Médias : Jared et Alexia

NDA: imaginer que c'est eu en médias et qu'ils sont dans la cellule à Alexia.

~PDV Alexia~

Sa fait deux semaines que je suis là. Enfermer comme un animal...

- Tu c'est que tu est en partis un loup, qui est sois dit en passant un animal. Un lycanthrope.

- Ferme-là Alex, je vais devenir folle à être enfermer comme ça.

- Et moi, je suis emprisonner dans ton petit corps et je ne peut même pas sortir pour me dégourdir les pattes. Tu crois que je me sent comment là ? dit-elle en commençant à s'énervé.

- Tu a raison.

Elle se tait, se calmant un peu puis se recule dans un coin de mon esprit. Je souffle et regarde pour une énième fois la pièce dans laquelle je me trouve. J'ai des courbatures un peu partout dans le corps à cause de l'affreux matelas que contient la pièce et sa m'énerve.

Je grave des choses sur les murs, je fait des petit dessin sur ceux-ci.

Quoi ? Il faut bien que je passe le temps.

Jared est venue me voir et j'ai été horrifier par se qu'il a fait. J'était en trains de dormir et se salaud à profiter de mon moment de faiblesse pour m'attacher comme une merde. Je me suis réveiller en me débattant, mais trop tard, j'était entraver par les chaines et elle me lacérait les poignets et les chevilles. Je ne pouvais plus bouger.

Il c'est approcher de moi avec un regard impénétrable pendant que je ne lui disais que des injures, que je lui criait dessus et que je sortait tout se que je pensais de lui, mais sa ne la pas arrêter pour autant.

Il c'est encore approcher de moi et a coller son corps contre le mien. Je lui est cracher dessus, je me suis débattu pour ne pas qu'il me touche, mais non. Je n'est fait que me faire encore plus mal.

Son corps était coller au mien et je sentais sa respiration sur mon visage. Sa poitrine montait et descendais à un rythme régulier qui m'avais un peu troubler contenu des événements précédant. Sa bouche avait descendu dans mon cou et il avait déposer des petits baisé sur celui-ci. J'avais tellement envie de vomir à cette instant, vous ne savez pas comment.

~Flashback~

Jared dépose des baisés dans mon cou et sa me dégoute au plus haut point. Comment ose-t-il abuser de moi comme ça ?

-Jared- Tu est à moi et tu va craqué. Ton corps est indéniablement attirer par le miens, nous sommes fait l'un pour l'autre et tu va finir par accepter notre lien. Je tes l'ai dit.

-Moi- Tu rêve et ne me touche pas. Tu n'a pas le droit de me toucher comme ça, lui dit-je.

Je suis en colère et sa se vois clairement. Je serre les poings et lui jette un regard noir, mais apparemment il ne prit pas en conte se petit détail et l'ignora.

-Jared- J'ai tout les droits sur toi ,grogna-t-il.

-Moi- Non, tu est très loin d'avoir un seul droit sur moi.

Il me regarda quelque instant et pour suivi se qu'il fessait un peu plutôt. Il m'embrassa un peu partout et je gémit de dégout plusieurs fois. C'est baisé montèrent sur ma mâchoire et quand viens le temps où c'est lèvres allais de poser sur les miennes, je détourna furieusement le visage pour que ses lèvres rencontre ma joue.

Il grogna et se colla encore plus contre moi. C'est mains me caressait partout et je frissonnait de dégout, mais une partit de moi aimait se qu'il me faisait et sa me mit dans une rage folle. Malgré moi, une partit de moi aimait se qu'il me faisait et je n'aimais vraiment pas ça.

Maintenant je comprenais comment il voulait me faire craqué. Il voulait que je m'abandonne à lui en m'offrant corps et âme, mais je vais résister. On n'est peut-être âme-sœur, - oui je le reconnaît maintenant, mais je lui avouerais jamais - mais je ne suis pas sa chose et se n'est pas vrai que je vais lui donner se qu'il veux juste pour son petit caprice d'Alpha en rut.

Ses maina rentrèrent tout d'un coup sous mon chandail et j'ouvris quand les yeux.

Non. Sa, il n'en est pas question.

Je lâcha un gros grondement qui ferais se soumettre n'importe qui, mais pas lui apparemment sauf qu'il s'arrêta et j'en fut heureuse.

-Moi- Me touche pas je te dit ,grondai-je d'une voix grave.

Il me regarda quelque instant et je pu y déceler de la tristesse dans son regard, mais elle disparue bien vite. Il me détacha et je tomba au sol.

Une brûlante envie de lui sauter dessus et de m'enfuir me pris, mais je sais qu'il m'aurait rattraper de toute façon et sa meute aurait été là. De plus je ne sais même pas où aller. Je en sais même pas où je suis d'ailleurs.

Je me frotta les poignets tout en les regardants hargneusement partir et fermer la porte derrière lui en la barrant.

Je ne vais pas céder et je vais me battre. J'ai des droits, des valeurs et se qui est sur c'est qu'il ne me connaît vraiment pas. Quand je vais réussir à m'échapper je vais lui faire regretter.

~ Fin Flashback ~

Il est revenue plusieurs fois après sa et il recommençait son manège, mais il ne ma pas toujours attacher. Il utilisait à chaque fois des manières différentes comme ça je ne pouvais pas anticiper se qu'il allait faire et réussir à m'échapper. Sa fessait vraiment chier. Je lui est résister, il ne va pas gagner. Se n'est pas parce que je ressent le lien, partiellement,  je tiens à préciser que je vais lui tomber dans les bars et faire tout se qu'il me demande de faire comme un gentil toutou. Oh sa non. Se n'est juste qu'une espèce d'ordure qui profite de la situation.

