Chapitre 14 : Partie 2

🔞Avis aux lecteurs ce chapitre contient un passage peu catholique. Vous êtes responsable de ce que vous lisez donc je ne voudrais pas avoir des commentaires négatif sur ça 🔞 Ceci dit bonne lecture. 😝

Deux heures étaient passées et je commençais vraiment à avoir froid. J'en avais presque oublié ma faim et ma soif.

J'avais tapé sur la porte pour les appeler. Une vieille dame m'ouvrir la porte.

-Qui êtes-vous ? Et que faites-vous ici ?

-On m'a enlevé ce matin madame.

-Mon enfant ne reste pas planté là.

-Où sommes-nous ?

Elle n'avait pas répondu à ma question.

Je crois que pour cette situation le proverbe qui dit "La femme est toujours la dernière à être au courant" est de mise.

Elle m'aida à me lever, m'avait donné des vêtements chauds et m'avait nourris. Nous étions assises au bar quand je dis.

-Je crois qu'on aura des problèmes si on me trouve avec vous. avais-je dis apeuré à la pensé du visage de Richard.

Elle n'eut pas le temps de répondre qu'ils étaient déjà rentrés.

-QU'EST-CE QUE TU FAIS LÀ ! cria Richard.

Je me leva de mon tabouret pour essayer d'échapper à la violence de ce monsieur.

-J'avais froid et cette dame s'est dévoué pour m'aider.

Il s'approchait encore et moi je reculais. Je sentis des mains me tenir et je ne pouvais plus bouger.

Richard en profita pour me frapper. J'étais en pleurs. Je le suppliais d'arrêter.

-S'il vous plaît !! Arrêtez !! Vous allez tuer mon bébé et moi avec !! Je ferais tous ce que vous voudrez !! Je nettoirais toute la maison !! Je ferais toutes les corvées !! S'il vous plaît !!

J'avais si mal ! C'était horrible. Il avait accepté ma proposition alors, je fesais le ménage et commençait à avoir mal au dos.

J'avais fais une petite pause pour souffler un peu puis je me remis au travail.

-ALISON !! VIENS !!

Je laissais le travaille et partis rejoindre Richard. Il était dans sa chambre.

-Viens dire bonjour à Papa.

Il avait allumé son ordi et était en train de faire un facetime avec mon père.

-Papa ?! Aide-moi ! Fait tout...

Il mis sa main sur ma bouche.

- Juan, je vais être très clair avec toi. Alors que je cambriolais ta jolie petite maison, cette jeune fille était sous son lit. Je l'ai donc avec moi et j'ai vendu tout ton mobilier.

Il commença à rigoler et moi à pleurer.

-Relâche ma fille immédiatement ! Elle n'a rien fait ! gronda mon père.

-Tout ce que je veux c'est te détruire ! Tu entends ? Te détruire ! Mais avant ça, je veux une somme de 200000 € ! réclama Richard.

-Je ne peux pas ! Cet argent est destiné aux études d'Alison.

-Abon ? Je ne savais pas que ta fille aurais un avenir. Regarde là, elle est enceinte, elle va s'occuper de ses enfants. Tu vois elle n'a pas besoin de cet argent.

Je secouais la tête.

-Bien sûr que si. De toute façon, tu finiras en prison. J'ai appelé les flics...

-Et ta fille finiras dans un tombeau !! Je veux mon argent !! Je vais la faire souffrir jusqu'à ce que tu me paye ! Et regarde une démonstration...

Il commença à me mordre la peau du cou, mes oreilles et bloquait mes mains. Je secouais la tête et contractais mon cou.

-Arretez !! avais-je crié.

-Tu as vraiment des problèmes psychologiques, mon pauvre... déclara mon père à travers l'ordinateur.

-Tu vois comment tu fais souffrir ta fille. Donne l'argent et elle sera libre.

-NON !! SI TU NE LA RELÂCHE PAS , JE VIENDRAIS LA CHERCHER MOI-MÊME !!

Puis il raccrocha. Il me poussa sur son lit et activa la caméra.

-Que faites-vous ? demandais-je en pleurant.

-Quelques choses qui va beaucoup plaire à ton père...

Je savais que c'était ironique alors, je me leva mais il me sauta dessus et essayais de me déshabiller. Il était à califourchon sur moi et pesait lourd.

-NOOOOON !!

Il avait réussi à enlever le pull que la dame m'avait prêter. Il ne me restait que ma brassière en guise de haut et le jogging en bas.

