| 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝐈𝐈𝐈 |
Y'a atteinte a ma vie là...mais bon personne a l'air de réellement s'en soucier et c'est ainsi que je m'apprêtais enfin à prendre mes jambes à mon cou. Seulement mon père réussi à me sortir de cette merde. Des files qui entouraient son cou, il attrapait le blondinet furax, l'empêchant d'aller plus loin. Autrement dire aboutir à mon meurtre.
« - Argh ! C'est indestructible ce truc !»
Je souriais alors, m'apprêtant à lui expliquer de quoi était fait ses files. Mais mon paternel me coupait de suite la parole :
« - Vous pouvez arrêter de faire les idiots...J'ai les yeux secs bordel ! »
Haha, le comble pour un alter aussi stylé...
Je revins alors au côté de Kirishima, alors que c'était le tour du brocolis vert.
« - Psst, Aiko...Ton nom c'est Aizawa ? Et lui aussi ? C'est ton frère !!? »
J'haussais les sourcils un peu surprise par sa déduction claqué au sol.
« - Tu es à côté de la plaque ! C'est mon père...Je suis euh sa progéniture ? M'enfin ta compris.»
Il papillonnait des yeux, sûrement un peu étonné mais bon, c'est vrai qu'on ne se ressemble pas trop. Je reposais mes yeux sur Midorima je crois ? Alors qu'il était actuellement en train de se faire remonter les bretelles par mon père pour je ne sais qu'elle raison...
« - J'ai effacé ton alter. Ton individualité dépasse l'entendement ! Comment quelqu'un comme toi à réussi à passer l'examen ?»
Toute la classe regardaient mon père, surpris. Ses cheveux virevoltaient autour de sa tête, son regard rouge et perçant était des plus intimidant.
« - Vous l'avez effacé...! Et ces lunettes- Oh mon dieu ! Le héros effaceur Eraser head !»
Mon père levait les yeux au ciel, et grâce a ses bandes il rapprochait Izuku de lui.
« - De ce que j'ai pu voir tu ne sais pas contrôler ton pouvoir, pense tu que quelqu'un allez de sauver après que tu te sois mutilé encore une fois ? Il y'a un héros insupportable...Qui s'est fait un nom en sauvant plus d'un millier d'innocents d'un désastre. Tu as peut-être son courage mais tout ce que tu sais faire c'est de courir comme un idiot qui a besoin de se sauver. Admets le ton pouvoir ne t'aidera pas a devenir un héros, Midoriya. »
Il soufflait pour rajouter ensuite :
« - Je t'ai rendu ton alter. Essaye une deuxième fois. »
J'espère que Midoriya a un bon mental, parce que là...
Le vert s'exécutait alors, réessayant alors une deuxième fois, pour lancer la balle super loin. Je souriais instinctivement face a sa réussite. Néanmoins son index semble être cassé.
« - Sensei ! Je peux encore bouger ! »
Dit il alors fier de lui.
Mon père souriait, enfin si on pouvait appeler cela un sourire...
Le blond sauvage de tout à l'heure regarder Midoriya, le regard perdue :
« - Comment...ESPECE DE RACLURE ! C'EST QUOI ÇA !!!!? »
Vraiment impulsif ce gosse...Mon père l'arrêtait alors de nouveau, ronchonnant quelques mots.
« - Bon. Il est temps d'exposer les résultats. »
Un tableau virtuel s'affichait. Sur vingt je suis troisième ! Gloire à mon âme ! Haaaaaa, quel satisfaction mon dieu danse de la joie- Merde...Midoriya est dernier...le pauvre.
« - Oh. Et Cette histoire de renvoie. C'était du flan.»
...
Bon.
| -
Je balançais mon sac sur le canapé alors que mon père fermait la porte derrière moi.
« - T'as vraiment pas été cool, pour un premier jour.»
« - Bouge moi ton sac de la. Et être "cool" c'est pas mon but.»
Je levais les yeux aux ciel râlant aussitôt.
« - Nyeu nyeu nyeu nyeu nyeu...»
