Chapitre 26 - Douleurs
Hey mes hérissons !
Je vous avez dis que je ferais vite pour le prochain, histoire de ne pas vous laissez trop dans le suspense et surtout parce que j'ai eu peur après toutes les menaces que j'ai reçu ! Et puis je ne voulais pas vous laisser trop longtemps sans suite ce coup-ci. Je sais que je suis sadique, mais quand je termine un chapitre comme ça, j'essaie au moins d'être sympa et de vous poster vite la suite !
Bref, je ne vais pas parler plus longtemps, surtout parce que je suis sûr que personne n'a lu jusqu'ici et tout le monde est déjà parti lire la suite !
Je vous embrasse et j'attends vos avis avec impatience !
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« Comme on se retrouve mon joli ! »
Louis se tétanisa en le voyant devant son pas-de-porte, si bien qu'il lui fallut plusieurs secondes avant de réagir et d'attraper sa porte pour la fermer. Quelques secondes qui furent malheureusement de trop, car son visiteur anticipa son geste et bloqua la porte du pied avant de la repousser de toutes ses forces, faisant reculer Louis de plusieurs pas.
« Dégage de là Cody ! Casse-toi ! »
Le châtain s'approcha de lui pour le repousser, mais son ex petit-ami en profita pour attraper son bras et le repousser vers le salon.
« Il n'est pas là ton gorille ? Dommage, j'ai amené un copain moi aussi, pour qu'on fasse la fête ! »
Louis tressaillit et retira son bras des mains de Cody avant de voir l'homme avec qui il l'avait vu au cinéma quelques jours avant. Il rentra chez lui sans aucune gêne, un sourire en coin sur les lèvres, un sourire mauvais que Louis avait déjà vu il y a plusieurs années de ça.
« Sortez de chez moi ! »
La panique commençait à le gagner, trop de personnes dans son appartement, dans son espace vital, des personnes qu'il ne voulait pas voir, qui n'était pas là pour de bonnes choses. Il se redressa pour essayer de leur barrer la route et de les repousser vers la sortie.
« Oh, tu avais prévu une petite soirée et on n'est même pas invité ! Petite bouteille de vin... Tu ne t'emmerdes vraiment pas. T'avais prévu de lui sucer la queue après ça ? »
Louis vit Cody attraper la bouteille de vin qu'il avait sorti pour lui et Harry, avant de regarder brièvement l'étiquette et de la jeter par terre, le faisant sursauter. Il en fit ensuite de même avec la nourriture et un peu tout ce qui se trouvait sur le comptoir et dans la cuisine.
« Cody arrête ! Je vais appeler la police... »
Il chercha son portable dans ses poches et autour de lui avant d'entendre l'autre type l'appeler. Il tourna les yeux vers lui et celui-ci le regarda en tenant le téléphone dans ses mains, avant de l'échapper sur le sol et de marcher dessus.
« Je suppose que c'est ça que tu cherchais... Dommage ! Oh un chat, qu'il est mignon ! »
Louis le vit se pencher vers son chat, qui alerté par le bruit était apparu dans le salon pour voir ce qu'il se passait et couru pour l'empêcher de l'attraper, lui faisant peur pour qu'il retourne se cacher et que l'autre ne puisse plus l'attraper.
« Ne le touches pas. »
« Tu crois que tu as ton mot à dire espèce de tapette ? »
Il l'attrapa par le col et le poussa contre le canapé. La panique commençait à le gagner de plus en plus, les deux amis continuaient de casser tout ce qui leur passaient sous la main. Cody fouillait dans les placards et en sortit une bouteille d'alcool qu'il ouvrit avant d'en boire une gorgée et de s'approcher de lui.
