Chapitre 33: A l'amour de ma vie
(- 18 ans. Je suis responsable de ce que j'écris non de ce que vous en faites je vous préviens)
Elle : non Rafa, je ne voulais pas coucher avec toi aujourd'hui.
Moi: Amira chut.
Elle : je suis épuisé. Oh... hum...ra... fa...
J'insérais mes doigts en elle. Elle était si chaude et si douce.
Elle : arrête.
Je retire ma main.
Elle : tu mets un préservatif, je ne blague pas.
Je sors une boîte de mon sac.
Moi : voilà pour toi. Ce sont des pilules. Je ne mettrai jamais de préservatif avec toi.
Elle : tu as acheté quand cette boîte ?
Moi : depuis avant-hier, je l'ai. Amira, tu pourrais me laisser te goûter et la fermer.
Elle : non, je n'avais pas prévu de coucher avec toi aujourd'hui.
Je lui retire sa robe et tombe net sur ses seins remplit et ses tétons pointus, attendant que je les prenne entre mes dents.
Moi : putain, je t'en prie laisse nous cette nuit.
Amira: la dernière fois que j'ai couché avec toi, je me suis retrouvée enceinte.
Moi : la pilule, elle sert à quoi ?
Je tire sur ses jambes l'amènes et les écarte avant de me placer entre elle. Avant qu'elle n'ait quelque chose à dire, j'écrase mes lèvres contre les siennes. Elle entoure ses bras autour de moi et répond à mon baiser alors que ses mains se faufilaient sous ma chemise.
Elle agrippe ma tête et enfonce sa langue dans ma bouche.
Comme ça elle n'a pas envie de moi...
J'enlève ma chemise afin de sentir sa peau contre la mienne.
J'attire sa jambe sur mon Raphaël et la vois exposée devant moi. Elle était en train couler, et mon cœur, ni mon pantalon ne tenait plus.
Je passe ma langue en elle et l'aspire tendrement, elle gémit en essayant de serrer les jambes alors que je la caressais encore et encore.
Tandis qu'elle débitait n'importe quoi. J'adore l'Amira qui se lâche et je vous promets que quand je lui fais l'amour, elle se lâche. Elle me dit tout ce qu'elle garde au fond d'elle.
Elle n'a plus aucune innocence.
Je regarde son bouton d'amour gonflé et rose. Je la suce tendrement alors qu'elle hurlait dans les draps.
Je repasse ma langue en elle pendant qu'elle essayait de se relever.
Moi : tu ne bouges pas.
Amira : ta b... oh Mon... TA BARBE EST EN TRAIN DE TUER.
J'éclate de rire. Je savais très bien ce que je faisais en laissant pousser ma barbe.
Je la caresse avec à nouveau. Le pire, c'est qu'elle s'épile tout le temps. Donc, elle était toute douce comme de la guimauve.
Amira : merde arrête de me ... Faire payer... AHH... mes bêtises...
Je la suce à nouveau et commence à caresser son clitoris de mes doigts, je les écarte et accentue mes caresses. Elle jouit en tremblant de la tête au pied. Je voulais à cet instant me perdre en elle.
Amira : oh putain...
Moi : tu l'as dit. Oh Putain.
Je l'attire vers moi et l'embrasse à nouveau.
Point de vue d'Amira.
J'étais complètement pompette. La respiration haletante, ce contact contre mes lèvres me rendait absolument folle.
Il insère à nouveau deux doigts en moi en les tournoyant. Je gémis lorsqu'il les retire, ses yeux ne me quittaient pas.
Il les passe entre ses lèvres. Avant de me faire un grand sourire. Putain c'est le seul mec qui me fasse cet effet et à qui je fais cet effet. J'avais de plus en plus confiance en moi.
Sa queue pressait le V entre mes cuisses alors que sa main recouvrait mes seins.
Il suce tendrement mes seins avant de les mordiller, me rendant toute chose. Je ne savais plus que faire.
Il enlève son pantalon et je revois mon cher ami. Celui que j'aime tant.
Il écarte mes jambes avec ses genoux et se place entre mes cuisses. Il me fait un smack.
Rafa: dis-moi ce que tu veux Amy.
