Folie meurtrière
La mère de Lydia était remontée. Cet homme avait démoli la réputation de sa famille. Madame Branwell fut renvoyée par sa hiérarchie. Elle ne pouvait sortir sans recevoir des regards détestables et malveillants. Sa fille avait dû changer de lycée. Elle l'avait envoyée dans un internat, ne pouvant suivre sa fille. La famille Lightwood réclamait les dommages et intérêts. Madame Branwell payait les soins de cet homme qui avait détruit l'estime des gens sur sa famille.
Elle ne supportait plus cela. Elle avait la rage et attendait seulement sa vengeance. Elle l'obtiendrait aujourd'hui. Elle se présenta auprès de l'accueil de l'hôpital comme étant la cheffe des parents d'élèves qui souhaitaient offrir un bouquet à l'enseignant. La femme d'accueil précisa qu'uniquement la famille et le compagnon du patient étaient autorisés aux visites. Maryse avait demandé ceci dès les premiers jours d'admission à l'hôpital. Elle refusait que quiconque sous prétexte de connaître légèrement son fils, puisse le voir. La mère avait rempli le registre en précisant chaque personne autorisée.
Madame Branwell jura et finit par accepter de laisser le bouquet à la personne. Elle simula sa sortie, pour dévier sa trajectoire dans la salle d'attente. Elle attendit patiemment qu'une personne livre les fleurs. Un jeune infirmier s'en charge, et elle ne perdit pas une seconde pour partir à sa suite. Discrètement, elle suivit le professionnel qui déposa le paquet sur la table.
- Bonjour Monsieur Lightwood, un bouquet pour vous présenta l'infirmier avec un grand sourire.
Alexander sourit simplement, ne pouvant faire que cette réaction. Les médecins étaient optimistes, après toutes les péripéties. Le brun progressait plutôt rapidement. Il était capable de serrer ses doigts, de sourire, de cligner des yeux pour communiquer. Tout ceci annonçait un bon rétablissement, encore plus en voyant ces changements en moins d'une semaine. Madame Branwell attendit le départ du jeune homme, qui fut bien long. L'infirmier avait profité de sa visite pour vérifier les constantes et prodiguer de l'eau au patient.
- Je vous dis à tout à l'heure dit-il enjoué avant de sortir.
Le brun appréciait cet infirmier, timide aux abords mais très délicat et doux avec les patients. Il espérait qu'il ne perde pas cette fougue avec les années dures, avec l'expérience intense de ce métier. La blonde se précipita dans la chambre, sans alerté aucun professionnel. Alexander fronça les sourcils en voyant apparaître du coin de l'oeil cette femme qu'il ne reconnaissait pas.
- Bonjour Monsieur Lightwood prononça calmement la mère de Lydia, vous ne me reconnaissez pas ?
Alexander fixa attentivement cette femme avant de hausser les sourcils lorsqu'il comprit qui elle était. C'était la mère de l'élève qui l'avait accusé à tord. Il se questionnait sur l'origine, la cause et la raison de sa venue. Il espérait qu'elle vienne s'excuser. Madame Branwell jubila en remarquant la carence des mouvements du professeur. Son délire machiavélique prenait un malin plaisir à se nourrir du malheur du brun.
- Votre état est pitoyable cracha-t-elle en secouant la tête.
Elle n'avait pas de plan précis. Elle souhaitait juste se venger. Sa colère lui rongeait de l'intérieur, et sa raison se faisait tout petit, ou détourner du droit chemin. Elle était tellement en colère, qu'elle était capable de tout et n'importe quoi. Mais particulièrement de n'importe quoi.
- Vous avez gâché notre vie ... murmura-t-elle en s'approchant dangereusement de lui, si ma fille n'était pas tombé sur vous jamais nous n'en serions là... vous avez ruiné ma vie et celle de ma fille.
