Chapitre 11: Ma famille

Point de vue de l'auteur.

Amira : je ne sais pas ce quelle fou, ça fait six jours Rafael. Je ne sais pas pourquoi elle reste en Sicile.

Rafa: Ramira est une grande fille, on devrait peut-être commencé à lui faire confiance.

Amira: faire confiance à qui ? Ta fille ? On parlait de nous, mais elle, elle dépasse toutes mes attentes. Le karma de ma vie, c'est Ramira Geraldi. Et le pire, c'est qu'elle a ton caractère.

Rafa: Isham, tu veux bien dire à ta mère qui vous avez pris niveau bêtise, niveau impolitesse et niveau je m'en foutisme.

Rafa mets le téléphone haut-parleur.

Isham: elle ne m'entend pas papa ?

Rafa: non.

Isham: maman. Elle est incroyablement têtue, elle refuse d'avoir tort, elle s'énerve vite, elle se bat tout le temps et pour la bagarre, elle a contaminé Ramy, elle s'en fout de tout sauf de nous, enfin je crois. Et en façon de mal parler et d'impolitesse, c'est plus tôt toi papa.

Rafael éclate de rire et regarde sa femme.

Amira : Isham, je vais bloquer ta carte Bleu.

Isham: putain papa tu m'avais dit qu'elle n'entendait rien.

Amira: Rafael, va chercher ta fille.

Isham: elle a fait quoi encore Ramira ?

Amira: elle est en Sicile avec, je ne sais qui à faire, je ne sais quoi ?

Isham: je suis à Londres, tu veux que j'aille la récupérer ?

Rafael: putain, elle a 22 ans, laissez la vivre.

Isham: maman, tu t'inquiètes de quoi ?

Amira; ta sœur me donne des sueurs froides et j'ai un mauvais pressentiment.

Isham: elle doit être avec des italiens et elle va changer de mec comme elle change de vêtement, elle fait toujours ça. Elle ne reste jamais avec une seule personne, on dirait que tu as oublié Iris.

Amira: ça tu vois Rafa, elle la prit de toi, car moi je n'ai pas connu d'autre mec et toi avant moi, tu vagabondais.

Rafael: ton mark et ton Abdel là quand tu les embrassais et je ne sais pas quoi c'étaient pas tes mecs par hasard.

Amira: il est temps que tu sois oublié cette histoire.

Rafael: bref laisse la et si dans trois jours, on n'a pas de nouvelles, on part la récupérer. Calme-toi.

Isham: le carnaval, c'est dans deux semaines, on rentrera la semaine prochaine.

Ismaël: ils se disputent ?

Rafael: non, on ne se dispute pas. Ta maman aime trop mettre la faute de vos caractères sur mon dos. Alors que vous avez tout pris d'elle.

Amira s'assoit sur les jambes de son époux.

Rafael: tu vois là, tu es beaucoup plus calme.

Amira: vous me manquez les garçons.

Isham: on rentre bientôt. Maman, j'ai un truc à te dire.

Ismaël: tu ne vas pas faire ça, t'est mon jumeau sale con.

Amira: raconte Isham.

Isham: euh Ismaël, il sort avec une fille ici, et euh c'est la fille du ministre de l'Environnement.

Rafael explose de rire.

Rafael: cette fois-ci, je ne comprends plus rien.

Amira: Ismaël Geraldi Diagne cet homme, il sait que ton père est le chef de la mafia brésilienne et mexicaine. Il sait que ton père fournit presque tous les États-Unis en drogue et arme, il le sait ça. Putain, vous voulez me tuer.

Rafael la serre contre son torse et lui embrasse l'épaule.

Amira: Ismaël, répond moi. Tu l'aimes cette fille ?

Tout le monde savait qu'Ismaël et Rakeem étaient les préférés d'Amira.

Ismaël : non maman, je ne l'aime pas, on couche juste ensemble et elle s'attache, je ne couche pas qu'avec elle d'ailleurs. Elle s'attache et c'est perturbant, c'est tout. Isham toi tu es un putain d'imbécile.

Rafael: du coup, elle sait quoi de ta vie ?

Ismaël: que j'ai une maman et qu'elle est dans l'armée, c'est tout et puis putain, elle est trop jolie.

Rafael: attend, elle est noire ou blanche ?

Amira: quelle importance.

Rafael: je m'en fiche, je demande juste nos enfants sont métisses même si ça ne se voit pas tant que ça.