Moi : tu sais ce que je veux.
Rafa: non dis-moi ce que tu veux.
Sa queue se pressait encore contre mon bouton d'amour et j'étais tellement excité à cet instant que je n'en pouvais plus.
Moi : je t'en supplie.
Rafa: dis-moi ce que tu désires Amy.
Il était si gros, purée, j'ai jamais vu une comme ça et je ne sais même pas comment mon petit corps fait pour encaisser ça. Je vais m'évanouir vraiment c'est bon.
Rafa: Diz-me o que queres bebé e eu vou foder-te como quiseres?
Dis-moi ce que tu veux bébé et je te baiserai comme tu le veux ?
En plus il parle portugais, il veut me tuer.
Il me regarde dans les yeux.
Rafa: dis-moi bébé.
Moi : je te veux toi... toi partout en moi je t'en... RAFAEL...
Il venait de s'insérer en moi. La bouche grande ouverte, nous nous regardions, c'était comme si nous ne nous étions jamais séparés.
Rafa: Amy... Amy...
Je ne me suis jamais sentie aussi remplie que quand je suis avec lui.
Il se retire jusqu'au bout avant de me pénétrer à nouveau très brutalement. Je m'accroche au lit alors que ses mains me maintiennent les bras. Il continue de bouger en moi tant tôt, si vite. Tant tôt, si lentement.
Ses hanches allaient si doucement à ma rencontre, c'était tellement bon.
Rafa: tu as une chatte si douce, Amy, si remplie. Tu coules si facilement. Tu me rends dingue Amy.
Ces mots pouvaient m'achever.
Rafa: Tu es trop bonne. Ma queue est luisante de toi et purée toutes les terminaisons nerveuses de ton vagin se resserre autour de moi.
Je gémis encore plus fort.
Rafa: c'est ça bébé donne-moi tout.
Moi : baise-moi plus fort Rafa.
Il ouvre grand les yeux et me fixe profondément.
Ses grognements me faisaient perdre la tête. Il se retire doucement de moi.
Il ne me laisse pas en placer une et s'insère au nouveau en moi. Me faisant hurler.
Je contracte mes muscles autour de lui.
Rafa: oh putain ne refait plus ça.
La sensation était délicieuse. J'avais besoin de sentir son corps chaud contre le mien, d'accepter ses coups de reins était si intense. Son corps se colle au mien alors qu'il continuait à me donner des coups de boutoir.
Nos hanches se donnaient tout.
Le lit bougeait dans tous les sens. Mais à cet instant-là, il n'y avait que nous deux. Il n'y avait personne d'autre que nous. Le désir se répandait entre mes cuisses.
Il me soulève du lit et s'enfonce encore plus profondément en moi. Je me sentais planer, c'était réellement bon. Purée Rafa c'est un homme avec mille H.
Mon corps se donnait à lui. Il commence à me jeter contre lui. Me faisant hurler dans toute la chambre, je criais sans retenue alors que je le voyais faire de moi ce qu'il voulait.
Il enfouit dans la tête dans mon cou même si je me sentais trembler de la tête au pied, l'entre-jambe en feu. Je jouis en hurlant contre ses lèvres. Il jouit en me rejoignant. Et on s'écrase sur le lit ensemble.
Mon orgasme se prolonge dans tous les muscle de mon corps. Je n'en avais pas assez, je n'étais pas rassasiée. Mon appétit sexuel me faisait peur, je suis de plus en plus accro.
Moi : j'en veux plus.
Rafa me fait un grand sourire.
Rafael : je t'ai complètement pourrie.
Moi : je sais. Je m'en fiche. Viens-la.
Il m'embrasse à nouveau.
Rafa: je suis bénie.
J'éclate de rire, il se retire de moi et je me relève, je nappe je de la coiffeuse et agrippe mes mains contre le bureau comme le soir où nous étions au Brésil.
Point de vue de Rafa.
Je vais canner, c'est qui cette femme ? J'ai fait quoi de cette fille.
Ses fesses étaient si exposée putain. Lorsqu'elle relève une jambe sur le bureau, j'ai cru mourir.
