Chapitre 1 : tout commence
Je suis actuellement entrain de m'habiller pour allez en ville avec mes amies. Depuis que les monstres sont revenus à la Surface grâce à Frisk, mes amies et moi ont les persécute. On trouve ça plutôt drôle. Ma mère n'aime pas trop que je fasse ça mais j'en ai rien à foutre. Ils avaient qu'à pas revenir à la Surface. Une fois prête je sors et vais rejoindre mes amies en ville. Il y a pleins de monstres dehors. On va dans un café et on se prend à boire puis on discute.
Jessica : je me demande pourquoi ils sont revenus ?
Dorothé : après ce que nos ancêtres leur ont fait subir. Si j'étais d'eux je ne serais jamais revenue.
Maude : ouais j'avoue.
Moi je les écoute parler puis, après un long silence je prend la parole.
Faustine : ils vont regretter d'être revenus ici. Les monstres n'ont pas le droit à être heureux. Ils vont payer le prix pour avoir osé mettre les pieds à la Surface. Et ils vont voir... on leur fera pas de cadeau.
Mes amies me regarde abasourdie par ce que je viens de dire.
Jessica : t'es sûre que ça va Faustine ?
Maude : tu fais un peu peur là.
Dorothé : oui je suis d'accord avec toi Maude.
Faustine : allons les filles, vous n'êtes pas d'accord avec moi ?
Leurs âmes apparaissent, je les regarde et me met à sourire. Il y a un peu de noir dans leur âme. La haine. Elles sont d'accord avec moi et je le sais grâce à leur âme. Mais elles, elles ne savent pas que je peux les voir.
Maude : tu as raison.
Dorothé : oui c'est vrai.
Jessica : si on peut t'aider à faire quoi que ce soit dit nous.
Faustine : on va commencer par leur embassadeur; Frisk. C'est lui la cause de tout ça. Et j'ai ma petite idée de comment le faire payer.
On sortit du café et on se dirigea vers le parc le plus occupé par les monstres. Je suis sûre que Frisk viendra ici.
Faustine : vous les filles vous vous occuperez de ses amis. Moi je me charge de notre cher Frisk. * sourire en coin *
Les filles : ok.
On attend que Frisk arrive et mes amies se charge de distraire deux squelettes et une chèvre avec un pull vert. Je saisis Frisk par la main et l'emmène plus loin.
Faustine : dis moi Frisk, je voulais te demander quelque chose.
Frisk : oui ?
Faustine : est-ce que tu es forte ?
Frisk : euh... pourquoi ?
Je sens une soudaine envie de tuer. Je lui saute dessus et fait apparaître un bâton de couleur bleu comme mes cheveux et pointue des deux côté dans ma main.
Faustine : juste pour savoir si tu peux résister à ça !!
Je m'apprêtait à planter le bâton dans son corps quand je fût soudain soulevé en l'air. Mais par de la magie. Je tourna la tête et vit mes amies, cachées derrière un petit squelette portant une veste à capuche bleu et un short noir avec des pantoufles rose.
Sans : ce n'est pas très bien ce que tu allais faire gamine.
Faustine : lâche moi sale tas d'os !!! Les filles, aider moi.
Elles firent non de la tête. C'est pas possible. Elles me laisse tomber, comme ça ? Je les... déteste. Je ne peux compter sur personne.
Sans : alors gamine ? Ça fait quoi de voir que tes amies te lâche comme ça.
Faustine : ça me fait...
Je ris d'un rire sadique.
Faustine : ça me fait ni chaud ni froid... Sans.
L'oeil du squelette s'alluma d'une lumière bleu. Il me lâcha et je tomba par terre.
Sans : comment connais-tu mon nom gamine ?
Faustine : je t'ai déjà rencontré. Tu ne t'en rappelle pas Sans ? À la sortie de l'école.
Sans : maintenant que tu le dis je m'en rappel.
Faustine : c'est bien Sans. C'est bien de se rappeler des choses importantes. Moi qui pensaient que tu n'avais pas cervelle.
Il me fusilla du regard mais rien à faire. Soudain... je remarqua une ombre d'une personne contre un arbre au loin. Je me concentre sur cette ombre et... j'arrive à voir son âme. Rose. Qu'est-ce que c'est comme type d'âme ça ?
Sans : gamine ? Qu'est-ce que tu regarde ?
Faustine : rien qui ne te concerne sac d'os.
Sans : quand tu dis ce surnom j'ai l'impression d'entendre quelqu'un d'autre.
Le grand squelette et la chèvre arrivent vers nous.
Papyrus : SANS. FAIT DESCENDRE CETTE HUMAINE.
Sans : ok Pap's.
Sans me lâche et je me remet debout. Je les regarde puis regarde de nouveau vers l'arbre mais... plus rien.
Papyrus : BON ET SI ON RENTRAIT CHEZ NOUS À MON FRÈRE ET MOI POUR DISCUTER CALMEMENT ?
J'hoche la tête en signe d'approbation. Après tout, je n'ai pas le choix.
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Et voici la fin d'une nouvelle fanfic sur... nan je vous laisse deviner. J'espère que ce premier chapitre vous aura plu.
À plus 😉😉😉
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