Ismaël: elle est blanche comme Ramy. Et c'est une putain de blonde qui me fait chier tout le temps à vouloir m'exposer ses idées, à me contredire en cours alors que je suis au lit avec elle tout les soirs.

Rafael: bon là, on est foutu. Il l'aime.

Amira: quand tu ne seras plus amoureux dit nous et sinon si tu l'aimes vraiment arrête de coucher avec d'autres filles. Ne la fou pas en cloque.

Rafael: Isham et toi, c'est quoi ta nouvelle ?

Isham: je n'ai pas besoin d'une femme maman me suffit, tant que j'ai mes armes tout va bien dans ma vie. Avec Ramira, on s'est promis de ne pas être en couple, les relations sérieuse, c'est pas pour nous.

Rafael : on en parlera de tout ça quand vous serez là.

Ismaël: maman, je suis réellement désolée, je n'ai pas contrôlé.

Amira: ce n'est pas grave, je veux que vous soyez heureux bébé.

Isham: on vous aime.

Ismaël: je vous aime.

Rafael: nous vous aimons aussi.

Isham: maman ?

Amira: je vous aime plus que tous mes garçons. Jusqu'à ce que terre soit glace.

Isham: jusqu'à ce que terre soit glace bonne soirée ne cassez pas le lit ce soir.

Rafael: spermatozoïde reste à ta place.

Amira éclate de rire et raccroche. Et embrasse son mari.

Rafael: c'est mieux qu'ils se confient à nous, tu ne penses pas ?

Amira: si je m'inquiète pour eux.

Rafael: Laila je les ai barricadé de gardes du corps. Ils sont surveillés. Et ils croient en avoir que trois. Ils ne leur arrivera rien. Il ne nous arrivera rien, je t'aime.

Amira: je t'aime encore plus Rafael.

Rafael: bon allons casser ce lit.

Amira: putain Rafa, on a passé la journée à coucher ensemble.

Rafael: on a baisé c'est différent là, je vais te faire l'amour.

Point de vue de Ramira Geraldi.

Six jours. Il ne me parle pas. Il ne vient pas me voir. Je ne comprends pas très bien ce qu'il se passe.

Ma famille me manque.

J'ai envie de revoir mes frères. C'est bientôt le carnaval et l'anniversaire de mon père.

Après cette soirée sur la voiture, il m'a fait l'amour. Je me rappelle encore de la façon dont sa langue goûtait encore mon clitoris, de la façon dont ses mains ont agrippé mes fesses lorsqu'il me pénétrait.

Ce soir-là lorsque nous sommes revenus, nous avons dormi ensemble à nouveau. Il m'a fait l'amour jusqu'à mon dernier souffle.

Et le lendemain matin, je me suis réveillé seule dans son lit. Je ne comprenais pas. J'ai pris une douche et j'ai mis un boxer et un t-shirt lui appartenant.

Lorsque je suis descendue, il n'était pas là ni sa sœur et personne ne me parlait.

Lorsqu'il est rentré il était couvert de sang. Je m'en foutais.

Je voulais savoir ce qu'il se passait. Je préfère me disputer avec lui qu'il ne me parle pas.

Ce n'était pas normal, il s'était passé quelque chose. Ou alors, il m'a utilisé pour du sexe.

Mais moi aussi, je l'ai utilisé je savais qu'il avait envie de moi et moi de même. Et pour évacuer toute cette frustration, je ne me suis pas retenue de me donner à lui.

Je ne sais pas si j'arriverai à dormir avec un autre homme.

Je finis par tous les tromper. Je finis tous par leur faire du mal. Mon père m'a toujours appris à ne pas me contenter du minimum.

Donc j'ai appliqué cela dans mes relations. Je fais beaucoup de mal aux gens qui finissent par s'attacher à moi.

Ma mère en est malade, elle ne veut pas que je devienne aussi dure et froide qu'elle.

J'ai une confidence à vous faire.

Je savais que Archie n'était pas mort.

Aucun journal n'en parlait. Aucun média rien. J'ai fait comme ma mère aurait fait, j'ai trouvé un informateur à Milan qui m'a fait comprendre que quelqu'un était mort, mais ce n'était pas le chef de la mafia italienne.

J'ai décidé de faire mes vacances en France, car je sentais qu'il me suivait. Une fois à l'hôtel et que j'ai vue Grace et les masques, j'ai compris que c'était lui.

