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Je tiens encore à vous remercier pour votre soutien, car c'est ça "lire, commenter avec passion et voter" c'est montrer votre appréciation.
"Je demande simplement une fin heureuse" n'a pas été facile émotionnellement à écrire, néanmoins les mots venaient plus rapidement. Cette histoire est clôturée, je souhaitais vous en offrir des nouvelles (surtout après les retours me demandant de continuer).
Donc voilà "Always come back to each other".

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Six lycéens se tenaient devant leur établissement scolaire. Disons plutôt qu'ils pouvaient enfin l'appeler ancien lycée. Ils regardaient la devanture du bâtiment dans lequel pendant plusieurs mois, ils étaient élèves. Dans lequel pendant plusieurs jours, ils avaient déambulé dans les couloirs, les salles de cours et l'espace extérieur. Dans lequel pendant des années, ils avaient grandis ensemble. Jace, Clary, Simon, Isabelle, Alec et Magnus ne s'étaient jamais quittés durant ces trois années de lycée. Les six adolescents se connaissaient depuis assez longtemps pour être soudés. Clary Fairchild et Simon Lewis avaient grandis ensemble dans le même quartier, la même école et tout cela jusqu'à maintenant. Alec et Isabelle Lightwood sont frères et sœurs, et seulement 1 an les séparaient. La brunette avait sauté une classe en collège se retrouvant en même temps avec son frère au lycée. Jace Herondale était le voisin des deux Lightwood, faisant presque parti de leur famille. Magnus Bane avait croisé leur chemin dès le premier jour de collège et au fil des ans c'était fait une place dans le groupe.

Les six lycéens avaient des loisirs très divergents mais ceci ne les empêchaient pas de s'apprécier voire pour certains de s'aimer. Alec, Jace et Simon pratiquaient chacun un sport différent. Basketball pour le Lightwood, Football américain pour le Herondale et la Cross pour le Lewis. Clary appréciait l'art plastique. Magnus était plus penché vers le club de théâtre. Isabelle s'était inscrite chaque année dans le club de robotique, devenant la leader iconique de ce groupe. Chacun avait marqué à leur sauce, la mémoire du lycée en réalisant des records sportifs, des exploits scénaristiques ou encore remportant des concours nationaux. Ils étaient appréciés sans pour autant être les populaires incontestés, ce n'était pas leur but à l'époque.

Les six adolescents fixaient nostalgique le bâtiment en soupirant. Tous se tenaient la main, comme un symbole. Chacun se rappelait un moment précis. Isabelle se rappelait les nombreux souvenirs positifs dans l'atelier robotique, ceci lui a permis d'obtenir une bourse d'études pour une prestigieuse université. Jace se souvenait de la finale de championnat de football americain, que son équipe avait remporté durant son année de première. Clary pensait à l'exposition des œuvres d'art à laquelle elle avait participé. Simon pensait aux moments conviviaux à la cafétéria avec son groupe d'amis. Alexander repensa à la victoire de son équipe de basket mais surtout à la manière dont il l'avait célébré en embrassant son petit-ami excentrique au milieu du terrain. Magnus se rappelait les nombreuses représentations théâtrales mais en particulier les yeux brillants de fierté de son copain brun. Ils en avaient vécu des choses, et l'histoire prenait fin aujourd'hui.

Les six jeunes prenaient chacun des chemins divergents. Tous allaient à des universités différentes, et éloignées géographiquement. Simon allait étudier l'audiovisuel tout en ayant le cursus "cross" grâce à sa place dans l'équipe universitaire. Jace allait étudier le sport, ayant eu une bourse et une place dans l'équipe de football. Isabelle allait se consacrer à l'informatique dans une université très sélective. Clary partait pour une université d'art de prestige. Magnus partait pour étudier le théâtre tout en ayant le cursus "Histoire", pour s'assurer tout de même quelque chose. Alexander avait opté pour l'université qui lui offrait une place dans son équipe de basket. Le brun allait tout de même étudier les sciences de l'éducation. Jamais, leurs loisirs les avaient divisé durant les années lycéennes mais les amenaient à se séparer aujourd'hui.

