Chapitre 8: tes lèvres sur les miennes
Point de vue de Rafa.
Je pense que si je ne la respectais pas un minimum, je serais déjà en elle. C'est cru dit ainsi. Mais ça fait un mois que je ne fréquente aucune autre femme.
Je ne sais pas ce qui m'arrive avec cette conne et je pense qu'elle-même ne le réalise pas. C'est trop intense pour nous deux.
La façon dont elle me fait des petits sourires, la façon dont elle me provoque. Pourtant, je me méfie encore d'elle. Je ne fais jamais confiance aux femmes qui m'entourent.
Je lui répète pour qu'elle prenne conscience de ce que je lui dis. Si elle m'embrasse, je ne suis pas sûre que je pourrais m'arrêter. Surtout après cette journée de merde.
Je lui répète ce que je venais de lui dire.
Je voulais comprendre pourquoi elle se refusait à moi.
Moi : je veux tes lèvres.
Amira : j'ai compris cela.
Moi : Amira t'en a autant envie que moi, on pourrait arrêter de se mettre des barrières.
Elle se relève et me fixe longuement avant d'écraser ses lèvres contre les miennes, oh mon Dieu.
Je la porte en même temps pour la mettre sur moi, ses jambes de par et d'autre de ma taille, putain ses lèvres.
Elle arrête de m'embrasser et me fixe vu que je ne répondais pas à son baiser.
Nos regards ne se quittaient pas. J'écrase mes lèvres contre la sienne, et empoigne ses fesses contre moi.
Putain. Sa langue s'accroche à la mienne alors que mes mains la retenaient fortement contre moi.
Sa langue et la mienne commencent une douce torture l'une de l'autre. J'aspire sa lèvre inférieure et l'embrasse à nouveau. Je n'arrivais plus à me contenir. Elle gémit contre ma bouche tandis que je ne retenais plus aucune de mes barrières.
Nos langues ne se lâchaient pas, voulant se goûter l'une, l'autre encore et encore. Sa bouche m'appartenait à ce moment-là.
Ses hanches s'entrechoquent envers les miennes pendant que mon membre grandissait entre ses cuisses.
J'arrête notre baiser et la regarde à nouveau.
Moi : purée ce que tu me fais.
Elle n'arrivait plus me regarder dans les yeux.
Je pousse ses fesses vers moi sous un gémissement sourd et profond.
Moi : bébé. Putain si je continue je ne pourrai plus me retenir.
Elle pose ses lèvres sur les miennes à nouveau. Je ferai mienne cette femme.
Je tire sur son shirt pour la déshabiller.
Elle n'avait pas de soutien-gorge.
Ses seins remplis et fraîche me perturbait complètement.
Je la retourne dans le lit et commence par le haut se sont oreille et la mordille lentement. Avant de descendre sur son cou et de le parsemer de baiser, j'ai rêvé des milliers de fois de lui embrasser le cou.
Ses petites mains caressent mon dos alors que je descendais doucement sur sa poitrine lorsque j'embrasse tendrement son sein gauche, elle gémit contre moi , même si ce dernier pointer de plus en plus rempli de désir.
Je lui suce le téton en la mordillant, elle avait une petite poitrine, mais je trouvais cela tellement sexy que j'en avais le souffle coupé.
Elle gémissait dans mes oreilles et cela me faisait bander de plus en plus. Je m'attaque à l'autre sein en lui faisant vivre la même torture.
Son corps se remplie de spasmes lorsque je pose ma main sur son boxeur, merde, elle était trempée. Je la fixe dans les yeux, elle hoche timidement la tête. Je lui retire son boxeur jusqu'à là, je ne l'avais jamais vue toute nue.
Je pourrais faire un tableau rien qu'en la voyant comme ça. Elle est tout simplement incroyable.
J'avais le ventre tout retourné rien qu'en l'observant.
Point de vue d'Amira.
Je ne pense pas avoir déjà ressenti ça. Ce crépitement, cette envie si forte qu'elle vous tord le ventre, ce désir malsain qui me comprimait les os.
