Chapitre 24 - Incompatibilité d'humeur

Louis avait passé sa journée dans la cuisine pour préparer le plat préféré de sa mère, pendant qu'elle s'était plainte de son nouveau mari, que Louis n'avait jamais rencontré, de son travail, de la femme qui ne l'avait pas laissé passer dans une file d'attente, de sa fatigue alors qu'elle n'avait pas bougé du canapé. Il n'avait rien ajouté de plus et s'était contenté de cuisiner pendant qu'elle était restée à se reposer. Vraiment, il ne pouvait pas lui en vouloir, sa mère l'avait eu très jeune, avec un garçon qui avait pris ses jambes à son cou en apprenant la nouvelle et à lui non plus il ne pouvait pas lui en vouloir. Elle s'était privée de tout et avait fait passer les besoins de Louis avant les siens et lorsqu'il avait été en âge de prendre son envole, elle avait décidé de se rattraper et lorsqu'elle venait chez lui et bien... Il s'occupait d'elle. C'était en partie pour ça que Louis avait vraiment besoin de se préparer mentalement pour l'accueillir chez lui.

Le mot d'ordre de Louis pour le reste de sa journée, avait été de parler de Harry, ce n'était pas vraiment compliqué, parce qu'il ne quittait pas son esprit. Il avait dû tout raconter à sa mère, leur rencontre, le désir de Harry de l'aider à sortir, sa première sortie à la boulangerie, leur rendez-vous au restaurant puis au cinéma et la façon dont il l'avait défendu. Il avait vraiment espéré que ça aiderait sa mère à comprendre que Harry était quelqu'un de bien, parfait pour lui. C'est aussi pour ça qu'il avait omit de parler de leur galipette et du bouclé qui s'était sauvé comme un voleur le lendemain, mais c'était un malentendu, alors ça ne lui paraissait pas vraiment important.

Il n'était vraiment pas sûr qu'elle ait écouté jusqu'au bout. à vrai dire, à partir du moment où elle avait compris que Louis était sorti, elle n'avait plus eu qu'une idée en tête, l'emmener faire la fête en boite et n'avait pas arrêté de le tanner avec ça. Et sincèrement cette idée le tétanisait vraiment. Déjà parce qu'une boîte de nuit...Et bien c'était là qu'il s'était fait agresser et il avait beau adorer sa mère, c'était Harry qui lui donnait assez de confiance pour en avoir le courage. Alors, forcément lorsqu'il lui avait expliqué, il avait jeté un froid et elle s'était de nouveau montrée septique envers Harry, bien trop beau pour être honnête. La soirée s'annonçait compliquée et Louis en avait déjà mal à la tête.

« Ton voisin est en retard. »
« Maman, je lui avais dit 20 heures et il est 20h05, on ne peut pas vraiment dire que c'est en retard ! »
« Il habite à trois secondes de chez toi... Tu ne vas pas me dire que c'est la circulation qui le retarde ! »

Louis soupira alors qu'il déposait des toasts sur la table et des verres de vins. Il comptait vraiment sur le charme de Harry pour l'amadouer et qu'il retrouve enfin la femme aimante, qu'il connaissait. Et quand il parlait du loup, son sourire s'étira lorsqu'il entendit frapper. Il sortit de la cuisine et se précipita dans le couloir pour ouvrir la porte. Harry se tenait là, beau comme toujours, chemise blanche boutonnée presque en entier cette fois-ci, jean noir, cheveux en arrière. Louis voyait qu'il voulait faire bonne impression et il le remerciait pour ça. Il l'attira vers lui et attrapa son visage pour l'embrasser.

« Tu en as mis un temps fou, idiot va ! »
« Pardon bébé, je suis allée chercher du vin et j'ai mis plus de temps que je pensais. »
« T'es tout pardonné ! »

Il l'embrassa une dernière fois avant de l'entraîner avec lui dans le séjour. Le sourire aux lèvres, Harry salua une nouvelle fois la mère de Louis, qui s'était levée du canapé. Il les laissa discuter pendant qu'il servait un verre de vin à chacun, pressé que tout le monde soit détendu et avala le sien d'une traite.

