Chapitre 49 : « Les poèmes »
Rose était dans la salle à bouger de par tout. Remus et James étaient partis à Poudlard. Aujourd'hui était la deuxième épreuve, Harry aller la faire seul.
Sirius et Lily étaient avec elle à essayer la calmer. C'est pour sa que Sirius avait envoyé son chéri pour être avec James. Pour la calmer, être un vrai parrain.
-Il va mourir.
-Ne dis pas ça. Dit Lily.
-C'est dans l'eau, il doit combattre quelque chose dans l'eau ! Non mais vraiment, quand je ne suis pas là on peu aller se baigner au lac noir.
-Il y a meilleure comme baignade. Dit Sirius.
-Ce n'est pas ce que je voulais dire oncle Sirius. Tu le sais. Mais il va se noyer non encore pire, le calamar géant va le dévorer.
-Rose, le tournoi est certes dangereux, mais il est beaucoup encadré. Respire. Dit Lily.
Cela ne suffit pas. Rose avait le regard vite, le souffle saccadé, elle n'allait pas bien.
Sirius, qui était le plus proche d'elle, recherche dans les poches de sa filleule son applicateur. Mais rien, les poches étaient vide.
-Lily, elle n'a pas son applicateur.
La mère se lève pour chercher dans un tiroir, elle dit en même temps :
-Je lui ai dit de l'avoir toujours sur elle.
Elle pose un autre applicateur sur la bouche de sa fille qui ne comprend plus rien, mais prend la portion de potion calment.
-Imaginer que papa rentre et dans ses bras le corps de Harry, les lèvres bleues.
-Rose ! Disent les adultes en cœur.
-Rosy, calme toi. Dit Sirius qui s'était agenouillé devant sa presque fille.
- Harry va faire quelques choses de bête. Je le sais. Il doit combattre une chose dans le lac et avoir un trésor perdu. Il m'a carrément demandé la traduction.
Sirius à un faible rire, et passe ses doigts dans les cheveux détacher de la jeune fille. Qui a eu l'acception de son père pour qu'ils soient en carrés.
-Tout va bien se passer.
-Je ne suis même pas avec lui oncle Sirius. Il est seul. Je n'ai pas le droit resté ici...
-Hé. Dit doucement cette fois-ci Lily, une tasse dans la main qu'elle avait mit beaucoup de calment comprennent que Rose n'allait pas vite se calmer.
Rose lui prends la tasse et se détendit. Sa mère se met à côté de Sirius devant sa fille :
-Tu as absolument le droit d'être ici. Ce n'est pas des vacances Rose, tu le sais. C'est parce que tu en as énormément besoin. Ne culpabilise pas s'il te plaît. Ce n'est pas de ta faute.
Rose explose en larme, des larmes qui n'était pas venu depuis longtemps, très longtemps même. Elle pose sa tête sur l'épaule de sa mère qui lui demande :
-Pourquoi pleures-tu ma chérie ?
-Il vivait... Il vit..... Il, sans fiche, comme ci s'était..... Normal. Une fois, au.... début d'année je me suis...... évanoui quand je..... reparter de...... l'une de ces heures colles. Minerva m'a trouvé......elle m'a ramené à ......l'infirmerie. C'est là que j'ai .....fait ma première crise. Tellement que j'avais mal, ........que je n'allais pas bien. J'ai ........écrit à oncle Sirius...
-Je n'ai pas...
-Laisse moi.... Finir. Je dis dans cette lettre, puis après je les..... déchirer. Il me disait que.... c'était à cause moi. Mais même encore..... aujourd'hui. Je sais pourquoi..... c'est à cause de moi. Quesque.... j'ai fait. Maman, quesque j'ai fait ?
Lily sert sa fille à elle, tellement fort qu'elle pouvais la briser.
-Tu n'as absolument rien fait. Rien. Vraiment. Ce n'est jamais de la faute de la victime. Même si, elle était habillait d'une manière ou d'une autre. Ce n'est jamais de la faute de la femme. Jamais. Tu m'entends Rose, il est juste malsain, il était amoureux de moi, il déteste ton père. Il est fou.
Rose se calma de plus en plus, Sirius était partie se calmer dans l'entrée. Elle avait l'intention de lui dire, à lui en premier et à personne d'autre. Il aurait dû faire quelque chose. Une petite babiole était posée sur un memble, il la prend et la jete.
-Quesque tu as Sirius ?
C'était cette voix qui avait le même effet des calments de Rosy. C'était Remus, s'il avait Remus, il avait donc aussi James.
Black se tourne vers eux, James le regarder dans les yeux tandis que Remus prend sur lui pour être moin... Moin timide. Et va enlacé Sirius.
-Elle voulait me le dire. Elle était sur le point de me dire ce qu'il lui faisait. Mais elle ne l'as pas fait.
James va voir sa fille qui venait de fermer les yeux sur le torse de sa mère. Les joues remplis de larmes. James les regarde, elle allait mieux portant, et ça reprenait. Ça pouvait être le recommencement de tout.
