Prologue: Chaque parcelle.

Tous les droits de cet œuvre sont réservée au propriétaire, Samira Malek.

Moi : tu n'as pas le droit de me faire ça, tu n'as pas le droit.

Lui : tu es chez moi, je te rappelle, je fais ce que je veux.

Moi : je m'en vais.

Lui : pour aller où dit moi ? Tes parents sont bien loin, où veux-tu aller ?

Moi : je te hais si fort, tellement fort. Je vais m'en aller.

Lui : non et on le sait tous les deux.

Son visage se rapprochait du mien, je voulais juste me desserrer de ses grands bras. Pour qu'il ne me touche juste plus jamais.

Je n'arrivais tout juste pas à m'en défaire. Ses grandes mains emprisonnent mon corps.

Moi : laisse-moi partir.

Lui : non. Je ne peux pas.

Moi : tu veux quoi ?

Lui : je te veux toi.

Moi : tu m'as déjà, laissé moi partir. Ibrahim ?

Ses lèvres s'écrasent contre les miennes, sa langue si chaude entre ouvré les miennes afin que je le rejoigne dans ce moment torride, il tire sur mon t-shirt qui finit au sol. Tout mon être n'était qu'en ébullition. Toute mon âme ne demandait qu'à être prise contre cette porte.

Il m'enlève mon haut d'un coup. Ainsi, soupèse mes seins. Sa bouche s'y attarde alors que mon bas ventre criait à la renverse de se faire prendre par cet homme juste devant moi.

Il tire sur mes jambes. Ensuite, me couche là contre le canapé.

Point de vue de R.

Je la regarde dans les yeux et j'aspire sa peau, chaque parcelle de son âme devrait être à moi.

Je suce son mamelon, c'est tellement ferme, de mes dents, je tire fort dessus, elle crie direct. Je la regarde prendre son pied, c'est vraiment excitant. Je fais la même chose pour l'autre sein, je caresse son bas ventre sans descendre les mains l'excitant encore plus. Elle voulais plus, elle essayait d'aller à la rencontre de mes mains, mais sans succès.

Je tire sur son bas que j'enlève d'un coup sec. Avant qu'elle ne dise ne serait ce qu'un mot. Je tire sur l'élastique de sa culotte. Et, la déchire d'un coup. Elle gémit contre moi. Le regard choqué.

Je l'admire toute nue. Putain, j'ai jamais vu une femme comme ça, ses hanches étaient parfaites son dos si fin.

Je reprends sa bouche dans les miennes avant de la laisser respirer. Je l'embrasse encore et insère mon majeur en elle respire contre ma bouche, je bandais encore plus. Et allait et venait contre mon doigt. Je fis coulisser un autre doigt en elle.

Elle me mord la lèvre en gémissant bruyamment contre mes lèvres. Je relâche sa bouche et prends son sein une nouvelle fois.

Sa bouche forme un grand O quand j'insère trois doigts en elle crie dans toute la maison, putain, c'est ce que je veux. Lui faire perdre le contrôle. J'aime la voir si prête. Cette fille m'est pourtant interdite, je n'ai pas le droit de la toucher, je ne devrais pas.

J'allais et venais en elle et elle voulait que je m'enfonce encore plus en elle. Ses fesses allaient à la rencontre de mes doigts. Elle commence à trembler.

Elle va bientôt jouir si je continue.

Elle : oh mon Dieu Oui !

Cette femme me rend dingue depuis le premier soir où je l'ai trouvé.
Cette dispute est là gouté d'eau.

J'enlève mes doigts, elle me regardait bouleversé.

Elle est bord des larmes.

Elle avait la voix brisée. J'ai arrêté son orgasme sans lui donner le temps de se remettre, je veux qu'elle jouisse dans ma bouche.

Je ne lui réponds pas et je me baisse lentement entre ses jambes que je mets sur mes épaules lentement tout en la fixant dans les yeux.

Moi : ferme pas les yeux, regarde-moi.