Alexander commençait à paniquer en écoutant ce discours accusateur. Il n'avait rien fait pour provoquer sa fille. Il n'avait rien fait pour donner l'illusion d'une honce d'amour. Il ne comprenait pas pourquoi elle lui en voulait. La coupable était sa fille qui avait eu l'audace et la folie de créer cette situation. Cette femme lui faisait peur, et se savoir immobile face à elle l'inquiétait. Il espérait qu'elle ne profite pas de sa faiblesse pour l'attaquer.
Madame Branwell ne l'entendait pas de cette oreille. La haine la consumait. Elle ne se voyait pas sortir de ce cauchemar avec encore cet homme dans les pattes. Elle ne voyait qu'une issue ... un choix fou et machiavélique.
- Je vous gâcherais la vôtre lâcha la mère avant de sauter au cou du brun.
Elle positionna ses mains autour du cou de celui-ci qui écarquilla les yeux de surprise. Elle avait osé l'attaquer, alors qu'il se trouvait sans défense. Elle pressa de plus en plus ses mains, resserrant ainsi son emprise sur le cou pour l'étrangler.
Alexander ouvrit grand la bouche, cherchant le peu d'air qu'il pouvait prendre. Il ne sut pas comment, sûrement l'instinct de survie, mais il réussit à lever son bras droit. Il attrapa le poignet de la mère de son ancienne élève, essayant de se défendre, avec le peu de force dont il disposait. Madame Branwell ne relâcha pas sa prise, et garda ses yeux haineux fixés sur le visage du brun qui rougit par manque d'oxygène. Le brun commença à voir double, ses yeux divaguaient dans tous les sens. La pression de sa main relâcha le bras de son assaillante. La syncope toucha la victime, qui perdit connaissance par insuffisance d'air.
En le voyant s'évanouir, Madame Branwell s'écarta comme si la peau du brun l'avait brûlée. Elle se rendit compte de son geste, et cette sensation d'appréciation. Elle s'effrayait d'avoir agi ainsi. Perdue dans sa réflexion, elle comprit dans quel pétrin elle s'était mise. Le brun reprit rapidement connaissance, toujours avec une respiration suffocante. Il toussa en observant autour de lui, totalement perdu. Il remercia le tube à oxygène relié à ses narines, ceci l'aidait.
- Il va me dénoncer ... se dit-elle à elle-même, je ne peux pas aller en prison ... s'alarma la mère en prenant son visage entre ses mains.
Elle tira sur ses cheveux avant d'inspirer d'étonnement. Le brun tâtonna discrètement et difficilement pour atteindre sa télécommande afin de prévenir l'équipe médicale. Son rythme cardiaque n'avait pas réagi de manière alarmante, et n'avait donc pas signaler le problème aux professionnels. Alexander priait pour que Magnus arrive ou quiconque de sa famille. Il voulait que cette femme s'éloigne de lui. Il brassait de l'air, essayant de remplir au maximum ses poumons.
- Je dois aller au bout souffla la blonde qui suite à ses réflexions venait de prendre sa décision.
Elle se jeta à nouveau sur le brun. Elle lui arracha le tube du nez, le balançant au sol. Cette fois-ci, elle décida de positionner une main bloquant la bouche tandis que la seconde pinça avec force le nez. Alexander agrippa de sa main gauche le bras, la griffant au passage. Elle sursauta surprise de la réaction, et mit tout son poids dans ses appuis sur le visage. Le brun tâtonna encore, jusqu'à enfin atteindre l'objet désiré. Maladroitement, il appuya sur tous les boutons, sans jamais lâcher des yeux son agresseure.
Son corps réagit par réflexe au manque d'oxygène, ses jambes tremblèrent nerveusement tandis que son visage devenait violet.
- Coriace grogna la blonde qui serra des dents.
