Épilogue 7 ✨

~ Quelque mois après la bataille de Poudlard ~

Draco

L'école sa fait chier. Sa m'emmerde. Comme beaucoup de chose dans la vie. Je supporter les idioties de Blaise et les soupire de Théodore au bout de notre table.

Une table où je savais que tout les regards était porter sur nous. Mais du moment que personne n'ouvrait sa bouche ca m'aller.
Les rares personnes ayant oser avait était puni par mes poings.

Qu'est ce qu'il pouvait ce dire sur moi ? Beaucoup de chose.

Rose
         Rose
                   Rose
                              Rose
                                        Rose
                                                    Rose

De toute manière, tout revenait vers elle. Et je déteste ça. Ils n'étaient pas à sa hauteur de prononcé son nom. De prononcé le nom de la fille qui me faisait respirer, mon oxygène, mon âme, mon cœur, mon cerveau, tout. Cette fille était tout.

Malgré ça, je rester Draco Malfoy et personne ne m'emmerder. Bah quoi ? Je suis le prince de Serpentard.

-Pansy t'envoie encore des petits parchemins ? Me demande Blaise en croquant dans sa tarte.

Je hoche vaguement la tête en croquant à pleine dent dans ma pomme.

-Rose est au courant ? Demande Theo.

-Réfléchis, si ça aurai était le cas. Pansy serait brûler et Draco aurait perdu un membre.

Je remarque mes joues me faire immédiatement mal. Je sourit. Zabani avait raison, Rose aurait tuer dans d'atroce souffrance Pansy et elle m'aurait puni de ne rien lui avoir dit. Mais pourquoi lui dire quelque chose d'aussi insignifiant pour moi ?

-Je lui dirait au moment venu. De toute manière je ne lui répond jamais. On s'en fous.

-On parle de la fille qui a peur que tu vas voir ailleurs. Rose ne s'en fous pas. Réplique Théodore.

Et moi je suis son mec qui reste dans une putain d'école alors qu'elle est à l'extérieur avec le monde entier. La femme la plus belle sur la terreDe nous deux qui aurait le droit d'avoir le plus peur ?
Mais ça je ne leur dit pas. Je me contente encore une fois de hausser les épaules.

-Ça remonte à quand la dernière fois que tu ne l'as pas vu ? Me demande Blaise.

-91 jours. Je m'entend dire malgré moi.

Blaise lève les yeux vers moi. Putain mon cerveau et mon cœur ne joue pas dans la même route.

-3 mois, je rectifie. Et oui j'ai compté. Et n'ose pas faire une seule remarque.

Une silence s'installe entre nous trois. Un silence que je ne sais qu'il ne vas durer. En regardant Blaise se mordre les joues pour ne pas faire de commentaire.
Je prend un verre de jus de citrouille. Et croise les bras en le regardant. Oui, j'attend sa connerie.

-C'est mignon. Dit t'il simplement.

C'est vrai. Mais rien à foutre. Je lui jete le contenu de mon verre dans la gueule. Theo éclate de rire suivis par moi.

Tellement pris dans mes rires, je croise le regard de Pansy qui venait d'arriver. Comme d'habitude ou un cauchemar, elle n'est jamais loin de moi. Elle m'offre un clin d'œil, et moi un jolie doigt. Pourquoi elle n'était pas morte pendant la guerre celle là ?

-He merde. Soufflé-Je.

Mon regard après avoir était malgré moi donner à Pansy, rencontre ceux de Weasmoche et la sang de bourbe. Bah quoi ? J'ai changé pour Rose mais pas pour le monde entier.

Je vois que l'intello essaye d'arrêter sa pote qui réussie à se dégager d'elle et arrive en furie vers nous. Je grince ses dents en entendant sa voix :

-Malfoy !

Weasley tape ses mains contre notre table.

-J'ai toujours dit à Rose qu'elle faisait la plus grosse connerie de sortir avec toi. La preuve ! Tu la trompe ! Avec l'une de tes chèvres !

-Tu n'es pas dans notre vie pour savoir ce qui est bon pour elle. Tu n'as aucun droit sur elle. Alors ferme la. Granger sert à quelque chose dans ta vie, dégage la d'ici.