Je me relève rapidement et là rejoins, elle était luisante. Et avec cette jambe relevée je voyais tout. Toute cette excitation. Tout. Putain. Je m'approche d'elle et colle mon torse contre son dos. J'empoigne ses cheveux, et les tire en arrière la faisant hurler. Au même moment, je la pénètre brutalement.
Moi : c'est ça que tu veux ?
Elle : OUI... oh
Je commence à lui donner des coups les uns les plus intenses que les autres. Elle me donnait tout et avoir ses fesses et son tatouage devant moi ne m'aidait pas je ne me contrôlais plus.
Je la pénètre encore plus fort, je sentais ses cuisses se resserrer sous moi. Je sentais sa moiteur. Jamais une femme ne m'a fait cet effet. Le sexe avec Amira, c'est le pied.
Je passe ma main sur son ventre et descends lentement pour atteindre son clitoris. Je la caresse et presse son bouton d'amour, elle jouit à nouveau et je la rejoins, on s'écrase ensemble sur le tapis. En se serrant l'un dans les bras de l'autre.
Moi : je t'aime.
Amira : je t'aime.
Le lendemain matin...
Point de vue d'Amira
5 heures du matin...
C'est à cette heure qu'on s'est arrêté. Nous avons tellement couché ensemble que nous n'avions plus de souffle.
Rafa me serrait encore contre lui.
Moi : je t'aime.
Il m'embrasse encore le front.
Rafa: Amira ?
Moi : hun.
Rafa: tu es heureuse avec moi au-delà du sexe et tout ça.
Moi : je ne suis heureuse qu'avec toi. Je n'aime que toi. Rafa, tu complètes toutes les fibres de ma vie.
Il m'embrasse le front.
Je me réveille vers 14 heures, épuisée. J'avais des courbatures un peu partout.
Rafa n'était pas dans mon lit. Je me lève et porte sa chemise avant de le rejoindre dans le salon. Il était au téléphone et parlait en portugais.
Il en fait un grand sourire lorsqu'il me vit.
Je m'assois sur ses jambes et il m'embrasse tendrement.
Rafa: bonjour Amy.
Moi : bonjour bébé.
Je lui fais un bisou sur le front.
Rafa: tu te sens comment ?
Moi : plus tôt bien. Je suis courbaturée.
Rafa: Oula courbatures, moi qui voulais remettre ça.
Moi : laisse mon corps se reposer.
Il rigole.
Rafa: le coup de la coiffeuse me rend dingue. Putain quand tu fais des trucs comme sa putain, j'ai envie d'avoir mon membre en toi pour toujours.
Moi : tu es vulgaire Rafa.
Rafa: moi, je suis vulgaire, tu veux que je te rappelle tout ce que tu disais hier nuit Amy.
Moi : non, c'est bon.
Rafa: vaudrait mieux pour toi.
Moi : il est où mon chien ?
Rafa: avec abdou. On part en Grèce dans une heure. Et d'ailleurs pour Brésil, on peut attendre que tu sois rappelé. J'ai des choses a réglé.
Moi : je pense que je commence à savoir ce que je veux.
Il me fait un petit sourire.
Moi : bon ça me fait peur, mais je veux être avec toi. Euh si tu veux encore te marier avec moi je... j'ai des choses à régler, mais après, c'est fini, je serai à toi pour toujours.
Rafa: je t'attendrai.
Il se relève et me fait un smack. Il me colle encore plus à lui.
Rafa: j'ai envie de toi.
Moi : RAFAEL NON.
Je prends la boîte de pilule et je la prends. Je ne voulais pas me prendre la tête concernant ce sujet.
Moi : j'ai envie de me disputer avec toi.
Il éclate de rire.
Rafa: tu es une putain de folle.
Moi : je sais bien, tu as parlé de quoi avec ma mère.
Rafa : Elle voulait m'acheter.
Moi: sérieux, mais elle est folle ?
Rafa: non protectrice, mais bon, elle ne va rien oublier de ce que je lui ai dit.
Moi : elle ne me fera pas te quitter.
Je me change et mange rapidement et rejoins les autres à l'extérieur.
James : bonjour les amoureux.
Moi : bonjour James, abdou.
Je récupère Thor.
Cet imbécile de Rafa était tout souriant et ça ne m'aide pas du tout à tout camoufler.