- Ce fut d'excellentes années à vos côtés les amis affirma Simon en souriant faiblement en coin.

- On restera en contact tout de même ? S'assura Isabelle en se mordillant la lèvre inférieure.

- Bien sûr ! Affirma le blond en hochant vigoureusement la tête, le club des 6 toujours unis ajouta-t-il en gloussant.

Tous souriaient en se rappelant à leur référence à la saga littéraire "Le club des 5". Clary avait trouvé un vieux livre racontant l'aventure de ce groupe d'amis. Ce club était toujours solidaire, unis, ensemble malgré les difficultés qu'ils rencontraient et les disputes qu'ils pouvaient avoir. La rousse l'avait amené et Simon fut le premier à faire le lien avec leur groupe d'amis. Depuis ce fameux jour, ils s'appelaient le club des 6.

Les six adolescents se prirent dans leurs bras, comme un dernier câlin, un dernier au revoir et une promesse de se retrouver. Jace fut le premier à partir en montant dans sa nouvelle voiture, remplie d'affaires. Simon suivit en montant dans la voiture familiale dans laquelle se trouvaient sa mère et sa sœur. Clary et Isabelle montaient dans le même uber qui allait les amener à l'aéroport. Alexander et Magnus se retrouvaient maintenant seuls, entre amoureux se faisant face.

- Notre couple va résister s'assura le brun en souriant faiblement.

- Le véritable amour ne meurt jamais Alexander affirma l'excentrique en l'embrassant chastement, 5 mille kilomètres ce n'est rien après tout ajouta l'asiatique en haussant les épaules.

- Absolument avoua Alec en gloussant doucement, je t'aime Magnus ...

- Je t'aime aussi mon amour répondit-il en souriant de toutes ses dents, tu vas me manquer.

Les deux amoureux reculaient lentement, tout en se tenant les mains jusqu'à la fin. L'aîné Lightwood fixa le véhicule rouge de son copain, dans le rétroviseur intérieur. Il n'était pas prêt à s'éloigner de lui, il était sa force même si il ne le montrait pas forcément. L'asiatique fixa le véhicule devant lui, celui de son petit-ami. Il soupira tristement, en crispant ses mains sur le volant. Il devait être fort, et pensait à ses études et à sa carrière. Magnus fut le premier à partir, ne voulant plus supporter cette oppression thoracique. Il laissa couler quelques larmes, en se déchiquetant la peau de sa lèvre inférieure. Le brun s'effondra dans sa voiture, n'étant pas capable d'accepter ce changement de vie. Pourtant, son avenir était prometteur et il visait la NBA. Mais il avait goûté au bonheur de l'amour, et perdre cela lui faisait atrocement peur.

Les six avaient à peine 18 ans, et avaient leur vie devant eux. Chaque nouveau passage dans le cursus supérieur était un chamboulement. Passer du lycée à l'université était quelque chose de stressant et jouissif en même temps. Chaque lycéen avait le fameux clichés que l'université offrait plus de liberté, de festivités que le lycée. Certains perdirent vite cette illusion utopique, tandis que d'autres la vivaient. Le passage de l'adolescent à l'adulte était quelque chose d'effrayant. C'était sûrement à ce moment-là que certains se demandaient si rester enfant n'était pas une meilleure idée. La vie de ce lycée allait continuer, et laissait partir ses séniors vers leur futur et laissera un souvenir mémorable dans le crâne de ses lycéens.

- 10 ans plus tard -

La sonnerie du lycée retentit. Un technicien referma le boitier en levant le pouce en l'air vers le doyen de l'établissement. La vérification des sonnettes était faite. L'état du bâtiment fut vérifié comme pour chaque pré-rentrée. Le proviseur s'assurait de la sécurité du lieu pour accueillir tous les élèves, mais aussi l'équipe éducative, dans les meilleures conditions possibles. L'homme, aux cheveux attachés en queue de cheval basse, remercia le technicien avec un furtif mouvement de tête. Monsieur Lorenzo Rey était le proviseur de ce lycée depuis maintenant 4 ans. C'était le deuxième établissement qu'il dirigeait et s'assurait que son image ne soit entachée par aucun dérapage. Il lissa son costume d'un geste des mains, et partit dans la salle de réunion dans laquelle les professeurs l'attendaient.

