Chapitre 20..

Je suis épuisée, on c'est entraîné comme des malades. Entre la course, la boxe, grimpé à la corde, les parcours du combattant je pourrais dire.
Enfin bref, je suis heureux de retrouver la maison. Sarah est dans la chambre et s'occupe à faire je ne sais pas quoi, c'est vrai que depuis qu'elle est la, je ne me suis pas beaucoup occuper d'elle.

-Hey, ca va? Demandais-je en m'installant sur le lit à ses côtés.

-Ouais, alors ta journée?

-Longue, fatigante.

-Tu m'étonnes. Tu as déjà préparé tes affaires?

-Tu veux m'éjecter ou quoi? Oui elles sont prêtes mais je n'ai pas envie de partir, je viens de retrouver maman et il faut de nouveau qu'on soit séparé.

-Bien sur que non, je veux te garder au près de moi mais c'est trop dangereux ici. Tu seras plus à l'abri la bas.

-Je sais, je sais...

-Tu pourrais me téléphoner tous les jours si tu veux. Abusais-je.

-N'abuse pas non plus! Ah sinon papa a téléphoné, il m'a demandé ou j'étais et pourquoi tu ne lui as pas dit que tu étais la et que tu "m'as enlevé", si je peux dire ça.

-Il a rien dit d'autre?

-Au départ il est furieux contre Amandine parce qu'elle le savait depuis le début et qu'elle n'a rien dit. Et après il était furieux contre tout le monde mais il m'a dit qu'il savait que je serais en sécurité et que c'était mieux pour moi, que tu avais bien fait.

-La sorcière n'était pas avec lui je suppose?

-Non, il était à son bureau. Il m'a dit plein de choses gentilles comme je suis désolé de ne pas avoir réagit quand elle ta mis dans cet internat, je ne savais pas qu'elle recevait tous les appels... enfin voilà quoi.

-Tu ne fois pas lui en vouloir à lui mais à elle, elle lui embrouille le cerveau! Tu sais que je suis la et maman aussi. D'accord?

-D'acc'.

Je fais un câlin à ma sœur quand on sonne à la porte. Maxime est dans sa chambre alors j'en déduis quand c'est Jonathan qui est enfin arrivé.
En ouvrant la porte, je vois que je ne me suis pas tromper et le prends dans mes bras.

-Sa faisait longtemps! Dit-il.

-Et comment! Merci d'être venu pour elle c'est mieux pour tout le monde.

-T'en fais pas, je prendrais bien soin d'elle, Sarah sera en sécurité avec moi.

-Il faudra juste faire attention à Amandine, dès qu'elle saura que Sarah est de nouveau dans les parages, elle voudra reprendre le dessus. En plus Sarah est super remonter contre elle, je ne veux pas qu'elle fasse quelque chose qu'elle regrettera.

-Je gère. Toute façon s'il y a quoi que se soit je te le dirais.

On se dirige vers la cuisine, je lui sers une bière bien fraîche et il part saluer ma sœur qui ne sort pas de la chambre. Malpoli va!

La porte d'entre s'ouvre et se ferme, maman vient d'arriver.

-Coucou les jeunes c'est moi! Dit-elle.

-Tu te rappelle que Jonathan est la? Demandais-je.

-Oui, pourquoi il est déjà la?

-Oh mon dieu! Souffle une voix d'homme derrière elle.

Ma mère lui fait face, je peux lire sur le visage du policier de la surprise. Ils restent tous les deux planter la à se regarder.
Au bout de quelques longues minutes d'attente, ils se serrent enfin dans les bras.

-Comment? Réussit à articuler Jonathan.

-Je t'expliquerai tout promis. Tu m'as tellement manqué!

-Et moi donc, Ethan tu es un bon menteur et un bon cachotier. Tu devrais avoir honte. Sourit-il.

Elle l'invite à rester manger et même à dormir, ils n'auront qu'à partir demain dans la soirée pour qu'on puisse profiter un peu d'eux rien qu'une soirée encore.
Et c'est ainsi que ma mère ré explique encore une fois toute la situation du début à la fin avec pleins de détails. Un conseil, elle ferrait mieux de l'enregistrer!

***

PDV Judith.

Jeudi 30 octobre.

Ma petite fille a décollé hier soir avec mon meilleur ami. Ils sont restés le plus longtemps possible avec nous. Les au revoir ont été très éprouvants.
Je reprends mon train train quotidien, enfin si on peut encore l'appelé comme ça.

9h.
Mes cours débutent, je dois faire des cours de maîtrise de soi aujourd'hui avec la classe d'Ethan.
Je rentre et je m'installe comme à mon habitude.

-M'dame on vous aide sur votre affaire alors? Demande Bryan.

-Non, j'ai dis que je m'en occuperais seule. Pour l'instant j'ai un programme à respecter et c'est tout! Dis-je.

-Ok, je demandais juste.

Je commence mon cour tranquillement, ils ne sont pas vraiment motiver ce matin. J'essaye pourtant de faire des petites activités mais ils sont trop dissipé et préfère s'amuser.
Après mettre énerver plusieurs fois, je fais une petite pause. Tout le monde me pose des questions sur la vie d'avant.