Je rangeais tout de même mon sac ne voulant pas remettre en cause son autorité.
« - Gamine, t'as vraiment pas grandi dans ta tête de moineau et tu maitrises ton alter comme un pied. »
Je gonflais des joues, vexées.
« - Excuse moi de n'avoir pas pris soin de m'entraîner pendant mon "séjour" en France ! A part des beau gosse, les héros y'en avait pas beaucoup.»
« - Imbécile. »
Je bondis sur son dos, essayant de lui faire perdre équilibre.
« - Viens on règle ça de père à fille au lieu de m'insulter à tout va ! »
En même pas deux secondes je me retrouvais en dessous de lui, en train de me faire tordre le bras.
« J'abandonneeeee, drapeau blanc ! Lache moi ou je porte plainte ! »
Il me regardait pas du tout affecté par ma menace.
« - Je ne vois pas ce que tu fais a UA. Je crois bien que je vais te renvoyer. »
Je fronçais les sourcils, choqués par ses mots. Qu'il essaye de renvoyer sa fille chérie même.
« - T'es horrible. Déjà que l'an dernier tu as renvoyé une classe toute entière. »
« - Elle n'avait pas le potentie- »
Je le coupais aussitôt.
« - Tu n'es personne pour juger du potentiel des autres !!»
Il ne répliquait pas, me lâchant.
« - Tu ne peux pas comprendre de toute façon, vous ne voyez que la positivé lorsque vous voulez devenir des héros. »
Avait t'il soupiré.
« - Tu parles sans savoir ! Ne fais pas de conclusion trop hâtive sur les gens !! A juger sur le potentiel ou non, c'est culotté ! »
« - Baisse d'un ton. Et va dans ta chambre. »
« - Mais ! »
« - Dans ta chambre, Aiko.»
Avait t'il dit en haussant légèrement le ton.
Je soufflais agacé, me levant allant donc dans ma chambre. Je ne sais pas si c'est le fait de ne pas l'avoir vu pendant longtemps, mais petite il n'était pas aussi...dur ?
Bref je préfère oublier, je ne veux pas me prendre la tête pour ça. Je pris donc mon portable pour aller sur Instagram.
Oh mais qui vois-je dans mes recommandations ?
Bakugo !
Moi
Salut, tu t'souviens d'moi ? ;)
Katsukibomberkill vous a bloqué.
Il a osé le connard.
Moi
Tu m'bloques parce que t'as peur ? Et tu fuis donc ? Hérisson albinos.
Katsukibomberkill vous à débloquer
Katsuki
TA GUEULE T'ES QUI POUR M'ADRESSER LA PAROLE FDP.
Katsukibomberkill vous a bloqué.
Moi
Katsukibomberkill vous à débloquer
Katsuki
Oh la pute
Vous aves bloqué Katsukibomberkill
Katsuki
OH LA SALOPE
Katsuki
DEMAIN J'TE DÉGOMME 💥 💥💥💥
Katuski
Réponds.
Katsuki
REPONDS PUTAIN
Katsuki
💀 💀
Katsukibomberkill vous à bloquer
Je laissais échapper un petit rire. Quel plaisir, il est nerveux le bougre.
Je regardais par la fenêtre de ma chambre la vue qu'on avait sur la plage. J'y allais souvent quand j'étais petite. Mon père n'aimant pas se baigner donc c'était souvent ma mère qui m'accompagnait. Je souriais bêtement faisant parvenir une brise de vent au dessus de ma paume, je suis contente d'avoir hérité de son alter.
Elle me manque.
Brisant ma pointe de nostalgie, Mon père entrait soudainement dans ma chambre.
« - Toquer...C'est pour les chiens ? »
« - Viens manger la naine. »
Je le regardais outrée. Prenant un petit air de dramaqueen :
« - Tu touche a ma sensibilité...Qui es tu pour parler de mes 1m65 ? QUI ES TU ??»
« - Je t'ai fais des lasagnes.»
« - Oh, papa je t'aime.»
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top