Installés autour de la table, tout se passait bien pour le moment, la mère de Louis faisait passer un interrogatoire à Harry, mais celui-ci répondait aux questions à la perfection sans oublier de lui resservir du vin. Il l'avait même entendu rire à une des blagues du bouclé et Louis se disait qu'enfin, ça pouvait le faire. Enfin il allait pouvoir passer une soirée agréable. Alors qu'il débarrassait le repas pour mettre le dessert, sa mère frappa dans ses mains en souriant.

« J'ai une idée Lou ! Tu m'as dit que tu te sentais plus en sécurité de sortir avec Harry... Et s'il venait avec nous en boite de nuit ? »

Louis grimaça légèrement pendant que Harry tournait la tête vers lui en fronçant les sourcils.

« Tu avais prévu d'aller en boite ? »
« Il en meurt d'envie, mais il est mieux quand tu es avec lui, alors tu devrais l'accompagner ! »
« Non, je n'ai jamais dis ça maman ! Je ne veux pas aller en boite ! »

Il secoua la tête en laissant tomber ce qu'il était en train de faire et jeta un regard suppliant à Harry pour l'aider à se sortir de ce problème.

« Oh mais aller chéri ! On va bien s'amuser ! »
« Hmm désolé, mais pour ma part, je vais devoir dire non, c'est pas vraiment mon truc les boites de nuit... »

Louis adressa un rapide sourire à Harry pour le remercier de l'aide apporté et mit le dessert sur la table au même moment où il entendit sa mère pouffer de rire.

« Alors ça, c'est la meilleure blague de la soirée ! Je suis sûr qu'avant de les prendre directement dans ton immeuble, tu allais chercher là-bas les jeunes hommes que tu comptais embobiner ! »
« Pardon ?! »

Louis se crispa après le commentaire de sa mère et le cri de surprise de Harry, tandis que le bouclé se reculait en haussant les sourcils. Vraiment, il avait fait peur de patience, mais ce coup-ci, ça commençait vraiment à faire beaucoup.

« Je peux savoir comment vous pouvez vous permettre de porter un tel jugement ? Vous ne me connaissez même pas... »
« Tu peux tromper Louis, mais sûrement pas moi, je les connais les garçons comme toi. »
« Vous m'avez rencontré il y a à peine quelques heures... C'est vraiment idiot comme propos. »
« Tu me traites d'idiotes ? »
« Vous insinuez bien que je suis un bâtard ! »

Louis regardait ce ping-pong verbale impuissant, ça semblait si bien parti, mais sa mère avait énervé Harry et lui ne semblait vraiment plus décidé à faire le moindre effort avec elle. Il le voyait sur le visage du bouclé, ses sourcils fronçaient et ses yeux noirs.

« Je pense juste que tu te moques de Louis et qu'il mérite mieux. »
« Oh ça c'est sûr, il mérite mieux qu'une mère qui n'en a rien à faire de ce qu'il pense ! Vous lui avez demandé pourquoi il ne voulait pas en boite ou vous êtes trop égoïste pour vous rappeler qu'il a été agressé là-bas ? »

La femme en face de lui tapa du poing sur la table et le regarda outré.

« ça suffit, je ne vais pas me laisser insulter de la sorte. »
« ça tombe bien puisque je m'en vais. »

Harry se leva et attrapa les clés de son appartement avant de partir et de claquer la porte sans un mot ni un regard pour personne. Louis lui était resté silencieux dans son coin et n'avait pas osé bouger jusque là.

