Chapitre 6: EN SANG
Abdou: on doit aller le voir.
Moi : quand ? Et comment ?
Abdou: il sera au cap vert demain matin, on y va cet après midi, on tâte le terrain et au moins, nous sommes sûrs.
Moi : je ne peux pas la laisser seule ici.
Abdou: ça fait une semaine. Elle a cassé plusieurs assiettes, brûlé quatre de vos costumes qui coûtent les plus chers, elle essaye de vous faire craquer.
Moi : je m'en fous, j'aime bien son audace.
Abdou: vous deux, vous avez envie de vous brûler les ailes.
Moi : j'ai envie de l'embrasser jusqu'à ce qu'elle ne respire plus. D'ailleurs, elle dort toujours.
Abdou: tu n'as aucune peur toi.
Moi : laisse-moi réveiller ma douce.
Je me dirige vers sa chambre. Et vais sur mon téléphone pour mettre la chanson de Drake : Best i ever had. J'entre dans sa chambre en chantant la chanson, elle se réveille avec un grand sourire.
Elle : tu écoutes Drake toi ?
Moi : Baby you're my everything, you're all I ever wanted
We could do it real big, bigger than you ever done it
You be up on everything, other hoes ain't ever on it
I want this forever, I swear I could spend whatever on it
Cause she hold me down every time I hit her up
When I get right I promise that we gone live it up
She make me beg for it, till she give it up
And I say the same thing every single time
I say...
You the fuckin' best
You the best I ever had,
Best I ever had
I say you the fuckin'...
(traduction)
Chérie, tu es mon tout, tu es ce que j'ai toujours voulu.
On peut faire de grandes choses, plus grandes que tu n'as jamais faites.
Tu es au courant de tout, les autres ne l'ont jamais été.
Je le veux pour toujours, je jure que je pourrais dépenser n'importe quoi pour ça.
Car à chaque fois que j'ai besoin d'elle est là
Parce qu'elle me retient chaque fois que je la frappe.
Quand je vais bien, je lui promets que nous allons avoir la belle vie.
Elle me laisse la supplier longtemps avant de se donner à moi.
Et je dis la même chose à chaque fois.
Je dis...
Putain, tu es la meilleure.
La meilleure que J'ai jamais eu.
Meilleure que Je n'ai jamais eu.
Je dis putain, tu es vraiment...
Elle me fait un énorme sourire, je chante super bien, on me le dit depuis que je suis petit. Et ce sourire pouvait m'amener dans une autre planète. Putain, vous avez vu cette femme.
Je la kidnapperai 10 fois de suite s'il le faut.
Elle : part maintenant, je vais prendre une douche et mourir d'ennui dans ton palace de luxe.
Moi : tu pars en ville aujourd'hui. Tu seras accompagné par trois gardes et un sniper au cas où ont s'en prend à toi. Prends ma carte et fais en ce que tu veux.
Elle : j'ai fait quoi pour mériter ça.
Moi : j'ai aimé ton sourire ce matin, et parce que je le veux.
Je sors de la chambre pour aller demander à nana de faire ma valise.
Abdou: je ramène combien d'armes.
Moi : autant que tu pourrais, je pense que je vais le tuer et lui prendre sa cargaison.
Abdou: Rafa s'il te plaît.
Moi : je m'en fous, c'est à cause de lui que j'ai perdu ma cargaison, je vais le tuer et ce sera mon petit plaisir personnel.
Abdou rigole.
Abdou: tu es incorrigible.
Moi : je suis en forme et de bonne humeur aujourd'hui.
Je pars me changer et sortir mes valises. Avant de retrouver la petite Sorciere dans le salon
Moi : je dois partir.
Elle : où vas-tu ?
Moi : un petit voyage, rien de plus.
Elle : et tu reviens quand.
Moi : demain matin.
Elle : je m'enfuirai à nouveau.
Moi : je t'entêtai de te tuer à nouveau.
Elle : tu n'en feras rien.
Moi : on verra bien.