Jamais, je n'avais ressenti ça de toute ma vie. Sa façon de me regarder me faire me sentir unique et on ne m'avait pas encore regardé comme ça depuis très longtemps.
Lorsque je lui ai donné l'autorisation d'enlever mon boxeur, j'ai compris.
Dans mon cœur et mon cerveau, il n'y avait plus de réflexion possible, le me donnerait à lui et ce serai pas la première fois.
Il me couche complètement sur le lit, ses yeux ne quittant pas les miennes.
Il m'embrasse une nouvelle fois, cette fois-ci, on ne se retint pas. Sa langue s'enfonce dans ma bouche. La meilleure galoche de ma vie.
Ses doigts se perdaient entre mes cuisses, lorsqu'il sentit ma moiteur, il grogne très fort contre ma bouche alors que je caressais ses épaules, putain, il était tellement bien fait.
Ses doigts écartaient fente sur fente lorsqu'il caresse mon clitoris, je ne me retins plus de gémir contre ses lèvres. Ses doigts allaient et venaient en moi comme si je ne vivais que pour cela. Je ne savais plus avec combien de doigts, j'étais prise tant sa grande main ne laissait pas mon corps reprendre un seul souffle.
Je sentais mon corps trembler de la tête aux pieds, c'était trop intense, trop fort, j'allais jouir d'une minute à l'autre, il retire ses doigts.
Rafa: tu ne jouiras que quand je l'aurai décidé.
Sa voix avait complètement changé et son regard me dévisageait de mille manières.
Moi : remets-les s'il te plaît.
Rafa: patiente mademoiselle bikini.
Je souris contre ses lèvres avant de lui mordre les lèvres inférieures.
Moi : remets tes mains là où ils étaient.
Rafa: si je te fais l'amour, je ne te laisserai plus jamais partir. Donc, je vais te donner du plaisir et je te laisserai le temps de décider.
Ses jambes écartent les miennes. Avant de se baisser contre moi. Ses lèvres embrassent mon ventre avant de souffler contre mon nombril.
Rafa: tu es magnifique.
Ses lèvres descendent plus bas alors que ses lèvres embrassaient toutes les parcelles de mon vagin. Mon corps se tordait à chaque fois qu'il me touchait.
De ses doigts, il écarte ma fente avant que sa langue ne m'embrasse goulûment.
Sa langue me léchait entièrement. Pendant que mes jambes se posaient sur son dos.
Sa langue allait et venait en moi si profondément que mon cœur et mon corps ne supportaient plus cette tension sexuelle.
Sa langue me prenait d'une telle manière.
Je ne tenais plus.
Moi : oh mon Dieu...
Je devais mordre les coussins pour tenir tellement j'étais comblée.
Il me mordille lentement pour me faire exploser.
Il se relève et prend ma main pour la poser sur son membre.
Grosse, longue, dure, prête, je ne savais plus. Il se met entre mes jambes. Son membre enfouie dans ce boxeur qui d'ailleurs ne tenait plus.
Il commence à se frotter à moi.
Je ne tenais plus. Mon clitoris était dans un état d'excitation sans fin.
Il me prenait sans me prendre, il me prenait sans me pénétrer. J'avais mal et c'était si bon.
Il me soulève du lit. Et me tint fermement les hanches pour que je le sente encore plus fort.
Il me prenait si fort que je n'arrivais plus à respirer. Je jouis en hurlant dans les draps. Mon corps et mon cœur battaient la chamade. Il jouit en me serrant très fort contre lui.
RAF: oh putain.
Il se lève et s'enferme dans les toilettes. Je pense qu'il voulait se soulager.
Je respirais rapidement et n'arrivais plus à communiquer. Il m'a fait l'amour.
Moi, nue et lui habillait que d'un boxeur.
Mais je l'avais senti, senti si fort que mon cœur ne tenait plus.
Je l'ai senti vraiment profondément, que mes fesses ne pouvaient plus tenir. Jamais je n'ai eu un vrai orgasme comme ça.
Ahmed, je simulais, et il ne me faisait pas des choses comme ça.
Je sens son regard. Je mis la couverture sur moi pour cacher ma nudité.
Et nos regards se croisent à nouveau. Il fallait qu'il parle. Qu'il dise au moins un mot.