L'hôtel appartient à mon père. Eh, ça a été camoufler sur le nom d'une autre personne. Donc j'avais accès à toutes les caméras de l'hôtel et il n'aurait pu rien trouver dans ma chambre qui le relie à mon père. Dans cette chambre sous le lit il y a une ouverture, on ne le voit jamais. La moquette est intacte et j'y ai rangé mon arme, ma valise, mes documents, et mon téléphone pour prendre un pré payer.

Et j'ai fait croire à Axel que je venais de le revoir.

Je n'arrive pas à comprendre ce qui m'attire chez cet homme.

Autant il n'a pas oublié ce que mon père a fait au sien. Autant, je n'ai pas oublié que mon frère a fallit mourir dans mes bras.

Je sais que ma mère m'adore, mais s'il était arrivé un truc à mon frère, elle aurait déchiré le monde en deux. Elle a une relation très particulière avec Ismaël. Elle fait tout un tas de connerie avec lui et j'aime la voir heureuse.

Elle s'est battue pour nous toute sa vie. J'ai besoin de la rendre fière.

Ce que je fais là aujourd'hui, ce n'est pas la rendre fière. Je couche avec l'ennemi. Je regarde l'ennemi. J'ai trahi le pacte de famille, personne d'autre que la mafia brésilienne.

Je ne connais pas Archie, pas très bien, j'ai cerné quelques aspects de sa personnalité.

Mais je ne lui pardonnerai jamais d'avoir touché à mon frère. Peu importe mon désir physique de l'avoir avec moi.

Peu importe si sa fin doit venir de moi. Peu importe si je dois casser tous les codes pour qu'il ne touche pas à ma famille.

Mes parents sont ma terre de glace et je refuse de les trahir.

Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Pourquoi il s'est tout simplement éloigné de moi.

Pourquoi ça fait six jours que je suis enfermé ici. Sans parler à personne. Je me fiche de le voir couvert de sang.

J'ai déjà tué des gens et c'était dans de très mauvaises conditions.

Je m'en fiche de le voir. C'est son problème.

Mais putain pourquoi j'en ai besoin. Pourquoi ai-je besoin de voir ses yeux verts se poser sur mon corps. Pourquoi ai-je besoin de le voir fumer sa clope et me la passer ?

Pourquoi ai-je tout le temps envie de l'embrasser même quand je le déteste ? Pourquoi je n'arrive pas à lui dire que c'est sa mère qui à demandé à ce que mon père tue le sien ?

Je ferme les yeux et m'installe sur le lit.

Flashback.

Moi : tu veux juste arrêter de me toucher de cette manière.

Archie: non.

J'étais dans ses bras coucher dans ce grand lit, les rideaux noir et rien que nos deux corps nus et chaud l'un contre l'autre.

Je m'installe sur lui et me frotte contre son membre. Il ferme mes yeux et me soulève pour s'enfouir en moi. Je ferme les yeux et savoure sa queue en moi et mon sexe se resserrant autour de lui.

Putain, j'ai l'impression d'avoir été créé pour lui. Nos corps s'emboîtent si bien. Et c'est tellement bon.

La façon dont ses mains agrippent mes fesses. Comment il m'a retourné dans le lit pour me baiser sans retenue. Je ne veux pas oublier cette nuit. Je ne peux tout simplement pas.

Après avouoir  jouit encore une fois, il m'a serré contre lui et m'a embrassé comme si sa vie en dépendait.

Damon : fantasma.

Moi : hum...

Damon : s'il ne s'agissait pas de nos familles et de tout ce qu'il s'est passé, je n'aurai eu aucune retenue à te kidnapper depuis le premiers jours et de t'enfermer avec moi pour que personne ne voie ce que je vois, ne touche ce que je touche, ne t'observe. Je t'aurai gardé jalousement enfermer avec moi. Et là, je me serai attaché à toi.

Moi: t'attacher à quelqu'un comme moi ne serait pas un bien pour toi damon.

Damon: et tomber amoureuse d'un homme comme moi serait la pire chose que tu puisses faire.

Fin flash-back.

Je me retourne dans le lit. Putain, je ne vais pas passer ma vie à réfléchir.

Je me lève pour aller prendre une douche. Lorsqu'on ouvre la porte. Je vis Gabriel.

Gabriel: salut Ramira, tu pourrais te préparer, il y a Archie qui voudrait te voir. Marie va t'amener une robe.

Moi: dis-lui que je n'ai pas envie de le voir.

Gabriel: Ramira, il veut vraiment te voir.

Moi: dis lui que s'il veut coucher avec quelqu'un qu'il aille chercher ailleurs, ça sera sans moi.

Gabriel: il t'invite à dîner.