« Tu sais Louis, je voulais te foutre la paix... Mais tu t'es comporté comme une salope quand même. Alors, je me suis dit que tu méritais une bonne leçon. »
Louis se dépêcha de se relever en le voyant approcher de lui. Il en avait terminé de montrer à quel point il était terrifié. Ces deux idiots pouvaient bien détruire son appartement, il ne se laisserait pas faire. Ce qu'il n'avait par contre pas prévu, c'est que Cody s'approcherait de lui et l'attraperait par l'arrière de ses cheveux pour tirer dessus et le forcer à se rasseoir. Malgré toute sa volonté, il retomba sur le canapé en gémissant de douleur. Son ex petit-ami le regarda la mâchoire serrait et les sourcils fronçaient et après quelques secondes sans bouger, il leva le point et l'abattu violemment sur la pommette de Louis qui tomba du canapé et s'écrasa par terre. Sa pommette le brûlait et lui faisait un mal de chien et ses yeux étaient brouillés par les larmes qui menaçaient de couler. Il pouvait entendre les rires du deuxième, qui se dirigea vers la télévision avant de donner un coup de pied dedans. Pour vu que son petit chat soit bien caché, il n'avait pas confiance en ces deux abrutis pour ne pas lui faire de mal.
Il se redressa avec difficulté, mais aussi tôt Cody le rattrapa pour le faire tomber par terre et lui donna un coup de pied dans les jambes et dans le dos avant de lui cracher dessus.
« Ça te rappelle des souvenirs Louis ? Je suis sûr que t'aimes ça pour en redemander ! »
Louis ne put que gémir de douleur. Oh que oui ça lui rappelait des souvenirs, sa respiration se bloqua et il commença à avoir du mal à respirer, mais ça ne sembla pas calmer son ex qui le poussa du pied pour le retourner face à lui et attrapa son visage pour le forcer à le regarder.
« Je n'en ai pas fini avec toi. »
« Laisse-moi tranquille Cody ! »
Malgré la douleur, Louis tenta de se débattre, mais fut rapidement maîtrisé par un coup dans le ventre qui coupa une nouvelle fois sa respiration. Cody releva les yeux vers son ami.
« Reste là, lui et moi, on a des choses à voir... Et du temps à rattraper. »
Il le tira par les cheveux, le forçant à se relever et commença à l'entraîner vers la chambre de Louis. Le châtain comprit immédiatement ce que voulait dire « Et du temps à rattraper ! ». Son cœur commença à battre un peu plus fort et il se mit à hurler avec tout ce qui lui restait de souffle dans l'espoir de se faire entendre. Mais une nouvelle fois, Cody lui donna un violent coup dans l'estomac, lui coupant encore le souffle. Il ouvrit la porte de la chambre qu'il avait de nombreuses fois visitée à l'époque où ils étaient encore ensemble.
« Je vais te montrer si je ne peux pas porter mes couilles. Tu vas les sentir ! »
Il le poussa violemment sur le lit et Louis qui avait déjà été pas mal amoché s'y étala mollement, il n'eut même pas le temps de se redresser que déjà, il le sentait sur lui, son haleine près de son visage, sa main attrapant sa gorge en commençant à la serrer. Louis commença à se débattre et frappa Cody là où il pouvait atteindre.
« Putain, tu vas arrêter. »
Il leva le point et l'abattu une fois de plus sur la même pommette qu'il avait frappé un peu plus tôt, le faisant gémir de douleur et laissant ses larmes couler. Plus Cody serraient son cou, moins Louis avait de force pour se débattre et ça même s'il sentait ses mains se balader sur lui. La seule chose qu'il réussissait à faire, c'était de gesticuler dans tous les sens en gémissant. Ses larmes redoublèrent en intensité lorsqu'il sentit la main libre de son ex petit-ami traîner sur son ventre et descendre son pantalon pour le déboutonner.