-Oh combien j'ai hâte Malfoy que Rose ouvre les yeux...

Weasley n'a pas le temps de finir sa menace à deux balles que je lui envoie un sort. Un sort con mais au moins elle part vite.

-Weasley n'a pas tort. Ce n'est peux être rien. Et tu ne répond jamais au avance de Pansy ou une autre. Mais Rose doit le savoir. Dit Theo

-Parce que si elle l'apprend d'elle même. Clac, tu fais plus partie de sa vie. Son père va te tuer...

-Potter aussi.

Je ferme les yeux, soupire longuement et pince l'arrête de mon nez. J'ai pris ma décision, je vais me mettre à fumé quotidiennement.

-Très bien. Je lui dirais au vacance.

-Non, dans une lettre, tout de suite. M'ordonne Blaise.

Je regarde mon meilleur ami dans les yeux. Rose était peu être ma petite amie, pour lui c'était sa meilleure amie et vice et versa. Donc je comprend qu'il veut la protéger. Enfaite, ça me rassure qu'il soit là.

-Non, je lui dirais de vif voix. Sinon elle va s'inquiéter.

Blaise fronce les sourcils pas du tout convaincu. Le connard, je suis très convaincant.

Je lui tape sur l'épaule.

-Blaise, je suis ici pour être à la hauteur de Rose. Je ne peux pas partir pour uniquement lui dire ça. Elle doit avoir confiance en moi, parce que elle mérite la meilleure version de moi sinon si je serais rester avec elle. Et je l'aurait entraîner dans mon puit sans fond. Je vais lui dire, mais quand je pourrai la voir c'est à dire au vacances de noël.

Blaise hoche la tête. Bah oui...je suis très convaincant. Théodore et lui m'invitent à aller faire un tour à préau lard. Nous sommes le week-end. Je refuse pour faire mes devoirs. Je ne suis pas ici par le plaisir. Sinon je serai entre les jambes de Rose. Et hors de question de tenir la chandelle à cesser deux cons.

Ils me laissent à la table. Je sort mes parchemin et commence à gratter ma plume dessus. Toujours une oreille ouverte pour savoir si on parle sur moi. Ou d'elle.

Alors que j'étais en pleine réflexions, deux bras m'entoure par derrière sur ma poitrine. Surpris, je relève rapidement la tête, commence à prendre violemment l'un des poignets pour tuer cette personne. Le contact physique pas trop pour moi.

Mais je reconnais cette main, ses bijoux et surtout ses cheveux roux tombent sur mon épaule. Je lève doucement la tête sans y croire.

Rose est ici.

Yeux vert contre yeux bleue.

Passion contre amour.

Sans perdre de temps, je l'embrasse en prenant sa tête en coupe dans mes mains. Le goût de ses lèvres me provoque un frison. Je demande l'accès à sa bouche, nos muscles rose se rencontre et je respire de nouveau. Mon cerveau fonctionne maintenant parfaitement, j'ai sais la réponse à la question douze.

Putain elle m'avais beaucoup trop manquer. A un point que je ne m'était pas rendu compte.

-Salut toi. Me dit t'elle contre mes lèvres.

Je ne peux pas, je ne veux pas lui répondre. Non, ce que je veux, c'est reprendre mon oxygène prévenant de sa bouche. Ce que je veux c'est la sentir près de moi de nouveau.

Oui je suis sur que tout les yeux son braqué sur nous. Mais j'en est rien a foutre.

Rose se détache difficilement de moi, s'assoie à califourchon sur le banc et...elle me sourit. Un sourire rayonnant. Non, je ne la mérite pas.

-Salut. Dis-je enfin. Qu'est ce que tu fais ici ?

-Mon copain me manquer.

-Je pensais qu'aucune personne d'extérieur ne pouvais venir.

-C'est le cas. Mais c'est un avantage d'être auror. Ce qui n'est pas assez suffisant pour McGonagall. Alors j'ai sortie la carte Rose Potter, héroïne de guerre, alpha. Et ça a marcher.