Abdou: oh putain Isham a gagné.
Moi : vous êtes chiant.
Abdou: je plains la chambre d'à côté.
Rafa: on s'est éclatée.
Moi : toi la ferme.
James : n'oublie pas qu'en Grèce, on sera tous ensemble.
Point de vue de Rafa.
Je vis un message de Isham.
Lui(salut mec ? Elle arrive à dormir ? )
Moi : (oui, elle y arrive)
Amira : il veut quoi ? Je ne fais pas de cauchemars quand je suis avec toi.
Moi : d'accord. Il s'inquiète pour toi ?
Amira : je faisais des cauchemars après la mort de Nadia et notre séparation. Je vais mieux, je t'aime, j'ai une mort à venger et point.
Moi : tu as besoin d'aide ?
Elle : non-bébé au boulot, je ne suis pas gentille laisse-moi régler ça.
Nous arrivons en Grèce deux heures et demie plus tard.
Nous devions aller dîner le soir même.
Rafa: tu as pris une arme.
Moi : oui, j'ai toujours une arme sur moi. C'est quoi le problème
Rafa: tu te rappelle Bryan ?
Moi : tu l'as décapité lui.
Rafa: je sais très bien. Il a un frère, il est ici en Grèce et ça fait des jours qu'il me fait chier donc là, je dois lui régler son problème.
Moi : ok et maintenant ?
Rafa: je n'ai pas envie d'être pris de court. Ainsi si tu as des petits doutes, tu me préviens.
Moi : ok. Ainsi, on va au restaurant pour tuer quelqu'un ?
Rafa: je tue quelqu'un.
Moi : je tire mieux que toi et je suis plus forte que toi. Accepte le.
Rafa: non.
Moi : Rafael, tu sais, il y a rien de mal à accepter ça.
Rafa: la ferme.
On arrive dans un bel restaurant. Juste à côté, il y avait un restaurant.
Moi : il sera là ?
Rafa; oui.
Moi : caméras ?
Rafa: dans dix minutes.
Moi : je t'en prie, laisse-moi faire ça.
Rafa: non...
Moi : donne-moi une arme et je te les dégomme tous, je suis plus rapide. Je tue très proprement.
Rafa éclate de rire.
Rafa: Amira... tu es une malade mentale.
Moi : je sais, c'est pour ça que tu m'aimes.
Rafa: tu suggères quoi.
Moi : c'est trop facile de le tuer dans un restaurant. Donne-moi un PGM. Prends une chambre d'hôtel dans l'hôtel d'en face au même étage que ce type. J'ai besoin de deux angles donc prend deux suites collé. Je veux un visuel fenêtre ouverte.
Rafa: c'est mon combat.
Moi : je m'en fiche, c'est notre combat.
Moi : laisse-moi te montrer pourquoi on me veut dans toutes les équipes, laisse-moi te montrer de quoi je suis capable. Tu ne seras jamais relié à cette affaire. Ils sont combien.
Rafa: quatre.
Moi : putain, c'est simple pour moi.
Il éclate de rire.
Rafa: tu sais que je t'aime.
Moi : je t'aime encore plus. Putain ça m'excite de faire ça avec toi.
Il prend les deux chambres que je lui ai demandées même si on a dû payer la peau des fesses. Mais bon comme dit Rafa ce n'est rien.
C'est son argent. Et je m'en fiche je voulais juste faire quelque chose pour lui.
Je m'installe et mets mes lunettes en m'installant dans ma chaise.
Moi : éteint les lampes s'il te plaît James.
James : ok. Pourquoi ?
Moi : après mon premier tir, ils vont chercher à savoir d'où vient la balle et s'ils le savent, ils vont essayer de se venger donc ça ne m'aide pas. Il faut qu'il ne devine pas. Dis-moi, c'est qui bébé.
Il me montre le type.
Je m'installe devant et me concentre avant de replacer mon arme. Je ferme les yeux et les rouvre. Je vis le monsieur fumer une cigarette, je lui tire dessus, et vis les quatre autres hommes venir vers lui pour voir. Je fais un tir circulaire afin que la balle les touche tous. Avant de les voir tous s'écrouler.
