Chapitre 4

NDA :Juste pour dire il y aura légèrement un peu de yaoi mais vraiment rien du tout juste pour prévenir les homophobes épileptiques ( et encore il n'y a aucun sentiment ). Bonne lecture !


PVD Ink :


Il se rapprocha dangereusement de moi, saisit mon âme qui commençais à craqueler et commença à la serrer brusquement, me faisant gémir de douleur. L'âme se craquela un peu plus sous la pression puis soudainement Error relâcha prise ouvrant sa main et laissant mon âme voler en apesanteur au dessus de sa main noir et rouge. il la laissa regagner sa place dans ma cage thoracique. J'étais perdu. Pourquoi Error avait laisser mon âme au lieu de la briser ? J'en sais rien. Mais vraiment rien. Un voile d'interrogation passa dans mes yeux.

Moi : P-pourquoi avoir laisser mon âme ?

Ma voix n'était plus qu'un souffle.

Error : Il ExiSte Un mOyeN dE Te faIrE diSpaRaiTrE SaNs pOuR aUtanT tE tuEr.

Cette révélation me surpris. On pouvais disparaitre mais sans mourir ? Comment ? Je ne tardis pas à demander, toujours avec le souffle de voix qu'il me restait.

Moi : C-comment ?

Error : C'eSt siMplE. eN faIsAnT diSpaRaitRe seUlEmenT lE coRpS.

Choquer. C'était ce que je pensais mais aussi la tête que je devais faire. Mais ce qu'il disait était très certainement juste. En faisant en sorte que l'âme d'une personne ne disparait pas mais que son corps oui, il était possible de détruire la Création ou la Destruction sans rompre l'équilibre. J'allais donc mourir sans vraiment mourir. J'aurai toujours ma conscience mais je serais incapable de faire quoi que se soit. Ce qui était pour moi la pire des tortures. Voir Error détruire mes AU ou faire du mal à quelqu'un sans que je puisse agir m'était infernal. Bien trouvé, pensais-je. Oui je n'était pas plus affecter que ça. Au fond de moi je savais que ça arriverait un jour. Pas si tôt mais un jour, cette nouvelle pensée me fit réaliser que je n'avais pas plus que ça d'avoir cette pseudo-mort pour le moment. Avec les derniers restes de forces inexistantes j'essaye de me débattre une unième fois. Sans, comme toutes les autres tentatives, grand succès. Error sourit voyant que j'essayai de m'échapper encore. Error ne semblait pas du tout à court d'énergie. Pourtant maintenir ces fils devait consommer beaucoup de magie. Enfin la maintenant ce n'était pas mon problème principale. Comment me sortir de ce merdier ? Y'avais pas de solution. J'allais "mourir". Des larmes coulèrent à nouveaux sur mes joues . Error fit la moue et l'instant d'après il sourit sadiquement. Il essuie mes larmes avec ses pouces en me tenant les joues. Je lève mon regard vers lui, interrogatif. Il dépose un bisou sur min front et une sanglante douleur de propage dans mes bras, qui avait disparu. Mon cœur s'affola et je retourne mon regard vers Error, affolé. Il souriait toujours et m'embrassa carrément. La, c'est de mes jambes que provient la douleur fulgurante. Je me risque de regarder et la aussi mes jambes ont disparu en poussière. Ma langue et la sienne dansait ensemble et Error menait cette danse. Mes épaules commençaient à suivre mes bras dans leur disparition.  Mes larmes coulaient en abondance sur mon visage. Mes pupilles se dilataient, les formes qu'elles prenaient à chaque clignement d'œil d'habitude si joli et coloré prenait une teinte terne et les formes géométrique se brouillaient, méconnaissables. Mon bassin avait fini de disparaitre, laissant tomber au sol des lambeaux de se qui fut mon pantalon et la veste que j'adorais porter autour de la taille. Je sentais ma colonne vertébrale sans le poids qui devrait y être. Error n'interrompait pas notre baiser. La danse entre nos langues s'intensifiait. Mon corps continuait lentement sa disparition sans que mon âme en soit affecter. Mes larmes se tarirent peu à peu. Elles avaient tellement couler que mes réserves avait grandement diminuer. Mes jambes et bras ayant complétement disparut, Error me tenait par le crâne, laissant pendouiller mon reste de corps. La fin de ma colonne commençait à suivre le reste de mon corps. Error avait fermer ses yeux et moi je le gardais grand ouvert, cherchant désespérément  une solution. Ce qui est, malheureusement, peine perdu. Je ferme à mon tour les yeux, attendant le moment où mon crâne disparaitra lui aussi. Chose qui fut rapide. Au bout de quelque minutes mon crâne partait en poussière. Doucement, silencieusement, douloureusement. Je pus voir Error ouvrir une dernière fois les yeux et il décolla lentement ses dents (je peux pas mettre lèvres dans ce cas xd ) des miennes. Il me fixe dans mes yeux ...enfin plutôt mes orbites, tandis ses mains vers le ciel en me disant les dernières paroles que j'entendrais de ma vie : "adieu".