Je l'embrasse de nouveau. Nos dents s'entrechoquent, je sens sa respiration se couper. Elle est venu pour moi.

-Je t'aime. Dit je.

Rose se détache de moi, plonge son regard dans le mieux. Je peux y lire de l'interrogation mais aussi du bonheur. Mon âme, mon coeur.

-O.K.

-Rectification. Dégage.

Rose sourit de plus belle. Toujours à gâcher les moments d'amour celle là. Elle place ses doigts fin dans ma chevelure pour jouer avec mes mèches blonde et me dévorer du regard :

-Je t'aime. Dit t'elle enfin.

-Ton père ta laisser venir me voir ? C'est surprenant.

-Il ne sais pas que je suis ici. Il m'a juste laisser partir.

-Normal, tu es sa Rosy, sa chérie.

-Et il a très vite compris que je n'aime pas être auror.

Je hausse les épaules. Ne pas aimer était un euphémisme. Rose détester son boulot. Elle avait accepter uniquement pour ne pas revenir à l'école et sa mère ne voulait pas qu'elle reste chez elle.
Mais je suis sûr, elle vas réussir à trouver mieux.

-Tu me manquais Baby. Je n'en pouvait plus. M'avoue t'elle.

-Moi aussi.

-Qu'est ce que disent les élèves ?

-Rose...

-Aller Draco ! Dit moi !

-Je sais que Blaise, t'en a parler dans des lettres que j'ai frapper plusieurs cons...

-Mais il ne m'a jamais donner la raison ! Je veux savoir !

Je prend son visage en coupe, hors de question qu'elle s'en préoccupe.

-Baby, ce sont mes problèmes. Et les personnes qui hose prononcé ton nom, sont frappé. Tu ne serras que ça.

Rose croise les bras sur notre poitrine...enfin sa poitrine. Elle va bouder.

Boude
Boude
Boude

Tant pis pour elle. Elle n'a pas besoin de parler. Sa présence me suffit amplement. Je pose l'une de mes mains sur sa cuisse et me reconcentre son mon devoir.
Quand Rose est ignorer, elle ne fait jamais la tête très longtemps.

Du coin de l'œil, je voit ses lèvres frémir. Elle se retient. Je commence à caresser sa cuisse...

-Tu es chiant. Abdique t'elle.

-C'est pour ca que tu es amoureuse de moi. Dit-je avec un sourire triomphant.

-On peu sortir ?

-Je dois finir se devoir. Ne me fait pas la tête baby. Tu sais très bien que je suis ici pour bosser...

-Et pouvoir entrer au département de la cohésion magique. Et que tout le monde arrête de penser que tu es un « méchant ».

-Tu oublie, « de te mérité ».

-Après on peu aller dans le jardin. Tu pourras finir là-bas.

Comment résister face à elle ? J'en sais rien, je ne l'es jamais résister de toute manière. La personne qui a la solution merci de me faire un signe.

Nous allons mains dans la mains dans le jardin, plus précisément dans notre cachette quand elle était encore avec moi. On s'installe dans l'herbe, pose sa tête sur mes cuisse et ferme les yeux pour profiter du soleil hivernal.

-Ça en est où les démarches pour ton nom ? Me demande t'elle subitement.

Depuis que père est à Azcaban, maman a demander le divorce et repris son nom de jeune fille, Black. Un nom que j'ai légitimement le droit de porter.
Ce que j'ai envie de faire. Rose Potter Black ça sonne bien.

-Quand je ne serais plus scolarisé je pourrais finir la demande.

-Mon p'tit scolarisé. Se moque t'elle.

Je grogne. Elle sais que je déteste ça. En dirait une mère qui dépose son fils à l'école. Berk.

-Je vais aller chercher des gâteaux à la cuisine. Je reviens, finis je veux partir à Pré au Lard. Me dit t'elle.

Je n'est pas le temps de dire quoi que ce soit, qu'elle m'embrasse et disparaît :

-Je veux des cap cake ! Crie je.