Rafa: tout va bien ?
Je hoche la tête. Il vint me serrer contre sa poitrine. Ma nudité ne le dérangeait pas.
Je le serre encore plus fort contre moi.
Aucun de nous n'arrivait à dire un seul mot. C'était trop fort. Trop intense et sa façon de me regarder me rendait folle.
Moi : ton voyage, tu veux en parler ?
Rafa: je devais récupérer un bien qui appartenait à mon père. Et j'ai réussi. Par la suite, j'ai eu une nouvelle protection dans ce gouvernement.
Moi : tu n'es jamais allé en prison.
Rafa: je n'irai jamais en prison, ça tout le monde le sait. Mes avocats sont trop forts et j'ai les meilleurs avocats au monde.
Moi : à ce point.
Rafa: ils ont détruit bien des carrières rien qu'avec un interrogatoire. Et toi, je sais que tu m'en veux pour ses derniers jours.
Moi : je t'en veux toujours.
Il relève mon menton et embrasse à nouveau mes lèvres.
Rafa: je sais, je ne suis pas parfait et comme je te le disais, je n'appelle jamais quand je suis à Rio, je suis trop occupée. Mais ici, je suis tout à toi. Tu m'as manqué. On m'a parlé de tentatives de fuite.
Moi : Omar m'a mis dans la piscine.
Rafa: je le lui ai demandé.
Moi : je dois te parler.
Rafa: dis-moi.
Ses mains agrippent mes fesses pour me serrer encore contre lui. Il bandait toujours contre moi, mais refuser de me faire l'amour.
Moi : je me suis fait violer.
Il se relève pour me fixer dans les yeux.
Rafa: tu as été quoi ?
Moi : je me suis fait violer étant enfant. Ne me coupe pas.
Rafa: non Mais attend, c'est quoi ça ? Qui a pu te faire ça ? Qui a osé te toucher ? Ahmed ? Je vais le tuer.
Moi : non ce n'est pas lui, tu veux bien m'écouter idiot.
Lui : toi-même idiote. Explique-toi maintenant.
Il se couche en me serrant à nouveau dans ses bras.
Moi : je devais avoir quatre ans et demi quand il a commencé à me toucher. Mais je pensais qu'à cette période que c'était juste pour me protéger.
J'avais perdu mes parents, je ne connaissais rien d'autres qu'eux à ce moment-là. Mais plus je grandissais, plus il me touchait, cela me faisait mal, mais cela le rendait heureux. Lorsque j'ai eu huit ans et demi, il a tenté de me pénétrer, chose réussie, j'ai perdu ma pudeur et n'arrivant plus à supporter cela, je me suis évanouie. Je me suis éveillé à l'hôpital sans personne à mes côtés. Les médecins avaient compris ce qui m'était arrivée. Mais je n'arrivais pas parler, pas à me défendre. Je n'arrivais à rien faire jusqu'à ce qu'une des dames à l'hôpital m'envoie dans le foyer. J'y ai rencontré ma meilleure amie et c'est grâce à elle que j'ai réussi à reparler. Et je n'ai plus jamais revu cet homme. Un an après, j'ai rencontré ma mère aujourd'hui. Qui m'a tout donner, elle a appris à me connaître et cinq ans plus tard, elle m'a adopté. Voilà.
Ma mère a voulu plusieurs fois tuer mon oncle, mais bon. Elle a essayé de le poursuivre aussi, mais il était mourant dans son lit. Quelque temps plus tard, il s'est rétabli, mais nous n'avions pas de preuve.
Rafa: il est vivant ?
Moi : oui.
Rafa: je vais le tuer.
Moi : à quoi bon ? C'est fini, je n'y pense plus, c'est pour cela que je n'ai jamais couché avec Ahmed.
Rafa: TU N'AS JAMAIS QUOI ?
Moi : je n'ai jamais couché avec personne depuis ça.
Rafa: putain.
Il se dégage lentement de mes bras.
Rafa: mais purée, j'allais te faire mienne ce soir. Je ne peux pas te toucher.
Je ferme les yeux, je déteste qu'on me prenne en pitié.