« Non mais quel garçon mal élevé ! »
« Mais qu'est-ce que tu as fait maman ? Tu l'as fait fuir ! »
« évidemment, tu as vu comment il m'a parlé ? »
« Mais tu n'as pas arrêté de le chercher jusqu'à ce qu'il s'énerve ! Tout ça parce qu'il ne voulait pas aller en boite de nuit, mais il a raison, j'en avais pas envie non plus. Tu peux pas venir ici et tout diriger sans demander l'avis de personne ! »
« Parce que tu le défends en plus ? Je suis ta mère ! »

Louis soupira en laissant tomber ses assiettes à dessert et fit le tour de la table pour venir en face d'elle.

« Oui tu es ma mère et je t'avais demandé de bien te tenir avec lui. Je tiens vraiment à Harry, depuis que je l'ai rencontré je me sens heureux, j'avance enfin et j'ai envie d'être avec lui. Il est vraiment génial avec moi et toi tu n'as fait que l'agresser. Tu ne le connais même pas, il a fait tous les efforts du monde avec toi et tu as juste su être désagréable parce qu'il n'a pas voulu répondre à tes exigences. Il a pensé à moi avant de penser à toi, ça devrait te suffire pour voir qu'il est quelqu'un de bien pour moi. Mais à cause de toi, je l'ai peut-être perdu. »

Louis aussi était à présent en colère, il se rendait compte qu'il avait peut-être perdu Harry parce que sa mère avait voulu penser qu'à elle. Il l'adorait en temps normal et avait accepté son côté farfelu, mais là il lui en voulait. Sa mère le regarda l'air contrarié pendant quelques secondes et fit demi tour et se dirigea dans la chambre avant de claquer la porte. Et voilà, il se retrouvait seul, sans Harry et sans sa mère, avec un dessert en train de fondre et une tonne de vaisselle. Il soupira et commença à ranger, il fallait qu'il s'occupe où il se serait sûrement mit à pleurer de frustration. Pendant qu'il faisait la vaisselle, il se demandait s'il devait envoyer un message à Harry, allait le voir ou bien laisser tomber parce que c'était définitivement fini entre eux.

Non, il ne pouvait vraiment pas se faire à cette éventualité, Harry était exactement ce dont il avait toujours voulu chez un homme, il se sentait bien avec lui, il avançait, il voyait l'avenir, vraiment il ne pouvait pas laisser Harry lui filer entre les doigts. Après un moment de réflexion, il attrapa son téléphone et lui envoya un message.

« Je peux venir chez toi ? »

La réponse ne tarda pas à venir, à peine avait-il eut le temps de donner à manger à Plumeau que Harry lui avait répondu qu'il l'attendait. Louis avait regardé rapidement vers sa chambre, ou dormait sa mère avant d'attraper ses clés et était sorti de son appartement pour aller frapper à la porte d'en face. Immédiatement Harry lui ouvrit et se recula pour le laisser rentrer. Leurs regards se croisèrent et sans un mot, Louis glissa ses bras autour du cou de Harry et celui-ci ses mains sous ses cuisses pour le soulever. Le châtain colla ses lèvres sur celle de son voisin et entoura ses hanches de ses jambes. Le bouclés ferma la porte d'un coup de pied et sans lâcher ses lèvres, il l'emmena jusqu'à sa chambre et l'allongea sur le lit avant de venir sur lui et reprit immédiatement possession de sa bouche.

Le baiser se fit plus passionné, les mains de Harry glissaient sur le corps de Louis tandis que le châtain commença à déboutonner la chemise de son partenaire qu'il ne tarda pas à lui enlever pour caresser son torse. Il se redressa ensuite pour que Harry puisse lui enlever le sien avant de se rallonger en l'attirant contre lui. Il avait besoin de lui, de ce contact qui n'était jamais assez à son goût. Après ça, Harry glissa ses lèvres sur sa mâchoire puis sur son torse qu'il parsema de baiser, ne laissant aucune parcelle de peau à l'abandon. La respiration de Louis s'accéléra lorsqu'il commença à s'attaquer à ses petits bouts de chairs tendu, qu'il mordilla et suça tout en glissant ses mains sur ses cuisses qu'il écarta pour s'installer entre elles.

