté de plein fouet par un cheval noir. Je souris, remontant sur Maeg, partant à la poursuite des deux autres. Un des deux porte un orque, et je me baisse rapidement, évitant une flèche de celui ci. Alors qu'il fait demi tour, Maeg accélère tandis que je me mets accroupie sur ma selle. Je fais un salto arrière, retombant sur la bête, derrière l'orque qui essaie de m'atteindre, mais je lui tranche d'un coup sec la gorge, avant de planter ma dague dans le crâne du warg qui s'écroule au sol, emporté par son élan. Je me réceptionne avec une roulade avant, tandis que l'autre warg me saute dessus. Il me griffe durement aux côtés, m'arrachant un râle de douleur, et je finis par le tuer aussi.
Je me relève, m'appuyant sur mon cheval, pour apercevoir les quelques ennemis encore en vie s'enfuir en courant. Nous avons gagné cette manche. Tandis que je suis rejoint par mes deux amis, j'entends Legolas et Gimli appeler Aragorn. Je regarde autour de nous pour effectivement ne l'apercevoir nul part.
Moi - Aragorn !
J'entends un faible ricanement. Je m'approche de la falaise pour apercevoir un orque sur le point de succomber de ses blessures. Le prince te le nain non loin se dirige vers lui. Le prince le plaque au sol avec son pied, la nain posant sa hache contre l'ennemi.
Gimli - Dis moi ce qu'il c'est passé et j'abrègerai tes souffrances.
Orque - Il est... mort.
Il crache du sang, continuant.
Orque - Il a... dégringolé de la... falaise.
Le créature rit ce qui lui vaut un coup de ma part. Legolas l'attrape ensuite par le col.
Legolas - Menteur !
L'orque ricane avant de mourir. Le prince le relâche rapidement tandis que je me précipite vers le ravin, regardant en bas, mais pour ne rien apercevoir.
Legolas - Amarie...
Je me tourne vers lui, tandis qu'il prend quelque chose dans la main de l'orque et me la montre de loin. Un larme m'échappe en reconnaissant le collier d'Arwen. Celui qu'elle a donner au dunedain en gage de son amour éternel. L'elfe sylvestre me rejoint, à ma droite, sans un mot au bord du vide, et observe en bas, le collier en main. Il le tend vers moi, tandis que j'ouvre la paume de ma main droite, le collier y glissant à l'intérieur, une de mes larmes vient s'écraser dessus. Legolas referme doucement ma main sur le collier, avant de garder ma main dans la sienne. Je sens la présence de Theoden derrière nous. Il pose une main sur l'épaule de l'elfe.
Theoden - Je suis désolé. Venez.
Le prince ne dit rien, mais je peux très bien voir qu'il se retient de laisser tomber ses larmes. Je me tourne vers lui, posant une main sur sa joue, le forçant à me regarder. Il tourne son regard vers le mien, anéanti. Je lui souris doucement, avant de l'attirer vers moi, et de poser mon front contre le sien. C'est une manière de nous réconforter chez les elfes. Nous restons là, debout au bord du vide, les yeux fermés, front contre front, ne disant rien. Ma main est toujours dans la sienne, et je ressers ma prise sur le collier de ma sœur. Varhiendil vient poser une main sur nos épaules. Je me recule du blond, essuyant une larme, avant de me diriger vers les autres, sous le regard désolé de tous.
Theoden - Mettez les blessés sur les chevaux, les loups de l'Isengard vont revenir.
Il tourne la tête vers nous.
Theoden - Laissez les morts...
Les soldats hochent la tête, laissant leur camarades à terre, remontant sur leur chevaux. Maeg vient vers moi, posant sa tête contre moi. Il semble partager ma douleur. Je le caresse doucement quand je baisse la tête vers ses jambes.
Moi - Oh Maeg, tu es blessé !
Mes camarades se tournent vers moi.
Varhiendil - Il n'a rien de grave ne t'en fait pas. Il a seulement été entaillé.
Malgré ses paroles, je ne veux pas apporter une charge plus grande à mon étalon. Un cheval blanc s'arrête à côté de moi, le prince me tendant sa main. Étant donné que Gimli a préféré monter derrière Vrahiendil sur Midas, le prince n'a personne avec lui.
Legolas - Monte. Maeg nous suivra.
Je saisi sa main, me hissant derrière lui, passant mes bras autour de sa taille comme la première fois. Je souris sentant qu'il ne réagit plus à mon approche. Maeg nous suit sans protester, alors que Hasufel se met à avancer.
Voilà pour ce long chapitre ! j'espère qu'il vous a plu !
Que pensez - vous de ce chapitre ? Perso j'imagine trop la scène avec Eowyn un peu trop curieuse mdr.
N'hésitez pas à me faire partager vos pensées !
Bonne soirée !
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