Alexander Lightwood était assis, les jambes croisés, dans une salle au milieu d'autres adultes dont il reconnaissait certains. C'était ses collègues pour cette année, certains l'étaient depuis maintenant deux ans. Le brun allait commencer sa troisième année d'enseignement dans le lycée qui l'a vu grandir. Il était devenu professeur de sports, et coach de l'équipe féminine de basket. Le lycée ayant développait les équipes sportives féminines. Les filles avaient dépassé le niveau des garçons sur ce sport. Le brun comptait bien remporter avec ce groupe le championnat pour amener le lycée au niveau supérieur.

L'ainé Lightwood était arrivé il y a 3 ans à ce poste, sous un pure hasard. Tout le monde connaissait son histoire, jeune basketteur prometteur qui remplit son année universitaire d'exploits sportifs et était promu à un poste d'ailier dans une équipe de NBA mais une blessure au genou brisa ce rêve après une année de pratique professionnelle. Et le voilà dans son lycée d'origine, à être un professeur respecté pour sa réputation et l'élan qu'il a pu apporter à l'établissement.

Le professeur de sport salua ses collègues d'un hochement de tête avec un fin sourire. C'était assez drôle à observer, les professeurs se regroupaient en fonction de leur matière. Alexander se retrouva donc assis aux côtés des trois autres professeurs d'EPS : Maia Robert, Jordan Kyle, et Aline Penallow. Ils étaient l'équipe de professeurs la plus jeune, et sûrement la plus aimable. Les discussions se stoppaient dès l'entrée du proviseur qui les salua d'un geste de la main.

La réunion de pré-rentrée était quelque chose d'assez bon enfant, conviviale et agréable. Ceci permettait aux professeurs de discuter sur les nouveautés, leur emploi du temps et surtout de prendre des nouvelles de leur collègues qu'ils ont quittés pendant 2 mois de vacances. L'assistante du doyen Helen Blackthorn était nouvelle cette année et fut assez nerveuse. La jeune blonde croulait sur les nombreuses photocopies qui devront être distribuées aux enseignants.

- Bien, bonjour à tous prononça Lorenzo en prenant appui sur la table devant lui, il jeta un coup d'oeil à la salle pour vérifier si tous les professeurs étaient présents, Ils nous manque encore quelques enseignants ... avoua dépité le proviseur en soupirant. Qui veut un café ? Proposa-t-il en souriant en coin.

De nombreux profs se levèrent pour se diriger vers le café pour s'en servir. Alexander n'avait pas fini le sien, et apporta donc le gobelet à sa bouche pour déguster cette boisson à laquelle il ne pouvait se passer depuis quelques années. La porte s'ouvrit sur deux personnes, les deux retardataires. Le brun s'étouffa avec le liquide amère dans sa bouche lorsqu'il reconnut une personne. Maia lui tapota gentiment son dos pour s'assurer que son collègue et ami se porte bien.

- Alec ça va ? Demanda-t-elle inquiète en fronçant les sourcils.

Le brun ne pouvait dévier son regard marron clair des yeux mordorés devant lui. Un visage, un regard et une allure qui lui avait tant manqué. Un homme qu'il aimait tellement et détestait à la fois. Un amour de jeunesse qu'il ne put oublier. Son ex qui l'avait plaqué par appel visio, il y a plusieurs années. L'unique Magnus Bane venait d'entrée dans cette pièce et Alexander Lightwood priait pour une hallucination.

