Chapitre 32..
Lundi 8 décembre.
PDV Judith.
Aujourd'hui programme chargée.
Je dois appeler une agence immobilière pour notre futur appartement, je dois également appeler Jonathan pour qu'il nous aide en faisant les visites lui même.
Comme la journée risque d'être longue, vu qu'il faut que je me repose le plus possible, je décide de commencer dès maintenant.
~Conversation téléphonique~
-Allo?
-Salut, c'est Mélanie. Comment vas-tu?
-Salut ma belle. Tout va bien et pour toi?
-Ca va mieux, faut que je me repose et tu sais très bien que je n'aime pas rester en train de rien faire.
-Je sais, tu n'as pas beaucoup changé sur certain point. Rit-il.
-Enfin je ne t'ai pas appelé pour me morfondre. J'ai besoin d'un service.
-Je t'écoute!
-J'aurais besoin que tu fasses des visites d'appartements pour moi.
-Des visières d'appart? Tu comptes revenir ici? Dit-il étonner.
-C'est un projet et une surprise. On aimerait revenir pour Noël en espérant que tout le monde le prenne bien. Je vais téléphoner à une agence et ils te contacteront pour visiter. Est ce que tu peux faire ça pour moi?
-C'est génial! Bien sûr que oui je vais vous aidez. Tu sais que tu peux toujours compter sur moi.
-Je te remercie vraiment. Alors en gros il me fait deux chambres, salon et cuisine ouverte, et surtout lumineux avec de la place pour du rangement.
-C'est tout?
-C'est tout, je ne compte pas m'éterniser la bas, ça va être un tremplin pour rebondir sur une nouvelle vie, une vie meilleure.
-Tu peux compter sur moi. Je te tiendrais au courant.
-Merci.
~Fin conversation téléphonique~
Une fois l'appelle terminé. Je décide de me renseigner sur les agences. Je veux la meilleure qui me trouvera quelques choses au plus vite!
~Conversation téléphonique~
-Agence Flex, que puis-je pour vous?
-Bonjour, je recherche un appartement sur Chicago. J'ai entendu que vous trouvez des biens rapidement.
-Nous faisons notre possible pour satisfaire nos clients. Dites moi ce que vous cherchez.
-Un appartement lumineux, avec deux chambres, une cuisine ouverte sur le salon. Il faudra qu'il y est de la place pour que je puisse ranger mes affaires et que les pièces ne soit pas trop petite. Peu importe le secteur, mise à part dans des quartiers chauds, peu importe pour la cave, le garage, ou encore le balcon.
(Je saute le prix parce que j'en ai aucune idée alors au lieu de mettre une bêtise je ne dis rien.)
-Très bien, je vais commencer les recherches des cette après midi. Je vous recontacterais très rapidement.
-Merci, je vous donne le numéro d'un ami c'est lui qui viendra visiter je suis actuellement en déplacement. Ah j'oubliais, il me faudrait un appartement libre de suite, j'aimerais que mes affaires soit expédié avant que je ne rentre.
-Je comprends tout à fait. Je m'occupe de tout ne vous en faites pas. À bientôt madame.
-En revoir.
~Fin conversation téléphonique~
Bien, les projets avancent plus vite que je ne le pensais.
Il faut encore que je parle au médecin pour savoir quand je pourrais sortir de ce maudit hôpital. Je n'ai pas trop le temps j'ai encore des histoires à régler!
PDV Ethan.
On commence à emballer nos affaires, personnellement je n'en ai pas trop. J'ai emporté uniquement le strict minimum et je suis bien content.
Ma mère n'a pas énormément de chose non plus, il n'y a pas vraiment de décoration ici.
Je pense que c'est Maxime qui en a le plus quoi qu'il ne soit pas grand chose non plus vu qu'il n'a pas pu tout récupérer quand ses parents l'ont mis à la porte.
Pendant la journée j'essaie de téléphoner à ma sœur qui ne décroche pas, j'ai essayé plusieurs fois sans résultat.
Je ne sais pas ce qu'il se passe mes j'ai vraiment peur pour elle.
Dans l'après midi, nous décidons d'aller rejoindre ma mère a l'hôpital. Je sais qu'elle se sent seule et je sais aussi qu'elle n'aime pas rester allonger à ne rien faire. J'espère juste qu'elle pourra sortir le plus vite possible de cet endroit.
Nous prenons l'ascenseur et marchons dans le long couloir blanc, éclairé par quelques lumières.
Je déteste les hôpitaux! Songeais-je.
On arrive devant la porte 115 et on entre après avoir préalablement toquer sur celle ci.
Je découvre ma mère en train de regarder la télé, enfin si je peux appeler ça regarder puisqu'elle change plus de chaîne qu'elle ne les regarde.
-Alors comment tu vas? Demande Max.
-J'en ai marre, je veux sortir! Dit-elle au bord de l'agonie.
-Encore un peu de patience, tu as déjà parlé au médecin?
-Non, il devrait passer cette après-midi normalement.
-Et sinon tu as appelé l'agence?
-Oui, Jonathan est également prévenu. On attend des réponses avant la fin de la semaine, si tout se passe bien.
-Parfait, sinon côté Sarah elle ne répond pas, je vais réessayer demain sinon j'appelle papa pour savoir se qu'il se passe avec elle.
- Je ne t'en fais pas, on sera bientôt près d'elle. Tout ira mieux.
-J'espère... Murmurais-je.
***
En fin de soirée, on est tous les trois tranquillement installé entrain de regarder un documentaire sur les vétérinaires, super intéressant!
Je vois que Maxime regarde souvent son téléphone, je me demande bien avec qui il discute.
Quelques minutes plus tard, on toque à la porte.
-Bonjour, comment ça va aujourd'hui? Demande le médecin avec un sourire aux lèvres.
-Ca peut aller. Répond ma mère.
Elle essaye de se relever un peu, mais abandonne vite à cause de la douleur vu la grimace qu'elle vient de faire.
-Vous voulez que je vous donne quelques choses pour la douleur? Intervient le médecin.
-Non merci! Je survivrais, je ne veux pas devenir accro à ces cochonneries. Je me tiens tranquille et tout va bien mais je vous promets que si ça ne va pas je vous appellerez. Sourit-elle.
-Comme vous voudrez.
-J'ai une question, je pourrais sortir quand?
-Si tout va bien, dans deux semaines.
-Deux semaines?!
-Oui, le temps que la plaie se cicatrise bien, qu'elle soit propre et qu'il n'y a plus de risque d'infection.
-Je ne peux pas sortir avant contre avis? J'ai prévu des t'as de chose la semaine prochaine et je ne peux pas reporter.
-C'est comme vous voulez... Je ne suis pas pour mais je ne peux pas vous retenir.
-Je sortirais fin de semaine, j'irais voir un médecin tous les deux jours si ça peu vous rassurez mais je ne peux pas faire autrement.
-Surtout ne forcez pas, allez y doucement.
-Vous en faites pas, je suis forte.
-Je repasserais vous voir demain, en revoir.
-En revoir.
***
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