J'enlève le silencieux de l'arme. Et j'enlève tout avant de le ranger dans la boîte et d'attacher mes cheveux. Je me retourne pour voir Rafa, James et Abdou me regarder sous le choc.
Je rends l'arme à James.
J'enlève les gants que je portais pour qu'il n'y ait pas mes empreintes et les range dans ma poche.
Rafa: putain marie-toi avec moi, je t'en supplie.
J'éclate de rire et le rejoins. Je l'embrasse une nouvelle fois, et le serre contre moi.
Moi : on rentre et commande à manger.
Rafa: tu veux faire quoi ?
Moi : je rentre bientôt. On va rentrer et tu vas me faire l'amour monsieur Diagne.
Il me fait un grand sourire.
Rafa: tu me surprendras toujours.
Moi : euh Abdou et James tout va bien ?
Abdou: comment en un seul tir tu as tué tous ses mecs putainn ! Rafa cette fille est une machine.
Rafa: tu crois que je ne le sais pas.
James : tu as appris ça comment ?
Moi : ma mère m'a tout appris.
James : putain. Quatre mecs.
Moi : bon, on en reparle. Vous pensez qu'on m'appelle tout le temps pourquoi ? Je suis la meilleure et ce n'est pas pour me venter, mais je suis une putain de meuf au boulot ça ce n'est rien du tout. Rafa, je crois t'avoir demandé quelque chose.
Rafa: les gars, j'ai ma femme à satisfaire. On va rentrer. Allez vient Thor.
Deux jours plus tard.
Il colle à lui et pose ma jambe sur lui.
Rafa: tu es belle.
Moi : tu arrêtes pas de me le dire Rafael.
Rafa: je n'y peux rien si je n'arrive plus à ne pas te regarder.
Moi : je te jure t'es un obsédé, même moi, je ne te traque pas comme ça.
Rafa: je m'en fiche, c'est bien d'être obsédée par la femme qu'on aime. Tu t'es évanouie alors que je te baisais.
Moi : tu peux dire faire l'amour, c'est plus beau.
Rafa: j'aime le fait que tu redeviennes toute sage, après ce qu'on vient de faire et ce
Tu viens d'affirmer.
Moi : je n'ai rien demandé.
Rafa: tu es si gros, si bon.
Moi : mais je n'ai pas menti, c'est vrai. Tu as appris où ?
Rafa: le sexe ?
Moi : oui, je ne suis pas ta première juste la dernière qui en profite donc tu as appris où ? Avec qui ? Quand ? Quel moment ?
Rafa: avec une copine, j'ai eu ma première relation sexuelle à 15 ans avec une femme de 21 ans. Et pour ma première fois, je l'ai super bien gérée. Après elle en voulait tout le temps. Elle me voulait tout le temps.
Moi : elle s'appelle comment ?
Rafa: pour que tu l'as traqué et que tu l'as fasse souffrir jamais.
Moi : donc tu as couché avec combien de femme avant moi.
Rafa: énormément. Je n'en sais rien je n'ai pas de chiffre.
Moi : waouh, et moi, je ne me suis tapé que toi ?
Rafa: essayé avec quelqu'un d'autre ce serait le condamné.
Moi : tu m'énerves.
Rafa: mais tu es celle que je préfère. Je n'ai jamais eu besoin de courir derrière une femme, elles venaient à moi. Et je m'en fichais, je voulais me vider les couilles. Mais avec toi, c'est différent, je ne sais pas pourquoi. Le jour où j'ai ouvert les yeux à l'hôpital, je ne te voyais pas très bien, quelque instant plus tard, tu as vérifié mes constantes et toutes ses bêtises. Tu es passée devant moi. Je me suis dit putain, j'ai envie de faire des bêtises avec cette fille, là, c'est moi qui te désirais.
Moi : waouh.
Rafa: ouais, waouh, je te désirais, je te voulais. Et quand je t'ai kidnappé. J'ai cru mourir en ne te touchant pas. Et il y a eu cette nuit, cette nuit où tu m'as défié. Cette nuit où je t'ai touché, tu m'as dit '' j'ai mis cette robe pour toi, et quand tu m'as demandé de la déchirer'' j'ai perdu la tête. Ce n'était pas le sexe, c'était toi, j'étais raide dingue de toi, tu n'imagines pas ce que ça fait de faire l'amour à celle qu'on aime. Mais nous ne le savions pas. Que nous nous aimions.
