Argonath

Bonjour à tous, j'espère que vous allez bien.

Voici un nouveau chapitre qui j'espère vous plaira.

Jusqu'ici que pensez vous de cette histoire ?

Bonne lecture !


Un petite tape sur mon épaule me sors de mon rêve. Finrod me regarde et me demande de me réveiller. Je me redresse difficilement et observe autour de moi, pour constater que nous avons parcourus beaucoup de kilomètres et que la nuit commence à tomber. Varhiendil est toujours en train de ramer, tout comme Legolas à nos côtés. Gimli est avachit dans la barque du prince, se reposant. Aragorn et Boromir prennent encore les devants.

Moi - Ai-je dormis longtemps ?

Finrod - Pour sûr, au moins 1h.

J'ouvre des yeux surpris ce qui fait rire mon ami et le prince sylvestre. Je regarde ce dernier, cette sensation de chaleur se montrant à nouveau. Voulant en faire abstraction, je propose à Varhiendil de prendre sa place, ce qu'il ne refuse pas. Le brun prend ma place au fond le la barque, et le blond celle de derrière, tandis que je me positionne au milieu, attrapant les rames.

Je suis toujours aux rames, et Gimli c'est endormi. Une demi heure plus tard, nous somme encore est toujours sur ce fleuve. L'eau claire frôlant le bois de la barque. Le courant nous faisant avancer, je lâche une rame, mettant le bout des doigts dans cette eau. Les oiseaux passant au dessus de nous se mettent à virevolter un instant au dessus de moi, avant de s'éloigner à nouveau. Je commence à chanter une chanson des Hommes, que j'ai découvert dans un livre de mon père. Je ne sais pas ce qu'elle signifie, étant donné que je ne parle pas cette langue des Hommes, mais je la trouve belle.

( faîtes genre ils parlent anglais )

https://youtu.be/euCqAq6BRa4

A la fin de la chanson, je ne m'étais pas rendu compte que les deux Hommes avaient ralentis et que tous me regardaient. Même Gimli qui s'est réveillé. Gênée, je baisse les yeux et je tourne les yeux vers les berges non loin de nous.

Pipin - Vous chantez très bien dame Amarie ! C'était magnifique !

Moi - Merci Pipin...

Le dunedain me sourit avant de parler à son tour.

Aragorn - C'est une chanson des Hommes, que ton père t'as montré n'est-ce pas ?

Moi - En effet, seulement il ne me l'a pas montré, je l'ai découverte par moi même.

Aragorn - Sais-tu ce qu'elle signifie ?

Moi - Non, je ne comprends pas cette langue des Hommes. Mais elle est belle et apaisante je trouve.

Il hoche la tête, d'accord avec moi, avant de se reconcentrer sur notre route. Les hobbits ne tardent pas à s'endormir sauf Frodon. Au bout d'un moment, je ressens une présence étrange. Je tourne la tête vers les elfes qui semblent le ressentir également. Tout à coup l'ornement qui se trouve à mon oreille s'éclaire légèrement d'une lumière blanche, ce qui confirme mes pensées. Il a ressenti une présence ennemie. Je scrute du regard les berges, apercevant une chose bouger.

Moi - On nous traque, et cela avance vite...

Les elfes hochent la tête, tandis que Aragorn observe également les rives. Le nain grogne dans sa barbe, attrapant sa hache.

Varhiendil - Nous devons accélérer. Les troupes de Saroumane ne doivent en aucun cas nous rattraper.

Finrod hoche la tête tout comme Boromir. Aragorn ne semble pas aussi convaincu et Legolas ne dit rien.

Aragorn - Ils sont sur la rive Est. Dressons notre camp à l'opposé.

Nous ramons encore quelques instants avant de débarquer sur la rive Ouest et d'y monter notre campement. Les hobbits ne tardent pas à aller se rendormir dans leur couvertures, tout comme le nain. Nous montons la garde à tour de rôle, bien que la plus part du temps, aucun de nous ne dors. Boromir se dirige vers le fleuve pour aller chercher de l'eau. Je l'accompagne, ne préférant pas le laisser seul. Je distingue une forme dans l'eau, et deux yeux globuleux qui nous observent.

Boromir - Gollum...

Je soupire, affirmant ses paroles, ne lâchant pas la créature du regard, pendant que le Gondorien effectue sa tâche.

Moi - Il nous a suivit depuis notre entrée à la Moria. Je pensais que nous arriverions à le semer sur le fleuve, mais il est bien trop malin.

Boromir - S'il alerte l'ennemi sur notre position, notre traversée n'en sera que plus dangereuse.

Moi - Je ne pense pas qu'il le fera. Il veut récupérer l'anneau, comme tous ceux qui se mettent en travers de notre chemin. Il opèrera seul, quand nous nous y attendrons probablement le moins j'imagine.

L'homme secoue la tête, non convaincu, avant de repartir vers le campement. Je soupire d'exaspération avant de le suivre.

Sam - Il faut que vous dormez M'sieur Frodon !