PVD Error :

Le corps d'Ink avait finis de tomber en poussière. Il avait fermer les yeux et avait sourit quand je le lui ai lancer mon "adieu". Je ne me sentais pas coupable, non, je me sentais....vide. Pourquoi je l'avais embrasser ? Je sais pas. Je n'ai aucun amour pour lui de toute façon. Bon maintenant je dois empêcher son âme de se briser sinon la Balance va vraiment être briser. En sifflotant je ramasse l'âme d'Ink qui lévitait au-dessus du sol. Je l'attrape doucement et je m'assis lourdement avec elle au sol. Je la rapproche de mes orbites pour l'observer d'un peu plus près. Sa couleur blanche autrefois si lumineuse était terne. Un fendillement traversait l'âme de toute sa longueur. Mon observation terminer, j'entoure l'âme d'Ink de mes fils bleus. Une fois l'âme de substitution totalement enrouler dans mes fils, je la relâche au dessus de ma main. Une sensation étrange me parcourus quand l'âme commença à léviter à nouveau. Comme si... comme si elle concentrais son énergie. J'eus à peine le temps de réfléchir à cette concentration soudaine d'énergie que l'âme la laissa surgir  ce qui format des vagues de puissance me repoussant loin d'elle. Je me réceptionna de mon rouler-bouler que me faisait faire ce foutu cœur inverser. Assez loin pour ces vagues de puissance ne puisse plus me faire bouger. J'estime la longueur de ces vagues. A peu près je dirais, hum...300 mètre. Ce qui était pas mal pour un sans-corps. Mais cette magie semblait chercher quelqu'un. Mais qui ?pensai-je. Bah tant qu'un autre Ink ne déboule pas, je m'en fous.


PVD Frisk :

Je laissais l'eau couler sur mon corps tranquillement. Mon cœur me faisait mal depuis un petit moment. Je ne sais pas pour quoi. Je n'avais pas bu d'alcool ou quoi que ce soit pourtant... Ça passera de toute façon. Je passe le savon sur mon corps en évitant soigneusement mes blessures qui me picotait à cause de l'eau chaude. Je me rince et éteint la douche. J'attrape une serviette blanche, l'enroule autour de mon corps et essore mes cheveux pleins d'eau au-dessus de l'évier. Je frictionne mon corps pour me sécher et je fais de même pour mes cheveux. J'enfile ensuite mon pyjama qui me tombe un peu en dessous du bassin. Rien de bien choquant. Je me fixe dans la glace et j'essaye de trouver un semblant de beauté sur mon visage mais rien à faire. Je n'arrivais jamais à me trouver belle. Je prend la brosse et démêle mes cheveux marron. Tient ? Une pointe de blanc se trouvait à la racine de mes cheveux. Bizarre... je commence déjà à faire des cheveux blancs ? Je sourit en m'imaginant déjà friper à 30 ans. Je me brosse les dents, jette mes habits dans le bac de linge sale et sors de la salle de bain. Je me dirige vers ma chambre que je ferme sitôt rentrer. Mon mal de cœur s'était estomper depuis 5 minutes.