Aucune paroles étaient nécessaires, ils voyaient chacun dans les yeux de l'autre qu'ils avaient la même envie, le même besoin. Alors, sans lâcher sa peau sur laquelle il avait laissé quelques marques d'amour, il ouvrit le pantalon de Louis qu'il glissa le long de ses cuisses, découvrant sa peau comme s'il s'agissait de la première fois. Il l'envoya valser à l'autre bout de la pièce et glissa le long de son corps pour s'attaquer à cette nouvelle partie dévoiler. Il ne lui avait pas fallu toucher beaucoup de fois Louis pour comprendre que ses cuisses étaient une zone érogène qui emmenait le plus petit dans des états d'excitation inégalés. Il les écarta encore un peu plus et embrassa cette peau sensible avant de la choyer, de la mordiller y laissant également des traces qui resteraient encore demain et qui lui rappellerait cette nuit d'amour. Il savoura chacun des gémissements de Louis et finit par attraper son boxer pour le lui enlever. Harry se redressa, surplombant Louis de toute sa hauteur et admira le magnifique corps étalé sous lui. Il le trouvait d'une beauté à couper le souffle et effleura sa peau du bout des doigts, souriant légèrement en voyant les frissons sur sa peau.

Louis le rappela à l'ordre en tendant le bras pour l'attraper par les passants de son jean, le bouclé sourit et se redressa pour le retirer ainsi que son boxer et retourna s'allonger entre les cuisses de son amant qui frissonna au contact de leur peau brûlante. Pendant plusieurs minutes, il n'y eut plus rien d'autres que des baisers passionnés et des caresses sensuelles. Les corps se cherchaient, se chauffaient et se frotter l'un contre l'autre. Louis glissa ses lèvres derrières l'oreille de Harry, ses mains sur ses hanches, sur son membre qu'il sentait chaud et dur contre son aine. Le bouclé lui caressait les cuisses de Louis, remontait sur fesses qui le rendaient fou. Il les écarta et caressa son entrée pour faire monter son excitation et son impatience et le résultat ne tarda pas puisque Louis se cambra en gémissant.

Il se releva juste le temps de tendre le bras pour attraper un préservatif et du lubrifiant qu'il posa à côté d'eux dans le lit.

« C'est ce que tu veux Lou ? »
« Oui, j'en meurs d'envie, fais-moi l'amour ! »

Il l'attira vers lui pour un baiser langoureux, donna un coup de bassin contre celui de Harry et sourit lorsqu'il le sentit gémir contre ses lèvres. Après ça, le bouclé se détacha de lui et sans rompre une seule fois le contact visuel, il enduisit ses doigts de lubrifiant avant de venir caresser l'entrée de Louis, admirant la façon dont les yeux de Louis devenaient de plus en plus noirs alors que sa bouche s'ouvrait pour laisser passer ses gémissements. Il entra ensuite un doigt en lui, doucement pour l'habituer et ne pas le blesser et le bougea lentement, cherchant à faire monter le plaisir en Louis. Il continua, trouvant son point sensible et ajoutant un autre doigt pour le préparer correctement. Il était captivé par la beauté de Louis lorsqu'il prenait du plaisir, il se cambrait, ses mains cherchant à attraper n'importe quoi pour tenter de canaliser le feu qui menaçait de le consumer. Lorsqu'il remarqua que ses cuisses commençait à trembler, Harry arrêta et retira doucement ses doigts sous les plaintes de Louis à présent plus qu'impatient et attrapa l'emballage du préservatif pour l'arracher et l'enfiler. Il se rallongea ensuite entre les jambes de son amant qui l'emprisonna immédiatement entre ses cuisses. Ils s'embrassèrent et se regardèrent quelques secondes, Louis avait eu tellement peur que Harry ne veuille plus le voir, après cette soirée, mais il était là au-dessus de lui, les yeux brillants de plaisir et Louis ne pouvait pas être plus reconnaissant et amoureux. Après un baiser rempli de tendresse, il se glissa lentement en lui en observant chacune de ses réactions et embrassa chaque signe de douleurs.