Moi : je ne veux pas de ta pitié. J'ai voulu que tu me fasses ça. Et je ne pensais pas à cela.
Rafa: je... putain... je vais tuer ce type.
Moi : ce n'est pas la peine.
Rafa: je vais le tuer, je te préviens donc si tuapprends sa mort ne soit pas surprise.
Il se lève en colère et va m'amener des habits.
Rafa: habille-toi s'il te plaît. On ne peut pas dormir ensemble.
Moi : je ne suis pas souillée ou je ne sais quoi, putain, quel est ton problème?
Rafa: c'est toi mon problème merde putain.
Moi : JE NE VOULAIS PAS T'EN PARLER, TU N'AS AUCUN DROIT DE ME REGARDER COMME ÇA.
Rafa: déjà, tu ne me cries pas dessus. Okay.
J'étais énervée. Je ne comprenais rien dans sa réaction. Rien dans ses regards.
Je m'habille rapidement sous son regard attentif.
Et sort de la chambre. Avant d'aller m'enfermer dans la mienne.
Je n'ai pas retrouvé le sommeil, je ne pouvais rien faire et cette situation était terriblement douloureuse.
Je le déteste à cet instant, je déteste me sentir comme ça.
Je n'ai pas dormi de la nuit. Je regarde l'horloge au-dessus de mon lit, il était quatre heures du matin.
Je me réveille vers 7 heures et pars m'installer dans le grand salon. J'allume la télé et regarde des dessins animés.
Je n'arrivais pas à me concentrer sur la télé. Je remonte prendre une douche et me changer. Dernièrement, j'avais perdu mon assiduité dans la religion, je savais que ce n'était pas bien.
Je rejoins nana dans la cuisine, mais je n'arrivais à rien avaler aujourd'hui, trop énervée.
Je sors dans le jardin et trouve Abdou, Omar, Rick et Rafa en train de tirer sur des cibles.
Il est réveillé. Je passe devant lui sans lui parler et me dirige vers Abdou.
J'avais mis un short et un body de sport.
Moi : je peux ?
Abdou: tu sais tirer ?
Moi : oui.
Omar : tu veux te mesurer à qui ?
Tout le monde penserait que je dirai Rafa, mais je n'avais aucune envie de lui parler.
Moi : contre Rick.
Rick : tu risques de t'en mordre les doigts.
Moi : on verra.
Rick : deux dans la tête, trois dans le cœur et deux dans le cou, le dernier se fera la main retourner et d'un seul œil.
Point de vue de Rafa.
J'ai fait tuer son oncle ce matin, je n'ai pas dormi de la nuit. Jusqu'à maintenant, je n'avais pas trouvé le sommeil. Je n'arrivais pas à croire qu'elle avait été violée. Je me sentais dépasser.
Et je me sentais honteux, d'avoir voulu coucher avec elle sans même réfléchir.
Et j'allais le faire d'ailleurs. Sauf qu'à y réfléchir. Je voulais faire les choses bien.
Je n'ai pas dormi de la nuit à cause de cette histoire et la voir ici. Je ne savais même pas qu'elle savait tirer. Elle me le disait, mais je ne la prenais pas au sérieux.
Je l'observe ses bras tendus Rick de l'autre côté. Elle tenait tellement bien larme qu'on croirait qu'elle a fait ça toute sa vie. Rick fait tous ses tir et rate la cible du tir d'un seul œil.
Moi : Rick, si elle te bat, on aura des problèmes.
Elle me regarde super mal.
Abdou: il n'y a pas de règle, tire comme tu le sens.
Elle avance au fond de l'habitacle et mets les lunettes.
Moi : tu n'as pas besoin de casque pour le son.
Elle ne me calcule même pas.
La façon dont elle tenait son arme m'intrigue encore une fois.
Elle tire sur toutes les cibles avant de recharger son arme et de reprendre sa position, elle tire sur la tête et atteint rapidement sa cible, c'est trop rapide, beaucoup trop rapide.
Elle avance à notre hauteur avant de détourner des yeux, elle vise la cible et détourne les yeux pour me fixer droit dans les yeux, bordel de merde, j'ai envie de l'allonger sur le gazon et de la faire mienne tellement elle était sexy à cet instant.
