Chapitre 50 : « Chacun sa place dans la tristesse »

Sirius avait attendu que Remus et le couple Potter vont se coucher pour aller voir Rose. Qui était partie dans sa chambre. Ce qui avait rendu sa mère encore plus triste, elle qui voulait dormir tous les jours avec sa fille.

Il frappe, aucune réponse, il réessayer, mais toujours rien. Mais rentre dans la chambre sombre, pas si sombre que son car une bougie illuminée le lit de Rose.

-Rose.

-Laisse moi.

-Tu ne dors pas ?

-Si je te réponds, c'est que tu as déjà ta réponse.

Sirius s'approche d'elle et prend une chaise pour s'installer confortablement. Il commence :

-Tu sais que tu peux tout me parler Rose.

-Tu as lut le dernier texte. Je tes vue.

-Peut-être que oui ou peut être que non.

-Merci de me laisser dormir.

Rose s'engouffre dans les couvertures dos à son parrain.

-Merci de ne pas me faire la tête alors que je n'ai rien dit à ton père.

Rose se met assise très vite, les joues tout rouge.

-Je n'ai pas le droit d'écrire comme je veux ? Il faut à chaque fois d'être dans le contexte maintenant pour écrire.

-Je n'ai pas dit ça. C'est toi qui te justifies. Dit Sirius avec un grand sourire.

Rose lui envoie un oreiller à la figure.

-J'ai écrit pour... Papa et maman.

-Ah ouais ? Sérieusement ?

-Non. Rose rigole. Sauf que je ne veux pas en parler.

-Ce qui est bien avec un parrain, c'est que tu lui parles de tout ce que tu ne vas pas dire à tes parents.

-Sauf que la s'il te plaît, je ne veux pas en parler. C'est déjà assez compliqué.

-Pourquoi compliquer ?

-S'il te plaît, ne cherche pas. Mais il est vraiment sympa et il n'est pas plus âgé que moi, il n'est pas monstrueux, il n'est pas méchant. C'est un doudou. Un doudou.

-Très bien, je ne dirai rien tes parents. À part, s'il te fait une simple égratignure...

-On parle de papa, mais pas assez de toi oncle Sirius. Se moque Rose.

-Tu vois ça ! Sirius lui fait un clin d'œil. Non sérieusement...

-Je ne t'es vue jamais sérieux.

-Toi, tu me cherches. Dit Sirius qui se lève.

-Bien sûr que non. Dit Rose avec un grand sourire.

Sirius prend l'oreiller que lui avais balancé Rose et s'approche dangereusement de sa filleule. Avant de lui enfoncer l'oreiller au visage :

-Oncle.... Sirius.... arrête s'il.... te plaît. Dit Rose entre ses rires.

Sirius arrête alors, mais pas de l'embêter. Il la chatouille, Rose n'arriver même plus à respirer entre ses rires et son beau sourire. Après quelques minutes de supplice, elle obtient gain de cause. Sirius s'assoit au bord du lit pendant que Rose repprennait son souffle.

Sans prévenir, il lance le sujet qui fâche :

-Ton père à énormément pleurer après ton départ. Tout à l'heure.

-Il ne fait que ça. Je n'est même pas le droit de pleurer. C'est mon propre père qui croit qu'il a vécu ce que j'ai vécu. Sauf qu'il ne sais rien.

-Il n'a donc pas le droit de pleurer.

-J'ai pas dit ça . Et puis tu n'es pas un psy alors arrête.

-Un parrain ça doit avoir plusieurs casquette. Comme être psy, ton meilleur ami, parler de sex...

-Bonne nuit.

Rose se remets dans ses couvertures. Totalement rouge tomate de la facilité que son parrain a de parler de tout.

-Je rigole. Pas trop, alors arrête . Dit Sirius. Il l'a tourne pour qu'elle soit face à lui.

Rose la regarde droit dans ses yeux. Ses yeux bleu comme sa mère, exactement les mêmes en biche. Sirius comprend pourquoi James n'aimer pas disputer sa fille droit dans les yeux. Il était tombé amoureux de ses mêmes yeux.