Harry avait commencé à lui faire l'amour tendrement, ses gestes étaient lents, profonds. Il avait emmené Louis au bord du précipice et l'avait maintenu là pendant de nombreuses minutes, le faisant gémir toujours plus fort, supplier même par moment. Louis se cambrait contre lui, l'attirait toujours un peu plus près de lui, l'embrassait de façon complètement désordonné tout en griffant son dos. Quelques coups de bassin bien placés plus tard et le châtain jouit en fermant les yeux, son souffle se coupant et son entrée se resserrant autour de Harry qui ne tarda pas à le suivre sous cette délicieuse sensation.

Ils restèrent un moment ainsi en reprenant leur souffle, leurs lèvres se frôlant et se caressant l'un l'autre pour essayer de calmer les tremblements de leur corps. Harry sortit ensuite doucement du corps sensible de Louis et enleva le préservatif auquel il fit un nœud et qu'il déposa à côté du lit. Il attrapa ensuite une serviette et les essuya brièvement avant de se rallonger laissant son amant venir contre lui et posa sa tête contre son torse en soupirant de bien-être et caressant le torse de Harry.

« Merci de ne pas avoir fuis... Je suis tellement désolé que ça se soit passé comme ça ! »
« Tu n'y es pour rien chéri, ça ne peut pas passer entre tout le monde et je crois que ça a coincé entre ta mère et moi. Mais je veux que tu saches, que je ne suis pas ce qu'elle a décrit. Elle se trompe, je tiens à toi, je veux vivre quelque chose avec toi et je n'ai d'yeux que pour toi, j'espère que tu le sais... »
« Je sais oui... Je n'ai pas douté une seule seconde, j'étais malheureux parce que j'avais peur qu'elle t'ait fait fuir, pas parce que je pensais qu'elle avait raison. J'ai confiance en toi Harry. »

Le bouclé sourit et posa ses doigts sous son menton pour lui faire relever la tête et l'embrassa tendrement.

« Alors, si tu me crois, c'est l'essentiel. Je finirais bien par persuader ta mère que je suis un mec bien ! »

Louis sourit et hocha la tête et se tourna pour venir s'allonger sur lui et le regarda avec un sourire en coin.

« Sinon... Tu es fatigué maintenant ou pas ? »
« Pourquoi ? Tu as une idée en tête ? »

Harry arqua un sourcil en le regardant avec un sourire en coin et Louis haussa les épaules avant de frotterses fesses sur le membre du bouclé.

« Peut-être ! »
« Ok, tu ne viendras pas te plaindre demain quand tu ne pourras plus marcher ! »
« Vantard ! »

Harry le regarda avec un air féroce etl'attrapa par les cuisses avant de le retourner sur le matelas et dese jeter sur lui sous les éclats de rire de Louis. Ils auront toutle temps de se reposer plus tard...  

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Hello mes petits Hérissons !

Et oui je continu sur ma lancée et c'est un chapitre de plus poster en temps et en heure ! Pour tout vous dire, j'en ai écris 3 en trois nuits, ce qui explique mon non retard. Le problème, c'est que j'ai beaucoup travaillé ces derniers temps et que je n'ai donc plus d avances. Mais on croise les doigts et on croit en moi, j ai une semaine pour reprendre de l'avance ! 

Bref ! Alors, est-ce qu'il vous a plus ? Pas trop en colère contre la maman de Louis ? Et ce petit lemon bien plus tendre et amoureux, mais aussi plus court que le premier, il vous a plu ? Je l'espère en tout cas ! J'attends vos avis avec beaucoup d'impatience, n'hésitais pas à me dire ce que vous en pensez.

Je vous embrasse !

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