Elle : connard de merde.
Je m'approche d'elle et la prend par le poignée.
Moi : traites moi à nouveau de connard ?
Elle : connard.
Point de vue d'Amira.
Il me plaque contre le mur durement.
Moi : ne me touche pas.
Lui : je te touche si je le veux.
Je lui donne un coup au ventre.
Il me fait un grand sourire.
Rafa: Abdou, on aura un petit retard pour le vol. J'ai une bagarre à mener.
Moi : je sais me battre.
Rafa: j'ai vu ça, vide ton sac.
Moi : TU N'AVAIS PAS LE DROIT DE ME KIDNAPPER. VA TE FAIRE FOUTRE.
Je lui donne un autre coup de poing au bide, il souriait toujours putain, je le déteste.
Je commence à te le taper de toutes mes forces.
Moi : tu m'as volé ma vie, mes moments, mes habitudes. Tu es PUTAIN D'IMBÉCILE. POURQUOI TU M'AS KIDNAPPÉ ?
Rafa: dire la vérité ne soulagera pas votre conscience.
Moi : DIT MOI MERDE JE MÉRITE DE SAVOIR.
Il se retourne pour s'en aller, je prends son arme derrière son dos et le pointe sur lui.
Il éclate de rire purée, c'est un sadique ou quoi ?
Lui : tire si tu le veux.
Moi : je veux comprendre, je mérite de comprendre.
Lui : Dans cet hôpital, quand j'ai ouvert les yeux, qu'à-tu ressentis ?
Moi : rien, j'étais juste surprise avec tes yeux.
Lui : okay. Moi, quand j'ai ouvert les yeux, la première chose que j'ai vue, c'était votre visage. Vous êtes passé devant moi dans la chambre et j'ai réalisé une chose, je te désire tellement que j'en ai les jambes comprimées.
Je te désire tant que la dispute n'a fait qu'attiser la flamme que j'essaye tant de contenir. J'essaye de me contrôler, mais mon corps a très peu de patience. Donc, je vous fais chier encore et encore jusqu'à ce que j'expulse cette frustration et personne n'a le droit de s'approcher de vous qui qu'elle soit. Je vais voyager. Je reviens bientôt, fais attention à toi. Et j'essayerai de tuer le maximum de personne afin d'expulser cette sensation désagréable.
Je me concentre sur mes pieds sans le regarder.
Il sort du salon me laissant toujours avec son arme avant de se retourner et de le prendre entre mes mains.
Il disparaît quelques minutes plus tard, je n'entends plus de pas. Mon corps s'est enflammée d'une telle manière. Il ne peut pas me faire de l'effet comme ça.
Je refuse de ressentir ce cramponnement dans mon bas ventre. Je refuse de ressentir cette chaleur sourde entre mes cuisses.
Je refuse d'avoir ce sentiment pour lui, ce n'est pas comme ça que cela devait se passer.
Je suis tellement perturbée que j'en avais le souffle coupé.
Je reprends ma respiration. Il ne peut pas me dire ça. Il n'a pas ce droit.
Cet homme tue des gens et il en est heureux. Il mérite d'être enfermée.
Moi : nana, il y a une salle de sport ici ?
Nana : oui je vous la montre. Nous sortons à quelle heure ?
Moi : 14 heures. Comment irons-nous ?
Nana : en bateau, il stationne sur le port autonome de Dakar, vous faites vos achats et on reprend le même bateau.
Moi : d'accord. Et je n'aurai toujours pas mon téléphone.
Nana : monsieur a dit non. Je suis désolé que cette situation soit tombée sur vous. Nous ne comprenons jamais ses décisions, mais il n'a jamais tort donc... Laisse-le s'ouvrir à toi, il fréquente beaucoup de femmes, mais jamais, nous ne l'avons vu comme ça.
Moi : je ferai tout pour m'enfuir nana.
Nana : ça, nous le savons, vous verrait par vous-même, cela vous sera impossible.