Moi : Bon. Je fais quoi moi ? Ordi ou dessin ? Aller dessin.

Je souris une nouvelle fois à mon monologue. Je devenais folle un peu. Je tire sur un des tiroirs de mon bureau et en sors plusieurs feuilles blanches. J'attrape mon crayon fétiche, une gomme et ma trousse de peinture qui contenait tous le matériel nécessaire : pinceaux et peinture. J'accroche une feuille sur mon trépied en bois, enfonce mes écouteurs dans les oreilles, lance ma musique et commence à dessiner. Ma main traçait des trais d'elle même comme si elle prenait vie. J'adorais ces instants où j'étais couper du monde. Mes tracés au crayon terminer, je ne réfléchis même pas que la peinture ce trouve sur ma palette et pinceau dans ma main. Je plonge mon pinceau dans la peinture noir et crée l'atmosphère de mon tableau. Un peu sombre j'avoue mais qui coupait du monde mes deux personnage. Un squelette et une petite fille. Le squelette portait une écharpe beige et un pinceau dans le dos, Ink. La fille, elle, me ressemblait. Elle avait mon visage mes couleurs, tous comme moi quoi. Mes deux personnages avaient les deux mains coller l'une à celle de l'autre. La fille et le squelette avaient les yeux fermés et le front coller. Je termine les ombrages et recule admirer mon chef-d'œuvre. Je grimace légèrement voyant que quelque chose manquait. Je rajoute quelques lignes de couleurs assombris autour des deux formant un peu comme une magie, des crépitements qu'ils créaient. Mon tableau était magnifique. Je le décroche de mon trépied et le pose sur mon mur à l'aide d'un crochet que j'avais enfoncé il y a une petite semaine. Je range mon matériel, et va éteindre la lumière. Je me dirige alors vers mon lit mais quand j'arrive au milieu de la pièce une vague de puissance me frappe de plein fouet. Je regarde autour de moi affoler mais rien. Une lumière sors subitement de ma poitrine et avec un cœur blanc délavé.

Moi : Mais qu'est-ce-qu-...?!

Mon "cœur" voleta au dessus de moi puis se stabilisa en face.

Moi : O-on dirait une âme....

Cette idée me frappa de plein fouet. Non c'est pas possible on n'est pas dans un jeu vidéo !!! Je me relève et prend l'âme dans ma main. Pas de doute c'était réel. Mon âme bougea vers un de mes murs et s'illumina un peu plus. Je me retourne pour la raison et je me vois en face ...de mon tableau. L'âme le pénétra comme si elle était attirer et traversa le portail. Je ne sais pas du tout ce qu'il se passe mais je décide de suivre mon âme, ferme les yeux et fonce dans le tableau que je traverse sans aucune difficulté. C'est de plus en plus fou je traverse carrément un tableau que j'ai réalisé il n'y a pas moins de 10 minutes !!!  je rouvre mes yeux et regarde autour de moi. C'est blanc. Blanc comme le Void. J'étais dans le Void. Je toune ma tête vers la droite et aperçoit quelqu'un devant une âme qui flottait au-dessus du sol. Un squelette. Un squelette noir entourer de glitch. Un nom me vient en tête un seul : Error.

1831 mots.Je sais c'est un un peu long mais bon.

Sans : T'avais moins la flemme je te pensais plus flemmarde...

Moi : *lui lance un coussin à la figure* Ta geule !

Sans : You gonna have a bad time.

Moi : Et merde...

Bye bye !!!!


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