James embrasse sa femme puis donne un baiser à sa fille sur le front. En lui caressent le dos, il s'approche de son oreille et lui dit :
-Harry est devenu une sirène.
Rose ouvre les yeux et questionne son père du regard :
-Il a pris une plante. Qui lui a fait pousser des nageoires. Il a gagné. Il a réussi à sauvé Ron. Et encore mieux, il a joué à preux chevalier et est parti chercher la sœur de Fleur Delacour qu'elle n'a pas réussi à sauvé.
-Il peu pas s'empêcher de faire le héros.
-Oui. Je t'aime ma chérie, je t'aime à la folie. Mais ne pleure pas.
Rose hoche la tête, elle était un peu fatiguée à cause de cette crise et de son angoisse. Avec un livre chercher dans sa chambre, elle s'installe sur le canapé avec une couverture. À première vue c'était normal mais pas tout à fait. À première vue, c'était normal, mais pas tout à fait.
Ses parents qui avaient quitté la pièce, car Lily voulait discuter avec son mari dans sa chambre. Sirius et Remus avaient disparu.
-Elle a fait beaucoup de crises ?
-Énormément James. Elle n'a pas su se calmer. Dit Lily.
-Elle va y arriver ne t'inquiète pas.
Il allongea sa femme sur leur lit et nicha sa tête dans son cou, les jambes entrelacées. Après un moment de silence Lily le casse :
-James, j'aimerais qu'un guérisseur vienne voir Rose.
James lève la tête.
-Non.
-James, ne commence pas.
-Ma fille ne veut pas voir des personnes. Elle ne verra personne. Elle reste avec son bon vieux père.
-Certain guerriseur on une magie James. Ils seront lui parler. Leur cheffe, tu sais William, il venait tout le temps de voir après la guerre. Sont père était lui-même un grand guerriseur.
-Fait le toi.
-Je suis Medicomage. Ça lui fera le plus grand bien de voir des autres personnes.
-Non, encore moins un homme.
Lily souffle bruyamment.
-Tu le connais toi même James...
-Oui, William est un mec très gentil. Mais il ne va pas poser ses mains sur ma fille.
-Tu es encore pire qu'avant avec ta fille. Très bien pas maintenant alors, mais je vais en reparler. Maintenant, j'aimerais que Rose reprenne les cours.
-Sa aussi, c'est non.
-Et la raison.
-La raison est simple. Ma fille a le droit de se reposer.
-Sa fait trois mois James. On a renouvelé nos congés. Et je suis sûr que sa l'aiderait. Sa l'empêcherais de penser à ça, à reprendre petit à petit une vie normale.
-Et qui fera la cour ?
Lily sourit à ne pas entendre un refus par son mari.
-Je ne sais pas. Nous et peu être demandé à des professeurs que Rose aime. Le directeur est obligé d'accepter.
-J'accepte si Rose accepte. Je réserve la défense contre les forces du mal.
Puis il l'embrassa passionnément sa femme, ses doigts la parcours. Lily lève ses défenses en souhaitant que sa fille n'arrive pas dans leur chambre.
Rose était donc seule dans le salon, elle avait pris un livre pour faire croire si quelqu'un arriver qu'elle l'user ceci non pas son carnet. Elle voulait le lire, pour se rappeler de la peine qu'elle avait eu. Pourvoir lire pour la première fois ses textes. Tellement prise et sur d'elle, elle écrit un nouveau texte :
Je t'aime, tu m'aimes, nous nous aimons. Malgré nos proches ennemis de toujours.
J'aimerais regouter à tes lèvres juste un instant. Cet instant qui durera toute ma vie.
J'aimerais ressentir cette fièvre du premier amour. Et je donnerai le ciel et la terre pour qu'il soit le dernier. Est ce un utopie ? Le temps nous le dira.
J'aimerais avoir ton cœur entre mes mains et le mieux entre les tiens. J'aimerais en prendre soin pour que tu comprennes que ce n'est pas un simple amour qui nous reviendra à nos meilleurs jours, que j'espère à tes côtés.
Malheureusement, la magie du premier amour est d'ignorer qu'il puisse finir.
Nous allons combattre ceci, nous allons combattre le temps. Nous allons vivre avec notre flamme pour qu'il ne se finisse jamais
Plus tard, Sirius était revenue, puis après Remus rouge comme une tomate. Rose c'était dépêché de cacher le carnet.
-Ça va mieu Rose ? Demande Sirius.
-Oui beaucoup mieu. J'ai lue pour me parler.
Le soir venu, Rose était partie dormir tôt. Lily ne lui avait pas parler de sa souhait qu'elle reprennent les cours à la maison.
Les adultes étaient parti dans le salon, Sirius embettait Remus en passer ses mains dans ces cheveux, elle lui picent les joues comme on pourrait le faire à un enfant.
-Sirius arrête pour la million de fois que je te le dit !
-Pas besoin de crier. Je vérifie si tu es en vie.
-Il l'est ? Demande James avec un sourire.
Sirius posa son doigt sur la joue de son amant et appui.