Moi : c'était la plus belle nuit de toute ma vie. Je ne réalisais pas ce que je faisais. Je l'ai compris et je te voulais. Je savais que je me donnerais à toi, c'est pour cela que je ne voulais pas être dans le même endroit.
Rafa me serre encore plus contre lui.
Rafa: je ne veux que toi, tout le temps. Je m'en fous de toutes ses femmes. Je ne peux pas me lasser de toi. C'est pour ça que lorsque tu es là, je te fais l'amour tout le temps, car je ne peux pas ne pas être avec toi. J'aurais vraiment voulu que tu rencontres ma mère. Qu'elle connaisse la femme extraordinaire avec qui je suis, tu as le cœur sur la main même si tu essayes de le nier. Tu es douce, sauvage et bagarreuse, tu es difficile et facile en même temps. Tu as peur de l'amour, du mariage et d'être maman, car tu ne sais pas si tu arriverais à tout gérer. Tu ne conduis pas, je ne t'ai jamais vu conduire une voiture. Parce que tu préfères ne pas prendre le volant après ce que tes parents ont vécu.
Moi : Rafa...
Lui : non, laisse-moi, finir, tu es magnifique Amy, tu es la femme de ma vie. Et je ne me vois pas sans toi. Je ne me vois pas vivre sans toi. Tu as peur. Mais là, c'est toi qui me fais peur. Je ne peux pas respirer normalement quand je te vois. Tu es le carrosse que je n'ai pas envie de stopper, ma main droite et tu tiens l'arme à côté de moi. Tu es celle que je veux aujourd'hui et tous les jours. Merci, merci de m'aimer. Car j'en suis sûre maintenant, merci, tu es ma mère, mon père , tu es ma famille Amy.
J'éclate en sanglot et me retrouve sur lui avant d'écraser mes lèvres contre les siennes. Sa langue était si chaude et il me serrait tellement fort contre lui, à cet instant rien n'existait si ce n'est lui et moi ensemble.
Moi : je t'aime.
Je lui embrasse le front, les joues, le nez, les yeux. Je vis une larme couler sur sa joue.
Moi : oh mon Dieu Rafa.
Lui : je ne t'abandonnerai plus jamais.
Je le serre contre moi encore plus fort.
Sa tête dans mon cou et moi le serrant contre moi.
Moi : je t'aime, je t'aime vraiment, je ferai tout pour toi, et je me battrai toujours pour toi. Car toi, tu es toute ma vie.
Il m'attire pour que je me mette au-dessus de lui. Je voulais lui faire l'amour. Lui montrer que je l'aimais moi aussi, tous ses mots que je n'arrive pas à dire. Tout ce que j'aime chez lui. Cette addiction qui me comprîmes le cœur et les os.
Je m'assois sur lui et le laisse s'insérer tendrement en moi. J'entoure mes bras autour de son cou et le regarde dans les yeux. Il agrippe mes fesses et nous laissons emporter par le désir et l'amour que nous avions l'un pour l'autre. Je jouis dans ses bras en le fixant et lui aussi. Et je le laisse m'aimer toute la nuit. J'étais prête. Je devais juste couper des têtes, mais j'étais prête.
Prête à me marier avec lui.
Prête à l'aimer.
Prête à avoir des enfants avec lui.
Il fallait que je coupe des têtes pour qu'on le laisse définitivement tranquille, et que je règle le problème de Nadia.
Mais j'étais prête, c'est normal de se sentir prête et d'avoir peur ?
Je n'en sais rien.
C'est mon Rafael.
Mon homme.
Ma vie.
Ma route.
Ma main droite.
Et jamais, je ne pourrais ne plus être avec lui.
Le lendemain matin, il m'accompagne à Miami. Et dans l'avion encore, nous nous sommes aimés. Je ne voulais plus qu'il s'arrête de me faire l'amour. Je ne voulais plus être loin de lui.
Rafa: rhabille-toi, tu dois partir.
Moi : je sais bien.