Je tourne la tête vers le jeune Sam qui essaie désespérément de faire dormir Frodon. Le porteur de l'anneau lève les yeux vers moi. Je le fixe souhaitant que le pauvre arrive à dormir. Étrangement, il se met à bailler et à se coucher contre une couverture, sombrant dans le sommeil. J'ouvre grand les yeux, tout comme Sam, ne comprenant pas comment cela à pu se produire. Je fais signe au semi homme d'oublier et il se couche aussi. Je tourne la tête vers les autres qui ne semblent rien avoir remarqués, tous sauf Legolas. Le prince me regarde en fronçant les sourcils. J'hausse les épaules, ne sachant pas plus que lui. Il se dirige vers moi, les autres étant occupés.

Moi - Ne me demandez rien, je ne sais pas plus que vous ce qu'il c'est passé.

Legolas - Je n'allais pas le faire.

Je me tais aussitôt, préférant ne plus parler de ce sujet.

Legolas - Boromir est plus têtu que je ne le pensais.

Moi - Comment cela ?

Legolas - Il voulait passer par la cité blanche. Aragorn a refusé, ce qui l'a contrarié.

Je lève les yeux au ciel. Cela ne m'étonne pas. Finrod prenant son tour de garde, je me convaincs d'aller dormir un peu. Alors que je vais me poser près du feu, un reniflement me fait lever la tête Tous les hobbits dorment, sauf Pipin qui semble frigorifié. Il tremble sous sa couverture. Je m'approche doucement de lui, le faisant relever la tête.

Moi - Vous ne dormez pas ?

Pipin - J'ai... j'ai froid...

Je prends me couverture pour l'ouvrir en deux, la faisant plus grande, et je la pose aux côtés du feu qui crépite.

Moi - Venez.

Je m'assois sur ce qui me sert de lit, attendant le jeune hobbit. Celui-ci ne bouge pas, gêné.

Pipin - Je ne... ne voudrait pas... pas vous déranger...

Moi - Ne dîtes pas de sottises. Venez.

Cédant à cause du froid, il se relève, récupère se couverture, sa cape trônant déjà sur ses épaules, avant de s'allonger entre le feu et moi. Je rabats les bords de ma couverture sur lui, avant de le serrer contre moi pour le réchauffer. Il ne tarde pas à s'endormir, ressentant la chaleur commencer à l'entourer. Après un dernier regard sur le campement et sur Legolas et Aragorn qui me regardent attendris, je m'endors à mon tour.

Le lendemain, nous reprenons notre route a peine l'aube se montrant. Nous approchons rapidement de la fin de notre voyage en barque, étant donné que nous serons bientôt aux chutes d'Arnor. Après encore quelques heures de navigation, nous apercevons enfin ces statues légendaire (média). Tous ouvrent grand les yeux face à ce spectacle. L'Argonath. Gimli et les hobbits, ne savant ce que représentent ces statues, je pris le soin de leur expliquer.

Moi - Mes amis, ceci est l'Argonath, les pierres des rois. Les statues représentent Isildur et Anarion. C'est le roi Romendacil II, du Gondor, qui les a fait ériger.

Varhiendil - Ce sont également les ancêtres d'Aragorn.

Tous tournent un regard étonné vers le dunedain, qui lui ne cesse de ressasser les souvenirs du passé, le regard fixé sur les géants de pierre. Les hobbits ne savaient pas que le rôdeur descendant d'une lignée royale.

Merry - Pourquoi lèvent-ils la main gauche ?

Finrod - Ils repoussent les ennemies du Gondor.

Les hobbits, émerveillés, ne cessent de regarder les deux statues majestueuses. Nous nous arrêtons non loin des statues, sur la rive, tirant pour de bon les barques dont nous n'allons désormais plus nous servir. Nous déchargeons nos affaires tranquillement sur le sol, montant le campement et prenant soin de ne rien oublier dans les canots. Je sens des pas arriver derrière moi mais je ne me retourne pas, attendant que mon ami parle.

Varhiendil - Amarie,  Frodon est parti.

Moi - Quoi ?

Varhiendil - Il c'est simplement éloigné, mais je ne suis pas sûr que cela est une bonne chose, surtout avec les uruks haï.

Moi - Il a besoin de s'isoler un instant, rien d'alarmant. Et les uruks ne se pas près de nous pour l'instant.

Alors qu'il allait répondre, Merry s'exclame.

Merry - Où est Frodon ?

Tous relèvent la tête inquiets.

Varhiendil - Il c'est juste mit à l'écart, rien de g...

Moi - Où est Boromir ?

Le blond a qui j'ai coupé la parole se tourne vers moi, cette fois vraiment terrifié à l'idée qu'il est pu arriver quelque chose. Je parcours mon regard sur la place qu'occupait le Gondorien quelques minutes plus tôt, où se trouvent encore tous ses affaires. Je cours chercher mon arc et je m'élance à toute vitesse dans les bois, sous les cris de mes compagnons.


Voilà pour ce chapitre. J'espère que à vous a plu.

......

INFOS : je pars encore une fois en vacances. Demain plus précisément, je ne pourrai donc pas publier pendant ces jours-ci. Veuillez m'excuser et merci à vous de patienter.

......

Que pensez vous de la relation Pipin / Amarie ?

Des réactions de Boromir ?

De la musique introduite ?

De l'Argonath ?

Hâte de vous revoir dans le prochain chapitre !

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