Chapitre 12
Sulivan
Je restai a bercer Alizée et a nettoyer ses plaies avec mon pull. Elle avait repris connaissance et ne semblait pas avoir fait attention aux événements qui venaient de se passer. Elle était allongée la tête posée sur mes genoux a dormir tandis que moi je reflechissait. Je ne pouvais pas donner un membre de mon groupe aux Climbs. Et je ne pouvais pas laisser Alizée mourir. J'étais complètement perdu et les 24 heures c'étaient écoulées. La porte s'ouvrit et 3 hommes entrèrent. Je reconnus l'un d'entre eux et je restai sans voix
Lui: Alors, tu as pris ta décision ?
Moi: Toi ?!
Lui: Oui, Sulivan. Moi. J'attendais ce moment depuis tellement longtemps !
Il sourit et croisa les bras. Alizee remua contre moi et je caressait les cheveux
Lui: Je sais tout, tu sais. Je sais que tu l'aimes encore. Mais malheureusement, ce n'est pas avec toi qu'elle est. Ce n'est pas toi qu'elle a choisi...
Moi: C'est un mensonge. Lune m'aime. Elle m'aime depuis 16 ans !
Lui: Ah oui ? Alors si elle t'aime, pourquoi n'est elle pas ta femme actuellement ? Pourquoi s'est elle enfuie de chez toi pour retourner chez elle, chez son mari... Chez moi !
Moi: Elle est a moi, Alex. A moi tu entends ?!
Alex eu un rictus et se pencha sur moi
Lui: Si elle était a toi, elle serait restée chez toi. Elle ne serait pas revenue.
Moi : Elle s'est enfuie car je m'étais énerve sur elle !
Il eu un sourire en coin
Lui: Tu ne connais donc pas la vraie raison de son départ ?
Moi: Elle reviendra
Lui: Je ne crois pas. Sulivan, si ma femme s'est enfuie de chez toi, c'est parce qu'elle était enceinte. De moi.
Mon monde s'effondra. Les larmes me montèrent aux yeux et sans me soucier d'Alizée qui dormait sur mes genoux, je me levais et je me jettais sur Alex. Les deux hommes me retinrent immédiatement
Moi: TU AS OSÉ ?! TU AS OSÉ POSER TES SALES PATES SUR MA FEMME ?!!!
Lui: Ce n'est pas ta femme mais la mienne...
Il sourit largement et me regarda
Lui: Je pense que cette annonce suffira amplement a te faire souffrir. Je te laisse partir, toi et ta copine. Tu as interdiction de revoir ma femme ou je te jures que je te tuerais.
Il me tourna le dos et partit. Des gardes nous attrapèrent Alizée et moi et nous conduisirent dehors. Une fois seul, je tombais a genoux et je laissais la douleur me ravager. Elle n'était plus a moi. Elle allait refonder une famille. Sans moi.
Je me tournais vers Alizée et je la pris dans mes bras. C'était mal de que j'allais faire. Mais il fallait que j'oublie Lune
Moi: A partir d'aujourd'hui, tu es ma petite amie... Enfin si tu veux bien ?
Alizée se jetta a mon cou en souriant
Elle: Oui ! Oui !
Je l'embrassai et je la prit par la main et je l'emmenait chez moi.
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