Je marchais dans la rue, au loin j'entendais les musiques du festivals résonné , des musiques ... J'étais en route vers la supérette, située juste à côté de cette effervescence. Quelle idée d'installer un magasin à un tel endroit !

Alors que je m'approchais de la supérette, un bruit inattendu attira mon attention. Je décidai de m'approcher prudemment d'une ruelle voisine, au cas où il se passerait quelque chose d'important. En me rapprochant, je découvris une jeune fille en vêtements simples, les cheveux relevés sous une casquette, acculée par deux individus qui ne semblaient pas avoir de bonnes intentions. 

Je décide d'intervenir l'un d'eux avança d'un pas, les poings serrés. "Qu'est-ce que tu veux, mec ? T'es pas dans le bon film," lança-t-il avec hargne.

Ignorant leur provocation, je fis signe à la jeune fille de se rapprocher de moi. Elle hésita un instant, puis s'approcha prudemment. Rah, sérieusement, je me suis mis dans quelle situation là ! J'étais seul face à deux types qui semblaient prêts à en découdre. Mais je ne pouvais pas reculer maintenant.

Visiblement agacés ils me lancent . "Tu crois que tu peux nous intimider ? On est juste en train de rigoler," dit le second, un sourire moqueur sur le visage.

"Ce n'est pas vraiment ce que j'ai vu ," rétorquai-je, d'une vois ferme ,ne lâchant pas leur regard. 

Leurs sourires s'effacèrent légèrement, remplacés par une expression de défi. "Et tu penses que tu peux nous empêcher de faire ce qu'on veut ?" demanda l'un d'eux, s'avançant un peu plus près.

Je pris une profonde inspiration, essayant de paraître assuré et sortis mon téléphone que j'avais au préalable allumé . "Tout ce que je sais, c'est que j'ai un magnifique enregistrement de vous que je peux a tout moment utilisé  " levant le téléphone pour qu'ils puissent le voir.

Leurs visages changèrent instantanément. L'arrogance qui les caractérisait s'évapora, remplacée par un mélange d'inquiétude et de méfiance. "T'es sérieux ?" s'étonna l'un d'eux, scrutant mon téléphone comme s'il avait découvert une arme.

"Très sérieux," répondis-je. "Je n'hésiterai pas à le montrer à quelqu'un si ça ne s'arrête pas ici."

Ils échangèrent un regard, visiblement en train de peser les conséquences de leurs actes. Après un moment d'hésitation, le second dit, la voix un peu plus calme : "On ne fait que rigoler, mec. Pas besoin d'en faire tout un drame."

"J'ai une soudaine envie de faire un drame , si vous ne déguerpissais pas de ma vue rapidement ," rétorquai-je, moqueur .

Finalement, ils reculeront, et s'éloignèrent . Je me retourne alors pour vérifier son état . 

— " Tu devrais faire plus attention" , je lui reproche . 

— "Je voulais juste aller profiter du festival," me répondit-elle, pas désolée pour un clou ! Quel culot !

— "En tout cas, merci, tu m'as bien aidé !" Son sourire éclatant illumina son visage. J'avais déjà vu un sourire ressemblant quelque part. Mais où ? À la télé ?

Mais oui, cela m'a fait penser à cette idole, Koharu Akemi.

— "Koharu Akemi," murmurai-je, . Elle me regarda en sursautant, ses yeux s'écarquillèrent .

— Non, ce n'est pas possible, me dis-je intérieurement. Qu'est-ce que l'idole la plus connue ferait ici, au milieu de ce festival ? Mais pourtant...

Je scrutai son visage, cherchant des indices. Il y avait quelque chose dans son regard, une lueur qui rappelait les feux de la rampe, la passion d'une artiste. Je ne pouvais pas m'empêcher de me demander si elle avait un lien avec le monde de la musique ou du divertissement.

Je devais me rendre à l'évidence j'avais devant moi , l'Idole la plus connue du Japon !