Rose été chez elle, dans sa chambre, nu devant un miroir en train de regarder chaque partielle de sa peau. Elle jette un regard sur sa petite fille nourrisson qui été posé sur le lit de ses parents. Doucement elle caresse certaine partie de sa peau, des plaies, des cicatrices exactement qu'elle c'était elle même infligé auparavant, a son jeune age, pendant sa scolarité...

Rose c'était enfermé dans la salle de bain, le sol remplie de sang, de son sang. Elle tenait également une lame dans la main, les yeux rougie et remplie de larmes :

-Rose ? Tu vas bien ? Demande Hermione qui ne se douter de rien. Ca fait assez longtemps que tu est ici.

-Oui ça va très bien ! Ne t'inquiète pas, rassure la rousse avec une voix parfaite.

Rose avait recommencé a se faire du mal, a prendre toute sorte d'objet pointue, de les utilisé pour faire couler son sang au niveau de son ventre et jambes, mais sa comme bien d'autre chose personne ne le savait. Elle Pose delicatement sa mains sur la marre de sang, respire profondement et effonce la lame plus loin a travers la cuisse, la jeune fille poussa un crie silencieux. Un crie qui ressemblait a ceux qu'elle poussait a l'interieur pendant ses heures de torture par son professeurs de potions. Elle n'allais pas bien, elle n'irais jamais bien, même quand elle été partie de l'école pour sa santé mental, agée maintenant de quize ans ses heures de supplice influgé par elle même ne c'était pas arrété.

-Je suis gentille...chuchote telle, je suis belle, je suis intelligente... c'était sa mère qui lui répété tant de fois ses paroles pour lui redonner confiance.

D'un coup de baguette la scène de crime avait été netoyer, un dernier coup de baguette elle c'était infliguè une petite brulure sur son bas de ventre. Avant le repas, elle rejoint Draco dans leurs petit endroit secret dans le jardin de Poudlard. Draco la prend dans ses bras et lui dit d'un ton totalement normal :

-Tu es très moche, enfin ton visage et tout ridé.

-Connard.

Puis eux deux commence a parler de tout et de rien, de se caresser les doigts jusqu'à qu le blond remarque une blessure au poignet de sa petite amie. Sans lui demander, il remonte sa marche doucement avec le souffle couper des entaillements :

-Rose ? Qu'est ce que c'est que tout ça ?

-Mais rien, dit telle en remontant sa manche, c'est rien faut arrêter de tout prendre a l'excés...

-Et toi a la légère. C'est lui qui te fait ça ? Il a recommencé ?

-Non, c'est juste moi, alors laisse tombé, si c'est moi qui me fait ça ce alors rien d'important, elle lui offre un grand sourire pour le rassurer.

Sauf que Malfoy n'était pas vraiment rassurer, le soir, alors que le chateau été endormie, il écrit une lettre, avec des légers frissons :

Bonjour Mr Black,

Je suis sans doute la dernière personne que vous voulez correspondre, et je le comprend. Rose est comme votre fille, enfin c'est votre fille, et je suis son petit copain, un début de relation caché a vous. Mais c'est également pour cela que je vous envoie cette lettre, car je ne sais pas a qui d'autre le dire.
Alors que j'était devant le lac noir avec Rose (nous ne faisons sur de discuté), j'ai rearué des blessures sur son poignets, curieux, j'ai alors découvert des scarifications sur ses bras, elle ma alors révélé entre l'autrice. je pense que vous devriez le savoir.

J'espère que vous pourrez faire quelque chose,

D.L.M

-Putain, j'espère qu'il va vraiment faire quelque chose parce que je me suis donné un mal de chien a avoir un vocabulaire correct. Commente le blond tout en envoyent la lettre a destinataire.

Sirius été encore a son bureau, avec James qui été occupé a crié sur un membre du personne pour des raisons non déterminé mais il s'agirait sur les recherche de Peter. Quand la chouette se pose a sa fenêtre, il prend la lettre, et la dépose machinalement sur un tat d'autre, mais heuresement, il jette un coup d'oeil a cette écriture assez scolaire. Plus il lit, plus son sourire s'enlève et regard au loin James :

-Je vais devoir gérer ça Cornedrue, tu as trop souffert de cette histoire, ce dit t'il a lui même.