-Ton père t'aime. Il souffre parve que il s'en veut. Comme moi.

-Pourquoi comme toi ? Il n'y a rien à s'envouloir.

-Tu as voulu me dire, j'était là et je tien vue. J'aurai du voir. Je t'aime comme ma fille Rosy. Toi qui ne veut pas discuter sérieusement, et qui si sa commence à l'être. Sauf que là, il faut parler. On a tous besoin de parler. Surtout, moi, ton père et Moony.

Rose hoche la tête devant le ton d'urgence de son parrain. Elle prend le carnet qu était en dessous de son oreiller et le donne à son parrain.

-Je n'arrive pas à parler parce que je ne veux pas parler. Mais c'est facile d'écrire.

Sirius prend le carnet. Se lève, l'embrasse au front avant de partir en lui souhaitant bonne nuit. À la table de la cuisine il s'installa, lit ce qu'elle avait écrit, versé des larmes. Et laisse le carnet à la place de James pour qu'il le lise également. Avant de partir, il avait arraché le texte qu'elle avait écrit sur son premier amour.

Le lendemain, James était prêt à en premier. Mais pas prêt à réveiller sa fille. Dans la cuisine la première chose qu'il voit est le carnet. Qu'il prend malgré lui et lit la dernier texte.

Des larmes coulent sur ton visage, non les miennes. Toi qui ma protégée le plus possible, mais pas de la mort de ton enfant.

Aujourd'hui, l'enfant n'est certes plus là et il ne reviendra jamais. Je ne suis plus cette enfant qui te regarder comme un être surhumain, celui qui était dans mes rêves.

Maintenant, je deviens moi, celle que tu aides en me faisant rire et en restes à mes côtés.

Ne pleure donc pas, le mal est fait, le serpent qui hante mes rêves est passé.

Laisse-moi couler mes larmes pour prendre ensuite vengeance. Je t'en prie accorde-moi cette merveilleuse chose qu'on appelle la tristesse.

James ne pleure pas, il se promet juste intérieurement d'arrêter de pleurer. Que ça devait être sa fille pas lui.

-Quesque tu fais chéri ? Demande Lily qui venait de se réveiller.

-Je prends conscience que j'ai fait n'importe quoi. La prochaine fois que je pleure tape moi.

Lily sourit, l'embrasse avant de partir voir sa fille. Sa fille qui était dans toutes les couvertures, bien enfoncées.

Elle lui caressent les cheveux avant de dire :

-Rosy réveille toi.

-Maman.

-Oui, c'est bien moi.

-Laisse moi dormir.

-Non-car j'aimerais te parler.

-Tout le monde veut me parler ou quoi.

-Comment ça ?

-Oncle Sirius est venu hier soir dans ma chambre. On a parlé.

Rose se mets difficilement assis sur son lit. Les yeux mi ouverts, aveuglés par la lumière du jour.

-Qu'est-ce qu'il y a ?

-J'aimerais que tu reprennes une vie. Faire ca doucement.

-Et comment faire avec papa qui m'a colle.

-Déjà, tu vas reprendre les cours. Alors c'est fini les vacances, tu te réveilles toute seule comme à Poudlard...

-C'est Hermione qui me réveille.

-Dommage, mais on n'a pas de Hermione.

-Qui va m'a donner des cours ?

-Tes oncles, moi et ton père. Aussi les professeurs que tu préfères et que tu veux voir.

Rose souffle, elle était bien, pas cours, pas de réveil. Non la, elle devait faire comme les autres.

-Aussi, on va sortir le plus possible de la maison. J'aimerais qu'avant la dernière tâche, tu sois de nouveau à Poudlard.

Lily avait dit ça tellement vite et naturellement qu'elle n'avait pas pensé que sa fille fasse une nouvelle crise de panique. C'est Rose qui prend de elle-même son applicateur, Poudlard voulait dire Rogue.

-On va voir sa après pour  Poudlard Rose. On fait petit à petit. Maintenant, on reprend tout. Tu vas battre, alors c'est fini de se reconstruire doucement . Maintenant, on fonce. Tu veux ?

-C'est moi qui choisis les professeurs de Poudlard.