Madame Branwell ne quitta pas les yeux du brun, voyant la panique dans ce regard. Elle ne s'inquiéta pas du son produit par le cardiogramme qui avait affiché un rythme soutenu avant de dangereusement chuter. Alexander sentit les forces le quitter. Il luttait comme il put, en crispant sa main sur la manche du gilet de la femme. Il voyait son sourire malsain, il n'osait s'avouer vaincu. Il ne voulait croire que la dernière image qu'il aurait de sa vie serait ce visage machiavélique et tordu. Son attention resta fixé sur ce regard rempli de colère, de haine et de détermination. De nombreux points noirs firent l'apparition avant que ce visage ne s'éloigne, avant que ce visage ne soit enseveli de lumière blanche, avant que tout ne devienne finalement que noir.
Madame Branwell ne lâcherait pas. Il allait forcément la dénoncer et la seule chose pour le faire taire était de mettre fin à sa vie. Personne ne sera rien, personne ne soupçonnera rien. Elle tient bon, remarqua la vie quittait ce corps. Elle sentit la main relâcher son tricot pour tomber lourdement hors du lit, elle sentit le corps ralentir ses convulsions, elle observa les pupilles se dilater. La vie quitta cet homme, lorsqu'il se trouva immobile, les yeux fixant le vide et lorsque la ligne continue horizontale se mélangea à ce son interminable. Elle sentit des bras musclés la plaquer au sol, avec violence. Mais elle retenait seulement qu'elle avait réussit, tout en échouant.
Luke était de passage à l'hôpital pour interroger une victime de prise d'otages. Il s'était promis de rendre visite à son demi-fils. Rarement, il était passé le voir mais aujourd'hui il ressentait ce besoin de l'accompagner pour quelques heures. Ça ferait plaisir à Maryse, tout comme il était persuadé que ça rassurerait Alec.
Plusieurs occasion s'étaient présentées, mais il sentait qu'aujourd'hui il se devait de passer, comme si l'instinct lui ordonnait d'y faire un tour. Maryse trouvait son fils motivé et à la fois déprimé. Elle pensait qu'il vivait mal cet état immobile malgré les progrès, elle lisait la tristesse dans les yeux de son fils. Mais ne savait comment le rassurer. Luke avait promis de le voir mais n'avait jamais eu le temps.
Aujourd'hui, il s'y plierait. Après son intervention, il se dirigea vers la chambre du brun. Plus il s'approchait, plus un bruit l'inquiétait. Plus il s'approchait, plus il entendait un bip répétitif et rapide. Il se mit à courir, en même temps que certains infirmiers qui se dirigea vers la chambre du fils de sa compagne. De sa grande stature, il ouvrit brutalement la porte pour voir une horreur. Une blonde étouffait Alexander. Il hurla le prénom du fiston avant de plaquer l'agresseur. Il espérait avoir agi suffisamment à temps.
Tout en tenant avec fermeté le corps de la femme à terre, il redressa son visage pour voir l'équipe médicale s'inquiétait et se démenait autour du brun.
Tout allait tellement vite, il regarda le cardiogramme et n'eut pas besoin des affirmations des infirmiers. Il n'avait pas besoin d'une grande logique pour comprendre que cette femme avait réussi à tuer Alexander. Fou de rage, il secoua sévèrement la blonde avant de la menotter dans le dos.
- Vous êtes en état d'arrestation pour tentative de meurtre prononça en colère le policier qui priait pour la réanimation du garçon.
Madame Branwell complètement dans son hystérie partit en fou rire. Elle aurait aimé répondre qu'elle se faisait arrêter pour meurtre. Elle avait réussi, sa folie l'avait embarqué dans cette acte irrévocable. Elle riait sans pouvoir s'arrêter, observant le vacarme qu'elle avait créer. Plusieurs personnes s'acharnaient à refaire battre le cœur du patient. Des discussions embrumées et des cris d'agacements s'emmêlaient. Une infirmière déboula dans la chambre avec le défibrillateur, qu'elle actionna immédiatement arrivée aux chevets de l'inconscient. Face au choc électrique, le corps se souleva et les paupières du patient se fermèrent nerveusement.