Moi: je m'en fiche de se dîner et de toutes ses conneries. Ça fait neuf jours que je suis tombé dans cette maison. Il doit réellement me laisser partir.

Gabriel: Ramira.

Moi: Pourquoi il lui a fallu six putains de jours ?

Gabriel: je n'en sais rien, Damon restera toujours Damon.

Moi: je ne suis pas un produit de substitution, je n'ai aucune envie de le voir, aucune. Qu'il aille se faire foutre.

Je me lève et m'enferme dans les toilettes. Après un bon bain, je ressors en serviette pour prendre mes vêtements lorsque je le vois assis sur mon lit.

Les cheveux en batailles, son regard espiègle sur moi. Je serre instantanément les cuisses et mon ventre qui ne tenait plus en place.

Il relève son regard pour me fixer dans les yeux.

Damon: bonjour fantasma.

J'avance vers le lit et prend mes vêtements et me dirige vers les toilettes.

Avant même que je n'ai le temps d'y entrer, il m'attire contre lui et tire sur ma serviette me laissant nue devant lui.

Moi: ne me touche pas.

Je recule et ramasse la serviette pour me couvrir.

Il retire la serviette.

Moi: ne me touche pas s'il te plaît.

Je lui en voulais de m'avoir laissé sur ce lit comme si j'étais une putain. Comme s'il ne s'était rien passé ce soir-là.

Il attire mes cheveux et ramène mon visage contre le sien, avant de me porter pour s'installer avec moi contre lit.

Pourquoi je n'arrive pas à me calmer. Pourquoi je ne contrôle pas mon corps.

Moi: je te déteste.

Lui: je sais.

Moi: tu es un putain de connard.

Lui: je sais bébé.

Moi: tu n'as pas le droit de me faire ça. Cela fait six putain de jours.

Pourquoi j'ai envie de pleurer maintenant. Il attire mon visage pour que je le fixe dans les yeux.

Damon: pardonne-moi Fantasma.

Il me fait un smack et pose ses lèvres sur ma poitrine. Ses lèvres s'entrouvrent pour se refermer sur mon téton déjà pointus. Il le suce tendrement alors que sentaient ses doigts entre mes cuisses. Il m'attire contre lui et insère ses doigts en moi. Il les tournoie me faisant gémir.

Même si ses lèvres suçaient si douloureusement mon sein que je n'arrivais plus à m'arrêter de bouger.

Ses doigts entre et ressortent de moi. Même si mes gémissements remplissaient la pièce.

Il m'attire contre lui et ouvre sa braguette. En relâchant mon sein qui était tout putain rouge.

Il me renverse sur le lit et descend son boxeur avant de me rejoindre pour se fondre délicieusement en moi. Putain.

Nos hanches s'entrechoquent pendant qu'il s'attaquait à mon autre sein et que son membre me prenait d'une manière si délicate.

Il se rapproche de mon oreille et continue à me prendre de toutes ses forces.

Je hurle lorsqu'il soulève mes fesses du lit et qu'il s'enfonce plus profondément en moi.

Damon: putain, Ramy... oh bordel...

C'était tellement bon et il m'a tant manqué.

Je venais. Et je savais que lui aussi.

Il écrase ses lèvres contre les miennes alors que mes larmes coulaient. Putain pourquoi je pleure ?
Pourquoi je m'attache à lui ?

Il m'embrasse plus fort, ce que je ressentais n'était pas que du sexe.

Je jouis dans ses bras et il me rejoint et jouis en moi et le sentir si chaud se déverser en moi me rendait complètement pompette.

Il reste en moi. Plusieurs minutes sans réussir à se relever, il me serre très fort contre lui. J'entendais ses respirations et lui les miennes.

Qu'est-ce que je suis en train de foutre.

Il se retire de moi et me retourne pour que je sois sur lui et me serre contre sa poitrine.

Damon: tu n'es pas ma putain.

Moi: ce n'est pas ce que tu m'as montré dernièrement.

Damon: j'avais un tas de truc à régler.

Moi: c'est du gros pipeau.

Damon: Ramira...

Moi: il n'y a pas de Ramira, putain, c'est pas parceque on vient de coucher ensemble que je te pardonne. Mais bordel Six putain de jours. Tu m'envoies tes putains de gardes pour leur demander de m'enfermer ici. Tu m'as prise pour qui a la fin.

Je me relève et remets ma serviette et efface les larmes qui avaient coulé sur mon visage, je ne pleure presque jamais, ça ne va pas commencer aujourd'hui.