-Dit le moi tout de suite. Le directeur va venir à la maison. Toi, tu n'es pas obligé de le voir.

Rose hoche la tête, puis dit les professeurs qu'elle voudrait voir s'ils ne lui posent aucune question. Comme McGonagall, Hagrid et Chourave .

Le reste de la journée, Sirius avait donné discrètement la page qu'il avait déchirée. James avait pris dans ses bras sa fille. 

À Poudlard, dans le bureau du directeur. Alors qu'il se préparer à partir voir les Potter. Quelqu'un rentre, quelqu'un vêtu de noir.

-Igor à la marque aussi plus visible.

-Merci Severus de m'en informer. Dit le directeur sans le regarder.

Au lieu de partir directement, Rogue reste et dit au directeur :

-Regarder moi ! Ça fait trois mois que vous ne me regarder pas.

Dumbledore se tourne. Le regard droit dans les yeux, le visage froid et durcit.

-Vous me dégoûtez. Une enfant. Je ne veux pas savoir ce qu'il vous a pris dans votre tête.

-Vous ne pouvez rien faire malheureusement maintenant. Car vous avez besoin de moi.

-Je sais. Dit le directeur fatigué. Le seigneur des ténèbres est en train de revenir. Les jumeaux ne sont pas prêts, ils ne seront jamais prêts à le combattre. Ce sont des enfants. Vous avez perdu mon entière confiance Severus. Mais tout tien de vous malheureusement. Nous devons vaincre une bonne fois pour tout le seigneur des ténèbres.

Puis il part, en passent devant lui. Il avait besoin de Rogue pour combattre le seigneur des ténèbres.

Chez les Potter, il a eu le droit un l'accueille très froid de James. Il n'est resté que dans le couloir.

-Vous voulez le voir. Dit le vieux.

Lily arrive avec les oncles de ses enfants.

-C'est moi qui voulais voir. Dit Lily. Je veux que Rose reprenne les cours à domicile premièrement.

-Bien sûr, vous avez tout mon aide. Dit Dumbledore.

-Vous allez donc demander au Ministère que Rose a le droit d'utiliser sa baguette uniquement ici.

Rose avait entendu le directeur arriver, elle vient à côté de Remus qui lui caresse les cheveux.

-Rose aimerait que Minerva, Hagrid et Chourave viennent. 

-Vous aussi. Dit Rose. Quelques fois, quand les choses sont graves.

-Tu ne m'en veux pas ? Demande surpris Dumbledore.

-Non. Je les déjà dit. Ce n'est pas vous.

-Très bien. Tout ça va se faire.

-Quand va avoir lieu la prochaine sortie à Preaulard ? Demande James.

-Dans deux jours.

Rose regarde son père qui ne lui dit rien. Il allait la laisser partir ? Partir voir son frère lors de la sortie à Preaulard ?

-Au revoir. Dit t'il ensuite.

À peine le directeur avant passe la porte qu'il eu la porte au nez de la part de James. Rose s'empresse de demander en suivent son père :

-Pourquoi Preaulard ?

-J'aurai cru que tu aimerais voir tes amis. Dit James avec un sourire.

Il avait réalisé, il avait ouvert les yeux grâce au texte de Rose. Qu'elle devait reprendre sa vie comme il le faut. Ne pas reprendre sa vie dans une bulle. La jeune fille saute sur son père.

-Merci papa ! Merci !

James sourit de bon cœur :

-Tu vas y aller avec Moony . Parceque ta mère et moi, nous devons aller régler des choses dans nos lieux de travail avec Sirius.

Rose hoche la tête. Hâte voir son frère dans deux jours.

-Tu ne dis rien à Harry. Dit Lily. Tu vas lui donner plein de choses. Tu verras.

-Et je ne vais pas te coller Rose. Je serais là, mais éloigné. Très éloigner. Dit Remus.

Rose saute de par tout, elle casse tout en tombée plusieurs fois. Ce qui exaspéré sa mère, mais elle en riez

Voilà un nouveau chapitre. Désolé pour les fautes d'orthographe. Commenter et voter 😁

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