Elle tire deux fois et atteint à nouveau sa cible, putain de merde. J'étais impressionné. Les rares fois où je l'étais, ce n'était pas par une femme, mais elle, elle m'impressionne.
Abdou la regarde dans les yeux, toujours sur le choc.
Omar : qui t'a appris à tirer.
Elle : ma mère est tireurs d'élite première division. Elle n'a jamais été touchée. J'ai appris à tirer à 18 ans et quand tu passes toute ton adolescence avec des gens qui sont à l'armée, tu as une vie bien remplie.
Omar : pourquoi tu ne t'es pas engagée.
Elle : ma mère me l'a refusé. Mais ma meilleure amie s'est engagée.
Moi : Mae ?
Elle : oui. Et toi, je ne t'ai pas permis de me parler.
Moi : je te rappelle qu'on est chez moi là ?
Elle : je te rappelle que je vis ici depuis que tu m'as kidnappé.
Moi : tu es super chiante.
Elle : Rick, je t'ai battu.
Omar : Rafa, tu veux essayer.
Moi : j'ai déjà envie de la tuer alors pourquoi pas.
Elle : essaye pour voir.
On refait le même cheminement et on est à égalité, nous avions tiré de la même manière.
Point de vue d'Amira
Il pointe son arme sur moi. Je tends l'arme que j'avais à Abdou pour lui rendre.
Abdou: tu es super forte, c'est la première fois que Rafa perd.
Rafa: ne me tente pas mec.
Rick : on doit faire les plans pour ce soir.
Rafa: j'arrive, je dois parler à Amira.
Moi : je n'ai rien à te dire. Merci pour la séance.
Rafa: on doit parler.
Moi : je n'ai rien à te dire.
Rafa: j'ai fait tuer ton oncle.
Omar : nous allons y aller.
Rafa: regarde-moi.
Moi : tu te fous de moi là.
Rafa: calme-toi sa mort a été simple, il vivait grâce à un respirateur, j'ai demandé à le faire enlever.
Moi : tu ne m'as rien demandé.
Rafa: je te l'ai révélé il y a quatre heures. Juste avant que cela soit fait.
Moi : mais comment tu as eu toutes ses infos ?
Rafa: je sais tout ce que je veux savoir. C'est fini le concernant et je m'excuse pour ce qui s'est passé. Je me suis senti coupable de vouloir coucher avec toi avec tout ce qui t'était arrivée.
Moi : tu m'as rejetée et tu t'es mal comporté.
Rafa: je suis vraiment désolé, je ne voulais pas te vexer, mais j'étais encore sous le choc et je suis désolée de ce qui t'est arrivée. Je n'arrive pas à croire que cela te soit arrivé. Tu mérites beaucoup mieux.
Moi : ça va, je ne veux pas de pitié. Bref. Je vais essayer de manger et me coucher.
Il me tire le bras afin que je sois plaqué contre sa poitrine.
Moi : lâche-moi.
Lui : je suis désolé.
Il frôle mes lèvres avec les siennes. En me faisant un petit sourire en coin.
Lui : bébé, regarde-moi.
Je ne voulais pas sourire. Il pose ses mains sur mes fesses pour me coller à lui.
Moi : enlève tes mains.
Lui : princesse pardonne à un homme qui crève rien qu'en te voyant.
Il resserre ses bras contre moi avant d'écraser ses lèvres contre les miennes. Purée.
Sa langue chaude commence une danse endiablée avec la mienne. Son baiser était si tendre et si brutal à la fois que j'en avais le souffle coupé.
Lui : tu es une bonne tireuse.
Moi : merci bébé comme tu dis.
Il éclate de rire.
Lui : tu m'as appelé bébé ?
Moi : oui, je vais voir nana.
Il m'embrasse à nouveau.
Abdou: hun désolé de vous interrompre, je ne comprendrais jamais votre couple, mais on doit aller en ville Rafa.
Rafa: j'ai des affaires à régler.
Moi : essaye de dormir quand tu vas rentrer.