...............................
Rose

Alors que mes baskets taper sur le sol de l'école en direction de la cuisine. Je croise plusieurs ancien camarade qui me salut de façon...très joyeuse. Berk. J'aime pas les gens, bon j'aime peu être plus les gens que Harry. Non ! Je blague ! Harry a tout jamais dans mon coeur ! Chut il ne faut pas le lui dire.

Au loin, je vois enfin la chevelure brune d'Hermy avec Ginny.

-Hermione ! Ginny ! Crie je.

Je court vert elles et les prends dans mes bras puis dépose un bisous chacun sur leurs tempes.

-Qu'est ce que tu fais là ! Crie Ginny aussi heureuse que moi.

-Je suis venu voir Draco...non...pas cette tête Miss Weasley.

Ginny envoie un regard à Hermione qui lève les yeux au ciel. Qu'est ce qu'elle a encore dans sa tête ?

-Mais je peux resté avec vous. Il finit un devoir.

-Rose...

-Ginny, non. Coupe Hermione. Comment ça ce passe au ministère.

-Comme d'habitude. Papa embête oncle Sirius. Oncle Sirius se plains à oncle Remus. Maman est présente. Papa se plains à maman. Harry éclate de rire et s'étouffe avec ses brocolis. Donc, tout de normal dans ma famille.

-Plusieurs élèves sont venu nous voir pour nous demander où aller le professeur Lupin après ses cours. Comme il n'est jamais là au dîner et au petit déjeuner. Ils étaient surpris de savoir qu'un professeur avait un vue de famille.

-Dit leur, qu'il a un chien, un cerf, une meilleure amie et des neveux incroyables. Ils a plutôt intérêt de rentrer à la maison.

-Je me demande comment votre maison tiens encore debout avec tout se monde. Dit Hermione.

Je lui sourit simplement. De toute manière quoi répondre à une question sans réponse pour l'instant. Ginny n'a pas arrêter de me fixer, je doute même qu'elle respire encore.

-Dit. Lui dis-je.

Ginny prend une grande respiration pour enfin dire ce qu'elle a sur le coeur :

-Pourquoi tu sors avec Malfoy. Tout les garçons sont raide dingue de toi, tu es belle, gentille, marrante, une héroïne. Tu as tout pour toi. Non toi tu choisis un garçon qui a harceler ton frère et ma famille. Je t'aime Rose, tu es ma soeur. Mais Malfoy n'est pas bon pour toi.

-Je t'arrête tout de suite. On en a déjà parler avant la rentrer. Dans la réunion de famille. Draco est la personne que j'aime le plus sur terre sans compter mes parents, oncles et mon frère. C'est ma lumière...

-C'est qu'un p'tit con. Rosy, c'est un sang pur. Il n'a jamais arrêter de traiter de sang de bourbe. Tu veux vraiment rester avec ce type ? Tu crois pouvoir être heureuse avec lui ?

-Ginny, il est ici pour se faire racheter. Racheter de rien parce que il a œuvrer doucement pour le bien. Dumbledore aurait été d'un grand soutient pour lui, il l'aurait protéger. C'est ça ce qu'il ce dit dans les couloirs ?

Elles hochent la tête simultanément et Hermione m'informe :

-Beaucoup pense que Malfoy ta jeter un sort. Ou que tu es dans un piège. Mais aucun Serpentard n'ose dire à Malfoy de chose négatif sur votre relation. Sinon il frappe.

-Rose, tu crois vraiment qu'il va respecter ta mère ? Alors qu'il est incapable de parler respectueusement a l'une de tes amies. Tu crois qu'il ne vas jamais faire un rapproche sur ton sang ? Me demande Ginny.

S'en est trop. Je n'est pas envie de lui répondre. Je connais Draco, non il n'oserais jamais faire ça. Je leur tourne le dos et commence à descendre. Mais Ginny me rattrape et poursuis :

-Il échange des regard avec Pansy. Des regards ambigus.

Une claque. Voilà ce que je me prend. Non, je crois pouvoir entendre le bruit de mon cœur se détruire. Sans rien ne lui répondre, je part chercher les cupcakes de merde et reviens voir ce connard.