Rafa: tu es super sexy dans ton ensemble de l'armée.
Moi : je ne la mettrai qu'une fois à Washington.
Rafa: ouh, j'aurais aimé voir ça.
Moi : à mon retour, je mets ça quand tu voudras.
Il rigole en m'embrassant l'épaule.
Rafa: j'adorerais. Tu seras quand en permission ?
Moi : je n'en sais rien, j'espère ne pas me faire tuer.
Rafa: je t'en voudrais si tu meurs. Moi, je ferai du ménage dans mes affaires.
Moi : très bien. Ne tue personne et s'il te plaît mets tes affaires sous couvertures compris.
Rafa: oui bébé d'amour.
Je lui fais un grand sourire.
Moi : passe voir ma nana et prend soin d'elle. Et surtout toi ne te fait pas tuer.
Rafa: d'accord, je t'aime.
Moi : je t'aime aussi petit con.
Je me relève et enfile mon t-shirt et mon bas de sport.
Rafa m'attire vers lui et embrasse mes fesses.
Rafa: ça va me manquer.
Moi : on peut remettre ça, on a encore cinq minutes.
Rafa: tu es très perverse maintenant.
Moi : j'ai un bon professeur.
Rafa: j'adore. J'aime toujours quand tu veux qu'on se bécote.
Moi : tu vois, c'est toi qui m'as appris.
Rafa: non, tu aimes ce que je te fais, c'est tout. Et j'adore quand tes lèvres recouvrent ma queue. Quand tu me regardes dans les yeux et j'aime le fait que t'aime me faire ça.
Moi : j'adore faire ça, mais c'est le pied et je ne le savais pas avant toi.
Il éclate de rire.
Rafa: donc c'est le pied de me faire des fellations.
Moi : mais purée, tu t'es vue. C'est comme lorsque t'es en moi, mais ce n'est pas en bas, c'est dans ma bouche et que tu bouges les reins putain, ça me rend toute pompette. J'ai 15 minutes avant que Isham n'arrive, on peut descendre de l'avion en retard.
Rafa: enlève-moi ce bas.
Moi : non moi d'abord.
Il se relève et s'assoit en face de moi.
Je me mets à genoux et prends l'élastique pour m'attacher les cheveux.
Rafa: non laisse les, j'aime tes cheveux curly.
Je le regarde dans les yeux en me prenant tendrement entre mes lèvres.
Rafa: putain Amy.
Je creuse les lèvres pour le prendre encore plus profondément au fond de ma gorge.
Il grogne en empoignant mes cheveux.
Rafa: putain arrête.
Je relève les yeux en le fixant.
Moi : je n'ai pas envie d'arrêter.
Je le reprends entre les lèvres encore plus profondément en lui caressant les bourses. Il commence à me donner des coups de reins. Encore et encore. Il grognait de plus en plus fort. Je le suçais si tendrement. C'était si bon et je mouillais encore plus.
Il allait jouir et je voulais que ce soit en moi. Je me relève et retire rapidement mon bas. Il m'assied sur ses jambes et me pénètre encore une fois. Je commence à bouger sur lui. Il me porte et me plaque contre la porte de la douche.
Ses coups étaient si rapides si intense. Il passe sa main sous mon t-shirt. Et caresse mes tétons. Qui pointait si sensiblement. Ils ne répondaient qu'aux caresses de cet homme.
Il continue de me pénétrer encore et encore jusqu'à ce qu'on jouisse ensemble. Il m'embrasse tendrement et passe ses doigts entre mes lèvres.
Je le suce une nouvelle fois et sent son érection tressautait en moi. Il s'enfonce encore une fois en moi.
Vingt minutes plus tard.
Isham: Putain, tu pues le sexe, tu sens Rafael.
Rafa: tu sais que je t'entends.
Isham: je le sais bien, mais vous vous arrêtez quand ?
Moi : jamais.
Isham: waouh.
Moi : deux fois pendant le vol et deux fois après l'atterrissage.
Isham: OH MON DIEU. Vous en avez de la cardio.
Abdou sort de sa voiture, monte dans l'avion et vérifie avant de ressortir et de venir vers nous.