- 9 ans plus tôt -

Alexander était dans sa chambre universitaire. Il trépignant d'impatience sur sa chaise devant son bureau. Cela faisait 1 an que les six adolescents avaient commencé leur étude supérieure. Ils avaient réussi à tenir contact grâce aux réseaux sociaux, sms et appel visio. Ils avaient donc tous des nouvelles de tous leurs amis. Isabelle réussissait parfaitement tout comme Clary qui développa encore plus son don pour l'art en s'enrichissant de différents styles. Jace et Simon avaient réussi leur première année avec quelques difficultés, s'amusant plus à réaliser des soirées, voire des concerts pour le châtain. Magnus était le plus connu et populaire de son année, enchaînant les premiers rôles dans les pièces de théâtre de son université. Alexander commençait cette seconde année avec une bonne nouvelle, il devenait le capitaine de son équipe de basket malgré son rôle d'ailier, dû à sa grande taille.

Les amoureux résistaient à la distance et avaient pu se voir durant les vacances d'été pour quelques jours. Le brun était encore fou amoureux de son petit-ami, le tenant au courant de tout ce qui pouvait se passer pour lui. Entendre la voix mélodieuse de son copain le félicitait pour chaque match remporté lui donnait une force et une fierté indéfinissable. Tout comme la fierté envers son petit-ami était indestructible, face aux exploits et aux rôles fabuleux que Magnus obtenait.

Le brun était impatient d'annoncer la nouvelle à son copain. Son écran d'ordinateur affichait enfin le visage de l'excentrique, le faisant sourire de manière béat.

- Salut Mags répondit Alec enjoué.

- Hi Alec salua l'asiatique en souriant légèrement.

Le brun fronça les sourcils face à l'attitude distante et froide de son copain. Quelque chose n'allait pas, et il s'inquiétait immédiatement.

- Ça ne va pas ? Demanda-t-il en penchant sa tête sur le côté.

- Oh si si si répondit Magnus en hochant la tête furtivement.

- Vraiment ? Questionna de nouveau le brun perplexe.

- Hm écoute... hm je dois te dire quelques chose avoua l'excentrique en se mordillant la lèvre.

L'ainé Lightwood n'ajouta rien et fixa simplement l'écran. Il fit de son mieux pour ne pas montrer son stress, son inquiétude et sa peur. Lorsqu'une personne te disait cela, ce n'était jamais très bon.

- Je pense qu'il est mieux pour nous de ... de mettre fin à notre relation prononça timidement l'indonésien en fixant son clavier.

Alexander expira douloureusement d'effroi, ne pouvant contrôler l'humidité qui remplissait ses yeux. Il avait mal entendu ? Magnus ne venait pas de proposer une séparation ? Il ne comprenait pas, tout se passait très bien entre eux.

- Mais ... mais pourquoi Mags ? Demanda touché Alec en reniflant.

- La distance s'est nausif pour une relation ... tu vois bien que ça ne marche pas expliqua calmement l'asiatique.

- Non je ne vois pas ça alors non je ne comprends pas ... exclama le brun en haussant les épaules, on s'appelle tous les soirs, on s'est même vu cet été je ne comprends pas Mags ...

- Ne dis pas que ça t'as fait plaisir une nouvelle séparation après cette visite ? Demanda l'asiatique en fronçant les sourcils.

- Bien sûr que non j'ai souffert mais c'est parce qu'on s'aime... argumenta le brun en se rapprochant de l'écran. Je t'aime Magnus et peu importe si tu es loin je sais qu'on sera toujours là l'un pour l'autre.

- C'est faux Alec ! Hurla l'indonésien, tu n'es jamais là pour mes représentations comme je ne suis jamais là pour tes matchs tout ça parce que des kilomètres nous séparent.

- Je ... si ça te gêne je peux venir pour tes prestations je peux prendre l'avion et venir te voir ça me plairait défendit Alec en faisant tout pour ne pas être séparé.

- C'est faux Alec ... nos études nous prennent tout notre temps et j'ai plus la force de maintenir notre couple ce n'est pas une situation bonne pour nous dit défaitiste Magnus, je te quitte Alec et je ne changerais pas d'avis...