- Qu'est-ce qui se passe ... commença une individue à l'entrée de la chambre Non ! hurla Maryse en tentant de s'approcher.
Luke se jeta sur elle pour la prendre dans ses bras. La mère était épuisée de voir cette scène, toujours la même. Elle était fatiguée par tout ceci, alors que tout redevenait un tant soit peu normal. Elle crit toute sa peine, en frappant le corps musclé du policier. La blonde ne s'était pas calmée de sa crise, explosant toujours de rire. Maryse inspira férocement par le nez avant de se jeter sur elle pour la frapper. Une fois encore, Luke la retint par la hanche l'embarquant hors de la chambre. La brune avait compris, enfin si elle analysait bien la scène : cette personne hilare venait de tuer son enfant.
- Elle ... elle vient de tuer mon fils ? Demanda fébrilement la maman qui cligna plusieurs fois les paupières d'étonnement.
Elle ne comprenait pas les raisons de cet acte si cruel. Elle ne comprenait pas la monstruosité faite sur son aîné. Alexander avait suffisamment souffert, et cette sale personne (pour rester polie) venait de donner une massue pour l'achever. Le beau-père ne savait comment réagir. Devait-il dire la vérité et raconter la scène horrible qu'il avait vue ? Il poussa sa compagne jusqu'au mur, avant de téléphoner à son collègue qui l'attendait dans la voiture.
- J'ai besoin de toi demanda-t-il, arrestation viens vite.
Il raccrocha avant de se retourner vers elle. Luke embrassa le front de sa bien-aimée qui fixait la porte de la pièce fermée. Le réflexe de flic le fit réagir. Il retourna dans la chambre pour faire sortir cette folle d'ici.
- Tu ne m'as pas répondu ! Hurla Maryse frustrée, a-t-elle tué Alec? Posa-t-elle une nouvelle fois les yeux remplis de larmes.
Luke ferma furtivement les yeux, cherchant de son mieux les mots. Son collègue attrapa la suspecte afin de l'amener dans le véhicule. La mère trembla de tout son corps, incapable de retenir sa panique. Elle ne pouvait pas perdre son enfant, pas après avoir eu cet espoir si beau, si apaisant, si agréable. Luke remarqua que sa compagne avait besoin de son soutien. Son collègue comprit qu'il devra embarquer, seul, au commissariat la blonde. Le métisse ne perdit pas une autre seconde pour prendre sa femme dans ses bras. Il lui embrassa le crâne, espérant et priant pour que le fiston s'en sorte. Il ne supporterait pas après tout ce qu'ils avaient traversés, de perdre Alexander avec un meurtre aussi abominable et faible. Le policier était enragé de voir de telle cruauté : profiter de la faiblesse humaine pour l'assassiner. Maryse s'accrocha à son petit-ami, pleurant dans son cou. Elle n'en pouvait plus.
Un médecin sortit de la pièce en s'essuyant le front. Il tomba face au duo qui le fixait silencieusement. Le cœur palpitait pour Madame Lightwood, cette attente paraissait si longue.
- Je suis désolé ... commença le médecin en soupirant.
Maryse n'était pas prête à entendre la suite. Elle refusait de l'entendre, tout comme son corps. Perdre son fils, elle refuserait ... La mère finit par tomber dans les pommes avant la fin de l'annonce du professionnel. Elle ne se souviendra que de ce début de phrase avant d'avoir le total black out. Elle ne connaîtra pas la suite de la phrase. Elle était anéantie, son corps ne saura point survivre après la mort de son fils. Tous ces événements l'avaient déboussolée. Luke récupéra de justesse son amoureuse.
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Simon caressait avec tendresse les cheveux de sa dulcinée. Isabelle dormait, le visage sur le torse de son chéri. La brune s'était assoupie après un des nombreux ébats sexuels. Les deux amoureux s'étaient enfin retrouvés après plusieurs jours remplis de morosité sans réelle plaisir. Le geek fut toujours aux côtés de sa chère et tendre pendant cette période compliquée. Il n'appréciait pas être impuissant face à son désarroi. Il restait donc auprès d'elle, la réconfortant chaque nuit. Il la prenait chaque soir dans ses bras. Il la serrait fort contre lui pour lui montrer tout son amour.