-Il semble que oui.
-Non mais vraiment Sirius. Tu peux m'exaspèré à certain moment.
Lily les regarder également, avec un grand sourire. James ne put se retenir de dire quelque chose :
-Vous devez le respect totale à ma fille. Un culte même.
-N'abuse en rien Cornedrue. Dit Sirius.
-Non, vous lui devez beaucoup. James a raison. Dit Lily.
-Traîtresse. Marmmone Black.
James rigole de bon cœur, puis c'est yeux se pose sur un carnet posé sur la table à côté. James le prend et reconnaît l'écriture penché et fin de sa fille, sur les premiers mots du carnets, les rires s'estompe.
-Quesque tu as Corny ? Demande Sirius.
-Lily ce n'est pas l'écriture de Rose ? Dit moi que ce n'est pas son écriture.
Lily prend le carnets et comme son mari. Son visage se durcit. Remus lui prend le carnet et lit à haute voix le premier texte que Rose avait écrit.
Les ténèbres m'envahissent, les mains expertes me touchent...cette ombre m'envie.
Moi, enfermé dans ce corps qui n'est plus mien... moi qui ne sais plus qui est moi.
Le piège se referme, le vent froid de l'hiver ne me console guère.
Saurait-il possible qu'un jour des mots, des aveux horribles... sortent de ma bouche déchésser par une torture.
La torture longue...
qui me tue chaque seconde, minute, heures de ...ces jours comptés.
Et si je partirais de ce monde ...qui se referme, complice de ce piège.
Personne ne parle, les mots de Rose était un déchirement pour tout le monde. Mais le plus pire c'est qu'on pouvait dire qu'elle écrivait bien. Remus réussi à dire des mots, d'un voix faible, toujours sur le choque :
-Le 18 décembre 1993. J'était à la Poudlard. J'y était.
-Remus...
-Non Sirius, laisse moi.
Sirius lui prend le carnet à qui il était cramponnée. Il regarde tout le monde. Jusqu'à que James lui dit :
-Lit en d'autre.
-Je ne pense pas que sa soit une bonne idée. Dit Remus.
-S'il te plaît Sirius.
Si lit le texte suivent, le texte qu'elle avait écrit le même jour. Il s'arrête à un moment avant de pour suivre sa lecture :
-... Quand vous me retrouverez noyée dans ma baignoire. Où se trouvent mes larmes que je vous cachais. Vous regarderez mes yeux qui regarde le tunnel pour rejoindre l'autre monde. Mon bras, le seul qui se trouve dans votre monde. Vous le caresserez, comme de la porcelaine. En vous rendent compte de mon malheur.
Sirius ne pouvait pas continuer à lire. C'était trop dur. James dit en le regardent droit dans les yeux :
-Continue.
Sirius souffle et poursuit la lecture en grognent. Mais dit les dernières lignes d'une voix claire :
-C'est ainsi que je déciderais de partir. Veuillez m'excuser de vouloir revivre.
Lily leur prend le carnet, le colle contre sa pointrine.
-Arrêter. On... On va le reposer où il était...
-Non on continue à le lire. Coupe son mari.
-Pourquoi ?
-Je veux souffrir comme elle a souffert. Vous pouvez partir si vous ne voulez pas entendre ses phrases.
Mais personne ne part. James avance jusqu'à l'avant dernier texte. Le texte le plus dur que sa fille n'est écrit. Lily était en pleure par cette lecture.
-Papa tu as vu un carnet en cuir. Je les laisser toute à l'heure. Je n'arrive pas à domir j'aimerais le lire.
Tout le monde se retourne à par Lily qui se dépêche de sécher ses larmes. Rose était la debout, elle s'avance vers eux, devant son père. Son sourire qu'elle avait disparu. Car ses yeux était sur le carnet.
-Vous l'avez lu.
Çe n'était pas une question, c'était un fait. Rose prend avec force le carnet à son père et le pose derrière elle :
-Papa c'était avant. Ne soit pas en colère s'il te plait.
-Je ne le suis pas. Dit d'un ton dur James.
-On dirai.
-Je ne suis pas en colère ! Crie James en se levant.
Discrètement Sirius prend le carnet, tourne les pages avant de tomber sur celui qu'elle avait écrit aujourd'hui.
James versa une larmes, c'est Rose qui se mets à crier :
-Tu crois que je ne sais pas que tu pleure papa ! Pourquoi je me retiens de pleurer alors que j'en ai envie ! J'ai envie de crier, de hurler ! Mais toi tu prend ça. Et tu le fait ! Tu prend se droit qui m'appartient !
Rose se tourne, prend le carnet des mains de son parrain qui c'était juré de ne rien dire à James que Rose aimé quelqu'un et que cette personne ressentait aussi ce sentiment. La jeune fille part dans sa chambre en les laissent.
Question :Comment va se passer la suite de l'histoire ?
Voilà un nouveau chapitre ! Je suis en vacances ! Désolé pour les fautes d'orthographe. Commenter et voter ! 😎
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