Rafa: j'ai des invités privés ce soir, tu devras rester dans ta chambre ce soir.
Moi : pourquoi ?
Rafa: fais ce que je te dis pour une fois s'il te plaît.
Moi : okay.
J'ai passé une agréable journée avec nana.
Rafa arrive vers 18 heures à la maison, je l'entends parler avec Abdou.
Rafa: j'ai revu Coumba.
Abdou: es-tu sérieux là ?
Rafa: oui.
Abdou: il s'est passé quelque chose ?
Rafa: elle m'a embrassé. Mais putain...
Je remonte rapidement les escaliers, je me sentais suivis, j'entre dans ma chambre et ferme la porte à clé.
Rafa: Laila.
Moi : dégage.
Rafa: putain, tu vas m'écouter.
Moi : non dégage.
Je suis resté cloué sur mon lit. Il joue avec moi. Et je déteste cette sensation dans ma poitrine.
Cela m'énerve. Je me réveille vers 22 heures. Je me change, entendant du bruit en bas et je mets une robe que j'avais achetée lorsque j'étais partie avec nana en ville.
Je sors de ma chambre avec mes talons claquant sur le sol. Je me mis de dos dans la cuisine.
Nana : il va péter un câble.
Moi : c'est son problème.
Nana : ses gens ne doivent pas vous voir Laila.
Moi : je m'en fous nana. J'ai eu beaucoup trop de patience avec cet imbécile.
Nana : il vous a vu.
Les portes du salon étaient barricadées de gardes.
Nana : ça va, il est entré dans le salon.
J'entendis deux coups de feu.
Mon ventre se retourne totalement.
Rafa ressort les manches retroussées et l'arme à la main.
Rafa: Rick, vous avez du ménage à faire, la prochaine personne qui ne fait qu'hésiter tue le
Rick : ils ont tous signé.
Abdou: je vais leur bander les yeux et remettre les casques, ils vont rentrer.
Moi : okay.
Il s'approche de nana.
Rafa: nana, je veux de la fraise, du chocolat et des glaçons dans ma chambre.
Il ne me calculait pas, je sirotais mon jus sans le calculer aussi.
Nana revient 10 minutes plus tard.
Nana : je l'ai mis dans ta chambre Rafa.
Il tourne ma chaise et se met devant moi. Son regard était noir de colère. Je lui rendais le même regard. Il était tellement brûlant que j'en avais mal au ventre, cet homme me rend toute chose.
Rafa: si jamais tu me refuses à nouveau l'accès de ta chambre, je te ferai vivre un enfer, je suis claire.
Je n'arrivais pas croire qu'il me menaçait.
Rafa: tu ne me refuses plus jamais l'accès de ta chambre Amira.
Je m'approche jusqu'à être à quelques centimètres de ses lèvres.
Moi : reviens toquer devant ma chambre quand j'y suis et tu verras.
Il me porte pour me mettre debout avant de me jeter sur son épaule. Putain.
Moi : RELÂCHE-MOI.
Rafa: nana Que personne ne vienne dans ma chambre demain de toute la journée. Il me donne une grosse claque sur mes fesses.
Rafa: toi, je vais t'éduquer aujourd'hui.
Nana éclate de rire.
Moi : lâche-moi Imbécile.
Rick : il ne manque que du popcorn.
Il monte les escaliers et entre dans sa chambre.
J'étais sous le choc, il y avait une tonne de bougie allumée. Le plateau de fraise et autre au milieu du lit. Les pétales de roses remplissaient toute la chambre, c'était juste magnifique.
Il me fait descendre. Avant même que je n'aie le temps de parler. Il me plaque contre la porte.
Rafa: pour qui tu as mis cette robe ?
Moi : pour toi.
Rafa: tu m'énerves a été désobéissante.
Moi : si je ne l'étais pas, tu ne serais pas épris de moi.
Rafa: que veux-tu vraiment ?
Moi : déchire-moi cette robe.
Rafa: à vos ordres docteur Sow.
Bonne nuit 🤪😂😂😂
Vos commentaires, je n'arrête pas de rigoler en les lisant. Bisous à samedi si Dieu le veut
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top