Abdou; je refuse de rentrer dans cet avion, merde tout est en désordre. Vous aviez la chambre, vous savez. Et l'hôtesse de l'air a dû mettre des écouteurs, putain, je la plains. Du sexe pendant tout un vol.
Je mets mes lunettes.
Rafa: elle est en train de rendre tout propre désolé. La chambre ne t'inquiète pas, je vais récupérer les draps pour dormir avec ça sent toi.
Abdou: tu es malade mec.
Isham: mais vous êtes des putain d'obsédés.
Rafa: ils pensent que nous ne le savons pas.
Moi : laisse-les nous sermonner un peu.
Isham: mariez-vous.
Moi : bon, on y va.
Rafa: trouillarde.
Isham: grosse trouillarde, sincèrement, accepte que c'est avec lui que tu vas te marier.
Moi : on y va Isham.
Abdou: vous avez traumatisé le chauffeur, il m'a demandé s'il pouvait prendre des bouchons d'oreille maintenant quand vous étiez à Venise.
Moi : mais ce n'est pas ma faute, c'est lui qui m'a porté et...
Isham: non pas de détails.
Moi : merde-vous faites les mêmes choses.
Isham: non, et pas à ce rythme, et de cette manière.
Moi : mais attend ce sont nos parties de jambes en l'air ou les vôtres. J'adore ce qu'on fait.
Rafa embrasse ma joue.
Rafa: je suis fière de toi bébé bien dit. Moi, je suis un obsédé et j'adore cette femme et vous pouvez me faire la morale autant de fois que vous le souhaitez. Je m'en fiche.
Isham et abdou se regarde.
Rafa: bon, je dois y aller, je vais au Mexique.
Moi: tu fais quoi au Mexique ?
Rafa: boulot et toi, tu vas faire quoi à DC ?
Moi : le travail bébé.
Il m'embrasse tendrement et me serre longuement dans ses bras.
Rafa: je t'aime infiniment.
Moi : je t'aime plus que tout.
Rafa: je sais.
Il m'embrasse encore et monte dans l'avion. J'entre dans la voiture de Isham.
Abdou me fait un câlin.
Moi : prend soin de lui et ne vous faites pas tuer.
Abdou: je ferai de mon mieux, il est tout le temps énervé quand tu n'es pas là.
Moi : je suis encore pire. Empêche qu'il me quitte à nouveau.
Il éclate de rire.
Abdou: je ne l'ai jamais vu pleurer, et il ne l'a fait qu'avec toi. Donc ne t'inquiète pas et croit le, il n'aime que toi. Car il n'y a un seul prénom sur son bras et dans son cœur, c'est le tien. Et j'ai hâte que vous vous mariez. Que vous ayez des enfants, tu l'as sauvé, tu le rends meilleur et il ne fait du mal à personne quand il est avec toi. Il est le Rafael avec qui j'étais quand j'étais en primaire. Il est cet homme avec un cœur et il ne découpe personne, donc merci. Cette fois-ci c'est votre moment.
Moi : merci, j'aime beaucoup votre amitié ou plus tôt votre fraternité. Je vous aime tous. Et lui, il est tout, je le choisirai avant tout le monde.
Abdou: je sais, ne te fais pas tuer.
Je souris et entre dans la voiture.
Isham: où va-t-on ?
Moi : pas à DC, on va à Dallas.
Thor approche.
Je l'embrasse et retire son collier.
Isham: dans son collier, tu mets tes preuves sur ton chien.
Moi : ce n'est pas le seul. J'ai pleins de coin secret.
Isham: on va faire quoi à Dallas.
Moi : on va chez Nadia. J'ai un gros dossier et ça va faire un gros carnage.
Isham: sérieux ? Juste toi et moi ?
Moi : Nadia a découvert quelque chose, c'est pour ça qu'elle a été envoyé à l'abattoir.
Isham: comme quoi ?
Moi : je t'expliquerai une fois que j'aurai tout.
Isham: oh Putain.
Moi : je vais tous les faire payer.
Isham: là ce n'est plus l'Amira amoureuse ?
Moi : non, je suis Amira la méchante sans cœur qui fait chier tout le monde et je te jure que mon arme est chargé, je vais venger Nadia.
Bonne soirée ❤️
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