Je le tapais, je lui donnait des coups, je ne voulais pas laisser faire, je le griffais.

-Laissez-moi je suis sûre qu'il y a un autre moyen !!

-Je ne fais pas ça que pour blesser ton père, mais c'est aussi pour mon plaisir personnel.

Il tentait d'enlever ma brassière mais je l'en empêchait. Il redressa et me broya la poitrine à l'aide de ses grandes mains. Ce qui me calma direct.

Il enleva ma brassière et mordit mes seins.

J'avais l'impression d'être un objet à ces yeux. Il n'entendait même pas mes gémissement de douleur. J'avais tellement crié.

Moi je ne m'attendais pas à ça ! C'était inattendu ! Et pourtant c'était arrivé ! Qui aurait pu le prévoir à part Dieu ? Je trouvais ça injuste !

On m'avait violée !

Quand il eut finis, il se cola à moi comme si nous étions un couple et il mis sa main sur mon ventre. Je ne voulais qu'il ait ce contact avec ma fille, mais si je parlais il allait encore me frapper.

Seul Nathan pouvait le faire... Je m' endormi dans ses bras maléfiques.

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Je m'étais réveillé en voyant Richard tout nu. Je m'étais caché sous la couette.

-Pourquoi as-tu honte ? Ne te rappelles-tu pas de ce qu'on a fait hier soir ?

-Si. Mais je suis très pudique.

-Regarde moi.

Je restais sous la couette.

-REGARDE-MOI !

Je sortis ma tête et le regardais mais cachais mon corps.

-C'était pas compliqué. avait-il conclu.

Je n'en pouvais plus. Ça faisait à peu près 4 jours que j'étais là-bas. Richard me mal traitait à longueur de journée. Il m'humiliait devant tous ses amis. Il me nourrissait que de petits bouts de pain rassis. Et moi je priait pour qu'on me relâche un jour.

Pour lui, je n'étais qu'une poupée avec quoi on pouvait s'amuser.

Un matin, où j'avais dormi dans la pièce sombre, je sentis des douleurs dans tout mon corps.

On m'avait encore frappé la veille et je n'arrivais pas à me lever. J'étais vêtu de ma robe de chambre et j'étais allongé sur le sol froid de cet pièce.

Fatiguée, j'avais commencé à pleurer, à ressasser mon passé, à me poser la question "Qu'est-ce que je fais là ?".

Je me demandais sans cesse ce qu'attendaient mes parents pour me sortir de là. J'étais triste et j'espérais sortir le plus vite possible de cet endroit.

Quelques heures plus tard, alors que j'étais en train de de le lamenter, j'entendis des sirènes de police.

J'avais cru d'abord rêver jusqu'à ce qu'on ouvrit la porte de la pièce. J'avais vu un homme de Richard venir me chercher.

-Lève-toi !

-Je n'y arrive pas !

Il avait soufflé et me porta. Il m'emmena dehors et me cara dans l'une de leurs voitures.

Le conducteur démarra et se fut une course poursuite entre nous et la police. Je me croyais dans un film d'action.

Puis nous nous étions fais prendre dans une ambuscade policière.

J'étais soulagé, j'allais pouvoir rentrer chez moi et ne plus quitter ma famille.

On demanda au conducteur de sortir et un policier vient me chercher.

On m'emmena à l'hôpital pour m'examiner et je reçus la visite de mes parents.

-Je suis tellement heureuse de vous revoir ! avais-je déclaré en ouvrant les bras.

Mes parents m'enlacèrent et m'embrassèrent .

-Je suis désolé que mon collègue ait pu te fasse du mal. Je ne savais pas qu'il était au courant que mon patron me payait un Week-end. Il avait tout planifier mais toi, tu n'étais pas au bon endroit et c'est pour ça que tu en subit les conséquences.

-C'est bon papa, j'avais compris.

Et après m'expliqua le pourquoi du comment Richard s'était introduit dans notre maison.

Ensuite, je leur avais raconté tous ce que Richard m'avait fait subir et ils étaient autant choqué que moi.

Après leur visite, j'avais eu un rendez-vous avec une psychologue et elle me conseilla de la recontacter si le besoin se présentait.

Le lendemain, j'étais rentré chez moi et j'essayais tant bien que mal, d'oublier ce qu'il s'était passé.

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J'espère que la partie 2 du chapitre 14 vous aura plu.

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Merci encore. Bye👋.

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