-Et vous faisiez quoi avant comme métier?

Tout d'un coup, on entend des coups de feu. J'ordonne à tout le monde de se coucher par terre sous les tables.
Quand à moi j'éteins ordinateur, lumière et je ferme la porte à clé.

-Restez calme d'accord? Les rassurais-je.

-C'est quoi ça maintenant? S'inquiètent les garçons.

-Restez silencieux, je vais aller voir. En aucun cas vous sortez ou vous faites quelques choses d'imbéciles.

-Maman, c'est trop dangereux! Râle mon fils.

-J'étais flic, voilà mon métier d'avant.

Je me lève et vais chercher un gilet par balle et une arme.
J'enfile le gilet et attache mes cheveux.

-Je reviens vite, je toquerais 5 fois à la porte.

Je sors de la salle et me dirige dans les couloirs. J'entends des bruits de gémissements dans une salle au bout du couloir.
Arme à la main ne m'y dirige. J'avance doucement et en entrant je découvre Édouard étendu à plat par terre.

-Édouard, viens lève toi!

-Judith? Qu'est ce que tu fais la, c'est trop dangereux d'être la.

-Peut être mais je fais mon boulot.

-Ton boulot c'est d'enseigner des choses à tes élèves pas d'agir en tête brûlée!

-J'étais flic avant, je sais ce que je fais maintenant suis moi avant qu'ils arrivent.

Il se lève doucement et se colle à moi. Les yeux dans les yeux on de regarde pendant quelques secondes. Je baisse les yeux la première et me dirige vers ma salle de classe.
Je frappe et un des élèves nous ouvre.
Comme je me dirige à l'aveugle dans les couloirs, je décide de demander à quelqu'un qu'il me craque les caméras des couloirs.

-Madame, j'ai trouvé des oreillettes.

-Parfait, on pourra communiquer comme ça. Je compte sur vous pour être discret et en aucun cas vous sortez de cette salle avant qu'on vous le dise. Édouard je compte également sur toi pour essayer de les gérer et pour qu'ils restent tous ici.

-Je vais faire de mon mieux.

-Maman, je viens avec toi. Je peux pas te laisser toute seule, je t'ai perdu une fois je n'ai pas envie que ça arrive encore une fois.

-Je t'aime et tu sais très bien que je vais refuser.

Je l'embrasse sur le front et m'en vais à nouveau.
Je suis guidée par Bryan dans l'oreillette.
Des gardes attendent au coin. Je me dirige vers eux et les neutralisent très vite. Une fois désarmé je prends les armes avec moi au cas je serais en panne de recharge.

A l'autre bout de l'établissement, près du bureau du directeur. Il y a une vingtaine d'otages et le directeur.

-Il y a des gardes partout, il y en a quatre au total.

-Je les ai en visuel. Maintenant je veux que tu coupe les caméras au cas où sa tourne mal je n'ai pas envie que vous voyez tout ce qu'il va se passer.

- On ne peut pas, on est avec vous.

-Monsieur King, faites les obéir! Dis-je à contre cœur.

Le micro de coupe et les caméras également. À présent je suis seul sur ce coup, j'espère que tout va bien se passer.
Je visé un des gardes qui tombe tout de suite à terre, les deux autres se dirigent vers moi et je les neutralise assez facilement.

-Justement c'est vois que je cherchais! Déclare le 4ème homme.

-Alors si vous avez besoin de moi relâcher les autres.

-Non, sinon je n'aurais plus toute votre attention. Déclare t-il.

Il s'approche de moi et me désarme sans que je comprenne quoi que se soit.
Il me regarde avec un sourire en coin ce qui a le don de m'énerver encore plus.

-Vous voulez jouer à ça? On va jouer alors.

Ces hommes sont à terre, il est seul contre moi. Mon but c'est de le neutraliser assez longtemps pour que tout le monde s'en aille après j'aviserais.

Il veut me mettre une droite que j'esquive, j'essaye de le faire reculer et lui donne des coups assez puissants. Après ces 3 ans, je n'ai plus la force que j'avais, j'ai moins de puissance et ça se remarque énormément. Je me suis beaucoup relâché ses dernières années!

Au bout d'un moment, j'arrive à le maîtriser et je peux évacuer la salle. Une fois tout le monde parti, je baisse ma garde et je me prends de sacrer coup. Je vole à travers la pièce, je me reprends et le fais tomber par terre. J'ai l'arme en face de moi, je cours et l'attrape. En me relevant je sens qu'il est derrière moi, il me prend l'arme des mains et visé ma tête.

-On fait moins la maline!

-Allez y tirer maintenant, je suis sur que vous n'avez pas le courage de le faire.

Il s'apprête à tirer mais je réussi à baisser son arme et quand il appui sur la détente je reçois la balle en plein dans l'épaule. Toujours mieux que la tête vous me direz.
Je souffre et il appui encore plus sur la plaie sanglante. Je réussis quand même à me débattre et l'envoi plus loin.
Il réussi de nouveau à me bloquer et cette fois je ne peux rien faire. Je n'ai plus de force et mon épaule me fait un mal de chien.

-Dit en revoir!

***

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