Je fais deux heures de sport pour décompresser avant d'aller prendre une douche. Je m'habille rapidement.
Je rejoins nana quelques minutes plus tard.
Nana : vous vous sentez mieux ?
Moi : oui merci Nana.
On marche suivie de trois gardes. Nous arrivons devant le bateau, il est à magnifique. Il était baptisé : Rafaela.
Qui est Rafaela ?
Je monte à l'aide Rick. Le traitre.
La vue était incroyable, la maison était tellement belle de loin. On arrive en ville une heure plus tard.
Nana : que voulez vous faire.
Moi : je ne sais vraiment pas, il y a des boutiques en villes, on achètera au fur et à mesure. Si vous voyez des choses qui vous plaise prenez-les
Nana : merci.
Nous commençons par Aldo pour mes chaussures, ensuite, on va à City sport pour acheter encore des chaussures et des tenues de sport. Vers 17 heures, on se fait un repas.
Nana : il fera bientôt sombre, il faut qu'on y aille.
Un serveur se rapproche de nous.
Lui : vous voulez un dessert ?
Rick : non madame ne prendra pas de dessert, éloigne-toi.
Rick parle portugais dans son micro. J'étais complètement sous le choc. Je n'ai rien compris lorsque le fameux serveur pose une arme sur ma tête.
Le serveur : baisse ton arme.
Rick : Sniper.
J'avais la plus grosse trouille de ma vie, il me tire le bras pour me mettre devant lui.
Le serveur : Vous êtes tombée du mauvais côté de la balance, si les gens apprennent qu'il a une femme dans son antre, je gagnerai des millions et mon patron sera heureux.
Rick : SNIPER TIRE. Nana pousse-toi. Tu fais une grosse erreur James, une très grosse erreur. Il va te tuer.
Tout le monde nous regardaient, certains se cachaient sous les tables.
Rick tire sur les caméras de surveillance alors que les hommes de Rafa nous entouraient. Ces scènes qu'on voie dans les films, c'est ce que je suis en train de vivre, ce n'est pas possible.
J'allais me faire pipi dessus.
Rick : comment ça tu n'as pas un angle de tir. (IL ATTEND QUOI CE FOUTU SNIPER JE NE VEUX PAS MOURIR).
James : je vais sortir avec elle et nous allons entrer dans cette voiture en face et vous ne me suivrez pas, je vais la tuer.
Moi : je ne vous ai rien fait.
James : on s'en fout de ça. C'est Rafa qui m'intéresse. Et mon patron sera heureux de vous avoir comme monnaie d'échange.
Rick pose son pistolet sur sa tête.
Alors que nana était à genoux en pleurs.
Rick : si elle meurt sous ma garde, il va me tuer et je m'aime trop pour mourir.
Je me retourne et lui donne un gros coup dans les boules. Il se tord de douleurs et me pousse, me faisant tomber sous le bar. Je commençais à voir flou.
Rick : Alex ne le rate pas.
Je vis james gisant sur le sol. Mon ventre se retournait et la trouille emplissait mes entrailles.
J'essaye de me relever, mais rien n'y fait.
J'entendais la voix de Rick.
Rick : faites le ménage et récupérer tous les téléphones, détruisez-le. Et ne laissait pas de témoin non coopératif.
Il s'approche de moi.
Rick : ouvrez les yeux. S'il vous plaît ne me faites pas ça, ouvrez les yeux.
Nana : elle saigne, regarde sa tête, elle saigne oh seigneur.
Trou noir.
Point de vue de Rafa.
J'étais couché sur le lit me demandant ce que je ferai de Laila.
Seigneur.
Je vis Abdou venir vers moi avec un visage sévère, soit quelqu'un était mort, soit nous allions entrer en guerre.
Moi : il se passe quoi encore ?
Abdou: on a essayé de kidnapper Amira.
J'étais sous le choc. Comment ça ?
Moi : parle vite Abdou.