Je mets un doigt en elle. Elle me regarde surprise et je ressors mon doigt avant de le lécher de haut en bas. Elle écarquille les yeux comme si elle n'y croyait pas.

J'enlève mes doigts avant de m'installer devant son entrejambe.

Elle mouille tellement.

Je passe ma langue en elle, elle gémit super fort. Je m'en foutais que mes gardes nous entendent.

Je l'aspirai de toute mon âme en rallongeant le long de sa fente. Je montais et descendait. Elle ne contrôlait plus ses crie. Je la léchais de toute mon âme. Purée, elle est si bonne, c'est bon goût préféré.

Je continue à lasser ma langue en elle. De mes doigts, j'écarte encore plus sa fente. Un de mes doigts caresse son clitoris, moi, je la suce au fond en lui empoignant bien les fesses, ses jambes commencent à trembler sur mon épaule. Je continue mon manège jusqu'à ce qu'elle commence à jouir encore en encore, j'enlève ma langue et commence à frotter les doigts là contre son clitoris.

Elle continuait de jouir, ma main se prélassant au chaud entre ses jambes et ma bouche contre la sienne jusqu'à ce que son corps se calme.

Je la fixe toute nue sous moi. Putain pourquoi je lui fais autant de mal. Pourquoi je lui fais vivre toute cette merde. Pourquoi je l'ai amené ici sans son accord.

Elle n'arrivait pas à dire un seul mot.
Elle me fixe, bouleversé.

Moi : ça va.

Elle : oui.

J'étais tellement épris d'elle, que je crois que là, je ne demande qu'à être en elle.

Je baisse mon pantalon, elle me regarde choquer et pose ses mains sur mes épaules. Les yeux dans les yeux, je m'enfonce encore une fois en elle. Ses crie alarmes tout l'habitacle. J'ouvre la bouche. Dieu sait comment j'ai prié pour ressentir ça aujourd'hui. J'ai toujours voulu être en elle, me perdre en elle.

Je ressentais son vagin se resserrer autour de moi. Je vais bientôt perdre la tête.

J'allais et j'étais en elle. En ondulant en elle nos corps se mouvaient l'un contre l'autre. Elle a tant crié que je penses qu'elle va perdre sa voix à la fin.

Elle me griffe le dos. Alors que ma queue vibrait en elle. Je me perdais en elle, elle est délicieuse, elle mouillait vraiment que c'était si facile d'être en elle, je ne voulais plus sortir, j'étais au chaud. Elle se contracte contre moi.

Moi : tu es si bonne, si serré, si mouillée. Oh putain, tu es à moi.

Elle : non, c'est juste du sexe.

Je souris, j'aime assurément qu'elle soit aussi insolente.
Je la prenais sans retenue. Je me sentais venir, je caresse con clitoris de mes doigts. Elle venait, je n'arrêtais, je me retire complètement et je la pénètre brutalement encore une fois tout en continuant de la caresser.

Elle : RAF TU VEUX ME TUER.

Je continuais à lui donner des coups de boutoir jusqu'à ce que je sente l'orgasme monter.

Elle jouit en criant mon la rejoins et reste en elle pendant, je ne sais combien de temps on a joui de longues minutes avant que je ne sorte d'elle.

Elle me regarde surprise, le cœur battant la chamade, nos yeux ne se quittaient pas. Je viens de la condamner à être avec moi.

Moi, Raphaël Ibrahim Diagne. Le pire type sur terre.

Moi, et l'homme le plus recherché de toute la côte ouest.

Je viens de réaliser mon plus grand fantasme.

Elle se retourne et me regarde.

Elle : je veux partir.

Moi : je refuse et surtout pas après tout ça.

Je la serre contre moi, me demandant si réellement un jour, je pourrais la laisser partir.

Point de vue de L.

Si seulement il savait qui j'étais concrètement.

Préparez-vous à une histoire palpitante.

Je vous aime ❤️

J'ai décidé de changer un peu tout les chapitres seront corrigés avant d'être publié. ❤️

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