- Tu as rencontré quelqu'un ? Interrogea le brun en croisant ses bras.

Il ne pouvait comprendre pourquoi l'homme qui lui disait encore je t'aime la veille, puisse le quitter maintenant. Certes la situation n'était pas simple mais leur appel, leur conversation le faisaient vibrer tous les jours. Il attendait cela avec impatience, et était devenu son quotidien. Magnus soupira en fermant les yeux. Il ne supportait plus être loin de l'homme qu'il aimait. Mais il ne pouvait pas tirer un trait sur l'avenir qui allait s'offrir à lui. Il devait se concentrer sur sa carrière, ses études et ses rôles. Malheureusement, même si les mots d'Alexander étaient motivants pour lui. La souffrance de l'éloignement le déconcentrait beaucoup trop, et il n'avait pas trouvé meilleure solution que de le quitter. Et il ferait tout pour effacer ce poids sur lui, même si son copain devait souffrir par sa faute.

- Oui mentit l'indonésien en gardant les yeux fermés.

- Regarde-moi quand tu me mens cracha le brun en tapant son poing sur son bureau.

- Écoute Alec ... j'en ai marre de cette situation point barre prononça énervé Magnus en fixant la caméra, je te quitte point final, on peut rester amis nos discussions sont précieuses mais être petit-ami est trop douloureux.

- Waw ... douloureux carrément souffla le brun, en larmes, bien puisque c'est comme ça... bonne continuation MAGNUS accentua-t-il sur le prénom ayant remarqué que celui qu'il aimait ne l'appelait plus par son prénom en entier.

L'asiatique adorait le prénom de son petit-ami. Il appréciait la manière dont cela roulait sur sa langue. Et il se rendait surtout compte de la puissance que cela avait sur le brun. Alexander détestait son prénom depuis l'enfance, ordonnant à tout le monde de l'appeler par son surnom Alec. Puis l'indonésien fût têtu et fut le seul à avoir l'honneur de l'appeler par son prénom. Cela rendait au final ce mot spécial, comme si affirmer la signification de protecteur des hommes.

- Ne le prends pas comme ça... soupira l'étudiant en histoire, tu verras cela sera mieux pour nous deux, je ... prononça Magnus avant d'être coupé.

L'ainé Lightwood venait de raccrocher ne voulant entendre d'autres mots blessants. Il s'effondra en larmes, les mains sur le visage. Une rupture n'était jamais facile car la personne se retrouvait à devoir changer ses habitudes et faire de nouveau face à la solitude.

- Tu as dis que le véritable amour ne meurt jamais sanglota le brun, seul dans sa chambre.

- De nos jours -

Magnus entra dans la salle de réunion après qu'un collègue l'ai guidé. Il avait trouvé ce poste d'enseignant d'histoire grâce à une amie. Il fut accepter par le proviseur, ayant vu ses diplômes. L'asiatique était sceptique mais n'avait pas d'autres choix que d'accepter. Après avoir enchaîner des refus en continu pour obtenir un rôle dans n'importe quelle série, ou n'importe quel film, il avait dû admettre qu'il devait laissé tomber pendant un certain temps.

L'asiatique, toujours vêtu de manière excentrique et coloré, entra dans la pièce et fût stopper dans son élan. Des yeux marrons clairs avaient attiré son attention. Un regard qu'il ne pourrait oublier car ça hantait ses nuits depuis les années lycées. Son ex se trouvait dans cette salle. Ceci voulait dire qu'il allait le croiser tous les jours ... Il ne pouvait détacher ses yeux de ce bel homme. Il devait l'avouer, Alexander avait pris des muscles, avait encore grandis et avait toujours des difficultés à coiffer ses magnifiques cheveux ébène. Il était à couper le souffle, et ce n'était pas uniquement dans le sens figuré.

Cette année s'annonçait absolument charmante, peut-être même inoubliable.

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3 023 mots pour débuter une nouvelle histoire. J'espère qu'elle vous plaira.