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Parcourant la forêt, je cherche ma destination. Enfin arrivé, la peur est devenue passion.

JE BRÛLE ALICE !

L'image du chapelier se dessine devant moi, il cri et me regarde avec souffrance. Il gâche mes yeux restés dans l'enfance. Le voyant dans un chaudron ainsi que la reine riant à côté avec passion.

Je ferme mes yeux, les plisse et essaie de penser que ce n'est pas douloureux. Je les ouvre et ne vois plus de chapelier, juste moi devant l'arbre.

Il a bien grandi depuis, les années passent, depuis dix ans je ne t'ai pas vue. Je baisse la tête et regarde par terre, voyant le trou des enfers je suffoque et fais mes prières. Le chemin sera court, Alice tu dois être courageuse et atteindre ce pays de folie.

Je cours sans me retourner, je plonge et cri comme étant tué. Autour de moi des horreurs défilent, je peux apercevoir du sang sur les murs et de nombreux cadavres. Je pleure voulant remonter à la surface, qu'est ce qui m'attends à part des sourires de glaces !?

Finalement j'atteins le fond et atterie sur un énorme cadavre, dix ans que je n'avais pas vu la carcasse de ce dragon ayant était tué par moi même.

Je descends et perçois une petite porte beaucoup trop petite pour moi. Je m'approche et constate énormément de traces de mains parcourent les murs en fêsant une jolie teinture.

Que s'est il passé ?

Je lève la tête et remarque d'énorme signes incompréhensibles, ressemblant à des signes d'alchimie. Je constate aussi un objet brillant en haut.

Marchant en essayant de trouver une autre sortie je trouves en face moi un jolie gâteau. Laisse moi devinez serais ce de l'eau en haut ? Mange moi, bois moi. Ceci me rappelle vaguement quelque chose.

Je prends le gâteau dans mes mains et hésite à le manger. Je sais ce qu'il m'attends, après tout c'est pas comme si j'avais tout mon temps.

Je croque et sens mes muscles se contracter, je remue et commence à grandir. Je grandi, grandi, grandi !

Continue à grandir et tu seras puni Alice !

Fini de grandir, j'attrape la minuscule fiole et essaie de ne pas la casser. J'extirpe le bouchon et bois la boisson.

Je rétrécie encore et encore jusqu'à devenir haute comme un bouton de ma veste.

Pourriture tu es Alice, fais toi petite c'est un conseil.

Je m'approche de la porte et actionne la poignet, j'ouvre et reste bouche bée.

??? : Bonjour Alice comme on se retrouve ?

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