Il envoit une lettre a Rose pour lui indiqué qu'il la verra seule a la prochaine sortie a Préaulard, et de ne le dire a personne. Un peu anxieuse, elle va le jour J, rencontré son oncle dans une chambre d'une auberge du village :

-Bonjour oncle Sirius, j'ai peur de ce que tu vas me dire.

Sirius reste assis sur le lit et la regarde pour chercher les mots, elle avait un grand sourire qui aller vite disparaître :

-Je tiens énormement a toi...

-Oui je sais tu ne fais que de dire ça a Harry et moi, coupe Rose avec un rire.

-Je veux que tu te déshabille, dit brusquement le parrain.

Rose enlève directement son sourire, elle lui envoie un regard noir, et commence a reculé :

-Rose, je veux que tu te déshabille...

-Mais ça va pas...

-C'est toi qui ne vas toujours pas bien, on m'a dit certaine chose, que je veux voir de mes propres yeux.

-Et c'est quoi qu'on ta dit ?

-Tu te mutile, revele d'un souffle Sirius.

Un silence retentit dans la pièce avec un climat de tension, Rose été prête a partir mais Sirius avait fermer la porte a clé, elle été bloqué. Elle s'assoit contre la porte a même le sol. Sirius soupire, et viens s'assoir prés d'elle.

-Avant d'aller chez ton père, chez moi c'était horrible, tu as eu un avant gout au quartier général. Des fois, parce que je ne savais pas quoi faire avec cette colère, je me faisait aussi du mal. C'est Lily qui ma aidé, ton père n'a jamais été au courant de ça, Moony aussi.

-Je te crois pas... dit Rose doucement.

Sirius lui fait un sourire triste, ouvre sa chemise et lui montre les nombreuse cicatrise :

-Il y a en a d'autre, dans d'autre endroit, je te dit la vérité Rose.

Rose regarde timidement les cicatrices de son parrain, avant de se reculé doucement du mur et faire face a Sirius. Doucement elle ouvre sa chemise, Une fois en soutient gorge devant lui, elle lui demande doucement :

-Tu vas rien dire a mes parents ? Même pas a maman.

Sirius qui fixé ses nombreuse cicatrice, hoche uniquement la tête. Rose enlève alors sa jupe pour decouvrir encore plus de plaie. Sirius enleva vite une larmes qui coulé et assoie sa filleule sur le lit, elle pouvait être presque a nue devant elle, il s'en fichait totalement :

-Je ne vais pas te dire simplement d'arreter parce que ce n'est pas bien, je sais que sa ne servira a rien. Mais sache que maintenant on va beaucoup se voir, et je vais te demandé d'enlever tes habilles a chaque fois, parce que je veux voir si il y a eu des nouvelles plaies. C'est compris ?

Rose hoche simplement la tête, jamais une seule de ses plaies n'avait été traiter, alors Sirius les désinfecte tous une par une.

-C'est Draco ? Qui te le dit.

-Oui, et heuresement. Maintenant, je l'aime bien.

Rose lève les soucrils au ciel, alors qu'elle grimace légerement a cause de la douleur :

-La dernière fois que tu tes fait mal ? Sa date de quand ?

-Quand tu nous a révèlez la raison de ton mal être, révèle le plus vieux. C'est finis, tu peux te rhabiller.

Une fois de nouveau couverte, Sirius prend sa filleule dans ses bras, et lui dit doucement :

-Tiens, il lui tend une bouteille en verre vide.

-C'est pour faire quoi ?

Il la tourne face au mur et lui dit doucement a l'oreille :

-Jette la contre le mur, défoule toi.

Il n'avait pas besoin de le répété, elle avait cassée des dizaines de boutaille cette journée là, tout en explosent de pleure...

-Qu'est ce que tu regarde ? Tu veux des petites calins...

C'était Draco qui avait pris dans ses bras sa femme en la couvrant de baisé dans son cou.

-Arrête, je veux rien du tout, mes cicatrices ce voit toujours.

-Elle faut partie de toi, la dernière remonte a quand ?

-Juste avant le mariage, j'avais peu être un excès d'émotion, j'en sais rien. Et oui, débile, je l'ai dit a mon oncle.