Alexander allait mieux, redonnant une pincée d'espoir en Isabelle. Elle acceptait de maintenir sa vie, son quotidien et son couple. Simon avait proposé une petite sortie au parc. Ils avaient marché en amoureux, jusqu'à se poser sur un banc pour déguster une gaufre. Isabelle fut détendue. Elle avoua l'importance qu'avait le jeune homme pour elle. La brune avait resserré ses bras autour du gauche du geek qui lui embrassa le front. Elle était extrêmement reconnaissante de son soutien sans faille. Déclaration à laquelle le châtain avait répondu : "Je ferais tout pour toi mon coeur... tu es la femme de ma vie."
Le téléphone de la jeune femme brisa cette magnifique bulle de bonheur. Isabelle sursauta face au volume puissant de sa sonnerie, attribuée et dédiée au numéro de sa mère. Encore embrumée par sa sieste, elle répondit d'une voix pâteuse au téléphone. La nouvelle qu'elle venait de recevoir la réveilla plus rapidement qu'une douche glaciale. Elle devint blême, les lèvres tremblantes refusant ce qu'elle venait d'entendre. Ce n'était pas possible. Face à la réaction de sa copine, le geek fronça les sourcils et s'approcha d'elle.
- Qu'est-ce qu'il y a ? Chuchota-t-il en posant ses mains sur les hanches de celle-ci.
Isabelle était dans l'impossibilité de le formuler. Luke venait de raccrocher, et avait préciser qu'il les attendait. Il avait ajouter qu'il préviendrait Magnus de cette triste nouvelle. La brune lâcha son cellulaire qui chuta sur le matelas. Simon s'inquiéta encore plus lorsqu'il la vit pleurer à en hurler.
- Eh eh eh ... souffla-t-il peiné, avant de la prendre dans ses bras.
La cadette Lightwood accepta cette attention, pleurant de plus belle. Il fallait que cette peine sorte pour ne pas lui ronger l'estomac. Elle s'aggripa aux épaules du geek, qui était détruit face à ce désespoir.
- Isabelle ma princesse ... murmura Simon en s'éloignant légèrement.
Il essaya de voir son visage en replaçant les mèches de cheveux positionnées devant sa beauté. La brune renifla avec quelques soubresauts.
- C'est... c'est Alec ... il ... il bégaya la jeune femme avant de sangloter à nouveau incapable de prononcer ces mots.
- De quoi Alec ? Demanda inquiet le geek qui s'attendait au pire.
Isabelle nicha son visage dans le cou de son copain, cherchant cette odeur rassurante. Simon la laissa pleurer, prenant son mal en patience pour savoir la vérité. Nombreux schémas se faisaient dans sa tête. Il imaginait le pire en remarquant la réaction de sa copine. Quelques larmes glissaient sur les joues du jeune homme qui pensa à son ami, et qui ne supportait pas voir la tristesse sur son amoureuse.
Ce jour-là venait embarquer à nouveau la famille Lightwood dans un cercle sombre et triste. Ce jour-là, le destin venait encore briser l'espoir. Ce jour-là, Alexander fut victime d'un acte fou. Ce jour-là traumatisa toute la famille du basketteur qui ne s'en remettra pas si facilement.
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2 941 mots encore dramatique ... je m'en excuse sincèrement mais j'ai besoin d'écrire sur ça (ne me demandez pas pourquoi car ça vient des tripes...)
Ce chapitre a été écris avant les deux précédents qui furent une trêve au dramatique en quelque sorte. Le prochain est particulier (je suis très stressé de le publier). Je ne sais pas pourquoi il me tient très à cœur mais c'est comme ça. J'espère ne pas vous décevoir et vous fatiguer avec autant de "tristesse".
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