Mes crise son revenu quatre fois entre temps et sa fait de plus en plus mal à chaque fois. La dernière fois j'ai même saigné du nez puis je me suis évanouie.

Quand je me suis réveiller, il y a avait un vers d'eau à coté de moi et deux pilules. J'était enrouler dans une couverture qui n'était pas là avant et qui était beaucoup plus chaude que l'autre. Elle avait l'odeur de Jared alors j'en est conclu que c'était lui qui était rentrer dans la pièce et m'avais trouver inconsciente.

Une vague de rage m'avais traverser, car il m'avait vue faible, encore et qu'il aurait pu faire n'importe quoi.

Toute fois, je m'était résigner à garder sa couverture même si elle portait son odeur, car il fait froid. Beaucoup trop froid pour un loup-garou. Si un humain aurais été enfermé dans cette pièce, il aurait été mort d'hypothermie en seulement deux jour c'est sur.

Il me fallait cette couverture pour me garder un minimum au chaud.

Maintenant, je suis sur que j'ai des cernes sous les yeux, car je manque beaucoup de sommeil. Mais crises son de plus en plus fréquente comme vous le savez et je guette le moindre bruit dans la pièce pour savoir quand enfin cette espèce de con d'Alpha décidera de montrer le bout de son nez ou plutôt museau si vous voulez.

Je suis présentement sur ce lit, si on peut l'appeler comme t'elle et mon regard est maintenant encré sur la porte.

Je finis par m'endormir.

°°°

Je me suis réveiller, complètement en sueur même si dans la pièce il fait au moins - 25 °C.

Un autre crise commence... Pas encore...

Mes mains trembles, mes lèvres commences à trembler et je sent un liquide couler de mon nez. Je lève ma main et essuie le liquide rageusement en me maudissant. C'est vrai quoi, je suis maudite par la vie.

Mes bras commence à trembler et un force me frappe brutalement m'arrachant un long crie, qui je suis sur, ressemble à un cris au meurtre. J'ai tellement crier fort que ma gorge me fait mal et que je ferme les yeux pour essayer de me reprendre, mais la douleur reviens encore et encore. Elle m'agresse, elle veut en finir, elle veux que je meurt ou quelque chose comme ça. Ma poitrine me tiraille et l'air rentre péniblement dans mes poumons.

Un brulure survient sur mon avant bras me fessant gémir de douleur. Je baisa le regard vers celui-ci et constata avec horreur une grosse plaque rouge qui commençais à virer d'une couleur que je n'appréciais gère.

Une autre brulure survient sur ma cuisse, puis sur mon omoplate puis encore une autre et une autre.

Je ne cessait de crier et de crier.

J'ai l'impression que je me fait torturer. Que quelqu'un à pris un couteau et qu'il me lacèrent la peau pour son plaisir.

Mon corps souffre comme jamais, ma tête est endolorie. C'est comme si un camion venais de me passer dessus, mais en cent fois pire.

J'essaie de me lever, mais j'en suis incapable et je cris encore quand je sans un de mes os craquer. Pourtant, je ne suis pas entrains de me transformer en louve...

Je me laisse tomber sur le sol comme une merde et essaie de souffler un peu.

Je veux pas mourir merde !

Ma louve commence à paniquer tout comme moi, car ma crise est beaucoup plus violente, dévastatrice et brutale que toute les autres. Elle se propage partout dans mon corps et réclame quelque chose, mais je ne sais pas quoi.

La douleur...

La souffrance...

Mes forces mon abandonner et je ne sais plus quoi faire.

J'entend un grand fracas et une lumière aveuglante entre dans la pièce. Je souffle et essaie de voir qui viens d'entrer mes gens suis incapable.

Je renifle et sans l'odeur de l'Alpha.

- Il en a mis du temps lui dis donc... me confia ma louve en gémissant de douleur et en se tortillant un peu partout en moi.

- Je suis bien d'accord avec toi Alex.

Il se dis être notre putain d'âme, mais il pas capable de savoir quand je suis mal.

- Tu a raison Alexia, mais je crois qu'on va avoir un problème...

- Quoi ?

Elle ne pu finir sa phrase que quelqu'un me redressa et me regarda avec un regard paniquer.

Jared.

Je le regarda avec des yeux vides. Je ne gémissais plus, la douleur est tellement intense que je ne sans plus du tout mon corps. Je veux fermer les yeux, mais l'Alpha me cris de rester avec lui. Il répète sans cesse qu'il est désoler et qu'il n'aurait jamais du faire ça, mais il voulait à tout pris que je l'accepte et que je le reconnaissent comme partenaire.

Il ne savait plus quoi faire par rapport à moi et il devenait de plus en plus fou de mon refus. Sa le déchirais de l'intérieur et il dit que je suis tout pour lui et bla, bla, bla.

Je ne dit rien, incapable de prononcer quoi se sois. Mes paupières commencent à être lourde et ses de plus en plus dure de rester éveiller.

C'est yeux deviennent dorer comme de l'or et je vois bien qu'il a les larmes à l'œil. Ce détail me fit étrangement un petit pincement au cœur, mais je le chassa bien vite. Refusant tout sentiment pour lui autre que la rage, la haine et tout sentiment ressemblant à celui-ci.