Quand il m'aperçoit, il m'offre un sourire incroyablement beau. Non, c'est impossible. Draco ne pourrait pas me tromper, il est ici pour moi, pour nous. Il ne ferais pas ça.

-Mes préférés. Dit t'il en prenant un gâteau.

Je m'assoie devant lui et capte son regard. Sans attendre je commence :

-Comment ça ce passe la cohabitation avec Parkinson ? Ou Greengrass ? Ou les autres avec qui tu es partie voir ailleurs quand je t'es quitter en sixième année.

Draco fronce les sourcils, repose le gâteau doucement et avec précaution. Comme ci il allait lui exploser dans la figure.

-Pansy m'envoie des lettres, surtout en fin de journée. Mais je l'es brûle. Demande à Blaise ou Théodore. Chaque geste qu'elle fait vers moi, je l'arrête avec force et d'un regard glaçant.

Mes muscles se détende. Ils dit vraie, c'est un peu dans le même sens de Ginny. Je le crois, je le voit dans ses yeux. J'y vois un amour surnaturel envers moi.

-Embrasse moi.

Sans me faire répéter, Draco se penche vers moi. Place sa main sur ma nuque et l'embrasse avec tendresse et amour.

-Répare mon cœur je t'en supplie, continue. J'ai crue au pire. Ginny est venu me voir...

-Baby, c'est notre vie pas la sienne. N'écoute personne, fait comme moi.

Et il m'embrasse encore et encore jusqu'à qu'il colle les morceaux de mon cœur.

-Elle m'a aussi dit que tu ne vas jamais respecter ma mère parce que c'est une née moldu. Et qu'un jour, tu me traiteras de sang mêlé.

-Baby, jamais au grand jamais je ne ferrais ça. Je t'aime putain. J'idolâtre le sol qui a eu l'honneur d'avoir eu ton empreinte de pied. Alors j'idolâtre la femme qui a porter la fille la plus incroyable du monde. Je respect ta mère, et j'espère avec tout les efforts que je fait et que je vais faire, qu'elle m'aimeras. 

Je hoche la tête, bien sûr qu'il ne ferais jamais ça. J'ai était bête de douter.

-Il n'y a que toi qui me connais réellement et qui connais le nouveau que j'essaye de devenir. Alors fait moi confiance. C'est une confiance en nous.

Je hoche  de nouveau la tête et le prend dans mes bras. Je ne sais pas on reste combien de temps dans cette position mais putain j'en avait besoin.

-J'ai bientôt finis mon devoir et j'aurais encore plus vite finis si tu m'aide.

-Je supporte les aurors c'est pas pour faire tes devoirs.

-Égoïste.

-Con.

-Salope.

-Pute.

-C'est un compliment venant d'une vrai.

On se regarde et on éclate de rire... c'était nous ça.

-On rejoindras Theo et Blaise au chaudron. M'informe t'il.

J'accepte et pose ma tête contre ses jambes. Il écrit rapidement les derniers mots. Quand il relit ses parchemins je sourit, il est vachement sexy quand il est concentrer. Doucement sans lui attirer le regard, je lui prépare ma vrai surprise.

Alors qu'il commence à poser le parchemin près de nous. Signe qu'il avait finit. Je lui balance ma culotte. Sans me regarder, il sourit, un sourire différent des autres.

-Tu m'as dit que tu voulais une collection. Dis-je avec inconscience.

-Sauf que j'aurai préférer te l'enlever avec mes dents.

-Tu peux toujours m'enlever mon soutient.

Très vite j'éclate de rire quand Draco met rapidement ma culotte dans sa poche de pantalon et s'assoie à califourchon sur moi pour embrasser mon cou.

Comme à chaque fois, il me demande mon autorisation. La robe ? Oui. Je peux mettre les doigts ? Oui. Je peux mettre la langue ? Oui. Je peux enlever mon pantalon ? Oui. Je peux enlever mon boxeur ? Oui. Je peux enfin nous compléter réellement ? Je t'en supplie vas-y, oui !

Voilà ce nouveau chapitre. J'ai vraiment adorer a l'écrire ! J'espère qu'il vous a plut !

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top