Abdou: euh, ils ont reconnu ton bateau sur le port. Et elle a été suivie. Je pense qu'ils ont été reconnus à cause du tatouage de la bande. Dans leurs nuques. C'est James qui a tenté le coup en se faisant passer pour un serveur dans un restaurant. Il est mort. Alex l'a eu. Le ménage a été fait. Amira est rentrée, elle est évanouie. Et s'est blessé.
Moi : ELLE EST QUOI ?
Abdou: Rafa je...
Moi : TU QUOI ABDOU? ELLE ÉTAIT SOUS LA GARDE DE QUI ?
Abdou: Rafa, je n'accepterai pas que tu tues mes hommes, ils ont réussi à éliminer la menace.
Moi : ELLE EST BLESSÉE MAIS ILS ONT PERDU LA TÊTE OU QUOI ? QUEL JAMES ?
Abdou: James de Bryan.
Moi : amène-moi Bryan. Ramène-le-moi tout de suite.
Abdou: tu es trop calme Rafa.
Moi : allez me chercher ce type et tuez toute personne qui essaye de s'interposer.
Omar : les gars, levez-vous, nous avons une mission.
J'étais tellement en colère que je ne réfléchissais plus. Je pourrais faire tuer Rick, mais il est avec moi depuis qu'il a 20 ans. Mais putain pourquoi je l'ai fait sortir ? Bordel de merde.
Ils ont essayé de me la prendre. Ce putain de tatouage que tous mes hommes portent ne m'aide pas.
Il y a beaucoup trop de gens qui veulent ma peau, car soit je leur ai tout pris, soit il essaye de me défier. Il faut que je fasse un exemple.
Moi : Issa demande à ce qu'on prépare l'avion.
Quelques heures plus tard, je vis Abdou et les autres venir accompagner de Bryan.
Bryan : comme ça tu as quelqu'un dans ta vie.
Je ne lui parlerai pas.
Moi : regroupe tous mes hommes à Dakar. Tout le monde Omar. Et libérez le local à Dakar.
On atterrit une demi-heure plus tard, dieu merci le cap vert n'était pas loin.
J'étais trop calme, beaucoup trop calme. J'essayais de contenir cette colère, mais rien n'y fait.
On arrive au garage. Aucun policier n'oserait s'aventurer sur ce terrain et aucun homme d'État ne tenterait de me faire chanter. J'ai tous leurs secrets, du plus petit au plus grands, leurs adresses et honnêtement les faire tuer ne me ferai rien, ce qui est plus rafraîchissant, c'est que je contribue en majeure partie à leurs économies.
J'entre dans le local.
Abdou: si vous ne pouvez pas supporter de regarder ça, vous pouvez sortir.
Moi : AUCUN D'ENTRE VOUS NE BOUGE. VOUS TRAVAILLEZ POUR MOI. Je vais vous montrer ce que je fais aux personnes qui osent toucher à ce qui m'appartient.
Ils me regardaient tous. J'avais une chemise blanche que je risque encore de salir.
Bryan : tu ne vas pas me tuer, tu n'as pas d'autre associé au cap vert.
Moi : c'est simple Bryan, j'ai perdu ma cargaison à cause de toi, tu as envoyé ton sniper qui aujourd'hui est mort d'ailleurs et qui devait me tuer, et Abdou m'a convaincu de ne pas te tuer. Mais tu continues de t'aventurer sur un terrain glissant.
Je ne parlerai pas d'elle, je ne veux pas qu'ils sachent que je l'ai. Je dois vraiment la protéger de mon monde.
Il fut attaché sur la table.
Moi : donne-moi la hache omar.
Issa: bordel de merde.
Moi : ma hache Omar.
Bryan : pardon, je t'en supplie, non, ne me tue pas comme ça. Je t'en prie. Oh mon Dieu. J'arrête, je ne voulais pas te trahir. Excuse-moi putain. Tu es mon associé.
Moi : je vais vous montrer comment on découpe les humains.
Une heure plus tard, nous avions fini.