Il pensa à Harry pour qui il s'était fait beau, pour qui il avait choisi ses vêtements avec soins, espérant souligner ses atouts pour lui faire tourner la tête. Il pensa à tout ce qu'il avait prévu pour cette soirée avec lui et au fait qu'il aurait voulu lui dire ce soir à quel point il l'aimait. Il pensa aussi au mal qu'il allait lui faire lorsqu'il arriverait, la peine qu'il allait sûrement ressentir, du dégoût aussi peut-être, parce qu'il aurait été touché par un autre. Une partie de lui priait vraiment pour qu'il arrive maintenant, qu'il rentre de chez Liam pour venir l'aider. Mais l'autre espérait qu'il ne le fasse pas... S'il rentrait le deuxième, toujours occupé à détruire son salon, l'attraperait sûrement, profitant de la surprise pour s'attaquer à Harry, ça plus ce qu'il découvrirait dans la chambre. Louis refusait de faire souffrir autant l'homme qu'il aimait. Tout le monde, n'importe qui, pour vu qu'un voisin ait entendu le bruit et ait appelé la police ou vienne voir ce qu'il se passait. N'importe qui pour venir le sortir de là et arrêter Cody.
Louis retourna à la triste réalité lorsqu'il sentit les mains de cet homme se glisser dans son pantalon, sur la peau fine de ses cuisses qu'il griffa jusqu'au sang en même temps qu'il descendait le vêtement. Une nouvelle fois, le jeune homme recommença à se débattre autant qu'il pouvait. Son corps lui faisait mal, sa vue était brouillée et sa respiration haletante, mais il utilisait le peu de force qu'il lui restait pour l'empêcher de le toucher plus. Il frappait, griffait ce qu'il pouvait atteindre, mais rien n'y faisait. Il sentait toujours les mains de Cody sur sa peau qui baissa complètement son pantalon, pour finir par complètement lui enlever avant de le jeter dans la chambre, avant d'en profiter pour s'installer entre ses cuisses. Il releva ensuite le haut de Louis, le remontant le long de ses bras, lui bloquant les bras et cachant sa vue pas la même occasion. Le jeune homme ne voyait plus rien, il ne pouvait que sentir et c'était peut-être encore pire. La panique allait l'achever, il ne parvenait plus à respirer, il ne pouvait même plus se servir de ses bras pour repousser Cody alors que lui avait l'usage de ses deux mains pour faire de lui ce qu'il voulait.
« Je vais te baiser Louis, plus jamais tu ne pourras remarcher. »
Des sanglots se bloquaient dans sa gorge alors qu'une des mains de l'homme pinça violemment l'un de ses mamelons, si fort qu'il senti le sang pulser aux extrémités. Alors que l'autre se glissa entre ses cuisses, ses jambes se secouant dans tous les sens pour essayer de le dégager. Il l'entendit ricaner, il riait de le voir souffrir à ce point et de savoir qu'il allait lui asséner la pire des douleurs. Il senti sa main remonter alors que ses dents mordaient avec force la peau entre son cou et son épaule. Une nouvelle fois, Louis cria de douleur et de désespoir, il était là. Il senti son boxer glissait le long de ses jambes et puis plus rien.
D'un coup, il ne sentit plus le corps de Cody sur le sien, juste l'air froid sur son corps dénudé et meurtrie. Il entendit un bruit sourd, que se passait-il ? Allait-il revenir ? Avait-il demandé à son ami de le rejoindre. Non... Prisonnier dans son tee-shirt, Louis suffoquait et ne pouvait plus respirer. Ne pas savoir ce qui se passait, où était Cody et ce qui l'attendait été peut-être encore pire que de le sentir contre lui. Il profita alors de ce moment pour tenter de se redresser, malgré les vives douleurs de son corps, pour faire glisser le tee-shirt sur son torse et retrouver la vue. Il se débattu comme il put jusqu'à ce qu'un second bruit sourd se fasse entendre et qu'une voix grave, laissant entendre toute la fureur qui coulait dans les veines de celui qui en était le propriétaire, se fasse entendre.
« Toi, je vais te tuer. »
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