Moi: CONNE QUE JE SUIS JE ME DONNE ENCORE À TOI.

Il se rhabille et s'approche de moi.

Moi: NE ME TOUCHES PAS SALE CON.

Damon: DÉJÀ TU NE SAIS PAS POURQUOI J'AI FAIT ÇA DONC ARRÊTE, PUTAIN CE N'EST PAS TOI QUI DIS TOUS LES JOURS ON NE S'ATTACHE PAS. Il se passe quoi ?

Moi: JE NE VEUX PAS TE VOIR ET JE VEUX RENTRER CHEZ MOI. ET NE ME CRIS PAS DESSUS COUILLE MOLLE.

Damon: on est accro l'un à l'autre putain, tu crois que je vais te laisser partir.

Moi: tu vas me laisser partir de gré ou de force.

Damon: va-y dit moi comment ?

Moi: je ne suis pas un jouet avec qui tu couches pour disparaître Six putain de jours plus tard.

Damon: pourquoi tu déformes tout. En fait, tu cherches quelqu'un avec qui te disputer et je n'ai pas ce temps, prépare-toi, on dîne dehors.

Moi: va te chercher une pute avec qui dîner, je ne sors pas d'ici.

Damon : tu veux que je me cherche quelqu'un d'autre t'en est sûre ?

Moi: oui va te faire foutre et trouve-toi une autre personne.

Lui: comme tu voudras mademoiselle Geraldi. J'espère que tu apprécieras ces draps qui sentent nous deux. Car je vais demander à Maria de ne pas refaire ton lit. Quand tu te décideras, tiens-moi au courant.

Moi: putain, tu veux quoi de moi ?

Lui: je te veux toi tout simplement.

Moi: c'est bon dégage. Va-t'en.

Lui: je ferai en sorte que tu entendes tout ce qui se passera dans cette maison.

Moi: va-y, tu crois que tu seras le seul à avoir ça. Dès que je sors d'ici, je vais coucher avec tous les hommes de la ville et je me ferai un putain de plaisir à te les partager.

Lui: si tu veux, je peux creuser leurs tombes à l'avance.

Moi: putain pourquoi toi, tu fais ce que tu veux et moi non pourquoi tu joues à ça ?

Lui: parce que je le peux.

Moi : on verra si tu es le seul au pouvoir. En sortant envoie-moi ton cousin Thomas, tu verras ce que je vais lui faire. Et moi aussi, je ferai en sorte que tu entendes.

Il me tire par le bras brutalement et me plaque contre le mur.

Moi: ouch, j'ai fait du mal à quelqu'un ?

Lui: Si je te revois avec mon cousin Ramira iris Geraldi, nous aurons de gros problèmes.

Moi: et tu vas me faire quoi dit moi.

Nos lèvres étaient si proches que je sentais son souffle sur mon visage.

Moi : je fais comme tu fais. Disparais encore six jours pour voir.

Il entoure sa main autour de mon cou et me fixe dans les yeux.

Archie: à ce jeu, tu perdras toujours.

Moi: demande à mes ex comment je fais du mal aux gens et je te jure que tu seras le premier à fuir.

Archie: on verra.

Nos lèvres se frôlent nouveau.

Moi: laisse-moi maintenant.

Damon: je n'ai pas envie.

Moi: sort d'ici et va baiser quelqu'un d'autre. Va prendre ton pied ailleurs. Ici la boutique est fermée.

Je le repousse violemment et ramasse mes vêtements.

Damon: comme tu voudras.

Il se dirige vers la porte et moi vers les toilettes complètement perturbées par ce qui venait de se passer. Je me sens tirer en arrière. Il m'attire contre lui et écrase ses lèvres contre les miennes.

Lui: je ne veux baiser personne d'autre que toi Iris.

Je ferme les yeux et lui rends son baiser aussi fort que je pouvais, car moi aussi au fond de moi je le savais je ne me donnerais à personne d'autre que lui.

Point de vue extérieur.

Mark: Amira, j'ai trouvé l'info que tu m'as demandée.

Amira: alors ?

Mark: il est vivant.

Amira: elle est avec lui ainsi en Sicile.

Mark: je crois qu'elle a été kidnappée. Elle a tout mis dans le coffre à Monaco. Mark, tu veux que je contacte le FBI.

Amira: non, j'ai mieux, je vais prévenir son père, au moins cette histoire sera finies.

Mark: Rafael est un malade.

Amira: je le sais.

Bonne soirée et bonne année encore ❤️ on se retrouve mercredi in shaa Allah.

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