Moi : ne l'enterre pas. Envoie chaque partie de son corps couper à nos ennemis que quelqu'un essaye à nouveau.
J'étais en sang. Mon visage était couvert de sang et j'essayais toujours de contenir ma colère. J'arrive chez moi en hélicoptère. Et retrouve Rick devant la porte.
Moi : la prochaine fois vérifie l'endroit Rick, tu peux aller te coucher, je ne compte pas te faire du mal.
Rick : merci et je suis vraiment désolé.
Moi : elle est réveillée ?
Rick : oui. Elle est dans son lit, le médecin est déjà passé.
J'entre dans la cuisine et vis nana qui se retient de crier en voyant mon visage et mes habits.
Moi : comment te sens-tu nana ?
Nana : bien monsieur, nous avons été bien protégés.
Moi : ne t'inquiète pas nana, je ne compte pas tuer Rick. Va te reposer et pardonne-moi pour tout ça.
Nana : c'est moi qui vous ai suivis monsieur. Vous êtes ma famille.
Moi : merci encore. Je peux aller la voir.
Nana : oui. Mais vous devriez aller vous changer.
Moi : j'ai besoin de la savoir en vie.
J'entre dans la chambre et elle me regarde horrifier de la tête au pied.
Moi : comment tu vas bébé ?
Je m'approche d'elle et lui prends les mains.
Elle : j'ai eu tellement peur.
Elle éclate en sanglot, même la mort de cet imbécile ne me donne pas satisfaction.
Moi : c'est fini, personne ne s'approchera de toi à nouveau.
Elle : tu l'as eu ?
Moi : je l'ai découpé, la prochaine fois, ils n'oseront pas te lancer un seul regard.
Elle : seigneur. Tu... tu fais peur comme ça.
Moi : je sais, je vais aller prendre une douche.
Elle : je voulais m'enfuir aujourd'hui.
Moi : j'avais un plan pour au cas où.
Elle : bonne nuit Rafa.
Moi : nous dormons ensemble aujourd'hui.
Elle : je ne veux pas dormir avec toi, je vais te tuer dans ton sommeil.
Moi : essaye seulement.
Je la porte en mode princesse et l'amène a l'autre bout de la maison. Je la dépose tendrement sur le lit.
Moi : je vais prendre une douche.
Elle : tu m'as taché de sang. Je vais nettoyer ça.
Point de vue d'Amira.
Le voir comme ça m'a terriblement choquée. Il ne se cache pas de qui il n'est pas avec moi. Il me montre une autre facette de lui. J'ai envie de prendre mes jambes à mon cou. Mais j'ai cette terrible envie de le découvrir.
On entre ensemble dans les toilettes, c'était gigantesque.
Je me retourne pour nettoyer mon bras et mes épaules.
Il enlève sa chemise et son pantalon avant de descendre son boxeur. Seigneur.
J'étais sous le choc. Tout son dos était couvert de tatouages. Des ailes. Je comprends mieux pourquoi j'ai vu cette même aile sur le bras de Abdou.
Il était nu devant moi, j'avais le dos tourné, mais dans le miroir, je pouvais tout voir. Putain ses jambes. Sur sa poitrine, il y avait d'autres écritures.
J'étais sous le choc. J'avais l'entre jambes en feu. Mes yeux ne voulant plus quitter ce miroir lorsqu'il se retourne, ma bouche s'ouvre délicatement. Il y en a qui en ont encore des comme ça. Il était tellement homme. Je veux m'évanouir à nouveau.
Il est gros. Ses fesses, son corps était parfait. Mais ça, c'était le rêve de toute femme, il était vraiment bien fait.
Je reprends le peu de dignité qu'il me reste et sort de là. Sous son rire.
Moi : Imbécile.
Je me couche dans son lit et dit rejoins une demi-heure plus tard. Il me serre contre lui.
Lui : je n'accepterai jamais quelqu'un d'autre que moi te fasse quelque chose.
Moi : bonne nuit.
Lui : bonne nuit Amira.
Bisous 😘
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